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Gilles Ortlieb est né le 20 mai 1953 à Ksar-Es-Souk (aujourd'hui rebaptisé Er-Rachidia), au Maroc. Rentré en France dans les années soixante, il fait sa scolarité au pensionnat du lycée Michelet, à Vanves, puis des études de Lettres classiques à la Sorbonne avant d'obliquer vers l'étude du grec moderne à l'Institut des langues orientales. Il vit de travaux divers (marionnettiste, gardien de nuit, traducteur indépendant, enseignant, etc...) avant et après son service militaire en Allemagne puis il entreprend de nombreux voyages vers la Grèce et en Méditerranée. Ses premiers textes sont publiés dans la N.R.F. en 1977. Entré dans les services de traduction de l'Union Européenne en 1986, il vit depuis lors à Luxembourg, sans désespérer tout à fait d'arriver à s'en échapper un jour. Poète et merveilleux prosateur, il est un des écrivains les plus marquants de notre catalogue et collabore à de nombreuses revues (L'Animal,Légendes, La Nouvelle Revue Française, Théodore Balmoral...). Il est aussi traducteur de Constantin Cavafy, de Frank Wedekind, de Georges Séféris, Mikhaïl Mitsakis, Thanassis Valtinos, Dionysios Solomos, Georges Ioannou…
Repères bibliographiques
Le temps qu'il fait :
Petit-Duché de Luxembourg (1991) Soldats et autres récits (1991) Gibraltar du Nord (1995) La nuit de Moyeuvre (2000) La paire de chaussures (hors-commerce, 2000) Sept petites études (2002) Carnets de ronde (2004) Meuse Métal, etc (2005) À eux mêmes inconnus (Avec Jean-François Bonhomme, 2006) Noël à Ithaque (2006) Liquidation totale (2011)
Chez d'autres éditeurs :
L'Arbre-Serpent, contes populaires grecs. (Bordas, 1982) Brouillard journalier (Obsidiane, 1984) Poste restante (La Dogana, 1997) Place au cirque (Gallimard, 2002) Les Tramways de Bruxelles (Théodore Balmoral, 2002) Au Grand miroir (L’Un et l’Autre/Gallimard, 2005) Des orphelins (L’Un et l’Autre/Gallimard, 2007) Sous le crible (Finitude, 2008) Le train des jours (Finitude, 2010) Tombeau des anges (L’Un et l’Autre/Gallimard, 2011) Vraquier (Finitude, 2013) Soldats et autres récits, édition revue, augmentée et corrigée, préface de l'auteur (Collection poche, éditions Le bruit du temps, 2014)
SNCF Gares & Connexions vient d'achever les travaux du pavillon voyageurs de la gare lyonnaise de Perrache. Désormais accessible de plain-pied sur son côté sud, la gare va poursuivre sa mutation pour pouvoir accueillir 200.000 voyageurs en 2030, le double d'aujourd'hui.
Publié le 1 oct. 2020 à 7:30Mis à jour le 5 oct. 2020 à 13:32
Exit les fameuses voûtes de Perrache stigmatisées par les Lyonnais pour établir une coupure entre le nord et le sud de la presqu'île. Désormais, ces voûtes s'effacent pour laisser place à des circulations plus confortables pour les piétons et les cyclistes en ouvrant le centre d'échanges sur la place Carnot, au nord, et celle des Archives, au sud. Un premier pas vient d'être franchi avec la mise en service du nouveau pavillon voyageurs de la gare. Depuis fin septembre, les usagers cheminent de façon sécurisée le long du mur de soutènement de la gare pour accéder directement au passage souterrain accessible aux personnes à mobilité réduite et menant aux voies ferrées.
L'intermodalité est par ailleurs améliorée avec une liaison tramway-train, un accès immédiat au parking souterrain, qui comprend un dépose minute, et un accès direct aux taxis stationnant sur la place des Archives. Ces travaux ont nécessité un investissement de 7,5 millions d'euros financé par SNCF Gares & Connexions , avec la participation de l'Etat (2 millions d'euros), de la région Auvergne-Rhône-Alpes (2 millions) et de la Métropole de Lyon (1,5 million).
Né sous le nom deThomas Lanier, dans leMississippi, Tennessee Williams passe sonenfanceàMemphisdans la maison de son grand-père, un ancien pasteur. Ilécritsa premièrepièce, 'Bataille d'anges' en 1940. Après avoir exercé divers métiers, dont celui descénaristeàHollywood, il s'impose àBroadwayavec 'La Ménagerie de verre' (1945). Dès lors, Tennessee Williams poursuit unecarrière dramatique, brillante et féconde. L'action se situe souvent dans son sud natal. Il met en scène des personnages psychologiquement fragiles qui tentent désespérément de rompre leur solitude dans unmonde crueloù leshommessont les victimes impuissantes d'unsystème socialimpitoyable et périmé. Incompréhension, frustration, culpabilité, homosexualité et névroses forment la trame de son univers. 'La Chatte sur un toit brûlant' (1955), comme grand nombre d'œuvres de Tennessee Williams, doit sa renommée aucinémaplus encore qu'authéâtre, notamment grâce à la qualité des interprètes (Elizabeth TayloretPaul Newman). Dans 'Un tramway nommé désir', ce sontMarlon Brandoet Vivian Leigh qui donnent vie à l'écran aux personnages principaux.
Le film
Date de sortie cinéma : 23 mars 1960 Date de reprise cinéma : 7 novembre 2007 Film déjà disponible enDVDdepuis le : 9 octobre 2002
Titre original : Suddenly Last Summer Long-métrageaméricain. Genre :Drame Durée : 01h54min Année de production :1959
Synopsis :A la Nouvelle-Orléans de 1937, une riche veuve, Violet Venable, propose de financer l'hôpital public Lyons View si l'un de ses praticiens, le docteur Cukrowicz, accepte de pratiquer une lobotomie sur sa nièce Catherine Holly. Celle-ci est internée depuis le décès mystérieux, durant un périple estival, de Sebastian Venable, poète et fils de Mrs Venable. La version que raconte Catherine du décès de Sebastian paraît tellement loufoque, que Violet la croit folle à lier. Avec l'aide du Dr Cukrowicz, Catherine va peu à peu recouvrer la mémoire jusqu'à révéler une vérité que certains auraient préféré rester enfouie...
La gare multimodale de Lyon - Perrache est située au confluent de la presqu'île de Lyon, dans le quartier de Perrache. La réunion de différents moyens de transports que sont le train, le métro, le tramway et les autobus, et sa position géographique stratégique dans la ville de Lyon à la jonction des autoroutes A6 et A7 en font l'un des principaux centres d'échanges ou pôle d'échanges de l'agglomération lyonnaise et de la région Rhône-Alpes.
En savoir plus sur Wikipédia.
Photo personnelle du Jeudi 8 mai 2009
Il y a une autre gare à Lyon, la gare Part-Dieu.
Je les fréquentais encore plus régulièrement lorsque j'ai fait mon DEA à Lyon 2.
Parti de chez nous après avoir réceptionné notre valise(cf. note "des nouvelles" du même jour) où il faisait un temps moyen, beaucoup de neige dans le col de la République et un temps d'hiver à Saint-Etienne.
Redécouverte de lieux déjà connus ou de petites choses qu'on découvre toujours dans une grande ville.
A la nuit, nous découvrons Saint-Etienne qui scintille(cf. image et ci-dessous).
C'est une des seules choses que j'aime en cette période: les villes-lumière.
Je découvre aussi(après mon mari) les ruines de notre ancien appart....
Quelques flocons de rêve, un brin de nostalgie… pour chacun d’entre nous, l’approche des fêtes de fin d’année a un petit goût d’enfance et de merveilleux. Effectivement, les occasions ne manquent pas, en cette période, pour que petits et grands se retrouvent, se réunissent, se fassent mutuellement plaisir.
Lisez ce programme : à Saint-Étienne et particulièrement dans le centre-ville, c’est également à l’enfance que la priorité est donnée, à partir des festivités de la Sainte-Barbe puis tout au long de ce mois de décembre. La Ville, avec tous les artistes qui prennent part à ces fêtes, vous invite à une multitude de spectacles et d’animations. Le Père Noël sera là, bien sûr, avec rennes et chariot, ainsi que de nombreux autres amis des enfants.
Et du 19 au 23 décembre, Festi’Mômes s’empare de Saint-Étienne : 9 sites et 46 séances, presque gratuites, dans tous les secteurs de notre ville. Tardy, Terrenoire, Montaud, Montreynaud, Beaulieu, le Crêt-de-Roc et plusieurs sites du centre accueillent marionnettes, mimes, acteurs de cirque et de théâtre, musiciens... Toutes les recettes des spectacles sont destinées aux associations « Le Père Noël du Lundi » et « AISPAS ». Festi’Mômes, c’est un cadeau de Noël avant l’heure, pour les enfants de 6 mois à 12 ans, et pour ceux qui les accompagnent !
Devant l’Hôtel de Ville et dans plusieurs autres quartiers, le commerce est de la fête, notamment avec les marchés de Noël. Pour que vous puissiez acheter vos jouets, livres, vêtements, chocolats…paisiblement, assister aux animations, profiter en famille d’un coeur de ville plus calme et plus sûr, les automobilistes vous font le cadeau de le contourner pendant près de deux semaines.
