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Le réseau est planifié et mis en service par étapes à partir des années 1990. La première ligne ouvre durant l'été 2000. Elle est ensuite complétée par la ligne 2 ouverte en , puis simultanément par les lignes 3 et 4 mises en service en . En 2017, le réseau comporte quatre lignes, pour une longueur de 60,5 km.
Le développement du réseau se poursuit : le prolongement de la ligne 1 vers la nouvelle gare TGV de Montpellier, des prolongements de la ligne 3 vers l'aéroport et la mer et enfin la réalisation d'une cinquième ligne de tramway reliant le nord-ouest au sud-ouest de la métropole sont à l'étude.
en vidéo ! La statue symbolique partie le mois dernier à Shanghaï pour l'Exposition universelle est de retour sur son rocher de la capitale danoise grâce à une installation de l'artiste chinois Ai Weiwei. Celle-ci a été inaugurée samedi 1er mai en synchronisation avec l'ouverture officielle de l'exposition de Shanghaï.
Un bar dans un tramway Siroter un cocktail dans un tramway est désormais possible, du moins à Helsinki ! Le seul tramway au monde faisant également office de bar se trouvedans la capitale finlandaise.Le Sparakoff circulerajusqu'à fin aoûtau gré des principaux centres d'intérêt touristiques de la ville. Il peut accueillir jusqu'à 30 passagers du mardi au samedi.
Saint-Etienne : les nouvelles rames du tramway (avec wifi) circulent
Par Acteurs de l'économie | | 158 motsLe nouveau tramway stéphanois a été inaugurée ce mercredi après-midi en présence des élus de Saint-Etienne Métropole, du département, et de la STAS.
Les grandes manœuvres autour du tramway stéphanois se poursuivent. Ce mercredi 3 mai, les quatre premières rames d'une nouvelle génération de tramways ont été mises en service. Au total, la commande d'un montant d'environ 42 millions d'euros HT, remportée par l'espagnol CAF, concerne 16 nouvelles rames bi-directionnelles. Les productions sont réalisées cependant dans les ateliers français de CAF dans les Hautes-Pyrénées. Ces nouvelles rames mesurent 33 m de long, et sont dotées d'une connexion wifi.
Cette commande s'inscrit dans le cadre du renouvellement du parc, opéré par l'exploitant, la Stas (groupe Transdev).
Le réseau, en service depuis 1881 - ce qui en fait le plus ancien français - sera bientôt étendu. Gaël Perdriau (LR), président de la communauté d'agglomération de Saint-Etienne, a lancé la construction d'une troisième ligne de tram de 4,3 km qui devrait être opérationnelle en 2019. L'investissement se chiffre à 74,5 millions d'euros.
À l’écart de l’agitation du centre-ville, le 5e arrondissement s’apprête à vivre une petite révolution. D’ici 2032, le TEOL, tramway express semi-enterré, va décloisonner les quartiers les plus isolés du territoire tandis que d’autres projets engagés devraient changer le visage de ce secteur aux multiples facettes. Mais les inquiétudes et les rancœurs sont déjà bel et bien là.
Description 5 répliques à l'échelle 1 colorées en vert, jaune, beige, marron et bleu, de statues en pierre calcaire détériorées provenant du parc du château Bonnier de la Mosson à Montpellier.
Date
2000
Nature
pérenne
Procédure
Commande publique
Domaine(s)
sculpture, sculpture monumentale
Couleurs
rouge, bleu, vert, jaune
Matériaux
fibre de verre, marbre, polyester, résine, silicone
Précision sur les matériaux
silicone rigidifié par un stratifié en résine polyester, gel-coat coloré et fibre de verre, recouvert d'une coulée de marbre de carrare mélangé à de l'époxy, poli pour donner un aspect brillant
L’aménagement portera dans un premier temps sur la partie Ouest, le long de la plateforme de tramway et face à la nouvelle entrée du centre commercial dont l’ouverture est annoncée pour fin 2020. Le mail sera élargit à une largeur de 12 mètres, grâce à la création d’ouvrage en porte-à-faux le long des voies de tramway. Agréable et ombragé, il sera agrémenté de mobilier pour s’asseoir et de 14 arbres : ginkgos, féviers, poiriers et cèdres. Un escalier métallique sera créé pour accéder à la dalle (niveau N+1) et un nouvel éclairage public sera installé pour le confort nocturne.
