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Rechercher : cheveux

  • Etienne Daho:Le grand sommeil

    daho 2.jpgLe clip:

    http://fr.youtube.com/watch?v=jmVLpJ_7m2A

    Les paroles ci-dessous:

     

    Je ne peux plus me réveiller, rien à faire
    Sans moi le monde peut bien tourner à l'envers
    Engourdi par le sommeil et prisonnier de mon lit
    J'aimerais que cette nuit dure toute la vie
    En partant tu m'as mis le coeur à l'envers
    Sans toi la vie est devenue un enfer
    Entortillé dans mes draps je crois me souvenir de toi
    Lorsque tu disais tout bas que tu n'aimais que moi
    Tout ce qui se passe au dehors m'indiffère
    Que le monde saute ce n'est pas mon affaire
    Dans ces draps bleus traîne encore l'odeur de tes cheveux
    Ce bleu infiniment bleu que j'trouvais dans tes yeux
    Lorsque je rêve tu es tout près de moi
    C'est la seule façon de rester avec toi
    C'est la raison pour laquelle je n'veux plus quitter mon lit
    Pour qu'enfin toutes les nuits durent toute la vie.

  • Colette et les siennes - biographie

    Dominique Bona - Colette et les siennes - biographie.

    Août 1914, il n'y a plus d'hommes à Paris. Les femmes s'organisent. Dans une jolie maison, à l'orée du bois de Boulogne, Colette, la romancière, la journaliste célèbre, fait venir ses amies les plus proches. Toutes appartiennent au monde de la littérature et du spectacle. Il y a Marguerite Moreno, la comédienne. Annie de Pène, la chroniqueuse et « presque sour ». Musidora dite Musi, bientôt la première vamp du cinéma.Ces quatre femmes libres s'inventent une vie tendre, pleine de rêves et de douceur : les cheveux courts et sans corsets, elles n'oublient pas le ciel de Paris où passent les dirigeables, ni leur travail, ni les hommes.
    Elles vont vers l'être aimé, quel qu'il soit. Au cour de l'histoire, sanglante et sauvage, elles affirment leur personnalité, leur tendresse et leur insoumission. Avec sensualité et talent, Dominique Bona raconte les passions de ces femmes libres, qui resteront amies jusqu'à la mort.

    http://www.decitre.fr/ebooks/colette-et-les-siennes-biographie-9782246812869_9782246812869_9.html

  • Douce nuit(pour le Jeudi poésie des Croqueurs)

    Papa Noël en poésieDouce nuit, blanche nuit,
    C'est Noël aujourd'hui
    Et pendant que tes clochers joyeux
    Carillonnent à la voûte des cieux,
    Sous le toit des chaumières
    On a le cœur bien heureux.


    Read more at http://www.mon-poeme.fr/poesies-poemes-noel/#GLYVm2bs0oabWWjK.99

    C'est si joli un sapin vert
    Qui sourit les bras couverts
    De lumières et de cheveux d'argent,
    Près du feu qui s'éteint doucement,
    Il apporta tant de joies, Lui,
    Le soir où il descendit.

    Douce nuit, blanche nuit,
    C'est Noël aujourd'hui,
    Lui, dans le froid et le vent,
    Attendu depuis la nuit des temps,
    Pour nous donner en rêve
    Un peu de son paradis.
    À Noël.

    Tino Rossi
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  • J'ai arrêté car ça ne me plaisait pas:La contrée finale / James Crumley(médiathèque rayon nouveautés)

    La contrée finale par Crumley

    «Une course après l'argent et la vengeance m'avait amené au Texas, et une femme, Betty Porterfield, m'y avait fait rester.» Mais Milo, désormais propriétaire d'un bar et de quelques cheveux blancs, demeure un incorrigible agité, incapable de se contenter d'une vie prévisible. De toute façon, un homme marié cinq fois ne peut pas être un modèle de stabilité. Milo reprend donc une licence de détective privé et, très vite, est témoin du meurtre d'une ordure notoire. Au lieu de se mêler de ses affaires, il décide de retrouver avant tout le monde l'assassin, lui-même fort peu recommandable, pour lui épargner une mort certaine. Bien sûr, Milo se doute qu'il va au-devant d'énormément d'ennuis, mais en fait, il aime bien ça, et quand on a un grand coeur... Pour sa dernière enquête, l'inoubliable Milo Milodragovitch s'embarque dans une aventure tortueuse jalonnée de drogue, d'alcool et de femmes fatales, qui le ramène jusque dans le Montana.

