En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Le musée Condé a la chance de conserver cinq tableaux importants de Jean Auguste Dominique Ingres, qu’il doit en outre à l’un des plus grands mécènes du peintre, bienfaiteur du château de Chantilly, le duc d’Aumale. Cadre idéal, donc, pour une évocation des liens d’Ingres avec la famille d’Orléans, il réunit pour une exposition exceptionnelle 110 œuvres qui permettent non seulement de retracer l’immense carrière du peintre, mais surtout, grâce à un nombre considérable de feuilles provenant du musée Ingres Bourdelle, d’entrer dans la fabrique des chefs-d’œuvre de cet éternel insatisfait qui fut l’un des dessinateurs les plus virtuoses de son temps.
Qu'est-ce qu'une nature morte ? Où et quand est-elle apparue ? Que dit-elle sur la vie ? Existe-t-elle toujours ? C'est à ces questions simples que répond ce hors-série de Télérama.
Résumé: En 56 tableaux, où se mêlent chefs-d'œuvre et curiosités, il invente un musée, presque idéal, de ce genre, jadis injustement méprisé (en France, tout particulièrement), aujourd'hui englouti dans la masse des objets culturels contemporains. La « visite » se déploie à travers quatre grandes thématiques – les vanités, les fleurs, la nourriture et les matières. Une mise en perspective historique et un portfolio autour de l’exposition « Les Choses », au Louvre, complètent le tableau.
Le 130e anniversaire de la mort de Gustave Caillebotte (1848?1894) marque aussi les trente ans de la découverte de sa peinture par le public français, au Grand Palais. Le musée d’Orsay, dont la collection impressionniste est née du legs fait à l’État par le peintre, célèbre à cette occasion celui dont il a acquis en 2022 l’énigmatique Partie de bateau, classée trésor national. Structurant son propos autour de la figure masculine, à laquelle Caillebotte fut le seul impressionniste à réserver une place quasi exclusive, l’exposition réunit les plus grands tableaux de figures de l’artiste accompagnés de nombreux dessins et études, de clichés, de documents et d’archives.
Parmi les quelques 10 000 œuvres entrées dans les collections depuis 2010, certaines ont été présentées au public à l’occasion d’expositions, d’autres sont ici dévoilées. Le visiteur est invité à découvrir cet ensemble remarquable au fil d’un parcours organisé par technique (dessins, estampes, tableaux, études à l’huile, lettres et manuscrits, artistes contemporains).
La variété des œuvres témoigne de la grande curiosité de Ger Luijten. Si les écoles hollandaise et flamande sont richement représentées, des dessins danois côtoient des estampes britanniques ou un dessin allemand, une esquisse espagnole. Des noms célèbres avoisinent des artistes moins connus ou mêmes anonymes, tous unis par le goût si idiosyncratique et poétique qui animait les choix de Ger Luijten.
En rassemblant une cinquantaine de tableaux majeurs du maître grâce à des prêts internationaux de premier ordre, la National Gallery accueille la première rétrospective consacrée à Véronèse outre-Manche. C’est l’occasion de suivre toute la carrière du peintre, des débuts à Vérone à la maturité des grands retables vénitiens, au fil d’un parcours où se révèlent le brillant portraitiste et le grand interprète des épisodes bibliques et mythologiques.
Labellisé Musée de France, le musée entretient la mémoire des Trois Dumas par l'exposition d'oeuvres, d'iconographies et d'objets ayant appartenu à la famille Dumas.
En charge de la conservation du patrimoine dumasien mais aussi de la collection sur l’histoire de la ville, le musée accueille les visiteurs, les groupes et les scolaires et programme des expositions temporaires ainsi que des évènements culturels.
Installé dans un hôtel particulier du XIXe siècle, le musée dispose de trois salles ouvertes au public.
La première est consacrée au Général Dumas, né en 1762 à Saint-Domingue, et regroupe des documents (nominations, ordres, correspondances), des tableaux, des portraits et des photos.
La deuxième réservée à l’auteur des « Trois Mousquetaires », Alexandre Dumas Père, né à Villers-Cotterêts le 24 juillet 1802, propose des bustes, des statues, des portraits, des caricatures, des manuscrits et les originaux de quelques pièces, ainsi que des photos, des tableaux, des lettres…
Dans la troisième salle sont rassemblés des bustes et portraits, des gravures, des documents et différents objets (dont un habit d’Académicien) ayant appartenu à Dumas Fils, auteur de « La Dame aux Camélias », né à Paris en 1824.
La diffusion d’un document audiovisuel permet au public de découvrir la vie passionnante et passionnée d’Alexandre Dumas.
