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  • Dans ”Le figaro”

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      Le Figaro‎ - il y a 2 jours

    1.  

      Crosby, Stills and Nash, la ferveur des survivants à Fourvière

      Le Figaro ‎- il y a 1 jour
      MUSIQUE - Le trio américain se produisait mardi soir dans le cadre des Nuits de Fourvière à Lyon, devant un public fervent

    1.  
      Enchères d'exception pour la muse de Maillol
      Le Figaro ‎- il y a 2 jours
      INFO LE FIGARO - Pour régler la succession de Dina Vierny, Olivier Lorquin se sépare de quelques trésors de sa mère.

    1.  
      Reines et rebelles dans le tourbillon de la vie
      Le Figaro ‎- il y a 1 jour
      Dans la Collection Lambert, cinq « Papesses » de l'art prennent le corps et le cosmos pour cible. De Camille Claudel à Louise Bourgeois, l'art ...

    En Syrie, avec les alaouites surarmés - Le Figaro

    www.lefigaro.fr/.../10001-20130717ARTFIG00348-en-syrie-avec-les-alao...
     
    Il y a 3 jours - REPORTAGE - Îlot de relative tranquillité dans la guerre civile syrienne, la ville côtière de Lattaquié est un refuge pour les alaouites, le groupe ...

  • L'Antiquaille - Espace Culturel du Christianisme à Lyon

    L’association ECCLY (Espace Culturel du Christianisme à Lyon) a initié un projet ambitieux en voulant créer dans cet endroit un espace destiné à mettre en valeur les origines du christianisme en Gaule, moment important des premiers siècles de la ville.
    Il s’agit donc de compléter le riche équipement culturel de la colline de Fourvière qui conserve actuellement les origines gallo-romaines de Lyon par un nouvel ensemble culturel, dédié au christianisme. A proximité de la basilique de Fourvière et de son Musée d’Art Religieux, à quelques pas de la maison de Pauline Jaricot (maison de Lorette), ce nouvel espace permet la sauvegarde et la restauration de la crypte des mosaïques, exemple remarquable de l’art religieux du XIXe siècle à Lyon et la mise en valeur d’un site symbolique (c’est là que la tradition situe le "cachot de saint Pothin", un lieu vénéré par les chrétiens depuis trois siècles).
    Il propose un parcours historique et culturel du christianisme. Des expositions temporaires et des conférences compléteront ce parcours.

    https://www.lyon-france.com/Je-decouvre-Lyon/culture-et-musees/musees/l-antiquaille-espace-culturel-du-christianisme-a-lyon

  • Place Bellecour le 28 mai 2010

    lyon 28 mai 2010 002 hf (14).jpgFête des lumières à Lyon du jeudi 7 au dimanche 10 décembre 2006 de 18h à 1h du matin .

    medium_fetelumieres0526.jpgUne bonne occasion de découvrir la magnifique ville de Lyon(inscrite au Patrimoine mondiale de l'Unesco): le vieux quartier Saint-Jean, Fourvière (monter à pied et redescendre en funiculaire!)le parc de la Tête d'Or, la place bellecour, les quais du Rhône et de la Saône, les bouchons (réservez car c'est plein à cette occasion) etc...

    http://www.lyon-photos.com/photos_1.htm

     

  • La Part-Dieu fait peau neuve

    Lyon Part-Dieu : un nouveau cap !

    La Métropole et la Ville de Lyon réorientent les aménagements du quartier de la Part-Dieu pour renforcer la place de la nature dans le quartier, donner plus d’espace aux piétons, aux vélos et davantage de place aux logements abordables, tout en favorisant le développement économique responsable.
    Prairie Fleurie - Esplanade Nelson Mandela
    Cette semaine a été celle des grandes annonces dans la Métropole de Lyon avec le lancement du réseau express vélo, les nouvelles orientations du projet urbain à la Part-Dieu, priorité aux piétons le samedi 5 juin et le passage à sens unique du pont de Vernaison pour assurer la sécurité de toutes et tous. On revient aussi sur le retour tant attendu des Nuits de Fourvière !

    La Métropole dévoile la première ligne du réseau express vélo

    Bientôt, on pourra traverser la Métropole à vélo sur un réseau de pistes cyclables sécurisées et réservés grâce à 250 km du réseau express vélo. La première ligne va relier Vaulx-en-Velin et Saint-Fons.
     

    Lyon Part-Dieu : un nouveau cap !

    La Métropole et la Ville de Lyon réorientent les aménagements du quartier de la Part-Dieu pour renforcer la place de la nature dans le quartier, donner plus d’espace aux piétons, aux vélos et davantage de place aux logements abordables, tout en favorisant le développement économique responsable.
    Prairie Fleurie - Esplanade Nelson Mandela
     

    Samedi 5 juin : à Lyon, la voie est libre pour les piétons !

    Samedi 5 juin, de 11h à 19h, plusieurs rues dans les arrondissements de Lyon sont réservées aux piétons et interdites à la circulation des véhicules. On vous explique comment ça va se passer.
    20210527_lavoieestlibre-1
     

    Le pont de Vernaison passe en sens unique le 23 juin

    Le pont passe en sens unique dans le sens Vernaison-Solaize. On vous explique pourquoi c'est indispensable pour garantir votre sécurité et éviter la fermeture définitive du pont.
    Pont de Vernaison
     

    Nuits de Fourvière : c'est reparti !