L’agglomération, Saint-Étienne Métropole, vous gâte elle aussi : les 13, 20 et 24 décembre, le tramway et les transports en commun vous sont spécialement accessibles. Votre titre de transport STAS sera à valider une seule fois (par personne) et il sera valable toute la journée (Pass concernés : Pass 1 h, 1 h 30, 10 voyages, 100 unités).
Profitons de la fête, profitons de la ville ! Bonnes fêtes de fin d’année à toutes et à tous !
Maurice Vincent, Maire de Saint-Étienne, Président de Saint-Étienne Métropole
Je repars vers la librairie Decitre où faute d'en savoir plus sur ma candidature, je flâne dans les 3 étages du côté Rhône et du côté Saône de cette magnifique librairie.
Puis la librairie Privat (anciennement Flammarion),autre superbe librairie:
Comme l'heure du déjeuner approche, je n'irais pas à la fantastique Bibliothèque de la Part-Dieu(autre lieu que j'ai beaucoup fréquenté pendant mon DEA):
Je trouve une petite terrasse sympa un peu à l'ombre (il fait très chaud)dans une cour surplombé par des appartements en terrasse; ça a un nom mais je ne m'en souviens pas.
Ouverture au public du bâtiment et de la programmation événementielle : à partir du 3 mai
Marseille
Des espaces sur et sous la mer Une spectaculaire avancée en porte-à-faux de 40 mètres, au-dessus d’un bassin artificiel de 2 000 m2 Un plateau d’exposition de 760 m2 Sous le bassin de 2,25 mètres de profondeur : la base du bâtiment
Du mardi au jeudi de 12h à 19h, nocturne vendredi de 12h à 22h Samedi, dimanche et jours fériés, de 10h à 19h Fermé les 1er janvier, le 1er mai et le 25 décembre
Accès
Bus lignes 82 et 60 : arrêt Fort Saint-Jean. Ligne 49 : arrêts Fort Saint-Jean et Tourette Cathédrale. Navette électrique Pharo-J4 Métro : stations Vieux-Port et Joliette Tramway ligne 2 : arrêt République-Dames et Joliette Voiture : parking Vieux-Port - Fort Saint-Jean
Né de la volonté politique de la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur, le bâtiment aérien, terrestre et sous-marin, a pour vocation de soutenir la coopération en Méditerranée, tout en sensibilisant les citoyens sur les enjeux de la Méditerranée d’aujourd’hui et de demain. Ces propositions s’articulent autour de parcours d’exposition et d’une programmation évènementielle diversifiée (débats, spectacles, projections de cinéma, concerts, etc.).
Avec Plus loin que l’horizon, le documentariste Bruno Ulmer, sensible aux questions de migrations, nous fait vivre de l’intérieur les mobilités incessantes qui parcourent la Méditerranée, qu’elles soient marchandes, humaines, énergétiques ou virtuelles. Une immersion totale, servie par des images fortes et inédites et un dispositif laissant place à la réflexion, au rêve et à la contemplation…
Du 15 juin au 28 septembre, 2031 en Méditerranée, nos futurs !du réalisateur Régis Sauder donne la parole à la jeunesse pour prendre le pouls de ses désirs, ses espoirs, ses angoisses aussi. Remarqué pour son film sur l’adolescence Nous, Princesses de Clèves, il s’est attaché à demander à la jeunesse des trois rives de la Méditerranée sa vision d’avenir de cet espace, dont elle est le principal acteur. En images, mais aussi en dessins, grâce à un dispositif spectaculaire conduit par l’artiste Benoît Bonnemaison-Fitte, il a recueilli cette parole avec un sens de l’écoute prononcé.
droitsCreative Commons - Paternité. Pas d'utilisation commerciale. Pas de modification.
localisationBibliothèque municipale de Lyon / P0546 S 235
technique1 photographie négative sur verre : noir et blanc ; 13 x 18 cm
historiqueLes deux édicules que l'on aperçoit en amont du pont suspendu La Feuillée, dit "pont aux Lions" (Favier, ingénieur), sont ceux qui furent destinés à recevoir la passerelle provisoire édifiée en 1910, le temps nécessaire à la destruction et reconstruction de ce pont. L'idée de la reconstruction du pont La feuillée, devenue nécessaire pour supporter le passage des tramways (électrifiés depuis 1890), remonte à la toute fin du XIXe siècle. Suite à une enquête publique, l'avant-projet de la reconstruction fut approuvé par le conseil municipal en date du 17 février 1908. Elle est concomitante à plusieurs embellissements de la ville de Lyon entrepris à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle, comprenant notamment la construction de la Passerelle de l'Homme de la Roche (approuvée par le conseil municipal le 14 avril 1896) et la reconstruction du pont de l'Hôtel-Dieu (1912). Si l'on en croit la presse de l'époque, la passerelle provisoire est signalée comme quasiment achevée à la fin du mois d'avril 1910 et ouverte à la circulation vraisemblablement entre juin 1910 et le 20 juillet 1912. Les travaux de démolition de l'ancien pont La Feuillée commencèrent quant à eux dès le 25 mai 1910 ; sa reconstruction s'acheva début octobre 1912, non sans avoir éprouvé quelques vicissitudes : grèves de terrassiers et des tubistes, crues de la Saône qui immobilisèrent un temps le chantier, etc. Le nouveau pont fut officiellement inauguré le 26 octobre 1912, sous une pluie battante, par Jules Pams, ministre de l'agriculture et Edouard Herriot, maire de Lyon.
historiquePont de la Feuillée : les berceaux de verdure qui l'entouraient s'appelaient des feuillées. Même dénomination depuis 1831. Le pont actuel est construit en 1949.
Ce musée mobilise en réseau l’appartement Gagnon, lieu de mémoire, l’appartement natal de Stendhal, lieu vivant dédié à la littérature contemporaine, les collections de la bibliothèque d’Etude et du Patrimoine, et un itinéraire historique dans le centre ancien.
Vacances scolaires
Durant les vacances scolaires, l'appartement Gagnon/Musée Stendhal est ouvert, du mardi au vendredi de 14h à 18h, les semaines suivantes :
- la première semaine des vacances d’hiver
- la première semaine des vacances de printemps
- les deux premières semaines du mois d’août
- la semaine entre Noël et le jour de l’An
L’appartement du docteur Gagnon, grand-père de Stendhal, est situé dans le centre ancien de Grenoble. C'est un lieu muséal, avec une exposition permanente réunissant les principales œuvres de la collection. Sa nouvelle conception architecturale et sa muséographie font revivre auprès du grand public l’appartement du grand-père maternel de Stendhal dans lequel se sont éveillés le cœur et l’esprit du futur écrivain.
L'appartement comprend :
un grand Salon à l’italienne sur lequel s’ouvre l’entrée de l’appartement,
un cabinet d’histoire naturelle, caractéristique des appartements de la bourgeoisie éclairée des XVIIIe et XIXe siècles ;
un cabinet d’été (ou de travail), petite pièce de même surface à côté du cabinet d’histoire naturelle consacré, en son temps, à l’étude et à la lecture.
une terrasse agrémentée d'une pergola surplombant le Jardin de Ville.
une chambre d’hôte dite « de Romain Gagnon »
L'appartement Gagnon est l'élément structurant du Musée Stendhal. Il a été conçu par l'architecte Cédric Avenier et la muséographe Marianne Klapisch. Il a reçu en 2011 le label Maison des Illustres décerné par l'État et la collection qu'il expose a été labellisée Musée de France en 2003.
Le projet de Musée Stendhal va au-delà de la restauration d'un patrimoine immobilier qui comprend l'appartement Gagnon et l'appartement natal. Il valorise les animations menées par les différents acteurs stendhaliens, les acquisitions qui enrichissent le fond prestigieux conservé à la Bibliothèque municipale, la recherche universitaire qu'il suscite et les parcours qui entrainent les visiteurs sur les traces de Stendhal
Moyens d’accès
Dans Grenoble : tramway lignes A et B, arrêt Maison du tourisme Stationnement de convenance : parking de la Maison du tourisme (situé rue de la République) et parking Philippeville
L'histoire de l'esplanade est liée aux remparts de la ville. C'est après le siège de la ville, en 1622, où Louis XIII a ordonné au duc de Montmorency de canonner la rébellion protestante1, qu'une première partie de la commune clôture ou des remparts est détruite afin de pouvoir tenir la ville sous le feu des pièces d'artilleries situées sur la citadelle2.
Encore partiellement visible de nos jours, la géographie des lieux de l'époque est composée par un bastion nord, dit « bastion du Roy », installé à proximité du Corum actuel, était relié par un mur à la Porte du Pila Saint Gély et le bastion sud, dit « bastion de la Reyne », situé à proximité du « monument aux morts de toutes les guerres », était relié par un fossé large et profond à la Porte de Lattes2, située a proximité de la station de tramway de la place de la Comédie actuelle. Les murs de la commune clôture ont été abattus et le fossé comblé, en 1679, donnant naissance à un chemin carrossable2. Ce dernier est utilisé comme terrain militaire qui servait pour les manœuvres des soldats basés dans la place forte voisine, la citadelle, devenue l'actuel lycée Joffre.
