Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Le mensuel d'octobre 2021 vient de paraître
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Réjouissante « Marcel Duchamp. La peinture, même » à Beaubourg, « Niki de Saint Phalle » au Grand Palais, « Émile Bernard » à l’Orangerie, « Impression, soleil levant, l’histoire vraie du chef-d’œuvre de Claude Monet » au Musée Marmottan… La programmation des expositions d’automne, à Paris, s’annonçait aussi passionnante que sans risques et sans surprises. Et tant pis si ces expositions ne devaient pas faire avancer la connaissance, le public était attendu nombreux. Car, disons-le, de Marcel Duchamp, Niki de Saint Phalle, Émile Bernard, comme du tableau qui a donné son nom à l’impressionnisme, tout a été dit, écrit, montré. Duchamp n’est-il pas l’artiste sur lequel on a le plus épilogué ces cinquante dernières années ? Une fois que l’on a vu une nana de Niki de Saint Phalle ou une Bretonne d’Émile Bernard, ne les a-t-on finalement pas toutes vues ? Loin s’en faut !, comme le ...
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20 octobre:
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21 OCTOBRE
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francois-1-er-et-l-art-des-pays-bas-le-21-octobre-2017
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22 octobre
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Dernières photos de la FIAC au Petit Palais le 22 octobre 2018
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APRES
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Son nom de code est « Choices ». Des choix portés par 36 galeries contemporaines du Marais, de Saint-Germain des Prés et de Belleville, qui avaient besoin d'un rendez-vous au printemps, loin des moments forts que sont la FIAC ou Paris Photo auxquels elles participent à l'automne. D'où cette date de fin mai. Mais « Choices » sera également une exposition d'ouverture à l'École nationale supérieure des Beaux-Arts où chaque galerie présentera un artiste dans un accrochage animé par le directeur de l'ENSBA, Nicolas Bourriaud, et de jeunes commissaires. Pour élargir encore l'offre, cet événement s'ouvre également à l'hébergement à l'Hôtel Meurice de collectionneurs étrangers invités par les galeristes. D'Art Concept à Jocelyn Wolff, ces 36 galeries sont aussi bien celles de marchands historiques que de nouvelles venues sur la scène contemporaine parisienne.
On ne parle que de récession, de crise, de recul. Tous les secteurs semblent touchés. Pourtant, dans le monde de l’art, il faut se pincer pour s’en convaincre. Car les grandes foires comme la Biennale des antiquaires (à Paris en septembre) ou la FIAC (en octobre) sont en forme olympique tandis que les maisons d’enchères continuent d’aligner les exploits. Les grands musées semblent florissants : 6,7 millions de visiteurs au British Museum en 2013, 9 millions au Louvre – des records qui pourraient tomber cette année. Et du côté qui nous intéresse plus particulièrement, les grandes expositions, l’offre reste pléthorique, posant un autre type de dilemme : comment tout voir ? Impossible, bien évidemment, tout comme est absurde la promesse des liseuses électroniques de nous fournir un million de livres à lire. À moins d’avoir l’éternité devant soi... L’abondance est un leurre : plus que jamais, il faut savoir exercer des choix. C’est ce que nous nous employons à faire, mettant en avant Ruskin, Horst ou le paysage russe. Tant mieux si cette sélection est contestable – le débat, le dialogue sont à ce prix !
Une lecture rapide des moyens que l’État alloue au spectacle vivant d’un côté et aux arts plastiques de l’autre pourrait laisser penser que les seconds sont défavorisés. Ainsi, dans le projet de budget 2015 pour la Culture, les crédits de paiement pour le théâtre, la danse ou la musique sont dix fois supérieurs à ceux de l’art contemporain et du design. 651 millions pour les premiers et 61 millions pour les seconds. Même en ajoutant le soutien spécifique du Centre Pompidou à la diffusion de la création d’aujourd’hui, qui ne relève pas du même programme, cela reste faible. En réalité, la différence majeure entre le théâtre ou la danse et l’art contemporain tient à l’existence d’un marché de l’art considérable et dont les seules ventes aux enchères ont progressé au niveau mondial de 40 %, comme vient de le révéler Artprice. La Fiac et la Fondation Louis Vuitton, qui ouvrent dans quelques jours sous une pluie de strass et de paillettes, sont des événements privés témoignant d’un afflux d’argent massif dans ce domaine. C’est une chance pour toute la filière (marchands, experts, agences de communication ou de production), dont bénéficie même indirectement tout le milieu. Hélas, si cet ...
Au sommaire de ce numéro :
Degas à l'Opéra, l'exposition du musée d'Orsay.
Portfolio : le maharajah d'Indore, un rêve de modernité.
Dossier spécial patrimoine en flammes.
L'événement Greco au Grand Palais.
Portrait : Claude et François-Xavier Lalanne, artistes de l'objet.
Le Jardin des plantes et les toiles de Nantes.
Fascinants verres a filigrana des XVIe et XVIIe siècles.