    Ça y est, les Nuits de Fourvière sont de retour ! Après une édition 2020 annulée pour cause de crise sanitaire, la 75e édition du festival vient de débuter. Plus de 60 spectacles sont programmés jusqu'au 30 juillet. Retour en images sur la journée de lancement !
    NDF_ouverture_Camille_web_2_paul
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  • Nous y étions

    Saint-Étienne Daho aux Nuits de Fourvière

    MUSIQUE & SOIREES | article publié le Mardi 15 juillet 2014 par Stéphane Duchêne

    Petit Bulletin n°764

    Etienne Daho aux Nuits de Fourvière D'un coup, Etienne Daho, qu'on a cru une fois de plus au supplice, a recouvré santé et inspiration, à la faveur de ses "Chansons de l'Innocence retrouvée". Qui valent à l'invincible et imperturbable Rennais de remonter sur la scène de Fourvière avec son meilleur album depuis des lustres. Stéphane Duchêne

    Saint-Étienne Daho aux Nuits de Fourvière

    «Bien sûr, je connais tes plaies et tes blessures / cyanure, tes souvenirs ont la peau dure / fêlures, à chacun son chemin, chacun ses déchirures mais je les ressens comme toi». Ces quelques vers sont issus de La Peau Dure, l'un des singles extraits du dernier album d'Etienne Daho, Les Chansons de l'Innocence retrouvée. Une chanson qui aurait tout aussi bien pu donner son titre au disque tout entier, tant elle résume l'énième retour et la carrière du Rennais.

    Car s'il est un constat à faire au sujet d'Etienne Daho, c'est que sa capacité de régénération et, oserait-on dire, de résurrection, confine au divin. Voilà un type que l'on a annoncé maintes fois trépassé ou pas loin, et qui toujours nous revient d'entre les mo(r)ts. Est-ce son côté Dorian Gray de la pop française ? Toujours est-il que Daho n'est jamais aussi vivant que quand on le croît clamsé. En 1995, alors qu'il est en exil artistique à Londres, on l'annonce mort du sida. Il revient en Saint Etienne Daho – en duo avec le groupe britannique Saint Etienne pour un EP baptisé Réséréction – entre trip-hop et jungle –, collector en France mais vrai carton outre-Manche

     

    Nouveau Printemps

    Cette fois rien de toute cela. L'éternel retour d'Etienne était bien programmé et il n'y eut point de rumeur quant à un Daho hospitalisé et mal en point. C'était vrai. Sortie repoussée. Mais ce ne fut pour le toujours jeune homme qu'une question de temps et de serrage de mâchoire avant que de pouvoir revenir finalement frais comme un gardon, et bien vite prêt à remonter sur scène pour Un nouveau printemps après avoir entrevu "l'autre rive". Album acclamé – et il faut bien le dire, contenant quelques pépites, entre accents à la Ferrat (si, si), Retour vers le futur électro-pop, collaborations classieuses (Nile Rodgers, Debbie Harry, Dominique A) –, couv' de magazines en pagaille et retour sur Terre réussi pour Saint Etienne.

     

    L'icône pop de l'effervescence post-punk a la peau lisse des mythes immuables, mais surtout la Peau Dure de ceux qui ont fait la cruelle expérience de trop de Baisers du destin. Auquel il peut enfin lancer, maintenant retrouvées ces Chansons de l'Innocence chères à William Blake et qui l'ont remis d'aplomb : «Griffure, je lèche ta triste figure / Morsure, ton sang et ses éclaboussures / Roulure, les salauds qui peu à peu nous ont à l'usure / (...) / Oui, les armes de l'enfance te font le cuir et l'armure et assèchent les rivières que tu pleurais hier.»

    Etienne Daho
    Aux Nuits de Fourvière, vendredi 18 juillet

     

    Crédit Photo : Richard Dumas

    Tags  • Etienne Daho • Nuits de Fourviere 2014

    Suivez l'actualité Musique et soirées à Lyon avec LE PETIT BULLETIN

     

     

     

    ÉVÉNEMENTS ASSOCIÉS

    Etienne Daho

    1ère partie : Perez
    Théâtres romains de Fourvière 6 rue de l'Antiquaille Lyon 5e

    Vendredi 18 juillet 2014 à 21h30

    http://www.petit-bulletin.fr/lyon/musique-soirees-article-49024-Saint-Etienne+Daho+aux+Nuits+de+Fourviere.html

  • Lyon gallo-romain

    Lyon vu de la Saône... - P. Mathieu

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    La cité antique, souvent présentée comme la "capitale des Gaules", le fut-elle effectivement ?

    L’histoire de Lugdunum, mot celte à l’origine de Lyon, hellénisé en Lougdounon (ou Lougoudounon), par des auteurs grecs du IIe et Ier siècle avant J.-C, est en effet quelque peu énigmatique…

    Officiellement, la ville a été fondée en 43 av. J.-C. par un certain Lucius Munatius Plancus, comme l’atteste une épitaphe sur son mausolée de Gaète (Italie).

    Première énigme : la ville, plutôt la colonie, fondée par Plancus sur la colline de Fourvière à 300 m d’altitude (aujourd’hui dans une zone classée au patrimoine mondial de l’UNESCO), est-elle née ex nihilo ? Comment ce site à la confluence du Rhône et de la Saône , à l’origine marécageux et insalubre, a-t-il pu devenir de fait en quelques décennies la capitale des Gaules et l’une des cités importantes de l’Empire romain ? N’y avait-il donc pas "quelque chose" avant la ville antique ?

    Seconde énigme : la ville romaine, "miroir de Rome dans les Gaules" (1), comptait, selon les estimations, plusieurs dizaines de milliers d'habitants. Pourquoi a-t-elle alors laissé dans l'histoire relativement peu de traces matérielles ?

    Beaucoup de questions. Et quelques réponses…

    (1) Titre d'un livre de l'archéologue Amable Audin, "Lyon, miroir de Rome dans les Gaules", Fayard, 1965

    Remerciements: Laurent Filippi, INRAP, musée gallo-romain de Lyon-Fourvière, éditions Infolio, éditions EMCC,
    Court-Jus Production

    Laurent RIBADEAU DUMAS
    Publié le 05/11 à 11:12
    sommaire
      La carte de Lugdunum
      Quelle réalité pour un mythe ?
      Quid avant Lugdunum ?
      Un très actif commerce du vin
      "Banquets gaulois"
      Une romanisation avant l'heure
      L'heure de la fondation
      Pourquoi la fondation ?
      La ville romaine
      De ville à capitale
      Pourquoi aussi peu de ruines romaines à Lyon ?
      Les bateaux de Saint-Georges
      Destructions massives dans la capitale des Gaules
      Le musée gallo-romain de Fourvière
      Bibliographie
    Vidéo
     "Le vin des festins", film de David Geoffroy
    Autres vidéos