En 17233 et l'année suivante, le duc de Roquelaure, lieutenant du roi en Languedoc, fait nettoyer le terrain sauvage et y fait aménager une promenade4,5. Cette dernière s'étend entre la citadelle et la ville3. Les travaux sont conduits par l'ingénieur Dominique de Sénès6. Elle est baptisée la Roquelaure en honneur de son créateur4,5. Elle est complétée par le « Champ de Mars » en 17933. Une colonne de la Liberté est érigée de 1791 à 1814.
En 1844 avec l'émergence des chemins de fer de l'Hérault reliant Montpellier à Nîmes, le creusement d'une tranchée est réalisé au pied des bastions ouest de la citadelle et le « Champ de Mars »3.
Le jardin du Champ-de-Mars est vendu par l'armée à la Ville et transformé en esplanade en 1900. On y a aménagé des bassins, de nombreuses statues et un monument aux morts qui, à l'origine, était situé près de l'actuel Corum, opéra Berlioz et palais des congrès.
Le kiosque Bosc : En 1926, le compositeur Auguste Bosc décide de faire construire un kiosque à musique sur l'esplanade de la Comédie9. Une façon de remercier sa ville natale de lui avoir offert une bourse pour étudier la musique au Conservatoire de musique de Paris. L'édifice est inauguré le à l'occasion d'un concert dirigé par le compositeur lui-même9. Il s'agit du premier ouvrage en béton armé à Montpellier réalisé par l'architecte Élie-Marcel Bernard10,11. Il est labellisé « Patrimoine du XXe siècle », le 9 ;
Le pont de Maincy est situé dans le bas de Trois Moulins, près des vestiges du “ Moulin d'en bas ”. Il traverse l'Almont, marquant la limite des communes de Melun et de Maincy. Ce pont a été construit en 1828-1829 par le Colonel JONHSON pour accéder à sa demeure (château du Coudray). Il est situé le long d'un ancien gué, sur le chemin de Trois-Moulins à Vaux-le-Pénil. Cet endroit était un point de passage important pour les voitures à cheval. Avec ce pont, les piétons pouvaient traverser à pieds secs. Sur la photo ci-dessus, on aperçoit sur la gauche le débouché du “ Ru du Jard ” qui alimentait les 3 moulins.
peint par Cézanne en 1879
Le célèbre peintre Paul Cézanne (1839-1906) a peint cet endroit alors qu'il séjournait à Melun, “ Place de la Préfecture ”, d'avril 1879 à février 1880. Ce tableau tient une place importante dans le parcours artistique du peintre, il montre la rupture définitive de l'artiste avec l'Impressionnisme. Est-ce la proximité de la forêt de Fontainebleau ou du village de Barbizon (attirant beaucoup de peintres), dont Melun était le point de départ du tramway le déservant, qui l'a fait résider là ? Cette oeuvre est actuellement exposée au Musée d'Orsay à Paris. Ce n'est que depuis les années 1950 qu'un professeur de dessin reconnait le lieu et intervient pour que ce tableau retrouve son vrai nom : “ Pont de Maincy ” (avant il était nommé “ Pont de Mennecy ” sans doute à cause de l'accent méditerranéen de l'auteur).
Madame le maire de Maincy, Pascale Coffinet, nous propose une étude intéressante “ Le Pont de Maincy et Paul Cézanne ” dans le livre “ Promenade avec les Peintres (tome II) : En Val d'Ancoeur ” (Lys Editions Amatteis 2004). Elle nous indique aussi un second tableau exposé à Moscou, au musée des Beaux-Arts Pouchkine, peint en 1879, intitulé le Pont de Maincy et semblant représenter un pont qui était situé près de la digue et détruit vers 1914.
En août 2004, la partie en bois a été entierement refaite pour des raisons de sécurité. La municipalité lui a redonné son allure d'autrefois.
Dès le vendredi 4 juin 2021, le téléphone et le mail de la rédaction se sont mis à chauffer. Nantes Métropole venait d’annoncer les noms des trois groupements lauréats appelés à proposer un « ouvrage structurant un pont-place où cohabiteront tramways, automobiles, mobilités douces et piétons ». Soit l’agrandissement du pont Anne-de-Bretagne qui, dans l’ancienne capitale d’une reine de France, en centre-ville, relie le quai de la Fosse à l’île de Nantes. Pourquoi tant d’émoi autour d’un « petit » projet à 50 M€ ?
La biennale de Venise, dont la 17ème exposition internationale d’architecture a lieu jusqu’au 21 novembre 2021, peut vite devenir une rengaine épuisée tandis qu’autour de vous l'orchestre joue La Symphonie nᵒ 5 de Mahler. Chronique d’Outre-Manche pour une non-visite.
A l’heure de la réouverture des musées, des lieux sont plus attendus que d’autres, telle la Bourse du Commerce à Paris devenue par la grâce de Tadao Ando un nouveau musée d’art contemporain abritant une partie de la collection de l’industriel François Pinault.
Dans son livre « Un bruit de balançoire » le poète Christian Bobin organise ses "chapitres" sous forme de vingt lettres.
Dans le tableau ci-dessous, nous avons relevé le destinataire, l’incipit et la dernière phrase de douze de ces lettres. A vous de les conserver tels quels et d’écrire, dans le style d’un poème en prose, ce qui se trouve entre les deux. Vous pouvez écrire une longue lettre ou plusieurs lettres courtes.
Destinataire
Première phrase
Dernière phrase
Chère inconnue
L’été est incohérent
Le coeur, cette défaite prodigieuse.
Frère nuage
La vie de mon père a commencé de se défaire comme toi
Aucun chef-d’oeuvre ne m’a donné autant de paix à part toi, petit nuage , à part toi.
Marina
Je suis resté des années à ta porte, je n’osais pas entrer
J’aimerais offrir à la poétesse la robe rose dont elle a rêvé toute sa vie.
Monsieur le forestier
Les arbres, chose inhabituelle, se taisaient.
Deux dominicains à table. Dieu reprend du melon.
Mère
Comment as-tu formé ma tête dans le secret de tes entrailles ?
D’ailleurs je n’ai guère d’autre titre à l’existence.
Monsieur le coucou
Il y a du jaune dans ton chant
J’accepte de tout perdre et que, dans le temps passager de cette perte, le nid d’hirondelle que j’ai dans la poitrine soit vide, vide, vide, féeriquement vide et appelant.
Cher ami
Mais pour mériter ce nom de cher ami il vous faudra aller au bout de cette lettre
Et qui sait, peut-être nous verra-t-on un jour ensemble dans les rues de cette ville, incroyablement souriants.
Jeunes gens de Lodz
La lune brille entre les branches d’un arbre comme un ballon d’enfant lancé trop fort
Le grincement d’une balançoire vide résonne jusqu’à la fin du monde.
Nadejda
Viens t’asseoir à côté de moi me parler de ton homme
Toi et tes sœurs éternelles, je te salue, Nadejda.
Vieil escalier
Si ce monde n’est que muraille, cette muraille a des lézardes…
Christian ne viendra pas, ce soir. Il rêve.
Madame
Vous m’avez demandé ce que c’était que les anges
Les rails rouillés du ciel et le tramway d’un songe qui me traverse, avec personne à bord.
Cher fantôme
Depuis combien de temps sommes-nous ensemble ?
Nous sommes des petites gouttes de pluie qui prennent le train sans billet jusqu’à l’éternel qui est ceci, ici, maintenant.
Frère nuage
Je ne saurais être le rayon de soleil que je suis sans toi.
J’aime jouer avec toi comme un enfant imagine des formes dans les tiennes.
Anne-Marie Rubio Oliva María Rubio est titulaire d’un doctorat en histoire de l’art de l’université autonome de Madrid. Avant de devenir directrice des expositions à La Fábrica en 2004, elle a été commissaire générale de PHotoEspaña (PHE), le festival international de la photographie et des arts visuels organisé chaque année à Madrid.
Anne-Marie Rubio Oliva María Rubio est titulaire d’un doctorat en histoire de l’art de l’université autonome de Madrid. Avant de devenir directrice des expositions à La Fábrica en 2004, elle a été commissaire générale de PHotoEspaña (PHE), le festival international de la photographie et des arts visuels organisé chaque année à Madrid.