    https://mediatheques.saint-etienne.fr/Default/doc/SYRACUSE/3159384/la-contree-finale-james-crumley

  • Amoureux fous

    Deviner le jour qui se lève
    Sentir ton regard sur moi
    Toucher ton visage
    Respirer ta peau
    Et m'abandonner contre toi

    Déchiffrer tes yeux d'aquarelle
    Me glisser sous tes satins
    Embrasser tes lèvres
    Gémir dans ton cou
    Et nous sentir amoureux fous

    refrain:
    Amoureux fous
    Amoureux à en mourir
    A ne plus manger ne plus dormir
    Amoureux fous
    A n'plus savoir qui on est
    Ni le jour ni même le temps qu'il fait
    Amoureux comme nous amoureux fous

    Me rafraîchir de tes caresses
    Trouver tes chemins secrets
    Retenir nos souffles
    Mêler nos cheveux
    Et nous sentir plus amoureux

    refrain

    Qui n'a pas rêvé la nuit
    D'être au moins une fois dans sa vie
    Amoureux comme nous amoureux fous
    Amoureux comme nous amoureux fous


    Transcripteur : jacqueszarka

     

    Paroles en attente d'une autorisation des ayants droit.
    Nous nous engageons à en retirer l'affichage en cas de demande de leur part.

    https://www.bide-et-musique.com/song/912.html

  • Hier, chez la coiffeuse à laquelle j'ai offert un poème(ci-dessous) et prêté mes ”Paysages de Cannelle pour un de ses cl

    Tout ce que je vis , inspire ce que j'écris, à acheter ici

    CHANTAL

    C'une une coiffeuse amicale,

    Habile et artistique, pas banale.

    Avec ces  gestes et son sourire jovial,

    Nous retrouvons le moral.

    Tenace, elle a réussi, talent magistral,

    A me faire aimer mes cheveux, c’est génial !

    Louée soit ma coiffeuse, merci Chantal !

     

    Le 26/06/2023

     mes trois précédents visites:

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2022/11/12/chez-la-coiffeuse-la-semaine-derniere-voyez-la-diff-erence-a-6411406.html

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2023/02/15/chez-la-coiffeuse-cet-aprem-6428479.html

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2023/04/13/chez-la-coiffeuse-mardi-6438052.html20230630_161505.jpg20230630_161511.jpg20230630_161519.jpg20230630_161545.jpg20230630_161457.jpg20230630_161501.jpg

  • Mon poème inédit sur ce blog: Que ne ferait-on pas ?(il a mûri dans ma tête pendant 2 mois environ)

    Que ne ferait-on pas

    Pour une main dans sa main

    Des bras autour de soi

    Une main passée dans ses cheveux ?

    Mots durs

    Ordures

    Jetés à la figure

    D’un amour pur

     

    Que ne ferait-on pour toucher

    Une nuque,

    Une peau,

    Des lèvres aimées ?

     

    Retour de flammes

    De larmes

    De la femme

     

    Que ne ferait-on pas

    Pour un baiser profond

    Des gestes féconds

    Des caresses qui font

     

    Craquer

    Trembler

    Vibrer

     

    Se laisserait-on

    Insulter,

    Menacer ?

    Se renierait-on ?

     

    Pour un échange,

    Un regard tendre

    Un mot

    Une pensée vers soi

     

    Que ne ferait-on pas

    Pour un sentiment intense

    Qui mène la danse

    D’une âme errante ?

    20 septembre 2024

  • Les yeux de la femme

    Poète : François Coppée (1842-1908)

    Recueil : Les récits et les élégies (1878).

    L'Éden resplendissait dans sa beauté première.