     Lyon: découverte de barques gallo-romaines
     Deux nouvelles barques découvertes à Lyon
     Une flottille antique en cours de restauration

    http://cultureetloisirs.france3.fr/patrimoine/dossiers/35151674-fr.php

  • Saint-Etienne aux 7 collines

    Rome, la Ville éternelle fut bâtie sur sept collines mythiques...
    Il n'est pas difficile de trouver que le site de saint-Etienne comporte, lui aussi, sept collines, même sans dénombrer les deux terrils que la végétation est en train de recouvrir.
    D'abord, les quatre qui se voient dotées d'un cimetière : Montaud, Le Crêt de Roc, Montmartre (et oui à Sinté itou!), et la colline de Valbenoite. On dirait que la coutume voulait qu'on rapprochât les morts du ciel. La cinquième, Colline des Pères, domine le centre-ville de son petit "Fourvière". La sixième, colline du Jardin des Plantes, accueille le théâtre de l'Esplanade, assez récemment rénové ; elle s'étire de Montplaisir (encore un mont) jusqu'à Beaulieu. La septième est la colline résidentielle de Montreynaud. Le compte serait donc dépassé si l'on rajoutait les deux terrils, imposants témoins de l'exploitation houillère. Le site de Saint-Etienne est original, à découvrir !
     

  • Ce soir,illuminez vos fenêtres!

    Comme je l'ai fait...8 décembre 2009 004.jpg8 décembre 2009 003.jpg8 décembre 2009 001.jpg8 décembre 2009 002.jpg

     

    Lumignons

    Le 8 décembre, prenez part à la Fête en installant des lumignons sur vos fenêtres !

    Fête des Lumières à Lyon depuis le 5 jusqu'à ce soir, fête de l'Immaculée Conception

    Mettez des lumières à vos fenêtres!

    Nous y étions samedi soir... mais mes photos sont... floues

    lumières 2009.jpgCf. le site consacré à cet événement:

    http://www.lumieres.lyon.fr/lumieres/sections/fr

     dont j'ai déjà parlé:

    http://www.lauravanel-coytte.com/search/fête%20des%20lumières

    Pour la communauté Lux Aeterna:

    http://www.over-blog.com/com-1114832483/Lux_aeterna.html

     gérée par Didier:

    http://didier-85.over-blog.fr/

    Nous avons vu notamment Notre -Dame de Fourvière illuminée:

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     Photo Flickr

  • Le nouveau MET' est sorti : 12 projets qui vont changer le territoire !

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    Le nouveau MET' arrive !

    En début d'année, les élus de la Métropole de Lyon ont adopté un plan d'investissements de 3,6 milliards d'euros pour réussir la transition écologique, construire une Métropole plus solidaire et mener des projets qui profitent à toutes les communes.

     
    La rédaction a sélectionné 12 projets d'investissements qui vont changer le visage de notre Métropole. C'est le dossier de ce numéro de MET'.

     
    A découvrir aussi dans le MET'24 :
    • Les brèves : un habitat temporaire et innovant au Carré de Soie ; la lutte contre la précarité menstruelle ; un nouvel espace vert à la Part-Dieu ; les travaux du Vallon des Hôpitaux à Saint-Genis-Laval…
    • Décryptage : retour sur quelques délibérations du Conseil de la Métropole du 25 janvier [p.9]
    • Portfolio : les parcs préparent le printemps [p.28 à 32]
    • Agenda : Biennale de la danse, Nuits de Fourvière, Une salade César ?… [p.32 à 33]
     
    MET24_270
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  • Le MeT' 34 est sorti

    67 % de l’espace dans les rues est consacré à la voiture, alors qu’elle ne représente plus que 42 % de nos déplacements : ça ne vous paraît
    pas bizarre ?

    La Métropole ambitionne de mieux partager l'espace public entre tous les usagers, car nous sommes tous tour à tour, piétons, cyclistes, usagers des transports en commun ou automobilistes. On vous explique les changements à l'œuvre dans le dossier du MeT'.
    Retrouvez aussi dans ce numéro :
    • l’actu (pages 4 à 6) : Métropole vacances sportives, la Saône en TCL, le projet de la Guillotière, les premiers travaux du T6…
    • Près de chez vous (p. 20 à 25) : les bornes à compost à Dardilly, la voie lyonnaise de Couzon, la cité jardin à Vaulx-en-Velin, les travaux de la tour P à Saint-Priest, une nouvelle maison du projet à Oullins…
    • Et si on sortait (p. 28 – 29) : Lugdunum, les Nuits de Fourvière, Quais du polar...
  • J'ai aimé en 20212:ARCABAS

     

    Prolongation jusqu’au 16 septembre

    Le Musée de Fourvière propose une exposition consacrée à Arcabas.

     

    L’exposition présente une quarantaine de toiles ; certaines sont anciennes, d’autres au contraire très récentes. Mais l’œuvre majeure qui arrête immédiatement le visiteur qui entre dans le musée est sans conteste le polyptyque « Hommage à Bernanos » (5 m x 5 m), véritable coup de fureur contre une partie de l’épiscopat espagnol lors de la guerre civile. Pièce majeure de l’exposition, ce polyptyque, jamais exposé depuis 50 ans, combine figuratif et abstrait, peinture à l’huile, feuilles d’or et sables colorés. En confrontant cet ensemble à des œuvres très récentes, créées spécialement pour l’exposition, on mesure à quel point, même à 86 ans, Arcabas n’a rien perdu de sa force. Colère, douceur, prière, révolte, humanité sont autant de sentiments que l’on retrouve dans les toiles présentées.

    http://www.fourviere.org/

  • Suite à une lecture de presse et surtout au rappel de quelqu'un qui m'a dit que c'était magnifique, j'ai adoré:EXPOSITIO

    IMG_2758.JPGDU 1ER AVRIL AU 1ER OCTOBRE 2023 AU MUSÉE DE FOURVIÈRE

    Dans le cadre du cinquantenaire de l’association Amour Sans Frontière, l’ONG co-organise avec la Fondation Fourvière une exposition exceptionnelle des œuvres de l’artiste Marcoville « Lumières Célestes » pour permettre la réalisation de projets Ecole-Eau, c’est-à-dire la construction d’écoles et de points d’eau en Afrique.

