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  • J'ai lu:Joséphine

    Dossier de l'Art n° 216 - mars 2014








     

    Joséphine

     

    au musée du Luxembourg

     

     
    26 mars 2014

    À l’occasion du bicentenaire de sa mort, le musée du Luxembourg dédie une exposition inédite en France à Joséphine. Le hors-série revient sur le destin de cette Créole, passionnée par les arts, grande collectionneuse et ambassadrice du néoclassicisme. À travers tableaux d’époques et collections particulières, Beaux Arts éditions s’attache à faire découvrir la vie de cette femme qui œuvra pour le rayonnement des arts au XIXe siècle.

    Exposition au musée du Luxembourg
    du 12 mars au 29 juin 2014
     
     
     

    Les films, les livres, les expos, les infos, les poèmes, les œuvres d’art  nourrissent ce blog mais aussi mes 13 livres en vente ici:

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  • J'ai lu hier: Paris Match

    Couverture magazine Paris Match

    Culture Match
    Tahar Rahim  Acteur radieux actif   
    Cinéma  Axelle Ropert et Juno Temple   
    La critique d’Alain Spira   
    Livres  Le regard de Valérie Trierweiler   
    La chronique de Gilles Martin-Chauffier   
    Hallgrimur Helgason : drôle de saga   
    Musique  Staff Benda Bilili : ça balance à Kinshasa !   
    Médias  Anne-Sophie Lapix : c’est à elle !   

    Les gens de Match

    Mélanie Thierry et Raphael  à la Mostra  
    Deauville, Venise Du soleil et des stars   
    Lady Gaga  Un nouveau look par jour   
    signébenoît   

    Match de la semaine

    Réformes quatre mois pour agir
    Sondage Le match de l’exécutif
    Economie Des syndicats manifestement divisés
    Data Les écoliers français travaillent-ils trop ?

    Reportages

    Syrie La France mène l’offensive
    Par François de Labarre
    Les experts à Damas
    Par Régis Le Sommier
    Catherine Deneuve veut se jeter dans l’amour
    Un entretien avec Dany Jucaud

    Les disparues de Perpignan
    De lourds secrets de famille
    Par Karen Isère

    Valérie Benguigui  
    Du rire aux larmes
    Par Catherine Schwaab

    Monaco  Tatiana et Andrea aux marches du palais
    De notre envoyée spéciale Pauline Delassus
    Don McCullin
    Profession : reporter de guerre
    Interview Romain Clergeat

    Evelyne Dhéliat
    Fin d’avis de tempête
    Interview Caroline Rochmann

    Bal des Debs Lauren va briller… par son intelligence
    De notre envoyée spéciale Elisabeth Sancey

    Portrait Teddy Riner
    Par Florence Saugue
     
    Match avenir

    Peter Lürssen  Le méga armateur   
    Vivre Match

    Jardins Le Nôtre en héritage   
    Mode  Vous avez dit ciré ?   
    Voyage  Et vogue la « french touch » !   
    Auto  Quatre places dans le vent   

    Votre argent

    Placements : miser sur les résidences étudiantes   

    Votre santé

    Tumeurs inopérables  Le CyberKnife, nouvelle arme thérapeutique   

    Match document

    Génétique « Le premier humain qui vivra mille ans est probablement déjà né »   

    Un jour une photo

    10 août 1941 Winston boude !   

    La vie parisienne d’Agathe Godard   

    Match le jour où

    Karine Le Marchand  Je débarque à Paris   

    http://www.parismatch.com/Services/Sommaire/3355

  • J'ai lu hier:Ahaé

    Fenêtre sur l'extraordinaire

     

     
    juillet 2013

    Photographe sud-coréen, né en 1941, Ahaé expose une journée, sa journée, soit près de 200 photographies…
    Depuis quelques années, Ahae passe sa vie devant sa fenêtre, à photographier entre 2000 et 4000 photos par jour. L’artiste donne ainsi la parole à la nature, et nous invite dans son univers quotidien, celui qu’il observe chaque jour depuis la fenêtre de son studio. La faune intrigue : des chevreuils des marais aux hérons gris. La flore captive. La nature bouleverse : des variations de lumière (des heures du jour et des mois qui passent) aux jeux de reflets sur l’étang. Ahae capte ses moments privilégiés grâce à des téléobjectifs numériques de pointe - des optiques allant de 16 à 1200 mm ; focale très rare, atteinte par un objectif existant seulement à 20 exemplaires. Aucune photographie n’est retouchée, comme le souhaite Ahae. Beaux arts éditions revient en détail sur la technique de l’artiste et sur les chefs-d’œuvre de l’exposition.
  • J'ai lu :BRAQUE AU GRAND PALAIS