    Ève, les yeux fermés encore à la lumière, 
    Venait d'être créée, et reposait, parmi 
    L'herbe en fleur, avec l'homme auprès d'elle endormi ; 
    Et, pour le mal futur qu'en enfer le Rebelle 
    Méditait, elle était merveilleusement belle. 
    Son visage très pur, dans ses cheveux noyé, 
    S'appuyait mollement sur son bras replié 
    Et montrant le duvet de son aisselle blanche ; 
    Et, du coude mignon à la robuste hanche, 
    Une ligne adorable, aux souples mouvements, 
    Descendait et glissait jusqu'à ses pieds charmants. 
    Le Créateur était fier de sa créature : 
    Sa puissance avait pris tout ce que la nature 
    Dans l'exquis et le beau lui donne et lui soumet, 
    Afin d'en embellir la femme qui dormait. 
    Il avait pris, pour mieux parfumer son haleine, 
    La brise qui passait sur les lys de la plaine ; 
    Pour faire palpiter ses seins jeunes et fiers, 
    Il avait pris le rythme harmonieux des mers ; 
    Elle parlait en songe, et pour ce doux murmure 
    Il avait pris les chants d'oiseaux sous la ramure ; 
    Et pour ses longs cheveux d'or fluide et vermeil 
    Il avait pris l'éclat des rayons du soleil ; 
    Et pour sa chair superbe il avait pris les roses.

    Mais Ève s'éveillait ; de ses paupières closes 
    Le dernier rêve allait s'enfuir, noir papillon, 
    Et sous ses cils baissés frémissait un rayon. 
    Alors, visible au fond du buisson tout en flamme, 
    Dieu voulut résumer les charmes de la femme 
    En un seul, mais qui fût le plus essentiel, 
    Et mit dans son regard tout l'infini du ciel.

    François Coppée.
     
  • Mon paysage de Cannelle inédit sur ce blog: Cannelle, un soir de réveillon pour le défi 277 des Croqueurs de mots

    Mon défi 277 pour les Croqueurs de mots

    jeudi 9: Après la chandeleur et 40 jours avant PAQUES, le 21 février, ce sera mardi gras. Je ne demanderais pas du religieux car j'ai lu que ce n'était pas votre truc.

     

     

    Parlez-moi d'une ville de Carnaval (Dunkerque, Limoux, Nice, Rio, Venise, etc.) ou d'une ville en carnaval ou en fête que vous l'ayez vécu, imaginée ou vu en tableau, en film.

     

    Lundi 13:Après le décor, décrivez un personnage masqué, déguisé ou simplement habillé différemment de d'habitude

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2023/02/07/mon-defi-277-pour-les-croqueurs-de-mots-6427059.html

    Photo de moi en

    Numérisation_20230213.jpg

    Cannelle, un soir de réveillon

    Les propriétaires du bar, en bas de chez Pierre, les avaient invité pour le réveillon qu'ils organisaient. Elle se souvient vaguement que Pierre ne pouvait pas venir. Pourquoi? Après les courts réveillons  en famille, elle voulait s'amuser.  Elle  avait passé plusieurs heures chez le coiffeur ce qui n'était pas son habitude car sa mère lui coupait les cheveux.  On   avait  fait une permanente sur ses cheveux qui lui arrivaient aux épaules. On avait ajouté des mèches claires. Elle renouvellerait la première expérience mais pas la deuxième: trop long... et cher.  Elle s'était aussi acheté une robe noire... sexy. Comment avait-elle convaincu sa mère? Pour une fois, elle avait mis des bas et des escarpins noirs.

    Participation de ZAZA-RAMBETTE;

    https://zazarambette.fr/defi-n-277-chez-les-croqueurs-de-mots/#comment-111450

    Martine Martin Cosquer.

    https://martinemartincosquer.over-blog.com/2023/02/abraham-ou-la-metamorphose.html?utm_source=_ob_email&utm_medium=_ob_notification&utm_campaign=_ob_pushmail

    Colette

    https://colettedc.wordpress.com/2023/02/12/pour-ce-lundi-13-fevrier-2023-tristesse-dissimulee/#comment-151187

    Jill bill/

    http://jill-bill.eklablog.com/mardi-gras-a-binche-a213779523#comments-anchor

    lesz Cabardouche 

    http://francois-marie.fr/

    Jazzy 57

    https://leboncotedeschosesbis.wordpress.com/2023/02/13/defi-des-croqueurs-de-mots/

     

  • J'ai commencé et ça a l'air très bien:Le Cricket Club des talibans (recommandé par ma libraire de travail)

    The Taliban Cricket Club]

    Trad. de l'anglais (Inde) par Josette Chicheportiche

    Collection Bibliothèque étrangère, Mercure de France
    Parution : 10-04-2014
  • Orson Welles et Rita Hayworth, une si belle illusion