    Venez découvrir les œuvres de cet artiste à la renommée internationale qui insuffle la vie au verre pour créer des sculptures, aussi immense qu’uniques, d’inspiration spirituelle.

    Au Musée de Fourvière, Marcoville nous invite à un voyage féérique à travers ce jardin d’Eden sculpté, du 1er avril au 1er octobre 2023.

    http://www.lauravanel-coytte.com/balade-a-lyon-et-au-nord-le-3-aout-2023 Ma nourriture artistique est surtout alimentée par les déchets que nous laisse le passage de notre société. Le gâchis des matières premières suffit à elle seule à faire la richesse artistique de beaucoup d’entre nous.  

    Marcoville

    Pour réserver vos billets cliquez ici

    ANIMATIONS ET VISITES 

    Du 01 avril au 01 octobre, le musée de Fourvière vous propose un riche programme d’animations et de visites autour de l’exposition « Lumières Célestes » : 

    • Visites guidées 
      Découvrez l’exposition lors d’une visite commentée qui vous plongera dans l’œuvre de Marcoville 

      Horaires 
      : tous les jeudis après-midi à 14h
      Durée : 45 minutes 
      Tarifs : 12 € (tarif plein) – 7€ (tarif réduit
    • Nocturnes
      À partir de juin L’exposition « Lumières Célestes » joue les prolongations en proposant une entrée libre de 18h à 20h. 

      Horaires : les lundis 12 juin, 10 juillet, 14 août et 11 septembre de 18h à 20h 
      Tarifs : gratuit 
    • Rencontres avec l’artiste
      Chaque mois, l’artiste Marcoville vous accueille au cœur de l’exposition pour vous dévoiler sa vision, ses inspirations et ses techniques de création.

      Dates de présence de l’artiste : 
      – Mai : 2, 3, 4, 5, 6, 7, 20 et 21 
      – Juin : 10 et 11 
      – Juillet : 1er, 2, 14, 15 et 16 
      – Août : 12, 13, 26, 27 
      – Septembre : 2, 3, 16, 17, 23, 24 et 30 
      – Octobre : 1er 
    • Le coin des enfants 
      L’exposition Lumières Célestes est une exposition grand public, invitant à l’émerveillement et à la rêverie. Le Musée de Fourvière propose tout au long de l’année des activités jeunes public avec un espace dédié aux enfants pour la customisation d’un poisson réalisé par l’artiste Marcoville. Cette création pourra rejoindre le banc de poissons à l’accueil, en lien avec l’oeuvre «banc de poissons» présentée dans l’exposition.
    • « Danse avec les anges »
      Découvrez le 1er juillet à partir de 15h le VdanceProject, une animation de danse contemporaine, au sein du Musée de Fourvière. Le VdanceProject réunira les danseurs Juliette Brulin et Daniele Vidiri pour une chorégraphie basée sur l’improvisation, la gestuelle, ou encore le sensoriel.
      Découvrir le Vdanceproject 

    AMOUR SANS FRONTIÈRE

    Amour Sans Frontière est une organisation non gouvernementale (ONG) française, créée en 1972 à l’initiative du Père Gorrée, qui s’inspire des préceptes d’entraide et de fraternité de Mère Teresa.

    Fort de son expérience terrain, l’ONG veut renforcer son action
    sur deux éléments principaux structurant les villages de brousse,
    l’accès à l’école pour les enfants et l’accès à l’eau potable
    pour tous. Cette action pour marquer son cinquantenaire a été
    baptisée « Ecole-Eau ».
    Le succès de l’exposition Marcoville doit permettre de réaliser
    8 nouveaux forages et de construire 4 écoles
    .

    La « nourriture artistique de Marcoville » fait écho à Amour Sans Frontière qui recycle et donne une nouvelle vie à des matériaux donnés aux communautés les plus pauvres d’Afrique, avec l’envoi régulier de conteneurs.

    En savoir plus sur l’association Amour Sans Frontière

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  • A Lyon, Nicole Garcia et Richard Berry font leur caprice de stars

    CULTURE - Le festival les Nuits de Fourvière voulait des têtes d’affiche pour remplir les arènes de son petit théâtre antique en surplomb de Lyon. Alors le metteur en scène Emmanuel Meirieu est allé en chercher, pour donner voix aux quatre personnages de son adaptation théâtrale du roman de Russel Banks, De beaux lendemains. Mais toutes n’ont pas joué le jeu. Nicole Garcia et Richard Berry n’ont pas pris la peine d’apprendre leur texte, et ont refusé d’être dirigés, déséquilibrant totalement le spectacle par leurs caprices de stars. Des spectateurs, choqués par tant de désinvolture, criaient au scandale. Pendant quatre soirs, le superbe plateau de Fourvière a livré un exemple éclatant et grotesque des limites du star-système…

    « C’est Nicole Garcia ! » A l’entrée de la comédienne sur le plateau de l’Odéon de Fourvière, des chuchotements s’élèvent dans les rangs du public. L’effet « tête d’affiche » marche à plein régime. La preuve : les mille places du théâtre antique sont pleines, comme lors des trois autres représentations. 

    Impossible de ne pas reconnaître la célèbre comédienne. Elle est d’ailleurs habillée en Nicole Garcia, puisqu’elle a refusé de porter le costume qu’avait prévu le metteur en scène. Tout le long de son monologue, elle restera Nicole Garcia, avec sa voix rocailleuse, récitative. Elle n’incarnera jamais Dolorès Driscoll, la conductrice de bus scolaire qui, voulant éviter un chien, précipita son véhicule dans une gravière gelée et tua 14 enfants d’un village de l’Etat de New-York. Son texte à la main, elle s’y plonge régulièrement, empêchant la magie théâtrale d’opérer. Pourtant, Nicole Garcia a parfois des trémolos dans la voix et lève des yeux presque embués de larmes. Mais pas trop, parce que sinon, après, ça brouille la lecture. Sans peur du ridicule, elle arrête les trémolos, replonge dans son papier, puis les reprend. 