    Dossier de l'Art  Hors-Série n° 23 - Septembre 2013

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    Dossier de l'Art Hors-Série n° 23

    N° 23 - Septembre 2013

     Il y a certains secrets, dans mon travail, que moi-même je ne comprends pas », disait Braque. La rétrospective présentée au Grand Palais donne à voir un art mystérieux et pudique, poétique et novateur. Brigitte Léal, commissaire de l’exposition et conservateur général du musée national d’Art moderne – Centre Pompidou, nous explique son rôle primordial dans l’invention du cubisme, puis sa volonté de le dépasser et d’aller toujours plus loin, dans la quête de sa vérité.

    Articles

    • Georges Braque : une révolution du regard
    • La parenthèse fauve : l’enthousiasme de la couleur
    • Le cubisme : l’invention d’un nouveau langage pictural
    • Grand Nu, 1907-1908
    • Papiers collés et autres matériaux : vers la peinture-objet
    • Les Figures : le perpétuel dans l’art
    • D’un médium l’autre : « Perdre l'habitude de peindre »
    • La nature morte : lieu expérimental
    • La Table ronde, 1929
    • Ateliers, intérieurs : l’univers poétisé du peintre
    • Une œuvre politique ?
    • Le Billard, 1944
    • Atelier IX, 1952-1958
    • Oiseaux et paysages : La tentation de l'espace
    • À tire d’aile, 1956-1961
    • Livres illustrés : l’ami des poètes
    • Georges Braque en quelques dates

    Numéro précédent : Dossier de l'Art n° 209 - Musées de Marseille
    Numéro suivant : Dossier de l'Art n° 211 - LE PRINTEMPS DE LA RENAISSANCE

    http://www.dossier-art.com/numero-23/braque-grand-palais.3849.php

  • J'ai lu :Paquebot France

    Le paquebot France réveille un monde disparu où l'on choisissait de rejoindre New York par la mer, en cinq jours, pour savourer un certain art de vivre à la française. Plus encore, il incarne les Trente Glorieuses, un pays tout entier et l'image prestigieuse que celui-ci voulait imposer au reste du monde. Le France fut donc un ambassadeur dont chacun s'est fait une idée, sans forcément l'avoir vu. Ancré dans la mémoire collective, il fait partie de notre patrimoine. Il faut aujourd'hui l'étudier comme une oeuvre globale, autant dans sa dimension de machine - et de palais - à traverser les océans que dans celle de témoin d'un temps révolu. L'éclectisme qui caractérise notre époque recevra, sans doute avec bonheur, ces décors colorés - bleu, turquoise, absinthe, orange -, ces tapisseries, ces photographies "glamour"...
     
  • Pour préparer mon séjour, j'ai lu

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    Je précise que cet article n'est pas de moi (lien vers la page citée et si possible son auteur)mais que je suis auteure(inspirée par ce que j’aime, donc par ce blog) et que vous pouvez commander mes livres en cliquant sur les 11 bannières de ce blog

  • Pour préparer mon séjour, j'ai lu:

    Pour une pratique immédiate de la langue :

    > 20 leçons qui présentent les structures de base de la langue avec des indications de grammaire et de prononciation, et des exercices:

    Je suis…, j’ai/je n’ai pas…, je voudrais…, il y a …, Combien ?, Où ? Pourquoi ?, Pouvez-vous ? etc.

    > Du vocabulaire et des phrases d’entraînement classés par thèmes :

    nourriture, vêtements, logement…

    http://livre.fnac.com/a4047196/Sylvie-Colin-Le-turc-tout-de-suite#ficheResume

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  • J'ai lu: ”Orientalistes. Peintres voyageurs”

    dulac5.jpgThe Rubaiyat of Omar Khayyam (1909)

    http://www.bpib.com/illustrat/dulac.htm

    Edmund Dulac, né Edmond Dulac, est un illustrateur français, naturalisé britannique. Il est connu pour avoir conçu des timbres-poste et illustré des livres de contes. Il est né le 22 octobre 1882 à Toulouse et est mort en 1953. Il avait émigré en 1904 au Royaume-Uni et pris la nationalité britannique.