     

    Parole malheureuse. À un maquilleur qui lui faisait remarquer que Rita Hayworth était en sueur sous les projecteurs, Orson Welles répliqua, royal: «Les animaux suent, les humains transpirent, Mme Hayworth irradie.» C'était sur le plateau de La Dame de Shanghaï . Le couple était déjà séparé depuis deux ans. Harry Cohn, le patron de la Columbia, ne décolérait pas. Qu'est-ce qui avait pris à Welles de décolorer sa vedette en blond platine, de lui couper les cheveux? Le nabab jura que c'était la dernière fois qu'il embauchait quelqu'un pour diriger un film et jouer dedans en même temps. Pourquoi? «Parce que je ne peux virer ni l'un ni l'autre!» Cohn avait même fait poser des micros dans les bureaux de Welles qui, facétieux, arrivait le matin en saluant son auditoire invisible et partait le soir en lui donnant rendez-vous pour le lendemain.

    http://www.lefigaro.fr/cinema/2013/08/13/03002-20130813ARTFIG00363-orson-welles-et-rita-hayworth-une-si-belle-illusion.php

  • Paloma Picasso porte une robe Chloé

    Home LIFESTYLE LifeStyle
      • Par François Simon
      • Mis à jourle 07/08/2013 à 18:59
      • Publiéle 07/08/2013 à 16:37

    Paloma Picasso a 24 ans. Dans son regard, un résumé des années 1970: le glamour, la gloire dynastique et cette morgue cinglante. L'érotisme rituel. Cheveux mouillés et plaqués, bouche brillante, mains puissantes (ô combien) sur la hanche. Comme son père, elle possède l'art de la pose. Paloma a dû être photographiée des milliers de fois. Elle ne surjoue même pas et délivre dans sa nudité ce mépris enthousiasmant. Il va de soi. «Une bêcheuse», réagit avec dépit cette éditrice internationale. «Nous étions ensemble à l'École alsacienne!» sursaute un créateur de mode alors que l'historien de la mode américain, Cameron Silver, s'étrangle presque d'admiration: «Quel chic, soupire-t-il dans les salons du Bristol, à Paris. Quel naturel! C'est l'icône, par excellence. Ce qui me frappe, c'est cette puissance athlétique, elle aurait pu faire la couverture du magazine Sports Illustrated

    http://www.lefigaro.fr/lifestyle/2013/08/07/30001-20130807ARTFIG00359-paloma-picasso-5juillet-1973-saint-tropez-porte-une-robe-chloe.php

  • Delphine Horvilleur, madame le rabbin

    Home MON FIGARO Mon Figaro
      • Par Anne Fulda
      • Mis à jourle 21/06/2013 à 17:15
      • Publiéle 20/06/2013 à 19:08

    Elle a un visage rieur et des yeux clairs. Le verbe précis et l'allure moderne d'une jeune femme active d'aujourd'hui. Qui jongle entre son travail et sa famille. Tentant de contenir l'un, contraignant et chronophage - «on doit être disponible le week-end et le soir» -, pour préserver l'autre. Vue de l'extérieur, et en dehors de ses cheveux bouclés qui font penser aux papillotes des juifs orthodoxes («Mais les miennes sont naturelles», s'amuse-t-elle), rien ne pourrait laisser croire que Delphine Horvilleur est rabbin. Elle le sait: sa «profession» suscite la curiosité des uns et la suspicion des autres. Certains la considèrent un peu comme «une bête de foire». Une espèce de pionnière, de Calamity Jane de synagogue qu'elle n'est pas. Il faut dire que son parcours peut laisser perplexe. La médecine, le mannequinat, le journalisme. Paris, Jérusalem, New York: on a connu des chemins plus directs pour arriver à Dieu.

    http://www.lefigaro.fr/mon-figaro/2013/06/20/10001-20130620ARTFIG00701-delphine-horvilleur-madame-le-rabbin.php

  • Gérard de Nerval:”Les Chimères”

    medium_chimeres.jpg

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Ce petit recueil accompagnait, en 1854, les Filles de feu.