Présentation de l'ouvrage
Synopsis Eliezer (Lazar) Markovitch Lissitzky (Pochinok, près de Smolensk, Russie, 1890 – Moscou, 1941), dit El Lissitzky, est l’un des artistes les plus influents, les plus novateurs et les plus controversés du début du XXe siècle. Peintre, designer, architecte et photographe prolifique, il a travaillé avec l’avant-garde soviétique et européenne des années 1920 et participé activement à l’art propagandiste stalinien des années 1930. L’une des spécificités majeures de son œuvre comme de sa vie est le « franchissement des limites » : il a rapproché les pays et les cultures, l’art et le design, l’Est et l’Ouest. Après 1917, pendant la période du communisme de guerre, il vit à l'étranger où il fait office d'ambassadeur culturel, promouvant l'art russe et les idées soviétiques à l'Ouest tout en s'informant sur la culture occidentale. Pour lui, l’art ne doit pas être considéré comme le fruit d’une expression personnelle ou comme une production d’objets, mais comme une activité sociale et collective. Avec Kazimir Malevitch, il développe un nouveau langage visuel – le suprématisme révolutionnaire – employé non seulement en peinture, mais aussi en arts graphiques et en gravure, en architecture et en théâtre, en céramique, dans les théories de l’éducation et dans les écrits révolutionnaires. Avec ses étudiants, il peint des figures immenses – points, triangles, carrés – sur les tramways et les bâtiments de la ville de Vitebsk. Son procédé visuel « Proun » lui sert à concevoir des costumes et des machines de scène, notamment pour l’opéra futuriste La Victoire sur le soleil, en 1920-1921. Comme d’autres artistes russes, Lissitzky recourt à des moyens visuels nouveaux pour faire passer le message idéologique. Dans ses œuvres, il s’attache à montrer que sa technique est un processus destiné non pas à produire des objets finis, mais à proposer un « processus créateur », que ce soit pour faire un livre, organiser une page imprimée ou produire de la publicité ou de la propagande, de l’architecture ou du design. Comme les constructivistes russes, qu’il admire, il met son énergie créatrice au service de la création d'une nouvelle structure sociale, où le nouvel ingénieur-architecte-artiste pourra franchir et supprimer les anciennes limites. Les œuvres qu’il a exécutées dans le cadre de la conception de livres, de journaux et de magazines sont celles qui ont eu la plus grande influence. On lui doit des innovations radicales dans les domaines de la typographie et du photomontage.
Synopsis Eliezer (Lazar) Markovitch Lissitzky (Pochinok, près de Smolensk, Russie, 1890 – Moscou, 1941), dit El Lissitzky, est l’un des artistes les plus influents, les plus novateurs et les plus controversés du début du XXe siècle. Peintre, designer, architecte et photographe prolifique, il a travaillé avec l’avant-garde soviétique et européenne des années 1920 et participé activement à l’art propagandiste stalinien des années 1930. L’une des spécificités majeures de son œuvre comme de sa vie est le « franchissement des limites » : il a rapproché les...
Le livre en quelques mots Eliezer (Lazar) Markovitch Lissitzky (Pochinok, près de Smolensk, Russie, 1890 – Moscou, 1941), dit El Lissitzky, est l’un des artistes les plus influents, les plus novateurs et les plus controversés du début du XXe siècle. Peintre, designer, architecte et photographe prolifique, il a travaillé avec l’avant-garde soviétique et européenne des années 1920 et participé activement à l’art propagandiste stalinien des années 1930. L’une des spécificités majeures de son œuvre comme de sa vie est le « franchissement des limites » : il a rapproché les pays et les cultures, l’art et le design, l’Est et l’Ouest. Après 1917, pendant la période du communisme de guerre, il vit à l'étranger où il fait office d'ambassadeur culturel, promouvant l'art russe et les idées soviétiques à l'Ouest tout en s'informant sur la culture occidentale. Pour lui, l’art ne doit pas être considéré comme le fruit d’une expression personnelle ou comme une production d’objets, mais comme une activité sociale et collective. Avec Kazimir Malevitch, il développe un nouveau langage visuel – le suprématisme révolutionnaire – employé non seulement en peinture, mais aussi en arts graphiques et en gravure, en architecture et en théâtre, en céramique, dans les théories de l’éducation et dans les écrits révolutionnaires. Avec ses étudiants, il peint des figures immenses – points, triangles, carrés – sur les tramways et les bâtiments de la ville de Vitebsk. Son procédé visuel « Proun » lui sert à concevoir des costumes et des machines de scène, notamment pour l’opéra futuriste La Victoire sur le soleil, en 1920-1921. Comme d’autres artistes russes, Lissitzky recourt à des moyens visuels nouveaux pour faire passer le message idéologique. Dans ses œuvres, il s’attache à montrer que sa technique est un processus destiné non pas à produire des objets finis, mais à proposer un « processus créateur », que ce soit pour faire un livre, organiser une page imprimée ou produire de la publicité ou de la propagande, de l’architecture ou du design. Comme les constructivistes russes, qu’il admire, il met son énergie créatrice au service de la création d'une nouvelle structure sociale, où le nouvel ingénieur-architecte-artiste pourra franchir et supprimer les anciennes limites. Les œuvres qu’il a exécutées dans le cadre de la conception de livres, de journaux et de magazines sont celles qui ont eu la plus grande influence. On lui doit des innovations radicales dans les domaines de la typographie et du photomontage.
Port Marianne est un des sept1 quartiers de Montpellier, situé au sud-est de la ville.
Port Marianne se situe à l'entrée Est de la ville de Montpellier depuis l'autoroute A9. Son axe principal est l'avenue de la Mer-Raymond Dugrand qui traverse le quartier du nord au sud, tout comme le fleuve le Lez.
Ce quartier, encore inexistant il y a 50 ans, est aujourd'hui un quartier en pleine expansion. De nombreux bureaux, commerces et logements s'y construisent. On y retrouve d'ailleurs l'Hôtel de Ville depuis 2011.
Port Marianne est un quartier récent qui se distingue par son architecture relativement moderne et linéaire ; il témoigne en partie de la forte croissance démographique de Montpellier, mais également de la volonté de développer le territoire métropolitain vers la mer.
République (Agence Nicolas Michelin Associés (Paris) et l'architecte Nicolas Boudier) dont les travaux n'ont pas encore débuté
D'autres ZAC y verront certainement le jour, une qui terminera l'aménagement autour de la place Ernest-Granier, une à côté de République, une ou deux entre l'A9 et son dédoublement.
La ZAC Jacques-Cœur vue depuis la nouvelle Mairie
Côté activités et services, on y retrouve notamment :
Le Parc Georges Charpak, parc de plus de 10 hectares dessiné par Michel Desvignes. Il est traversé par la Lironde, et est conçu pour servir de bassin de rétention en cas de fortes crues
En décembre 2014, la ville a d'ailleurs obtenu une médaille de bronze par les Victoires du Paysage 2014, pour l'aménagement de la Zac Parc Marianne, dans la catégorie aménagement de quartier4.
Éducation et enseignement
Bibliothèque Interuniversitaire de Montpellier
Écoles maternelles : Louise-Michel, Chengdu, Michel-De-L'Hospital, Sarah-Bernhardt et Sergueï-Prokofiev
Écoles élémentaires : André-Malraux, Blaise-Pascal, Jean-Jaurès, Jean-Zay et Painlevé
Enseignement supérieur : La Faculté d'Économie, la Faculté d'AES (Administration Économique et Sociale), l'ISEM (Institut des Sciences de l'Entreprise et du Management), l'IPAG (Institut de Préparation à l'Administration Générale), la Maison des Etudiants Aimé-Schoenig, l'ENACT (École Nationale d’Application des Cadres Territoriaux), ENCCRF (École Nationale de la Consommation, de la Concurrence et de la Répression des Fraudes)
Événements
Le FISE sur les Rives du Lez
FISE, le Festival International des Sports Extrêmes, se déroule chaque année en Mai à Montpellier dont une partie sur les Rives du Lez et le Bassin Jacques Cœur
Le spectacle pyrotechnique de la fête nationale du 14 juillet fut tiré depuis les hauts du Parc Georges Charpak de 2012 à 2015.
Chaque année, Radio Nova organise son festival gratuit de musiques électroniques le Tohu Bohu sur le parvis de l'hôtel de ville
La retransmission des grands matchs comme la coupe du monde de football et autres sont diffusés sur l'écran géant de la nouvelle mairie
Parking à voitures depuis des années, les berges offrent dès ce matin cinq kilomètres de flânerie. Illustrant la méthode de la municipalité de gauche, qui veut convaincre sans contraindre.
C'EST Lyon-plage toute l'année. Un ruban de prairie égayée d'herbes folles remplace les pots d'échappement sur la rive gauche du Rhône dans toute la traversée de Lyon. Depuis un mois, avant même l'inauguration aujourd'hui du nouvel aménagement des berges, le succès populaire de la promenade dominicale est venu apporter un cinglant démenti aux opposants au projet. Jusqu'à deux mille voitures stationnaient jusqu'alors, laissant un maigre espace aux joggeurs, seuls à s'aventurer sur ce no man's land de bitume. Les véhicules qui avaient pris leurs habitudes en ces lieux, dès les années 1950, seront désormais garés dans des parkings souterrains construits à proximité. Colonies de castors Ce chantier des berges, dont le coût s'élève à 44 millions d'euros, est le projet phare de la municipalité qui voulait que la ville se réapproprie ses deux fleuves. L'aménagement des berges permet un embellissement du site en faisant redécouvrir une nouvelle perspective de la ville, marie une diversité de fonctions ludiques au fil des différentes séquences d'espaces qui courent sur cinq kilomètres, du parc de la Tête d'Or, au nord, à celui de Gerland, au sud. Une partie a même été préservée à l'état naturel : on peut y observer, la nuit venue, des colonies de castors qui ont élu domicile en plein centre-ville. Cet aménagement permet aussi de présenter « une nouvelle philosophie de la ville, une ambiance familiale et apaisée », se félicite Gérard Collomb, où piétons et modes de déplacement doux comme le vélo et le roller ont reconquis l'espace auparavant entièrement dévolu à la voiture. Des choix différents de Paris Depuis le début de la mandature, le sénateur et maire PS de la ville s'est appliqué à convaincre ses élus écologistes de ne pas entrer dans un système d'éradication de la voiture. Quand Bertrand Delanoë, à Paris, construisait des murets séparateurs et élargissait les couloirs de bus, Lyon développait ses lignes de tramway. Aujourd'hui, une grande radiale court depuis l'Est lyonnais vers le quartier d'affaires de la Part-Dieu, ponctuée de parkings relais à chaque station périphérique. Le temps de parcours sur l'itinéraire est deux fois plus rapide qu'en voiture. En collaboration avec la SNCF, le conseil général et le conseil régional, l'agglomération lyonnaise prépare un réseau express qui cadencera les trains de Mâcon à Vienne. Dans le centre de Lyon, la vitesse a même été abaissée à 30 kilomètres par heure pour pacifier la circulation au regard du nombre croissant de vélos. Des vélos en partie mis à disposition par l'agglomération lyonnaise et dont l'installation des bornes de location a contribué à réduire le nombre des places de stationnement pour les voitures. Il y a deux ans, l'extension des zones de stationnement payant dans plusieurs quartiers avait provoqué un vif mécontentement des automobilistes.