    Il a étudié à l'École des Beaux-Arts de Toulouse où il reçoit plusieurs prix pour ses œuvres, et en même temps les deux premières années le droit. Alors qu'il a obtenu une bourse pour étudier à Paris, il part s'installer en 1904 à Londres. Là, il est embauché par Arthur Rackham pour illustrer les livres que cet imprimeur édite. Le succès est rapide et dure une grande partie de sa vie. Parmi les plus célèbres de ces livres illustrés : La Petite Sirène, Les Mille et une nuits.

    En 1937, le roi George VI et le Post Office choississent une effigie du roi dessinée et sculptée en bas-relief par Dulac pour les timbres d'usage courant britannique[1]. Décrivant le dessin, son biographe, Colin White, écrit que « Dulac a donné au roi les traits classiques d'un jeune héros grec ! »[2]

    Pendant la Seconde Guerre mondiale, fin 1940, Dulac est présenté au général de Gaulle à Londres. Il réalise alors les timbres des colonies ralliées à la France libre. Par la suite, de Gaulle lui demande de concevoir un timbre destiné à servir quand la France serait libérée : la Marianne de Dulac, dite aussi « de Londres », dont Dulac présente un projet à de Gaulle en 1942 et dont l’impression est confiée à l’imprimeur londonien De La Rue en 1943.

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Edmond_Dulac

  • J'ai lu ”Si dieu dort”

    259159916.JPG
    Auteur Mark Henshaw, John Clanchy, Brice Matthieussent (Traducteur)
    Paru le : 22/11/2007
    Editeur GALLIMARD
    Isbn : 978-2-07-030663-3 / Ean 13 : 9782070306633

     

    Collection FOLIO POLICIER
    Caractéristiques

    : 406 pages

     

    RESUME

     
    Le lieutenant Glass est incontestablement marqué, épris de justice, capable de passer en un instant du comportement le plus intraitable à une nonchalance proche du défaitisme.
    Un homme complexe, bardé de diplômes qui, quoique simple flic, bénéficie de la part de sa hiérarchie, étrangement prudente, d'une sorte de paix royale difficile à comprendre. Si son " taux de nettoyage " parle de lui-même, sa vie reste une énigme. Une série de meurtres visant des récidivistes dangereux, des violeurs et autres tueurs d'enfants tout juste libérés après des peines dérisoires entraîne le lieutenant sur la piste d'un " régulateur " : un tueur anonyme, méthodique et froid, qui semble rendre une justice que les hommes n'appliquent plus.
    Un juge est abattu. La loi du talion se déchaîne. Œil pour œil, dent pour dent... Glass comprend. Son passé l'y oblige mais son éthique le réprouve. Il est flic. La loi condamne et protège normalement des monstres. Il ne peut fermer les yeux...
    Autres livres du même auteur :
    Si Dieu dortSi Dieu dort
    Hors de la ligne de feuHors de la ligne de feu
    Tous les livres de Mark HenshawTous les livres de Mark Henshaw

    Si Dieu dortSi Dieu dort
    Tous les livres de John ClanchyTous les livres de John Clanchy

    Les dépossédésLes dépossédés
    Les dépossédésLes dépossédés
    Si Dieu dortSi Dieu dort
    Tous les livres de Brice MatthieussentTous les livres de Brice Matthieussent

     
     

    BIOGRAPHIE de Mark Henshaw

     
    Mark Henshaw et John Clanchy sont australiens. Si Dieu dort est le premier volet des enquêtes du lieutenant Solomon Glass, un personnage hors des normes, d'une puissance rare.
    http://www.decitre.fr/livres/Si-Dieu-dort.aspx/9782070306633
  • J'ai lu:Rome secrète

    Rome secrète

    Figaro Hors-Série

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    Au cœur de la ville éternelle.

     

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    Présentation

    Michel de Jaeghere

    Michel de Jaeghere - Directeur de la rédaction du Figaro Hors-série

     

    Rien n’est tout à fait vrai dans les Promenades dans Rome. Stendhal les avait ouvertes en nous avisant qu’il s’était rendu six fois à Rome, et il n’y était allé que quatre. Il date son premier séjour de 1802, et il n’avait poussé, en 1801, que jusqu’à Florence ; il avait ensuite regagné la France sans s’aventurer plus au sud ; il ne visiterait Rome que dix ans plus tard, en 1811. Ce changement de date lui était, simplement, nécessaire pour raconter qu’alors suspect, comme français, aux autorités de la Rome pontificale (nos troupes y avaient proclamé, en 1798, la République et en avaient expulsé le pape Pie VI avant d’en être elles-mêmes chassées par les Bourbons de Naples), il y avait été continûment suivi par deux argousins auxquels il avait fini par donner amicalement du vin à boire, et qui lui avaient, par reconnaissance, baisé la main en le quittant.
    Il prétend avoir peint ses tableaux sur le motif, noté les conversations sur le vif, rédigé le récit de ses découvertes et de ses aventures le soir même de ses courses. Il avait écrit en réalité tout son livre à Paris : même les pages où il semble rapporter, heure par heure, les échos du conclave qui s’était conclu, au printemps 1829, sur l’élection de Pie VIII.