    Ces douze sonnets sont parmi les plus mystérieux de toute la littérature française. De fait, Nerval a désiré fusionner ici ses expériences personnelles avec les préceptes de diverses doctrines ésotériques, comme si les événements qu'il vivait, comme si les amours qu'il éprouvait étaient tout autant de signes que le destin lui manifestait et qu'il se devait dès lors de couler dans la langue la plus magique et la plus hiératique qui soit.

    Depuis cent cinquante ans, les lecteurs s'interrogent donc devant ces courtes pièces, parmi les plus belles issues du romantisme français. De fait, la connaissance de la biographie de Nerval (cf. notamment les liens du poète avec Jenny Colon qui inspira Myrtho et dont les cheveux flamboyants expliquent quelques-unes des allusions au feu contenues dans le recueil); une connaissance aussi de la généalogie imaginaire du poète (cf. là-dessus les mentions à Lusignan et Biron contenues dans El Desdichado); celle de la Cabale et des mythologies égyptiennes et grecques, ne sont pas de trop pour permettre une compréhension ne serait-ce qu'approximative du recueil. Mais, étrangement, même l'intelligence imparfaite de ses vers n'empêchent pas les Chimères d'exercer une fascination véritable sur le lecteur, pour peu que celui-ci sache, à partir des intuitions de Nerval, imaginer des correspondances et des résonances nouvelles.

    http://poetes.com/nerval/chimeres.htm

    LES CHIMERES SONT LARGEMENT ETUDIES DANS MON MEMOIRE DE MAITRISE
  • Le miroir du plaisir(extrait)(interdit aux moins de 18 ans)/Thèmes croisés avec Ambroise:Le miroir

     couv paysages amoureux 2.jpgCannelle est seule.

    Brusquement, elle est excitée.

    Par quoi ? Par qui ?

     

    Le 19 novembre 2006.

    Ce texte  complet est lisible dans mon recueil "Paysages amoureux et érotiques" en vente en haut de ce blog.

    J'avais parlé de ce texte à certains d'entre vous.

    Le voilà.

    Il me trottait dans la tête depuis longtemps.

    Il est érotique mais il s'inscrit dans le cadre du théme croisé avec Ambroise: le miroir.

    Ce texte a été écrit après "Le miroir des parents"(http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2006/05/01/poeme-expose-parmi-d-autres-au-crepy-en-valois-des-livres-et.html)

    et avant "Le miroir de son regard"(http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2006/11/23/mon-poeme-inedit-sur-ce-blog-le-moiroir-de-son-regard.html) sur un thème proposé par un Ambroise(

    http://ambroise.hautetfort.com/archive/2006/11/23/histoire-de-regard.html)

     

     

     

    J'espère que mon texte et les articles vous inciteront à faire beaucoup de commentaires sur ce sujet trop tabou à mon goût.

     

    Je vous propose maintenant, "le miroir" délicieusement sensuel d'Ambroise:

     

    Lentement dans le silence le vent se lève,

    De ses rêves elle retient cette envie de sève

    Elle s'imagine, elle t'imagine devant ce miroir

    En quête de vous, en quête de joutes respiratoires.

    Elle peut sentir ta main dans ses cheveux

    Palper avec frénésie et désir langoureux

    Ton visage et son corps qui se reflètent dans ce miroir

    Elle imagine, un jour ce moment, tôt ou tard.

     

    http://ambroise.hautetfort.com/archive/2006/11/24/miroir-entre-nous-quelques-phrases.html

     

  • Christine/Cannelle et sa mère(extrait:ACHETEZ mes ”Paysages de CANNELLE pour lire la suite)

    Enfant, Cannelle a d’abord voulu être institutrice, comme beaucoup de petites filles, semble t -il. Une variante : puéricultrice, assez banal également dans la gent féminine des écoles maternelles et primaires. Pourtant, elle n’était pas très « poupées », « dînettes », « maîtresse » et autres jeux de fillette. Elle préférait les trains électriques, les « lego », « meccano », les billes. Bref, elle était ce qu’on appelle un « garçon manqué. » Cannelle n’était pas non plus très coquette et elle aurait eu du mal à l’être avec ses genoux toujours ornés de croûtes disgracieuses dues à de fréquentes chutes. Elle avait les cheveux courts et portait souvent des pantalons. On la prenait souvent pour un garçon. Choix personnel ou volonté maternelle ? Sa mère lui a raconté qu’elle ne réclamait pas tel ou tel vêtement comme l’a fait plus tard sa sœur et qu’elle l’habillait donc à son goût, en garçon. Pourquoi ? Peut-être sa mère voulait-elle un garçon…