    Richard Berry, lui, ne fait même pas cet effort de paraître touché. Et ce n’est pas plus mal. Car il assume plutôt bien le côté touriste en scène. Il mettrait sans doute volontiers les mains dans les poches s’il n’en avait besoin pour tenir son texte. Et puis finalement, ce détachement colle pas si mal avec son personnage. Il est Billy Ansel, le père de jumeaux morts dans l’accident, un type blasé, cassé par la mort de sa femme et ses enfants, plus vraiment dans la vie. Même les yeux rivés à son papier, il parvient à être en partie dans son personnage dont il a accepté, lui, d’endosser la moitié du costume… 

    Puis Hippolyte Girardot s’avance. Enfin non, pas lui, Mitchell Stephens, ténor du barreau new-yorkais venu convaincre les parents en deuil de plaider la négligence pour faire raquer la collectivité. Il adopte d’emblée la posture du rapace, de l’homme révolté, celui qui défend les victimes parce qu’il refuse d’en être, même s’il est, en privé, la proie d’un odieux chantage affectif. Hippolyte Girardot a bossé, il connaît son texte et en fait passer les subtilités et les roueries, les ressorts intimes et les tensions dramatiques. Avec lui, on est enfin dans le théâtre. La pièce prend une épaisseur dramatique rehaussée par la belle scénographie de Seymour Laval,  une immense nappe de neige gelée à flanc de précipice.  

    La qualité du spectacle, gâchée en première partie par la désinvolture des stars, va crescendo. Vient enfin le plus beau monologue, celui de Nicole Burnell, la seule enfant rescapée, le corps brisé. Il est porté avec profondeur et grâce par une jeune actrice prometteuse. Encore épargnée par les ravages du star-system, Judith Chemla éclipse et surclasse haut la main les têtes d’affiche. Elle n’est pas là pour cachetonner, mais pour vibrer, avec intelligence, sensibilité et malice. Elle clôt le spectacle avec  une vitalité et un engagement dramatique qui emportent le public. 

    Initialement, le spectacle devait s’achever sur un second monologue de Nicole Garcia. Le jour de la première, lassé de ne pouvoir diriger l’actrice, le metteur en scène l’a supprimé. La comédienne a menacé de quitter le spectacle. Ses agents ont débarqué de Paris dans l’après-midi pour négocier à la Villa Florentine, le plus bel hôtel de Lyon où sont logés les « personnalités » du festival. Le contrat ne pouvait être rompu, elle est finalement restée. Dès avant la première du spectacle, le metteur en scène Emmanuel Meirieu et ses têtes d’affiche ne s’adressaient plus la parole. 

    Vices et vertus du star-système : ceux là même qui, sur leur nom, ont sans doute permis à Emmanuel Meirieu d’attirer près de 3 800 spectateurs à la découverte de son travail l’ont en partie gâché. 

    Anne-Caroline Jambaud

    http://www.libelyon.fr/info/2010/06/a-lyon-nicole-garcia-et-richard-berry-font-leur-caprice-de-stars.html

  • La double ville(article lu entier dans mon édition papier)




     

    M le magazine du Monde | 21.02.2014 à 11h40 | Par Eric Collier

    Travaux de réhabilitation de l'ancienne prison Saint-Paul, dans le quartier de Perrache. Travaux de réhabilitation de l'ancienne prison Saint-Paul, dans le quartier de Perrache. | SEBASTIEN EROME / SIGNATURES

     

    Simon Kuper, un chroniqueur anglais du Financial Times, a récemment publié quelques suggestions pour "sauver la France". Idée numéro 2 : "Déplacer la capitale vers le sud." En Provence, propose-t-il, un séjour prolongé au soleil et au contact des racines paysannes de la France ne saurait faire de mal aux élites dirigeantes du pays. Pas sûr que les Provençaux apprécieraient ce grand chambardement, mais il est une ville, un peu plus au nord, à peine plus au nord, qui se verrait bien jouer ce rôle capital : Lyon. Après tout, elle a déjà porté ce titre, il y a quelques centaines d'années, et elle a aussi une "tour Eiffel", plus discrète que la vraie, à Fourvière. Mieux, elle n'a jamais vraiment abdiqué cette ambition, "un syndrome lyonnais" selon l'historien Bruno Benoît, auteur du Roman de Lyon (Elah, 2013). Capitale dans ses rêves et provinciale dans son mode de vie, Lyon s'est toujours vue double. C'est inscrit dans sa géographie, avec ses deux collines et ses deux cours d'eau, la Saône et le Rhône. Cela se retrouve dans son histoire, souvent réactionnaire et frondeuse.

    Aujourd'hui en chantier permanent, Lyon se repeuple (près de 500 000 habitants, 1 200 000 dans le Grand Lyon), se réinvente. "Elle se reconstruit sur elle-même, observe Patrick Miton, un arch...

  • Le vent m'emportera

    Le vent m’emportera loin des douleurs de la terre

    Le vent m’emportera sur les mers du monde

    Le vent attisera le feu qui brûle mon âme

    Le vent emportera mes cendres vers mes disparus

     

    Le vent dispersera les feuilles de mes manuscrits

    Le vent couvrira le bruit de nos caresses

    Le vent t’enverra des baisers où que tu sois

    Le vent portera ma voix pour te crier ma joie

     

    Le vent du nord m’emportera vers mes origines

    Champenoises, enfin légères comme des bulles

    Ou de la mousse de pression des rues de Lille.

    Le vent du nord rafraîchira mes passions ardentes.

     

    Le vent du sud soufflera sur les remparts de Carcassonne

    Et emportera un morceau de moi vers les mines stéphanoises.

    Le vent du sud réchauffera l’air de la Haute-Loire

    Lui donnant des traits de Casa la Blanche.

     

    Le vent fera frémir Rhône, Saône et trembler Fourvière.