Le réalisateur Bertrand Tavernier à Paris, le 22 juin 2006.
"Lyon est mon Rimini à moi", annonce Bertrand Tavernier, allusion à la ville natale de Fellini. Il y est né en 1941, y a tourné trois films, deux fictions (L'Horloger de Saint-Paul, en 1973, d'après un roman de Georges Simenon, et Une semaine de vacances, en 1980) et un documentaire (Lyon, le regard intérieur, en 1988 pour FR3).
"Mes premiers souvenirs de cette ville sont des impressions liées à des sons. Le bruit des bombes pendant la guerre, qui provoquait notre repli dans un abri situé dans le jardin. Celui des fusées éclairantes qui annonçait l'entrée des troupes américaines, en 1944. Mes parents m'avaient fait monter sur la terrasse de la maison que nous habitions alors, rue Chambovet, à Montchat. Je n'ai jamais pu, par la suite, séparer la notion de lumière de toutes ces émotions, tout ce tumulte, toute une vie qui semblait renaître.
Lyon m'est aussi apparu comme une ville magique à cause de ses tramways. J'ai appris à lire et à compter avec eux, je connaissais par coeur leurs numéros, leurs lignes, les trajets, les arrêts : Tassin-la-Demi-Lune, les Cordeliers, le Gros-Caillou, les Trois-Renards. Enfin, Lyon est liée aux appartements ou aux propriétés où ont habité les gens de ma famille. Là encore, je me souviens des sons : les craquements de parquet, les échos venant des pièces un peu lointaines, le bruit de la machine à faire des bugnes... Et puis aussi les rais de lumière filtrés par les volets, les grands corridors désertiques et sombres. Toute une atmosphère que j'ai voulu recréer dans Un dimanche à la campagne.
Mes parents ont quitté Lyon quand j'avais 5 ans, mais j'y suis revenu souvent, et à chaque séjour je me replongeais dans un univers qui n'avait pas les mêmes valeurs que celles auxquelles j'étais habitué, une ambiance assez religieuse. Je me revois en train d'aider à faire des meringues pour des ventes de charité, ou des promenades au parc de la Tête-d'Or où je ramassais des marrons pour les donner à manger aux biches.
Henri Béraud disait à propos de Lyon : "C'est la ville des sentiments secrets et des amours fidèles." Moi j'aime faire des films qui, derrière leur exubérance, soient un peu secrets. Et je me sens à l'aise dans cette ville mystérieuse. Une ville dont on n'arrive pas à percer les murs. Au détour d'une rue qui ne paie pas de mine, vous tombez sur une cour aux couleurs florentines, vous découvrez des murs ocre, une tour rose. Lyon a mauvaise réputation à cause de sa bourgeoisie, mais au-delà de ses quartiers riches, c'est une ville extrêmement généreuse. Quand j'ai tourné L'Horloger de Saint-Paul, j'ai voulu détruire certains clichés. Montrer Lyon en évitant Fourvière ou la place Bellecour. J'ai voulu retrouver l'atmosphère de ces appartements aux plafonds hauts, de ces cours d'où l'on entend les enfants faire des gammes, de ces restaurants aux tables en marbre.
On associe trop souvent Lyon à la gastronomie, au gangstérisme, à la soierie. Dans Lyon, le regard intérieur, j'ai voulu évoquer un autre Lyon, de manière oblique, avec des voix, celle de mon père René (résistant, fondateur de la revue Confluences, comme l'atteste aujourd'hui une plaque à l'endroit de la maison de Montchat, rasée), un homme dont l'attitude, la pudeur, l'ironie me semblent incarner la ville, celle de Gabriel Chevallier, écrivain méconnu. Lyon s'est bonifiée ces dernières années, depuis Michel Noir. Elle s'est mise enfin à intégrer son passé. Longtemps par exemple, le seul hommage rendu aux frères Lumière était un monument érigé sur la place de Montplaisir, bâti à ses frais par le ferrailleur mécène Napoléon Bullukian."
Outre le Tour de France, la capitale du Forez est un lieu de passage encore plus régulier de Paris-Nice qui y a fait étape à 58 reprises. Généralement placée en première partie de la Course au soleil, Saint-Étienne a souvent vu des arrivées au sprint sur le cours Fauriel, notamment remportées par plusieurs vainqueurs du maillot vert du Tour, dont Rik Van Looy, Rudy Altig, Eddy Merckx, Franco Bitossi, Freddy Maertens, Sean Kelly ou Eddy Planckaert. Plus récemment, en 2008, Kjell Carlström y devenait le premier vainqueur d'étape finlandais, tandis que Sylvain Chavanel y endossait pour la première fois le maillot de leader. fr-fr.facebook.com/pages/Ville-de-Saint-%C3%89tienne www.twitter.com/saint_etienne_
Ville-étape pour la 25e fois Préfecture de la Loire (42) Population : 180 000 habitants (Stéphanois), 400 000 habitants pour les 45 communes de la Communauté d'agglomération de Saint-Étienne Métropole Économie : siège mondial de Casino, première entreprise privée de la Région Rhône-Alpes Culture : Comédie de Saint-Étienne (Centre dramatique national fondé par Jean Dasté en 1947), Musée de la Mine, Musée d'Art et d'Industrie (armes, cycles et collection de rubans). Festivals : Piano Passion, Nouveau Siècle, Biennale internationale Massenet, Roches Celtiques (danse et musique) Sport : athlétisme (club Coquelicot 42), tir à la sarbacane (discipline régionale comptant environ 350 pratiquants), base nautique de Saint-Victor-sur-Loire (école de voile, port de plaisance, croisière), randonnée, VTT, ski et via ferrata dans le Parc Naturel Régional du Pilat. Événements : SaintéLyon (course pédestre en grande partie nocturne entre les deux villes), Indoor international de BMX Spécialités : pommes et myrtilles du Pilat, rubanerie et textile médical Développement durable : tramway le plus ancien de France, créé en 1881 Labels : Ville d'Art et d'Histoire pour son patrimoine industriel des XIXe et XXe siècles, Ville créative UNESCO du design, Ville Amie des Enfants
Ce plan ambitieux s'articule autour de quatre axes stratégiques pour hisser Casablanca au rang de Métropole attractive, agréable à vivre, en concordance avec les besoins et attentes de ses habitants.
Le plan de développement stratégique de Casablanca (2015-2020) a été présenté, lundi 22 décembre 2014, aux différents organes de la presse nationale, par le wali de la région du Grand Casablanca, gouverneur de la préfecture de Casablanca, Khalid Safir et le maire de la métropole, Mohamed Sajid.
Ce nouveau plan tend à consolider le positionnement économique de la région pour en faire un véritable hub financier international à travers la mise en œuvre d'une série de projets ambitieux d'une valeur globale de 33,6 milliards de DH. Il vise à réconcilier la ville avec ses habitants, optimiser la mobilité aussi bien en termes de temps d'attentes et de déplacement que de coût, développer une offre de divertissement différenciée et réelle, tout en prônant et incarnant l'excellence, hissant ainsi Casablanca au rang de modèle de réussite et de référence.
Le Plan de développement de la métropole s'articule autour de quatre axes stratégiques à savoir l'amélioration du cadre de vie, plateforme et mobilité, excellence économique et animation, l'objectif étant d'ériger Casablanca au rang de métropole attractive, agréable à vivre, en concordance avec les besoins et attentes de ses habitants.
Ce plan ambitieux se propose d'améliorer les conditions de vie des habitants, le renforcement de la mobilité au niveau de la région (tramway, ponts), la promotion de l'attractivité économique ainsi que l'amélioration du climat d'affaires pour réussir le positionnement de la région en tant que destination nationale et internationale de shopping et de loisirs.
Les citoyens seront associés en tant que force de proposition, dans le cadre du levier de développement de la bonne gouvernance et du cadre juridique, à la mise en œuvre des chantiers de ce plan, à travers les instances élues et la société civile.
De même, le secteur privé et la société civile seront associés à l'élaboration, l'évaluation et la mise en œuvre des politiques publiques au niveau local, à travers un observatoire régional d'évaluation et de suivi et une instance chargée de l'accompagnement et du suivi de ce plan de développement.