    Pour lire la suite et d'autres textes de moi, cf. mes 14 livres en vente sur ce blog et ici:

    http://www.thebookedition.com/livres-laura-vanel-coytte-auteur-95.html

     

     

    Envoyé aux Impromptus la semaine dernière:

    http://impromptuslitteraires.blogspot.fr/search/label/Laura%20Vanel-Coytte

    Pour lire d'autres textes cf mes 14 livres en vente par les bannières sur ce blog

     

  • 34. Voyageà Paris 34. Vendredi 6 mars 2009. Brasserie Julien

    julienparis_endroit_photo_2.jpg

    L'enseigne date de 1924 et l'intérieur de 1903. La Belle Époque, madame.
    Pas de lignes droites, rien que des courbes. L'Art nouveau et ses jolies femmes.
    Une à chaque saison, peinte sur pâte de verre avec perles et bijoux, des fleurs plein les cheveux, le regard langoureux et la silhouette de Sarah Bernhardt.
    Signé Louis Trézel, d'après les dessins du grand Mucha.
    Voici un siècle que Paris dîne sous leurs yeux au sortir du Gymnase ou d'ailleurs.
    Sarah Bernhardt y vint, Jean-Paul Gaultier y va. Paris mondain. Paris malin.

     

    http://www.julienparis.com/endroit/

    J'ai démembré mes 35 notes sur ce voyage(ce qui leur fait perdre beaucoup de leur sens) pour remettre les non commentées en page d'accueil parce que:

    -  je sais que vous n'avez pas le temps de feuilleter mon blog(grâce au pager) ou de visiter la colonne de droite; j'ai bien compris que seule la première note en page d'accueil avait des chances d'être lue

    - c'était beaucoup de travail et que je ne me résignais à publier beaucoup d'autres notes alors que toutes celles-ci étaient encore "vierges"...

    -au lendemain des 3 ans de ce blog, faire enfin comprendre que ce blog est constitué de 2 parties.

    Certaines notes sont donc publiées deux fois dans l'ordre et dans le désordre.

  • Montmartre

    rue cortot.jpg

    Photo perso du Jeudi  5 mars 2009.  

    Sur une place, photos de Jean Marais issue de l'expo au Musée Montmartre (ci-dessous)

     

    La rue Cortot avec le musée Montmartre (http://www.museedemontmartre.fr/; je ne l'ai pas visité).

     Au numéro 12, c'est la plus vieille maison de Montmartre. Elle fut la propriété en 1680 de Claude de la Rose, dit Rosimont, comédien et interprète de Molière. Pour la petite histoire, il mourut également sur scène, en jouant «  le Malade imaginaire. » La demeure vit passer de nombreux personnages célèbres du 19ème siècle: Renoir en 1875 (il y peignit « Le moulin de la galette », « La balançoire » et « La sortie du conservatoire »), Gauguin, Van Gogh, Dufy, Poulbot, Léon Bloy.

    Valadon, Utrillo et son beau-père y vécurent aussi.

    Allez vite visiter ce musée qui est en danger.

    satie_valadon.jpg

    Au numéro 6, on trouve l'endroit où vécut le compositeur Erik Satie. Amoureux de la Butte, le compositeur y avait élu résidence et aimait flâner dans les différents cafés, où on jouait ses œuvres.

    Suzanne Valadon l'a représenté famélique, avec ses longs cheveux aile de corbeau, son lorgnon et son chapeau cabossé.

     

    Image :

    http://www.musicologie.org/Biographies/satie.html

     

    Photo de la rue Cortot Flick

     

    Récapitulatif du voyage de mars 2009 :

     

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/03/10/recapitulatif-de-mon-voyage-a-paris-du-4-au-6-mars-2009.html#comments