Le mail sera prolongé à l’intérieur du centre commercial grâce à l’aménagement par Unibail-Rodamco-Westfield d’un passage Servient permettant de traverser le centre commercial juqu’au parvis de la bibliothèque.
Ce n’est pas rien comme chantier. Au total, 1,6 km de rails vieillissants seront remplacés cet été sur la ligne 1 du tramway, dans le secteur de Bergson. Conséquence, du 27 juin au 26 août, le bus remplace le tramway entre la Cité du design et l’hôpital Nord. Autre perturbation liée au chantier : le tram 2 ne circulera pas.
Par C.GIL - 21 juin 2022 à 19:09 | mis à jour le 22 juin 2022 à 12:30 - Temps de lecture : 2 min
La nouvelle ne va pas forcément faire plaisir aux usagers des tramways de l’agglomération stéphanoise. À partir du lundi 27 juin et jusqu’au 26 août, des travaux lourds vont être engagés sur la ligne historique du tram, celle qui conduit les voyageurs de l’hôpital Nord à Solaure.
Durant ces deux mois, des bus de remplacement emprunteront le même itinéraire que les tramways en desservant les arrêts situés sur la voie de circulation générale.
Onze stations (hôpital Nord, parc Champirol, lycée Simone-Weil, Cité de l’agriculture, Musée d’art moderne, Terrasse, quartier Grouchy, Roger-Rocher, rue Barra, Chaléassière et Cité du design) sont concernées par ce chantier, mené par Saint-Étienne Métropole.
Une rénovation qui s’élève à 3,3 millions d’€ HT
Un chantier qui vise, dans le cadre de l’entretien du patrimoine des transports urbains de l’agglomération, à renouveler 1,6 km de rails sur le secteur de Bergson. Cette infrastructure, qui repose sur des bastaings bois, datant de la mise en exploitation du tram, il y a 140 ans, présentait des signes d’usure importants. Ils devaient être impérativement remplacés.
Le coût total de cette lourde rénovation s’élève à 3,3 millions d’€ HT, financé par Métropole. Ces travaux bénéficient de subventions issues des Plans de Relance État et Département de la Loire, respectivement pour des montants de 450 000 € HT et 165 000 € HT.
Même si la desserte en tram sera maintenue à 80 % pour les usagers, ces travaux auront des répercussions sur les autres lignes. Ainsi, le tram T1 circulera de Solaure à la Cité du design. Le bus de substitution (T1B) assurera le transport des voyageurs de la Cité du Design à l’hôpital Nord. En revanche, le tram T2 (Chateaucreux-Cité du design) ne circulera pas et sera remplacé par les lignes T1 et T3.
faire des anagrammes avec 5 lettres minimum – pas utile de faire beaucoup de mots 5 ou 6 sont largement suffisant pour un texte passionnant.
Vous faites un texte avec les mots
cerise sur la gâteau un texte en rapport avec le mot mystère
11 lettres oui oui pour ce nom masculin
définition : Qui n’a pas rêvé d’avoir des bras plus longs ou plus courts ? Il existe un outil sorte de bras articulé réglable plus ou moins long qui permet de reproduire des dessins à l’échelle.
A A E O P P G R H T N
A vos dicos
Vous le savez déjà je vais faire un séjour à Besançon, vous aurez donc une semaine de plus pour vous « énerver » sur vos dicos en me maudissant d’aller chercher des mots bien compliqués.
De même je ne pourrai mettre les liens, mais je sais que vous vous connaissez tous.
J’ai choisi de m’installer à Saint-Etienne il y a onze ans à cause de son formidable réseau de transports en commun car je savais que je n’aimais pas conduire et que si je me retrouvais seule, je pourrais me déplacer presque partout et presque facilement . Le tramway et quelques lignes de bus(parmi de nombreuses lignes) fonctionnent grâce à un pantographe. J’avais découvert ce dispositif lors de mon précédent séjour à Saint-Etienne. De notre appartement, nous entendions la sonnette de la ligne de trolley qui passait par là. Mon mari m’avait expliqué le fonctionnement du pantographe. Pour les curieux de trolley, tram (et autres transports en commun) que nous étions Saint-Etienne est intéressante car la ville est « est pionnière du tramway moderne français » Contrairement à beaucoup de villes(sauf Marseille je crois), elle a toujours gardé son tramway. Saint-Étienne est aussi précurseur en matière de train ce qui nous ramène aussi au pantographe. Ce pantographe est un phare qui hante l’orage de ses éclairs. C’est une porte vers des agapes culturelles que procure cette ville. A cause des pantographes
La seule exposition consacrée à un réseau secondaire en France : histoire du réseau en cartes postales et photos anciennes, 2 autorail De Dion Bouton (1 monument historique), 1 locomotive à vapeur 1928. Promenade à bord de matériel restauré sur le site de la baie de St Brieuc (15 mn), découverte du parc avec le tramway...Une sortie en famille, les plus jeunes adorent !