Ce Plan de développement aspire également à la mise à niveau des infrastructures culturelles, sportives et d'animation au niveau de la région du grand Casablanca.
Quatre conventions relatives à la réhabilitation et la mise à niveau des infrastructures de divertissement et de loisirs du Grand Casablanca (1,13 milliard DH) et à l'aménagement du littoral touristique visant l'aménagement des corniches d'Al Hanek, Mohammedia, Dar Bouazza et la mise à niveau de la corniche Ain Diab pour un montant de 700 millions DH ont été signées à cet égard.
D'autres conventions ont été également conclues portant sur des actions de marketing territorial (300 millions DH), la mise à niveau et l'équipement des quartiers dits "sous-équipés" (2 milliards DH), l'amélioration de la mobilité et des moyens de transports publics (16 milliards DH) et la construction des équipements publics projetés dans le cadre des opérations de lutte contre l'habitat précaire ( 750 millions DH).
Les axes stratégiques définis par le Plan de développement de Casablanca montrent qu'il s'agit bien d'un projet intégré qui mobilisera des fonds importants, plaçant l'élément humain au centre des préoccupations et touchant l'ensemble des domaines économique, social, sportif et culturel, le but étant d'ériger la capitale économique du Royaume en un espace attractif aussi bien pour les habitants que pour les investisseurs et les touristes.
Depuis l’ouverture de la nouvelle rue Flandin en février, la SPL Lyon Part-Dieu a transformé une partie de l'ancienne rue en une vaste prairie temporaire, qui sera accessible au public dans les prochains jours. Situé entre la nouvelle rue et les voies de tramway, cet espace provisoire dessine les contours de la pointe nord de l’esplanade Mandela réaménagée à horizon 2023. Première étape : la réalisation d'un semis provisoire et de cheminements piétons avant la mise en place d'une prairie fleurie à l'automne. Explications en images sur les derniers aménagements réalisés.
Côté Béraudier : retour en images sur 2 années de travaux en 3 minutes !
Flashback sur la première phase de tranformation du pôle d'échanges multimodal, côté Béraudier. De mars 2018 à mai 2020, revivez en accéléré près de 2 ans de travaux en quelques minutes : la démolition du hall sud de la gare, la création du hall de gare provisoire, les différentes étapes de démolition des bâtiments, la fresque du gorille, les travaux de la place Béraudier... Un premier condensé des images captées quotidiennement par la webcam chantier accessible sur le site internet du projet.
➔ Du 1er au 24 juillet Réouverture de la maison du projet En raison des mesures sanitaires, les visites s'effectuent pour l’instant sur rendez-vous préalable. Contactez-nous ici
Concours photo #PartDieu24H
Plus de 300 photos ont été reçues via le concours organisé par la SPL Lyon Part-Dieu, sur le thème « Tous les temps sont à la Part-Dieu ». A partir de juillet, découvrez une sélection de 55 photos exposées sur la palissade chantier de la rue Bouchut, dont celles des 7 lauréats.
petits achats pour me remonter le moral après avoir mis dehors le seul déménageur qui soit venu(les autres ne sont pas venus...) et m'être esquinté le dos sur la cuisine
Quelqu'un peut-il m'aider pour l'électricité?
abdos, fessiers et étirements
dimanche 6:marché, boulangerie,supermarché
1,89 km
abdos, fessiers et étirements
caves
Quelqu'un peut-il m'aider pour la vider
et aller à la déchetterie ou mettre aux encombrants, les choses lourdes?
lundi 7 septembre 2020: 1,8 km de chez moi à mon premier CDI(tram et pieds)
9 ans et huit mois sans fumer
4,5 km dans le reste de la journée dont médiathèque de la cité du design
mardi 8 septembre 2020:4,43 km
appart-gare où je prends le bus-marche pour arriver au collège
ballade dans St Just St Rambert
bu
7,10 km en tout
9 septembre
Enfin un bain pour mon dos et me bichonner plus depuis 2 semaines, je crois après caves où je vais continuer à avancer.... seule
3,47 km à pied
+1,5 dans l'eau
et un petit malaise
10 septembre
septembre: de chez moi à mon cdi 1:2,08 km
Si quelqu'un sait reboucher les trous dans un appartement Peut m'aider à vider ma cave mettre des choses sur le trottoir lundi soir prochain pour les encombrants
Vous me sauverez une partie de mon déménagement
La fille de voisine a eu pitié de moi hier
et m'a aidé (avec sa fille à monter beaucoup de choses
Elle m'aidera aussi demain et lundi pour les encombrants
tous les soirs: planches, abdos, fessiers, étirements
Aujourd'hui vendredi 11 septembre 2020
1,46 km pour aller chercher la presse du vendredi , prendre le bus à la gare
et aller de l'arrêt de bus à mon cdi 2
Fatiguée, douloureuse, coupable d'être vivante à la place de celui qui devrait être là
2,03 km à midi
5,43 km en tout
samedi 12:5,16 km rien qu'en déménageant
Dimanche 13
deux voisins m'ont aidé à monter le train de mon mari. Ca a été physique, compliquée, émouvant et j'ai encore braqué quelqu'un contre moi
3,04 km
accidentée sur mon pied
lundi 14:6,48 km
aujourd'hui mardi 15:1,88 de la maison à mon cdi 2
1,87 km ce midi jusqu'aux bords de Loire et retour
hier en tout:5,55 + planche, abdos, fessiers, étirements
mardi 15:
5,55 km
mercredi 16 septembre:10,07 km
+ 1,5 km à la piscine
17 septembre:8,96 KM
L'anniversaire de la mort de Didier approche et je le vois mort et je le vois vivant et vider notre appartement a été un déchirement Enlever son nom de la porte etc.
18 septembre:4,8km
19 septembre:1,56 km rien qu'en, aller-retour entre le rdc et le 2 e
20 septembre:1,94: marché, boulangerie et supermarché
21 septembre:1,66 km essai de l'itinéraire 2 pour aller à mon cdi 1
5,79 km en tout
retour du cinéma à pied alors que je pensais qu'il y aurait encore des tramways
22 septembre:1,79 km pour le trajet maison-bus-cdi 2
5,06 en tout
Ouvrir les cartons de déménagement me fait du mal, du bien nos vies y sont mais pas toi
photo et texte ci-dessous Wikipédia avec mes annotations en gras
lever 5h45
départ :7h
presse du vendredi
tram
bus pendant 1h pour aller de la Loire au Rhône notre département voisin
je connaissais déjà pour y être allée déjà la plupart des lieux sur l'itinéraire mais j'ai eu quelques larmes car je n'étais pas allée par là depuis le mort de mon mari
même après 3 ans et demi, encore des 1 ères fois sans lui...
repas sur place
j'ai fait sauter ma ceinture chauffante
mais pas ma genouillère
mes 1 ers coups de soleil
quiproquo avec le chauffeur de bus(j'attendais devant son bus(au même endroit où le bis m'avait déposé le matin mais quand l'horaire de départ est arrivé, il est parti vers le vrai arrêt, je ne savais pas ,1 ère fois/ça m'a été expliqué abruptement)
dispute avec ma voisine de siège
qui m'a ramené dans mon département
retour 15h20
courses
tram
bus
13,4 + gym du soir
La découverte d'un nouveau paysage comme tout ce qui m'intéresse(2 e partie ce blog) inspire ce que j'écris comme
Les habitants de ce village sont appelés les Pelauds1 en souvenir de l'importante activité de tannerie qui existait jadis sur la commune.
Sa position le long d'un axe routier reliant la plaine du Forez et la vallée du Rhône lui a donné depuis le Moyen Âge une vocation de village-centre qui se traduit aujourd'hui par l'importance des activités de service.
Située à une altitude variant de 580 m à 610 mètres, Saint-Symphorien-sur-Coise est une commune de moyenne montagne encadrée par les points culminants des monts du Lyonnais (le crêt Malherbe (943 m), le signal de Saint-André (937 m), le signal de la Courtine (933 m). Le village est établi sur un piton rocheux au confluent
de laCoise et de l'Orzon qui s'écoule en direction de l'ouest vers la Loire. A VOIR UNE PROCHAINE FOIS
Saint-Symphorien-sur-Coise est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'InseeNote 1,2,3,4. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Symphorien-sur-Coise, une unité urbaine monocommunale5 de 3 682 habitants en 2017, constituant une ville isolée6,7.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lyon, dont elle est une commune de la couronneNote 2. Cette aire, qui regroupe 398 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)8,9.
La commune, instituée par la Révolution française sous la dénomination de Saint Symphorien sur Coise est renommée Chausse-Armée le 29 frimaire de l'an II, puis Saint-Symphorien-sur-Coise (ci-devant le Châtel) en 1801, avant de reprendre son nom traditionnel12.
La dénomination révolutionnaire de Chausse-Armée rappelle que, de tous temps, ce bourg de tanneurs
J'ai vu les anciennes tanneries
et de cordonniers a fourni une quantité considérable de souliers aux armées.
Saint-Symphorien était le carrefour de l’Iter viennensis, (le grand chemin de Vienne à Roanne) et de la première « voie d’Aquitaine » partant de Fourvière pour rejoindre l’Auvergne en direction de Bordeaux.