  • Je suis en train de lire: ”Taj” de Timeri N. MURARI

    792251153.jpgTaj Mahal. C'est le nom que l'on donne à ce fabuleux mausolée moghol de marbre blanc bâti pour l'amour d'une femme. Il fut construit par l'empereur Shah Jahan pour recevoir le corps de sa deuxième épouse, Mumtaz-i-Mahal, morte en couches en 1631. Son trépas brisa le coeur de l'Empereur dont les cheveux seraient devenus gris en une nuit. Ses extravagances architecturales précipitèrent sa chute : il fut déposé par son propre fils. Pendant vingt-deux ans, vingt mille hommes travaillèrent jour et nuit pour satisfaire le désir impérial. Ainsi se dressa pour l'éternité le Taj Mahal, mausolée de marbre blanc orné d'or, d'argent et de pierres précieuses incrustées dans le marbre. Voici restituée sous nos yeux la vie à la cour des Grands Moghols, celle des fêtes fastueuses, des harems et des jardins qui nous est racontée par les peintures et les miniatures indiennes. Voici aussi l'incroyable épopée de la construction de ce monument, tout aussi prodigieuse que l'amour qui l'a fait naître. Elle fait revivre les luttes de pouvoir, les conflits religieux, l'opulence des palais ainsi que le fidèle dévouement de ces artisans qui ont tissé l'histoire du Taj Mahal. http://www.evene.fr/livres/livre/timeri-n-murari-taj-28341.phpRoman traduit de l'anglais(Inde) par Pascal Debrock. Aux éditions Picquier poche.Grâce à Absolu/Cécile(cf.ma liste de liens) de la bibliothèque de Saint-Quentin. Merci à elle.C'est intéressant, romanesque, érotique, triste, poétique et beau.

  • RENCONTRES / CHAMBÉRY:Georges-Arthur Goldschmidt dans un paysage de mots

    Par Valérie Marin La Meslée

    arthurgoldsmithune.jpg

    Georges-Arthur Goldschmidt © Fondation Facim)

    C'est un très grand traducteur de l'allemand et écrivain de 80 ans qu'invitent, pour leur neuvième édition, les rencontres littéraires de la fondation Facim, en Haute-Savoie. "

    Un enfant aux cheveux gris", comme le nommait le recueil de conversations que Georges-Arthur Goldschmidt, c'est lui, a publié avec notre collaborateur disparu, François Dufay (éditions CNRS, 2008). Avec Goldschmidt, nous avons relu Kafka et Freud, Nietzsche et Benjamin, mais encore apprécié l'oeuvre de Peter Handke. Sur son rapport à la langue allemande, l'écrivain a écrit des textes autobiographiques tel Le Poing dans la bouche (Verdier, 2004). C'est sur cet itinéraire entre l'histoire et la langue qu'il revient dans Une langue pour abri , premier texte de la collection "paysages écrits", lancée par les organisateurs des rencontres. Il sera présenté à Chambéry, ainsi que le documentaire que lui a consacré le réalisateur Pierre Creton : Georges-Arthur Goldschmidt, le paysage pour témoin . Autour de l'invité d'honneur sont attendues notamment les romancières Assia Djebar et Pascale Roze...

    Les 4 et 5 décembre. Chambéry. Entrée libre. 04.79.60.58.96. 06 09 90 49 88. www.fondation-facim.fr
  • ”Polaire” de Marc Pautrel

    Le 5/6 L'attrape-livres

    L'attrape-livres

    par Colombe Schneck
    du lundi au vendredi à 5h44

    visuel L'attrape-livres
     
    l'émission du jeudi 24 janvier 2013

    Polaire de Marc Pautrel

     

    Il arrive qu'on tombe amoureux, de ce genre d’amour qui ne devrait pas vous faire tomber, mais au contraire vous élever, car la personne aimée est un ange du ciel.

    Le narrateur de ce court roman décrit une de leurs premières rencontres ; « elle est éblouissante, décoiffée, cheveux mouillés, regards bleus lumineux, la discussion que nous avons est merveilleuse, nous nous apprivoisons, nous rions, toutes les divinités nous écoutent ».

    Mais, il y a un Mais terrible que le narrateur ne veut pas voir et qu’il repousse. Elle, cet ange du ciel est dérangé, bi –polaire, soignée  à la HP.

    Dans une langue magnifique, où le mot magnifique revient  souvent pour ériger un mur en la folie et l’amour, Marc Pautrel a écrit un roman d’amour aussi lumineux que dérangeant.  Il écrit « elle me regarde, attend que je l’embrasse. Dieu est descendu pour moi. Il vient me dire que je suis sauvé. J’obtiens ce que j’ai toujours voulu, depuis ma venue au monde, enfance, adolescence, âge adulte, et les deux dernières années, depuis la première fois que je l’ai vue.