CENTRE CHORÉGRAPHIQUE, MONTPELLIER DANSE, COUVENT DES URSULINES L’Agora, Cité internationale de la Danse, dédiée à la création et à la diffusion, fait d’échanges et de rencontres entre le public et les artistes, inscrit Montpellier comme capitale de la danse.
Au-delà de sa renommée artistique, l’Agora, sublime édifice classé depuis 1991 à l’inventaire des monuments historiques est un lieu chargé d’histoire : tour à tour couvent, prison de femmes, caserne militaire.... Aujourd’hui, le cœur de l’Agora bat au rythme du festival de Montpellier Danse.
De l ancienne usine de tramway à Pau à la chocolaterie Menier à Noisiel, de l Airbus Visite à Toulouse Blagnac au palais Bénédictine à Fécamp, la France est riche d un patrimoine industriel connu ou moins connu, en activité ou reconverti. Vous serez surpris par l incroyable variété des sites, des architectures, des savoir-faire. Certains, comme la fameuse saline royale d Arc-et-Senans et le Bassin minier du Nord et du Pas de Calais, bénéficient d un classement au Patrimoine mondial de l Unesco. Cette sélection de plus de 200 sites (147 ensembles) s appuie sur l expertise du Guide Vert Michelin qui, depuis 1926, vous guide de site en site grâce à ses étoiles. Bonnes visites !
Seule ville française à avoir toujours conservé une ligne de tramway dans l'hypercentre, Saint-Etienne se devait de posséder un musée des transports urbains.
En effet, le tramway garde une place toute particulière dans le coeur des stéphanois. Le musée, d'une superficie de 1200m², rend hommage aux salariés de la CFVE et de la STAS, qui ont consacré une grande partie de leur vie à construire, jour après jour, les transports urbains que nous utilisons aujourd'hui.
Inauguré le 18 Juin 1993, ce musée retrace plus de 120 ans de savoir-faire aux services de plusieurs générations d'habitants.
Visite :
Tous les mercredis de 14h à 17h. Des visites peuvent avoir lieu d'autres jours, la demande en sera faite par mail à l'association qui gère le musée.
Des sépultures, au cœur des vestiges du premier couvent des Carmes de Montpellier établi extra-muros, ont été notamment mises au jour (Photo Montpellier Agglomération)
La Ville de Montpellier est le témoin, depuis mi-juillet, de fouilles préventives sur le chantier du bouclage de la ligne 4 du tramway.
Prescrites par le Service régional de l'Archéologie et financées à hauteur de 300 000 EUR par l'agglomération de Montpellier, ces fouilles, menées autour de la place Albert Ier, ont permis de mettre au jour une partie de l'enceinte défensive de la ville datant du XIIIe siècle et de dégager le couvent des Carmes installé à cet endroit entre le XIIIe et le XVIe siècle. L'enceinte, appelée alors la « Commune clôture », fut construite au XIIIe siècle pour intégrer, dans la ville, les populations alors installées dans les faubourgs. Les fouilles préventives menées par l'Inrap ont dégagé deux murs de part et d'autre d'un fossé ainsi que les restes d'un pont auprès duquel ont été découvertes des sépultures. Le couvent des Carmes, fondé selon la légende par Jacques Ier d'Aragon au milieu du XIIIe siècle, accueillait un ordre mendiant, héritier des ermites du Mont-Carmel de Palestine. Rasé en 1361, le couvent fut reconstruit en 1368 puis de nouveau détruit en 1562 après son saccage par les protestants pendant les guerres de religion. Conformément aux sources historiques, les archéologues ont déjà trouvé d'importants vestiges lapidaires ainsi que des sépultures. Les travaux d'infrastructures du tramway débuteront à la fin des fouilles en octobre pour une mise en service au 1er semestre 2016.