    Le vent m’emportera t-il loin de la Drôme ?

    Le vent m’emportera, moi et mes rêves.

    Etouffera t-il ma rage et mes colères ?

     

    22 AVRIL 2010

     

     

    http://www.lyricsdownload.com/noir-desir-le-vent-l-emportera-lyrics.html de Noir désir (paroles)

    Pour l'atelier réel de St-Vallier sur le thème du vent

    Pour lire d'autres textes de moi, cf. mes 11 livres en vente sur ce blog.

  • DAHO

     
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    Le Premier Jour Etienne Daho
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    Le Premier Jour Etienne Daho ... Etienne Daho "Le premier jour du reste de ta vie" live @ Olympia de Paris 04/11/2014 - Duration: 4:00. by A music ...
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    Étienne Daho Le grand sommeil
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    Axel Goldman retrouver moi sur facebook . https://www.facebook.com/profile.php?id=100008983030021 les paroles Je ne peux plus me réveiller, rien ...
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    Etienne Daho - un homme à la mer
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    Etienne Daho - un homme à la mer ... Etienne Daho - L'homme qui marche. Nuits De Fourvière - Duration: 3:45. by Stéphane BOUCLON 1,264 views.
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    Fashion Week : Salma Hayek et Étienne Daho, voisins au défilé Saint Laurent
    Francois-Henri Pinault et Salma Hayek assistent au défilé Saint Laurent automne-hiver 2015-2016 au Carreau du Temple. Paris, le 25 janvier 2015.
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  • Mon texte inédit sur ce blog: Paysages en hauteur pour Une photo quelques mots n° 418 de Bric a book

    Une photo quelques mots n° 418

    @ lcs vgthttps://www.bricabook.fr/une-photo-quelques-mots-n-418/#respond

    Paysages en hauteur

    Une grimpette en tongs  en 2008 pour voir de près le château de Crussol[1] sans penser à la  peur du vide en voyage à mes pieds. Malgré ma préférence(peut-être née avec ma naissance en plaine) pour la marche à plat ou faux plat, j'ai vécu en altitude plusieurs fois et je monte dès que j'ai envie de voir quelque chose là haut et/ou de voir le paysage en le surplombant. Ainsi, j'ai monté la première fois voir Notre Dame de Fourvière à pied(alors qu'il y a un funiculaire) parce que je voulais voir, sentir, cette colline sous mes pieds. La vie, ce n'est pas, arrêter en face du Mont MICHEL , le regarder de loin,  parce qu'on n'a pas le courage. La vie pleine qui t'a tué mon amour, c'est grimper Notre Dame de la Garde en plein cagnard, finir rouge parce que vivre sa vie, c'est oser vivre une vie mortelle.

     

    [1] http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2008/08/18/grimpette-du-17-aout-2008-chateau-de-crussol.html

  • J'y étais lundi soir:ETIENNE DAHO CALYPSO VALOIS

    En 2014, son concert au Grand théâtre fut l’un des plus mémorables rendez-vous de nos Nuits. En 2018, c’est à Fourvière que Daho a choisi de lancer la tournée de son onzième album, Blitz. On peut déjà annoncer un coup d’éclat, électrique et flamboyant. Car celui qui, non sans ironie, se dépeint comme un “survivant, tout flingué” revient en fait en créateur fringant, régénéré, qui réinvente son élégance frenchy en convoquant brumes psychédéliques et grands espaces sonores. Sublimant tout – coups durs, dangers, deuils –, Daho nous invite à “voyager léger”. Profession de foi d’un homme qui, sous sa carrure de parrain pop, transcrit désormais comme nul autre le bouleversant tremblé d’une vie. Et qui démontre aussi qu’il excelle dans l’art de boucler les boucles : en première partie, il a choisi de convier la prometteuse Calypso Valois, fille d’Elli et Jacno, qui furent ses premiers éveilleurs et protecteurs.

    http://www.nuitsdefourviere.com/programme/etienne-daho-0

    https://www.leprogres.fr/rhone-69-edition-lyon-metropole/2018/06/12/etienne-daho-hier-soir-sur-scene-un-concentre-de-blitz

    http://www.parismatch.com/Culture/Musique/Hier-soir-a-Lyon-Etienne-Daho-1537838

    http://www.lepoint.fr/culture/etienne-daho-flamboie-pour-sa-premiere-aux-nuits-de-fourviere-12-06-2018-2226334_3.php

    http://www.lefigaro.fr/musique/2018/06/12/03006-

    Le public en poncho sous la pluie

    Calypso Valois en 1 ère partie

    DahoP1260634.JPGP1260611.JPG

    P1260610.JPG

  • Lumières

    Fête des lumières à Lyon jusquà ce soir 8 décembre 2008(et depuis le 5) et mon poème inédit

    lyon 28 mai 2010 002 hf (15).jpgNous y sommes allés(pour la première fois depuis 3 ans du Maroc) hier soir. Il faisait un froid acceptable, sec (5 degrés à  17h) et ma bronchite ne s'est pas aggravée...
    Ce sont mes jambes et mon dos qui ont failli me lâcher car à déambuler dans Lyon, mine de rien, on fait des kilomètres... et nous étions garés assez loin... (faute de place où nous nous garons d'habitude) près de la voie rapide (pratique pour repartir) ... pas loin des filles de joie.
    Et puis je crois que mes jambes(et le reste), habituées à 3 (à 5h) de gym, muscu et piscine par semaine, n'ont pas du apprécier d'en être privés pendant une semaine(pour cause de bronchite)... à part la marche. Je tente ce soir la reprise, ça manque trop.

    Revenons à la fête des Lumières.
    Déjà, vu la difficulté à se garer, nous nous sommes dits qu'il y avait du monde et enarrivant en haut des escalators de Perrache, nous avons vu une marée humaine en basau marché de Noël de Carnot et au loin dans la rue Victor Hugo.
    Idem place Bellecour, dans le vieux Lyon(où c'est plus compliqué dans les ruelles)mais une foule vivable, assez disciplinée.