    « Polaire » est édité dans la collection L’Infini chez Gallimard

    http://www.franceinter.fr/emission-l-attrape-livres-polaire-de-marc-pautrel

  • ”Pas demain la veille” de Christophe Léon

    Pas demain la veilleLoulou-Antoine c’est un cocktail détonnant : de l’énergie à revendre, une lucidité à toute épreuve, une mauvaise humeur permanente et, pour clore le tout, une verve à la Zazie (celle du métro).
    Loulou-Antoine brandit son incapacité à la tendresse comme un étendard. Les bisous, la compassion, les pleurnichages, c’est pour les autres. Elle avance droit dans la vie, s’agace de la mièvrerie de sa mère et de l’incapacité de son père à faire les choses simplement, surtout depuis que ses parents sont séparés.
    Son seul vrai copain (mais le sait-il ?), c’est ce clochard qu’elle retrouve sur son banc le mercredi. Il pue, et Loulou-Antoine s’obstine à lui poser la question qui dérange, celle à laquelle il ne répond jamais : « Tu faisais quoi, avant d’être clochard ? »
    Avec ce caractère-là, elle ne va pas se laisser vaincre par une petite maladie de rien du tout, qui la fait tomber dans la rue, l’envoie à l’hôpital, lui fait perdre ses cheveux… Elle ne perd rien non plus de sa lucidité pour décrypter les embarras et circonvolutions des adultes face au cancer des enfants…

    http://www.editions-thierry-magnier.com/9782844205711-l-christophe-leon-pas-demain-la-veille.htm

  • Hier encore

    Semaine du 22 au 28 février 2016 - Encore

     
    Après toutes ces digressions sur les tics et les tacs et leurs intervalles, quelle histoire allez-vous nous conter en découvrant les deux photos suivantes ? 




     
    Que vous en choisissiez une seule, ou les deux, votre texte en prose ou en vers devra nous parvenir à l'adresse habituelle impromptuslitteraires[at]gmail.com d'ici dimanche 28 février au soir.
     
    http://impromptuslitteraires.blogspot.fr/

    Hier encore tu faisais le pitre avec ton visage qui se prêtait si bien aux grimaces.

    Hier encore, tu rendais service à tous sans penser qu’on pouvait t’exploiter parce que tu étais un bon garçon.

    Hier encore, tu travaillais comme un fou à droite et à gauche pour assurer l’avenir de ta famille.

    Hier encore, tu t’agaçais un peu après le plus jeune, différent, demandant tant d’attention mais si attendrissant que tu lui ébouriffais finalement les cheveux. Sa différence est aussi un peu la tienne.

    Hier encore, tu t’émerveillais de voir l’aîné si grand avec sa voix qui commençait à muer. Lui, il a ta spontanéité à aider les autres et il est aussi dur à la tâche.

    Hier encore, tu taquinais ta femme, ce petit bout d’épouse si courageuse.

    Hier encore, tu appelais tes amis de l’autre bout de la France pour leur donner des nouvelles de leur maison de vacances.

    Hier encore…

     

    A Philippe, mort brusquement à 42 ans

  • Les collections du musée Antoine LECUYER

    CollectionsActualitésContact & AccèsServices EducatifsLiens & PartenairesBoutique

     

    « Le catalogue des collections du musée est en cours d’informatisation. Il s’enrichit régulièrement de nouvelles fiches ». 

    >>> Retrouvez le catalogue sur le base JOCONDE :  
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    Portrait présumé de Mademoiselle George

    Pastel 

    Jeune femme, en buste, de face, la tête légèrement tournée à gauche, cheveux bruns et courts ornés d'un diadème de métal jaune, yeux bruns, joues rosées, esquissant un sourire, vêtue à l'antique d'une robe blanche et d'une étoffe jaune-orangé couvrant son épaule droite. Fond bleu sur lequel a été posé des traits verticaux de cra

    Portrait du frère Fiacre, quêteur des Pénitents de
    De La Tour, Maurice-Quentin
    Pastel 

    Iloise du Morbihan
    Herbemont, Auguste Albert
    Moulé 

    Archives des acquisitions et restaurations