Si Paris a trente ponts en 1939, Lyon en a vingt-huit. Toutes proportions gardées, le rôle des ponts est donc encore plus important dans la vie lyonnaise que dans la vie parisienne et cette prééminence résulte non pas seulement de la différence des populations, mais de la répartition géographique des activités qui, à Lyon, se trouvent presque exclusivement concentrées entre Rhône et Saône. Or, au lendemain de la libération, si Paris a pu retrouver tous ses ponts, Lyon n'en a retrouvé que deux ; encore parmi ceux-ci comptait-on une légère passerelle pour piétons, la passerelle Saint-Vincent, et ces deux ouvrages, de surcroît, enjambaient-ils la Saône et non le Rhône. Les deux fractions les plus peuplées de la ville étaient donc séparées par le fleuve le plus large. Que l'on veuille bien se représenter cette situation pour une agglomération de plus de 800.000 âmes, et l'on saisira l'ampleur du problème qui s'est posé aux services des Ponts et Chaussées au matin du 3 septembre 1944. Les ponts coupés, c'était non seulement la rupture des communications pour les piétons comme pour les voitures, les chemins de fer et les tramways, mais c'était encore la rupture des innombrables canalisations d'eau, de gaz, d'électricité, la coupure des lignes téléphoniques qui empruntaient leur plateforme. Dans les premières heures de la matinée du dimanche 3 septembre 1944, un passage de fortune put être édifié sur l'un des arcs du pont Wilson qui n'avait été qu'endommagé, malgré quatre tentatives de destruction ; quelques Jeep purent ainsi passer d'une rive à l'autre. Le lendemain, un "Baily bridge" de 30 mètres de longueur pouvait être lancé en 24 heures par le Génie américain sur l'arche effondrée du vieux pont de la Guillotière et permettait le passage des véhicules de 30 tonnes suivant un sens unique. Le 12 septembre, un trafic routier était établi provisoirement sur le viaduc de Perrache pour tous véhicules. Le 16, une passerelle pour piétons de 4 mètres de largeur était établie sur le pont Wilson au-dessus de la passerelle de fortune édifiée le 3 septembre. Le 23 du mois, un deuxième "Baily bridge" était mis en place sur le pont de la Guillotière permettant dès lors le passage des véhicules de 30 tonnes, dans les deux sens. Le 24 septembre, une passerelle pour piétons de 2 mètres de largeur était lancée sur l'arc central détruit du pont Lafayette ; elle devait être doublée par une deuxième passerelle semblable le 3 octobre. Le 7 octobre, des rampes d'accès au viaduc de Perrache permettaient aux piétons de traverser le Rhône. Le 8 octobre, une passerelle était lancée sur l'arc effondré du pont de l'Université et permettait le passage des véhicules de 10 tonnes dans les deux sens. Le 9 octobre, le pont de Serin était remis en service pour les voitures et les tramways. Le 10 octobre, une rampe d'accès au viaduc de la Quarantaine permettait le passage des piétons au-dessus de la Saône. Le 15 octobre, une passerelle pour piétons de 4 mètres de largeur était établie au pont Morand. Le 1er novembre, la passerelle suspendue Saint-Georges était rétablie. Le 26 novembre, l'arche effondrée du pont de la Guillotière était complètement remise en état, et le pont suspendu de Vaïsse - sur l'emplacement approximatif de l'actuel pont de Lattre-de-Tassigny (détruit en 1952) - à nouveau ouvert à la circulation. Le 3 décembre, le pont du Change, après remise en état de ses deux voûtes, était rétabli pour voitures toutes charges et tramways. Le 13 décembre, une passerelle provisoire était jetée sur la brèche du pont de la Mulatière permettant le passage des voitures légères dans les deux sens. La reconstruction du pont du Palais et la construction d'un pont provisoire pour tramways, voitures et piétons à 50 mètres en amont du pont Morand retardés par les crues exceptionnelles de novembre et de décembre, furent achevés avant la fin du mois de janvier 1945. En outre, le pont de Givors et le pont de Condrieu ont été livrés à la circulation le 26 novembre 1944. En cinq jours la vie était donc rendue à la cité grâce à 5 passerelles pour piétons et un pont provisoire doublant celui de la Guillotière. Et en cinq mois, les circulations essentielles étaient rétablies : d'une part, le grand itinéraire d'armée Côte-d'Azur - Alsace assuré par le rétablissement en dur des deux ponts de pierre sur le Rhône et la Saône (Guillotière et Change), et d'autre part, le franchissement civil du Rhône assuré par un grand pont provisoire en amont du pont Morand réservé à la circulation routière urbaine et aux tramways.