    Nous avons vu :

    -Lyon en 5 éléments sur la colline de Fourvière :
    http://www.lumieres.lyon.fr/lumieres/sections/fr/event_view?id=374


    -La visite des rois à la Cathédrale Saint-Jean:

    http://www.lumieres.lyon.fr/lumieres/sections/fr/event_view?id=373


    -Les Lumignons du cœur(ci-contre) :
    http://www.lumieres.lyon.fr/lumieres/sections/fr/event_view?id=361


    -SPOT (Square Piece Of Time)
    http://www.lumieres.lyon.fr/lumieres/sections/fr/event_view?id=367


    Impossible de tout voir…


    Si vous passez par Lyon aujourdhui, viola le programme:
    http://lumieres.static.lyon.fr/static/contenu/lumieres%202008/ContenuEditorial/CompressProg08.pdf


    Pour en savoir plus sur cette fête :
    http://www.lumieres.lyon.fr/lumieres/sections/fr/lyon_et_la_lumiere/histoire_dune_fete6970


    Mon poème ci-dessous :

    lumignons_2006.jpgLumières

    La  ville des frères Lumière
    Se vêt  soudain de mille feux ;
    Lueurs profanes et divines
    Nous en mettent plein les yeux.


    A votre fenêtre, allumez les lumignons
    Unissez votre prière religieuse ou laïque ;
    Eclairez le chemin que nous prenons
    Vers l’ailleurs magique de Fourvière.

    Regardez les fleuves se parer de couleurs,
    Les rues scintiller de guirlandes,
    Les façades s’orner de splendeurs,
    La cathédrale Saint-Jean retrouver son lustre.

    Que cette lumière vous réveille
    Des Ardennes à Montpellier
    De votre cœur, corps et armes
    Armes de nos âmes rassemblées.

    Lumière de cannelle et de vin chaud
    Qui nous réchauffe d’ivresse et douce
    De l’âme aux pieds et  les  boyaux.
    Brûlons toute l’année de cette flamme.

    8 décembre 2008

    Ajout du 9 décembre 2008:Oublié de vous dire que nous avions vu dimanche soir une Lamborghini, belle et rare.

    Hier soir, comme mes propriétaires, j'ai allumé des bougies sur mes fenêtres.(je le fais depuis au moins 6 ans que je connais cette fête).

    Dommage... que peu de gens dans le coin aient fait de même.

    C'est un joli geste qui ne coûte pas grand chose et peut unir de Lyon à ... ailleurs un France, les gens dans un même élan.

    Autres notes à ce sujet:

    http://www.lauravanel-coytte.com/search/lumières

  • 8 décembre - Fête des Lumières

    medium_fete_des_lumieres.jpgChaque 8 décembre, les lyonnais allument de petits lampions sur leurs fenêtres en hommage à la Vierge puis descendent se promener dans la ville alors embrasée de milliers de lumignons et animée par des spectacles originaux dans l'ensemble des quartiers.

    Ces illuminations constituent une tradition fortement ancrée dans la vie de la cité et attire des centaines de milliers de visiteurs chaque année.

    Cette tradition est née il y a près d'un siècle et demi. Le 8 décembre 1852, doit avoir lieu l'inauguration de la statue de la Vierge Marie, érigée sur la colline de Fourvière. Un moment important pour tous les croyants de la ville puisque cet événement avait été reporté à cause d'une crue de la Saône. Il aurait dû à l'origine se dérouler le 8 septembre, jour de la fête de la Nativité de la Vierge et date anniversaire du vœu des échevins de 1643. Or en ce soir du 8 décembre, alors que la Fête se prépare et que les notables catholiques lyonnais proposent d'illuminer les façades de leurs maisons comme cela se fait traditionnellement pour les grands événements, un orage s'abat sur Lyon et menace une fois de plus la cérémonie. Mais heureusement le temps redevient clément. Alors la population qui avait tant attendu cette manifestation illumine d'un geste spontané ses fenêtres et descend dans les rues. Elle conservera cette coutume jusqu'à nos jours.

    Autour de cette fête religieuse et traditionnelle, des mises en lumière spectaculaires sont effectuées depuis quatre ans dans le cadre d’un « festival lumière » devenu « Fête des lumières », pendant 4 jours autour du 8 décembre, en parallèle du Plan Lumière qui réalise une scénographie lumineuse dans tous les quartiers de la ville en mettant en lumière les principaux sites et monuments de la ville et qui fait désormais référence en France et à l’étranger.

    La Ville de Lyon, a pris l'initiative de créer un réseau international des villes de lumières dans l’objectif de réunir en un véritable forum de communication, les municipalités et intervenants professionnels de tous pays, en multipliant échanges d'informations et d'expériences dans le domaine de la lumière et promouvoir la lumière au service des villes comme outil majeur de la vie, de l'architecture et de l'aménagement urbains. Aujourd'hui, c'est une trentaine de villes du monde entier qui a manifesté sa volonté de rejoindre LUCI Association, présidée par la Ville de Lyon, (Lighting Urban Community International), et de participer à ses travaux.