    Tout est faux, et pourtant, tout est plus vrai que nature : éclatant de couleurs et palpitant de vie. La Rome qu’il décrit superpose, entremêle, les antiquités, les musées et les champs de fouilles, les temples païens et les basiliques dédiées aux martyrs, les palais ruisselant de marbre et les catacombes éclairées à la bougie, les somptueuses liturgies pontificales et les chefs-d’œuvre de la Renaissance, les jeux de l’amour et de la mort de l’histoire et de la légende, et les crimes passionnels du bout de la rue. On y entend le cri des marchands de légumes et le chant des castrats de la chapelle Sixtine ; on pénètre dans quelques-uns des palais construits par les familles des cardinaux-neveux des souverains pontifes ; on y rencontre des prélats à l’ambition féroce et au goût exquis ; on se raconte, entre deux sorbets, l’histoire de crimes spectaculaires et de complots subtils. On visite l’atelier de Canova, on berce ses soirées avec les délicieux récitatifs des cantatrices. On flâne dans une ville dont la réunion de splendeurs, palais, jardins, églises, peintures, sculptures, a fait une œuvre d’art à part entière, une polyphonie créatrice. On retrouve, d’un monument à l’autre, Michel-Ange, Raphaël, Caravage comme de vieux amis. On s’irrite de voir décliner leur art sous le pinceau de leurs disciples. On mesure la soif de pouvoir sans limite de quelques hommes d’Eglise, en même temps que la vigueur, l’énergie d’un peuple qui n’a rien perdu de sa grandeur et de son caractère en perdant la puissance qu’ils lui avaient value.


    Si Stendhal s’impose comme le meilleur des cicérones à qui veut sortir, à Rome, des sentiers battus, délaisser, un instant, les grandes basiliques et les ruines majestueuses de l’Antiquité classique pour entendre battre le cœur de la ville dans ses rues étroites, entre les falaises multicolores de ses façades, dans le bruissement de ses fontaines, le parfum de ses lauriers, le secret de ses cloîtres ; à qui prétend prendre le frais sur des places agencées comme un ravissant décor de théâtre, explorer des cours ignorées où sèchent de grands draps, et où des fleurs sauvages poussent dans des sarcophages antiques ou jouir de la lumière divine du crépuscule depuis une loggia, un belvédère sur le Tibre, c’est aussi qu’il est le plus nonchalant d’entre les compagnons de voyage, qu’il s’autorise toutes les digressions, tous les caprices. Les visites, avec lui, n’ont rien d’une corvée qu’on exécute pour être en règle avec la bienséance, échapper à l’accusation d’avoir séché une collection de bustes, oublié une galerie de peinture, négligé l’un ou l’autre des chefs-d’œuvre dissimulés dans les replis de chapelles alignées le long des nefs des églises comme autant de boutiques obscures. Elles ont tout de la promenade printanière, elles participent d’une chasse au bonheur placée tout entière sous le signe de l’égotisme.


    Il nous offre, avec son livre, un cadeau d’un luxe absolu, inaccessible : la liberté de passer avec lui de longues journées dans Rome sans autre propos que de faire le tour indéfini de toutes les beautés qu’y ont accumulées les siècles en les mariant comme une succession de couches archéologiques. Qu’il nous emmène dans des églises qui abritent de lourds tombeaux de pierre d’où les morts ressuscitent à grands renforts de mouvements de marbre, ou nous convie à nous allonger sur le sol pour jouir dans toute son étendue de la beauté d’un plafond peint à fresque, nous invite à écouter au Colisée le chant des rossignols ou nous entraîne dans les ruines fumantes de Saint-Paul-hors-les-Murs au lendemain de l’incendie de la basilique, il est mieux qu’un accompagnateur vétilleux : un initiateur, un modèle. Il nous enseigne qu’à l’image de l’amour, la beauté des choses a besoin de temps et de détours pour s’offrir dans sa plénitude. Suivons ce guide.