En 2018, Saint-Symphorien-sur-Coise est également le siège du syndicat intercommunal des eaux des Monts du Lyonnais et de la Basse vallée du Gier15.
Le marché « producteurs et forains » se déroule chaque mercredi depuis le quinzième siècle[réf. nécessaire] et existe toujours de nos jours.
Place de la Bouterie se tenait le marché aux porcelets qui attirait les producteurs de toute la région. À la suite des plaintes des riverains importunés le marché fut déplacé puis abandonné.
La commune dispose d'une soixantaine de commerces de proximité et de dix toilettes publiques.
À la fin du Moyen Âge, la ville de Saint Symphorien le Château était réputée pour la fabrication du drap noir puis pour le travail des cuirs et peaux[réf. nécessaire].
L'industrie de la salaison dont le site de production le plus important aujourd'hui est l'entreprise Cochonou, suivie de l'entreprise familiale Chillet créée en 1912.
J'ai vu le magasin d'usine
La légende veut qu'un boucher du nom de Martel ait oublié des saucisses au fond d'un placard, et après les avoir goûtées, il aurait reproduit le procédé pour fabriquer et commercialiser sa découverte sous le nom de saucisson[réf. nécessaire].
Ceci est une légende locale qui a donné naissance à une chanson..
La production du chapeau de paille qui a employé jusqu'à 700 personnes ;
La fabrication des meubles représentée par l'entreprise Grange Cette entreprise crée en 1904 produisait des meubles de haut de gamme et copie d'ancien. Elle employait 106 personnes en France et 70 à l'étranger. Elle a été placée en liquidation judiciaire, faute de repreneur, en 34.
La commune est un des 100 plus beaux détours de France et dispose d'un circuit patrimoine. Elle est traversée du nord au sud par le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle.
PATRIMOINE VU
L'église collégiale du xve siècle, classée monument historique en 1920, est construite sur un piton rocheux, à l'emplacement du château fort édifié au xie siècle par les comtes de Forez. Les comtes de Lyon, devenus maîtres du territoire, après avoir démantelé la forteresse, la transformèrent en église romane, destinée à remplacer l'ancienne chapelle Saint-André-des-Arcs dont on ignore l'emplacement.
Le nouvel édifice a été consacré au martyrSymphorien d'Autun. À partir de 1407, le cardinal Girard, natif de Saint-Symphorien-sur-Coise, consacra une grande partie de sa fortune pour la transformer en un édifice gothique selon le goût de l'époque36,37.
Compte tenu de la configuration du site, elle n'a pas de transept et son allure de forteresse rappelle la fonction défensive du site.
Aux xve et xvie siècles des familles de notables locaux ont financé la construction des chapelles latérales.
Vitraux de l'église consacrés à la légende de Saint Symphorien
Terrenoire se situe sur l'ancienne via romipedum reliant Lyon et Le Puy-en-Velay. Le nom de Terra Nigra apparaît dans les textes en 1255.
Terrenoire a peut-être connu l'occupation romaine. C'est en tous cas ce que laisserait penser la découverte au xixe siècle, des vestiges d'une briqueterie romaine près du Janon et deux bornes milliaires retrouvées aux lieux-dits l'Etrat-sous-Gillière (près de la gare) et Pavillon blanc1. Une capture des eaux du Janon et du Langonand afin d'alimenter le bassin versant l'aqueduc du Gier aurait potentiellement pu être réalisé dans le secteur.
L'histoire industrielle de Terrenoire commence en 1816, date où l'ingénieur De Gallois forme le projet de créer des hauts fourneaux et une forge à l'anglaise2. L'endroit combine deux avantages pour cette activité : la présence de charbon avec du minerai de fer et la ligne de partage des eaux permettant des livraisons à la fois sur la Loire et sur le Rhône. En 1822, les premiers hauts fourneaux sont mis à feu mais la Compagnie des Mines de fer, dirigée par De Gallois, rencontre de nombreuses difficultés et fait rapidement faillite3. Les terrains sont alors loués jusqu'en 1863, date à laquelle une aciérie Bessemer y est installée avec des fours Martin. Cette installation devient la plus grande entreprise métallurgique française jusqu'en 1888, où la concurrence de celles de l'Est et du Nord conduisent encore une fois le site à la faillite2.
Parallèlement, la Société anonyme des Fonderies et forges de la Loire et de l’Isère s'établit à côté, avec un haut fourneau à coke. Elle est dirigée par Louis Frèrejean, concessionnaire des mines de fer de la Voulte, Henri Roux, exploitant de mines à Côte-Thiollière, et le baron de Blumenstein, dont la famille est concessionnaire depuis 1717 de diverses mines de plomb en Ardèche3. Localement, François Verpilleux en est le directeur ; les ouvriers, principalement anglais, sont une soixantaine en 1838 et sont logés sur place3.
En 1827, une chapelle est construite sur les hauteurs de Terrenoire pour pallier le besoin de la population grandissante. Aujourd'hui disparue, son emplacement peut cependant être déterminé sur le côté nord de l'actuelle rue Jules Ferry, d'après les nombreuses descriptions et vues du bâtiment3.
Dès 1830, le percement du tunnel sous la ligne de partage des eaux entre le Pont-de-l'Âne et Terrenoire amène la nouvelle voie ferrée reliant Saint-Étienne à Lyon à proximité immédiate du village. L'implantation de la gare ferroviaire favorise alors le développement des hauts fourneaux (Compagnie des Forges et Aciéries de Terrenoire, premières forges à l'anglaise de France4). Le déplacement des populations est également favorisé, que ce soit localement ou plus internationalement avec l'arrivée de populations étrangères5.
En 1871, un viaduc est construit au-dessus du Janon pour relier les usines au reste des voies, amenant la Compagnie à être propriétaire de 23 km de rail3.
En 1882, une ligne de tramway est aussi ouverte au public3.
Le déséquilibre démographique grandissant entre Terrenoire et le reste de la municipalité de Saint-Jean-Bonnefonds ainsi que la pression des maîtres de forges aboutissent en 1866, par décret impérial, à la création de la commune de Terrenoire et à la construction de l'actuelle mairie. C’est alors un village proche de la ville de Saint-Étienne, fortement industrialisé avec de grandes industries du xixe siècle comme les forges, et composé de maisons bourgeoises et d’anciennes habitations d'ouvriers.
La ville est dépendante de l'industrie sur beaucoup d'aspects. De 1866 à 1885, le maire de la ville nouvellement créée est le directeur de l'usine. Par ailleurs, de nombreux lieux, comme les écoles, les places et le cimetière, restent longtemps propriété des usines3. La population, travaillant en majorité dans les usines, voit son nombre augmenter et diminuer au gré de la bonne santé des industries. En 1866 à la création de la commune, 86 % des 4 810 Terranéens sont des travailleurs industriels ; en 1876 la ville est passée à 6 400 habitants mais perd environ 40 % d'entre eux après la faillite de 1889, réduisant son nombre à 39296.
Terrenoire reste indépendante un petit siècle : le 1er janvier1970 elle fusionne avec la ville de Saint-Étienne.
Restant principalement ouvrière, la ville de Terrenoire voit ses activités professionnelles se diversifier dès le début du XXe siècle, faisant repartir en hausse la population5.
Les professions libérales se développent, de plus en plus de commerçants s'installent dans les rues principales. Le domaine industriel reste toutefois le premier employeur, mais regroupant de nombreuses petites usines dont l'activité est multiple. L'activité minière reste présente avec les Houillères de Saint-Étienne, mais apparaissent également les industries métallurgiques et de quincaillerie.
Du côté du bassin de Janon, l'usine Martouret, construite en 1900, se délocalise dans les année 1990 ; elle laisse un héritage dans Terrenoire, la rue Guillaume Martouret, dans le lotissement construit sur les ruines du plateau des Forges3. L'usine de clous Eenberg elle aussi s'implante de 1900 à 1925 sur le flanc nord-ouest du bassin de Janon et laisse place ensuite, de 1925 à la fin des années 1990, à la Société Moderne d'Étirage3. La Manufacture des Ressorts est, elle, active de 1911 à 2011, entre l'actuelle avenue du Pilat et le bassin de Janon.
Sur le territoire du centre et en direction de Lyon, la Manufacture française des Fourches est en activité de 1911 à 1991 dans l'ancienne halle Bessemer, longeant le début de l'actuelle rue Louis Destre3. Juste à côté, longeant le début de la rue de Lyon, la chaudronnerie Desfontaine et Cie reprend la place des fours Martin de 1898 à 1998, date où les bâtiments sont rachetés par la Société Traitement Thermique de Terrenoire encore en activité en 20173. Sur le prolongement de la rue de Lyon, deux autres industries voient le jour : l'imprimeur sur ruban Neyret, de 1890 à 1970 et dont les locaux sont aujourd'hui détruits, et la Manufacture des lits et sommiers métalliques Léon Beaud, ouverte en 1914. Enfin, sur le bord sud de l'actuelle place Vial, la parfumerie Thomas et Guinamand ouvre en 1911 et est toujours en activité en 2017, sous le nouveau nom de Claude Gallien3.
Des passementeries s'ouvrent aussi avec celle de Darnon sur la route en direction de Rochetaillée, dont les locaux sont détruits dans les années 2000, et celle de Garret3.