Depuis le temps que l'on vous parle de rapports entre arts plastiques et cinéma, en citant l’œuvre exemplaire de Clément Cogitore, il fallait bien que ça arrive : nous avons rencontré l'artiste-cinéaste pour une grande interview. Sauf que c'est à l'occasion de sa mise en scène des Indes galantes à l'Opéra Bastille... Mais du cinéma, du grand, du pur, il y en a aussi dans ce numéro : analyse par Jacques Aumont de Jeanne, le chef-d’œuvre de Bruno Dumont, et présentation par Félix Rehm du très beau Atlantique de Mati Diop, grand prix du Festival de Cannes. Quant au dossier de ce numéro, il porte sur les foires d'art qui s'ouvrent bientôt à Paris : Fiac, Paris Photo et leurs satellites. Deux auteurs enquêtent sur leurs mutations, l'économiste Nathalie Moureau au plan international, Aurélie Cavanna pour la scène parisienne.Côté littérature : Philippe Forest présente Extérieur monde d'Olivier Rolin et Jacques Henric met son grain de sel dans l'affaire Yann Moix. Enfin, nous sommes heureux de nous associer une nouvelle fois au programme New Settings de la Fondation d'entreprise Hermès : vivante incarnation de l'interdisciplinarité, voire de l'indisciplinarité, que nous ne cessons de défendre. | ||
Agenda Retrouvez les événements en cours et ceux à venir à Paris, en régions et à l'étranger. > Consulter ici | ||
ISSN : 9770998804003
Au sommaire de ce numéro :
La Renaissance du verre émaillé.
La dynastie Adam gloire de la sculpture lorraine.
Le décor de la ménagerie royale. Un bestiaire versaillais.
Un écrin sur-mesure pourl'Art nouveau au MAD.
Camille Pissarro : le grand atelier de la modernité.
Ferdinand Philippe d'Orléans Images d'un prince idéal.
La Maison de verre : chef-d'œuvre moderniste de Pierre Chareau.
Au programme de ce numéro d'octobre : l'abstraction solaire de Joan Mitchell, face à Monet, à la Fondation Louis Vuitton, les trésors retrouvés du musée de la Bibliothèque nationale de France et notre dossier spécial consacré à Paris+, la nouvelle foire d'art moderne et contemporain qui va faire rayonner Paris.
À découvrir également dans notre numéro d'octobre : les joyeux des cabinets d'art de Dresde, les calligraphies contemporaines de Yang Jiechang, la peinture en question sous le pinceau de Gérard Garouste, Oskar Kokoschka, l'artiste trouble-fête, Nanda Vigo, la radicale cosmique, une exceptionnelle collection d'art asiatique, le New York Art Déco et comme chaque mois, toute l'actualité des expositions, du marché de l'art et de la création contemporaine.
PORTFOLIO Joyaux de Dresde
ACTUALITÉS Grand Paris / Régions / International
ÉVÉNEMENT L’abstraction solaire de Joan Mitchell
VISITE D’ATELIER Yang Jiechang, entre ombre et lumière
ÉTUDE D’UNE OEUVRE Gérard Garouste : Le Masque de chien
ARCHITECTURE La BnF retrouve son musée
RÉCIT D’UNE VIE Nom : Kokoschka Prénom : Oskar
STYLE Nanda Vigo, la radicale cosmique
COLLECTION PRIVÉE Le musée secret des Rousset
ITINÉRAIRE New York Art Déco
DOSSIER Paris+ dans les pas de la Fiac
NOUVEAU TALENT Jeanne Vicerial / Fabienne Gaston-Dreyfus / Capucine Vever
MARCHÉ DE L’ART / LIVRES
LES JOURNÉES PARTICULIÈRES LVMH
https://www.connaissancedesarts.com/publications/magazine-octobre-2022/
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François Hollande a rappelé lors de l’inauguration du Musée Picasso son souhait que les grands musées soient ouverts sept jours sur sept, une décision actée dans le projet de loi de finances 2015. Il va ainsi plus loin que le rapport Attali « sur la libération de la croissance française » de 2008 qui préconisait « d’adapter les horaires d’ouverture des musées et monuments en soirée ». L’esprit est le même, il s’agit de « favoriser la consommation touristique dans les villes ». Ces deux mesures sont complémentaires et tombent sous le sens. La tour Eiffel et l’arc de triomphe de l’Étoile sont ouverts tous les jours, et les touristes – et tous les autres – sont agacés de tomber sur des portes closes le lundi au Musée d’Orsay ou au château de Versailles, le mardi au Louvre et qu’on les pousse vers la sortie ailleurs à partir de 17h30 le reste de la semaine. Dans la compétition entre les villes touristiques, Paris n’est pas démunie d’arguments, mais il serait imprudent qu’elle se repose sur ses lauriers. Cet élargissement des horaires, qui va requérir du personnel supplémentaire est l’occasion de se poser la question du statut de ces agents et de l’opportunité ...