Le port de Tanger-ville, qui se transforme en un port de plaisance, s’est «débarrassé» de ses unités industrielles. En effet et comme prévu, les industriels viennent de déménager vers leurs nouveaux locaux majoritairement construits à Tanger Free Zone (TFZ). Cette opération intervient en application de la convention de délocalisation signée en février 2011, avec la Société d’aménagement du port de Tanger (SAPT). La convention qui avait privé les industriels des exonérations fiscales depuis mars 2014, stipule que leurs usines seront démolies et intégrées au futur port de plaisance. Une opération qui a bel et bien démarré. En effet, les travaux de démolition sont en cours. Aujourd’hui près de 100.000 m² ont été récupérés et il est prévu que le chantier prenne fin vers le début du mois prochain, explique Driss Benabad, directeur de projet en charge des installations terrestres au sein de la SAPT.
Casablanca, la gouvernance plombe le plan de développement
Il est de notoriété publique que les maux de Casablanca sont nombreux. Sa gestion administrative locale en est un. «La ville dispose d’au mois 15.000 fonctionnaires, mais leur organisation laisse à désirer. Il faut une rationalisation de cette gestion administrative locale. Il faut un travail sur les ressources humaines», note Khalid Safir, wali du grand Casablanca. Safir animait une conférence sur le plan de développement 2015-2020 de Casablanca, organisée par l’Association des lauréats du groupe ISCAE. L’une des pistes pour améliorer la gouvernance consisterait, selon le wali, à organiser des programmes de départ volontaire. Bien évidemment, il faudrait aussi procéder à des recrutements de profils plus adaptés aux nouvelles missions de la ville. Pis encore, la wilaya et la commune n’ont pas d’organigramme, ce qui témoigne de la situation de l’administration locale, souvent critiquée.
Casablanca/tramway : Bientôt la deuxième ligne
C’est parti pour le projet de la deuxième ligne de tramway. La première tranche des travaux de cette deuxième ligne, qui va relier le quartier de Aïn Sebâa à Derb Sultan Al Fida, sera lancée d’ici deux mois, selon Hassan Benomar, président de l’arrondissement de Aïn Sebâa. De fait, le tracé de cette nouvelle ligne est bouclé et les responsables sont en train de peaufiner le projet, notamment au niveau du zoo, site qui sera sur le trajet du tramway. Une doléance des autorités locales pour donner un nouvel élan au jardin zoologique qui, signalons-le, bénéficiera aussi d'un programme de réhabilitation. Ainsi, dans huit semaines, les premiers coups de pioche vont être donnés à Aïn Sebâa.
27/01/2015 15:42
Ne quittez pas ce blog sans commander mon livre sur le Maroc en passant par la bannière sur ce blog
Casablanca et d’autres villes du royaume coulent sous les premières pluies
Quelques heures seulement d’averses auront suffi pour que certains quartiers de la métropole se retrouvent partiellement inondées. C’est le cas également de Rabat et de Tétouan. Dans la capitale économique, les averses de ce matin ont causés des inondations à la gare routière de Oulad Ziane, ainsi que dans plusieurs quartiers, le centre ville n’a pas été épargné. Le même scénario se répète chaque année, les différents dégâts causés par les intempéries montrent clairement des anomalies au niveau des infrastructures, pas assez solides pour gérer ce genre de phénomène. Sur les réseaux sociaux, les marocains se sont indignés et dénoncent la situation en postant des images et des vidéos montrant la gestion aléatoire des habitants pour éviter que les inondations soient plus graves. Au niveau de Rabat et Casablanca, les tramway des deux villes en ont fait les frais et ont vu leurs rails submerger d’eaux. Les gens n’ont eu d’autres choix que de retrousser leurs jellabas, pantalons et blouses pour les étudiants pour tenter tant bien que mal de marcher dans la rue au moment des averses. Qu'en pensez-vous?
Cet accident mortel ce vendredi soir vers 19h à Saint-Etienne, dans le quartier Bergson. Un homme âgée de 88 ans s’est fait percuté par un tram, à hauteur du supermarché Casino. Ce dernier s’est retrouvé coincé en-dessous. La victime était en arrêt cardio respiratoire. Malgré l’intervention des pompiers et du SAMU, l’homme est décédé sur place.
Circulation interrompue
Le conducteur du tram quant à lui, fortement choqué, à été pris en charge par les secours. La circulation des tramways a également été interrompue pendant plus d’ 1h30.