Sa construction aurait eu lieu de 1850 à 18607 mais un journal d'élève de l'École des Mines en fait déjà une description dans son journal daté de 18408. Il est d’abord créé comme une réserve d’eau pour l’alimentation des industries jusqu’en 1937, date où la mairie décide de l'aménager en plan d'eau pour la baignade et pour des fêtes nautiques avec des concours de joute ; la natation est pourtant interdite en 1940 pour cause de pollution du bassin. Aujourd’hui le bassin a été repris par la fédération de pêche.
La place Aristide Briand : initialement appelée « place des Forges », son organisation spatiale se met en place dans les années 1840, notamment avec la construction de deux grands bâtiments encore en place bordant ses côtés est et nord, toujours en place en 2017. Au XIXe siècle, ces bâtiments forment probablement la caserne de logements des ouvriers bordant, les bureaux de l'usine et l'école3.
La halle des fours Martin : l'un des derniers témoins de ces fours, avec son pignon daté de 18742
La gare de Terrenoire : une gare ferroviaire dessert Terrenoire au XIXe siècle, citée dès 18339. La gare n'est aujourd'hui plus en service et, quoique le quai reste encore visible en 2017, les bâtiments ont tous été détruits.
Tunnel ferroviaire de Terrenoire (NB : l'auteur a pris des libertés avec la réalité : à l'origine, le tunnel de Terrenoire est à voie unique)
Le stade de Janon : les différentes usines de Terrenoire avaient chacune leurs équipes de football. Les ouvriers ainsi que leurs dirigeants ont donc demandé la construction d'un stade municipal. Il fut achevé en 196010. En 2010, un nouveau terrain synthétique y a été inauguré11
Le parc du château de la Perrotière12,13,14 : il est construit à la fin du xviiie siècle par la famille Flachat qui y appose ses armoiries puis connu en tant que « Clos de Putheau » du nom de l'un des propriétaires suivants. Il s'agit d'une grande maison de maître avec une tour sur son angle nord, entourée d'un parc de 17 hectares et accompagnée de la maison de gardien face au portail ainsi que d'une chapelle aujourd'hui détruite. Le parc a fait l'objet de plusieurs projets au XXe siècle tels qu'une école de cadres, un hôtel de luxe et une réserve de chasse, mais qui n'ont jamais abouti ; la ville de Saint-Étienne l'acquiert en 1970 et le transforme en centre de loisirs en 1973.
La place du Pilat
La colline du Bois d'Avaize : bois au cœur de la ville, à l'extrémité du parc naturel régional du Pilat ; il a été aménagé en circuits thématiques sur la géologie et la flore. Il fut le théâtre d'une importante exploitation de charbon.
Le mur peint : rue du Château, Jérome Géraci a peint le mur d'enceinte de sa propriété en avril 2011, en s'inspirant des merveilles du monde15.
Le tramway : une ligne de tram reliait Terrenoire à la place du Peuple à Saint-Étienne de 1892 à 1951. En 1939 le tram a déraillé pour rentrer dans la Pharmacie Régionale de Terrenoire
L'église : sa construction débute en 1897 pour remplacer la chapelle construite en 1825 dont l'état est passablement détérioré. À cause de retard dans les travaux, l'église n'est terminée qu'en décembre 193017.
L'orgue de l'église :
Construit vers 1846 par les facteurs Hippolyte-César Beaucourt et Jean-Melchior Voegeli de Lyon, cet instrument est classé au titre des Monuments Historiques depuis 1987, mais il est resté à l'abandon et est en mauvais état. Pourtant ses sonorités sont belles, il nous est parvenu sans modification irréversible et il est le témoin d'une esthétique de transition. Depuis 2002, une association18 tente d'obtenir sa restauration.
Inventeur de la criminalistique, il est né à Saint-Chamond puis a rapidement déménagé à Lyon où il fondera le premier laboratoire de criminalistique français en 1910.
Emil Nolde, né Hans Emil Hansen le 7 août 1867 à Nolde dans la région Schleswig-Holstein et mort le 13 avril 1956 à Seebüll (musée Emil Nolde), est un célèbre peintre expressionniste et un aquarelliste allemand. Le Musée Städel présente la plus grande rétrospective de l'artiste Emil Nolde depuis 25 ans en Allemagne. Le regard sur l'œuvre de l'artiste a beaucoup changé depuis ce temps. Cette exposition réalisée grâce à de nombreux prêts de la Fondation Nolde Seebüll et d'autres collectionneurs, permet de ré(découvrir) les nombreuses facettes et la diversité des travaux d'Emil Nolde. Parmi les 140 œuvres exposées dans un ordre plus ou moins chronologiques (peintures, aquarelles, graphiques), le visiteur peut admirer l'œuvre tardive d'Emile Nolde, moins connue du grand public, ainsi que des œuvres jusqu'ici inconnues. Cette exposition ouvre de toutes nouvelles perspectives sur l'œuvre de cette expressionniste célèbre. Commissaire de l'exposition Dr. Felix Krämer (Städel Museum)
Städel Musum Schaumainkai 63 60596 Frankfurt am Main Horaires Mardi, mercredi, samedi, dimanche 10 –18 heures Jeudi et vendredi 10 – 21 heures Fermé le lundi Horaires spéciales 4.3., 18., 20. + 21.4., 1.5., 29.5., 8.6., 9.6., 10.6.2014 de 10.00–18.00 heures Prix d'entrée 12 €, tarif réduit 10 €, ticket famille 20 € Samedis, dimanches et jours fériés 14 €, tarif réduit 12 €, ticket famille 24 €. Réservez ici votre hôtel proche du musée Städel Site du musée Städel (en langue allemande et anglaise) Accès Métro U-Bahn U1, U2, U3 et U8 (Schweizer Platz) Tramway 15 et 16 (Otto-Hahn-Platz) Bus 46 - Museumsufer - Linie (Städel) Environ 10 minutes à pied de la gare centrale par le Holbeinsteg.
Le Musée Städel a présenté du 23 octobre 2013 au 2 février 2014 2014 le plus important artiste allemand de la Renaissance, Albrecht Dürer (1471–1528).
Le dialogue permanent d'Albrecht Dürer avec les œuvres de ses collègues allemands, hollandais et italien est le thème central de l'exposition à Francfort qui présente les travaux de Dürer dans le contexte de leur genèse.
Ainsi, ses précurseurs, contemporains et élèves comme Martin Schongauer, Hans Baldung Grien, Hans von Kulmbach, Jacopo de Barbari, Giovanni Bellini, Joos van Cleve ou encore Lucas van Leyden font partie de cette grande exposition. Grace à cette contextualisation, le visiteur peut contempler non seulement la qualité artistique de l'œuvre de Dürer, mais aussi son influence décisive sur l'art de la Renaissance nord-européen.
L'exposition Dürer réunit des prêts des collections les plus importantes du monde comme de la National Gallery Londres, du Museo Nacional del Prado à Madrid, de la National Gallery of Art à Washington, du Pariser Louvre, du British Museum à Londres, des Staatlichen Museen zu Berlin, des Uffiicies à Florence, du Rijksmuseum Amsterdatm et du Musée Paul Getty à Los Angeles. Commissaire : Prof. Dr. Jochen Sander
Sculptures au jardin du Städel
Nouvelle présentation avec des œuvres de Joannis Avramidis, Reg Butler, Janet Cardiff & George Bures Miller, Michael Croissant, August Gaul, Per Kirkeby, Markus Lüpertz, Olaf Nicolai, Tobias Rehberger, Michael Sailstorfer, Hans Steinbrenner, Jan Svenungsson, Arthur Volkmann, Gustav Heinrich Wolff, Fritz Wotruba.
Musée Liebieghaus Skupturen- sammlung
Schaumainkai 71 60596 Frankfurt am Main Site du musée Liebighaus (allemand et anglais) Réservez ici votre hôtel proche du musée Liebieghaus Métro / U-Bahn U 1, 2, 3 (Schweizer Platz) Tram / Straßenbahn 15,16 (Otto-Hahn-Platz) Bus 46 (Städel) Horaires d'ouverture Mardi, vendredi - dimanche 10 à 18 heures Mercredi et jeudi 10 à 21 heures
Le Musée Städel est l'un des plus importants et des plus célèbres musées d'art en Allemagne et est essentiellement dédié à l'art européen du 14e au 20e siècle en passant par la Renaissance, le Baroque, la moderne classique jusqu'à l'art contemporain. Avec ses 3 000 peintures, ses 600 sculptures, 500 phtographies et ses 100 000 dessins et graphiques, cette fondation créée en 1815 par Johann Friedrich Staedel compte parmi les collections les plus importantes du monde en présentant un panorama de l'histoire de l'art européen sur près de 700 ans.
Parmi les artistes célèbre, on trouve Lucas Cranach, Albrecht Dürer, Sandro Botticelli, Rembrandt van Rijn, Jan Vermeer, Claude Monet, Pablo Picasso, Ernst Ludwig Kirchner, Max Beckmann, Alberto Giacometti, Francis Bacon, Gerhard Richter, Wolfgang Tillmans ou encore Corinne Wasmuht... En plus de sa collection permanente, le musée propose régulièrement des expositions temporaires importantes, souvent en collaboration avec d'autres musées importantes comme le Musée du Quai d'Orsay, par exemple. Informations pratiques ici
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