  • DAHO

    Etienne Daho au Transbordeur

    FM et LH | 05/12/2014 - 00:00 | 0 commentaire(s) | Envoyer | Imprimer |

    daho-604-tt-width-600-height-400-crop-1-bgcolor-000000.jpg
    ©DR



    Étienne Daho mange du Lyon. Il nous a déjà filé une claque sans précédent lors de son dernier concert estival à Fourvière, fusionnel jusqu’au moment de grâce, début d’une tournée qui se prolonge aujourd’hui toujours avec quatre musicos batterie / guitares, la scéno en plus. Le revoilà en décembre au Transbordeur dans le cadre de sa tournée Diskönoir, alors même qu’il vient de sortir le disque live avec pratiquement la même set list. Le dandy de la pop française fait (à juste titre) l’objet d’un culte tel que les fans ne rateront pas ce deuxième rendez-vous. La question qu’ils ne manqueront pas de se poser est : “Ce concert est-il la copie conforme de cet été, mais dans un lieu fermé, bonjour l’arnaque”. Visiblement non. Ses premiers pas à l’Olympia début novembre révèlent qu’un temps plus appuyé est consacré à son dernier album “Les chansons de l’innocence retrouvées”, dont Le Baiser du destin ou L’Homme qui marche. Évidemment, comme il est difficile de résister à un public qui vous suit à genoux depuis 30 ans et à ses petits nouveaux, nostalgiques de ce qu’ils n’ont pas vécu, on passera par la grande revue discographie habituelle. Mais avec une véritable évolution: un ton plus rock appuyé de guitares saturées et des alternatives aux tubes habituels, notamment en appuyant sur les raretés de l’époque Jacno qui font se déhancher ce fringant quinqua comme au temps de ses 20 ans. Ainsi, aux fondations du mythe, Week-end à Rome cède sa place à son élégant voisin de plage Sortir ce soir. Le résultat est le même : une foule en délire susurrant mot à mot les mélopées du bel Étienne, comme sur un Bleu comme toi extatique promis en bis. Quant aux clichés diffusés par les habituels détracteurs… Désolé ! Cet été, non seulement Étienne avait de la voix, mais en plus on ne l’a jamais vu chanter aussi juste, sans avoir besoin de se raccrocher aux accords avec ses pattes de chat. Le concert de l’hiver à ne pas rater. Seul hic : il vous faudra ruser en système D pour obtenir encore quelques places par miracle.

     


    Étienne Daho. Diskönoir Tour Vendredi 5 décembre à 20 h. 45 €. Transbordeur. 3 boulevard Stalingrad. Villeurbanne. 04 78 93 08 33. www.transbordeur.fr

  • Mon poème inédit sur ce blog: Lointains

    Semaine du 7 au 13 novembre 2016 - Lointains

     
    crédit photo Tisseuse
     
    Cette semaine nous vous proposons tout simplement de vous laisser inspirer par cette photo : "Lointains".
    En vers ou en prose votre texte devra nous parvenir avant dimanche 13 novembre minuit à l'adresse habituelle : impromptuslitteraires[at]gmail.com
     
    http://impromptuslitteraires.blogspot.fr/

    Lointains

    J’aime m’asseoir sur un banc et regarder les paysages

    Des proches aux lointains et du lointain au proche.

    Je pense souvent à ceux à qui ont vu ce paysage

    Avant moi: mes proches et les autres: les célèbres

    Admirateurs de paysages assis sur un banc ou en marche.

    J'essaie de regarder aussi bien qu'eux comme si je

    Devais ne jamais revenir le voir, des lointains au proche

    Je regarde comme je vis, comme si j'allais mourir la seconde

    D'après: ne pas attendre pour visiter, voir, vivre ce paysage:

    Un regard urgent et en même temps  un regard vierge

    Même si je le vois chaque matin en ouvrant ma fenêtre

    Ou chaque année  quand je m'assois sur ce banc  ou un autre.

    Je voudrais vous d-écrire comme un des premiers "touristes":

    Pétrarque gravissait le Mont Ventoux et voyait juste,

    Justement comme j'aimerais re-gravir la colline de Fourvière

    A Lyon ou celle de la Bonne-Mère à Marseille.

    Plus tard, je suis Rousseau tout à ses "rêveries" solitaires:

    Le père de la promenade, préromantique : aller sur sa tombe

    Dans la belle Ile de France nervalienne, Ermenonville.

    Croiser "Aurélia" à Senlis ou au bord de la Nonette.

    J’aime m’asseoir sur un banc et regarder les paysages

    Des proches aux lointains et du lointain au proche.

     

    8 novembre 2016

     

    Pour lire d'autres textes de moi, cf. mes 14 livres en vente par les bannières sur ce blog

  • J'ai lu pendant notre voyage:

    Au sommaire

    L'essentiel de l'actualité
    • La justice fissure le monopole de Rhônexpress

    • Immobilier : Kimelfeld veut “reprendre la main”

    • Lyon, “berceau” des groupes d’ultra-droite

    La Grande Gueule
    • Fabien Bagnon, ingénieur et militant – En roues libres

    Politique
    • Gérard Collomb, une année en enfer
    • Emploi familial : Collomb est-il menacé ?
    • Caroline Collomb se fait discrète

    • Entretien avec François-Noël Buffet : “La Métropole est à la fin d’un cycle”

    • Les écologistes rêvent en grand et en solitaire

    Architecture
    • Lyon est-elle une ville audacieuse ?
    • Balade architecturale

    Environnement
    • Le vrai tracé de l’Anneau des Sciences
    • Ces zones vertes menacées par l’Anneau des Sciences

    • Îlots de chaleur : le fléau de l’été

    Justice
    • Pédophilie à Villefontaine : les parents d’élèves attaquent l’Éducation nationale
    • La justice lyonnaise veut mettre de l’ordre entre flics et indics
    • Ripoux de Vénissieux : le parquet tape fort pour sauver le dossier

    Sports
    • Sylvinho, un pari risqué mais audacieux
    • Jean-Michel Aulas répond à Mohamed Tria
    • Tony Parker : “Emmener l’Asvel le plus haut possible”

    Sortir
    • À la Guillotière bat le cœur des soirées lyonnaises

    Culture

    Théâtre, spectacles de rue
    • Un été de culture et de fêtes…

    Cinéma
    • Des toiles à la belle étoile…

    Musique du monde
    • Programmation estivale non identifiée à l’opéra
    • Le retour du Jeudi

    Pop-rock
    • The Good, the Bad & the Queen à Fourvière
    • Midnight Oil , burning men

    Danse
    • Le Pockemon Crew à la fête
    • Acordanse, une édition qui a du rythme !

    Expos
    • Hervé Di Rosa de retour de voyages
    • Les couvre-chefs de Galbert

    Livres
    • Sélection pour l’été

    Magazine

    Le restaurant du mois
    • Epona : grâce sous le grand dôme

    Le créateur
    • Mariette Guigal, l’illustratrice du Diable !

    Éducation
    • Transmettre à son enfant… le bonheur

    Histoire
    • L’autre Collomb

    https://www.lyoncapitale.fr/produit/juillet-aout/