" Chef œuvre incomparable , véritable résumé des peintres sur la couleur, le mouvement, le temps, l'espace..."
"Les Ménines" est l'un des tableaux les plus énigmatiques de l'histoire de l'art. De nombreux peintres à partir du XVII ème siècle: Goya, Edgar Degas, Edouard Manet, Salvador Dali se sont confrontés à cette oeuvre notamment Picasso qui lui consacra en 1957 une série de 58 tableaux.
Le biographe de Velasquez , Antonio Palomino a pu identifier tous les personnages ( voir les détails à partir des vignettes ci dessous)
un grand nombre de questions se pose à propos de ce tableau:
qu 'est donc en train de peindre Velasquez sur la toile et que l' on ne peut voir? Où se tenait Velasquez pour peindre la scène et lui-même? Quelle est la source de l' image reflétée dans le miroir? Pourquoi l' habit du peintre porte-il la croix de l' Ordre de Santiago? A-t-il voulu fixer sur la toile simplement une scène de Palais ? Faut-il y trouver des motivations allégoriques ou métaphysiques?
De nombreuses interprétations , sans doute restent encore à venir....
pour agrandir les images, cliquez sur chaque vignette...
Loin de la magnificence du siècle des Lumières, et de l’agitation créée par la Biennale d’art à partir de 1895, Venise au XIXe siècle est rarement montrée. Dans la continuité du fonds vénitien d’Auguste Bouillier, l’équipe du Musée J. Déchelette a organisé une exposition exceptionnelle à ne pas manquer. « Venise au XIXe siècle : une ville entre deux histoires » présente plus de soixante oeuvres, des tableaux de maîtres comme Ziem, Boudin, Le Sidaner, mais aussi des dessins, estampes et photographies.
Unique par son gouvernement et sa puissance, la République de Venise a été une des métropoles les plus en vue du XVIIIe siècle. Les tableaux de cette période, les célèbres vedute vendues dans toute l’Europe, la présentent grouillante d’activité, fière, riche et influente. Mais en 1797, sa situation bascule. Etrillée par la Campagne d’Italie napoléonienne dont elle s’était pourtant tenue à l’écart aussi longtemps que possible, dépouillée de son autonomie légendaire, dominée par la France puis l’Autriche, elle sombre dans une léthargie critique, ponctuée de secousses telles la Révolution de 1848.
Les artistes cependant n’oublieront pas Venise. Chacun lui rendra hommage à sa manière. Certains exprimeront leurs regrets en peignant, dans le glorieux cadre du passé, désormais déserté, une population privée d’espoir. D’autres trouveront dans son histoire matière à des toiles romantiques au paroxysme de la tragédie. A la fin du siècle, Orientalistes, Impressionnistes, Symbolistes et Pointillistes se rejoindront pour louer l’harmonie d’une ville de marbres et d’or surgie des flots. Ils verront dans cette ville sans pareille, le cadre idéal de leurs recherches plastiques. Leurs toiles colorées, plébiscitées dans toute l’Europe, entraîneront Venise dans le XXe siècle.
S’il existe bien des affinités entre les deux « courants », à commencer par la pratique du plein air, les différences chronologiques, historiques et esthétiques n’en demeurent pas moins irréductibles.
Le groupe (Serafino De Tivoli, Telemaco Signorini, Vincenzo Cabianca, Giovanni Fattori...) se constitue vers 1855, à Florence, sur la base d'une contestation à la fois politique (les luttes du Risorgimento) et artistique. Rejetant l'académisme et le romantisme, ils revendiquent le traitement de thèmes nationaux issus de la vie quotidienne, à travers une technique libre fondée sur la touche rapide et la tache (macchia), d'où le surnom (péjoratif) qui leur fut donne par un critique en 1862. À la différence des impressionnistes, qui viseront à la dissolution des formes dans la lumière, ils construisent leurs tableaux par juxtaposition de blocs colores sombres et clairs. Aux thèmes urbains, ils préfèrent les sujets ruraux et provinciaux, et aux grands formats les tableaux intimistes. Cette exposition permettra de mieux cerner la modernité précoce et l'originalité incontestable de ces peintres « tachistes ».
J'avais déjà assisté à des ventes aux enchères mais ce qui m'intéressait (pas pour acheter:: même le moins cher n'était pas à ma portée) dans celle-ci, c'étaient surtout les tableaux.J'ai pu découvrir des artistes que je ne connaissais pas et en redécouvrir d'autres.
Henri Jean PONTOY (1888-1968) : Il étudie aux Beaux-Arts de Paris sous la direction de Luc-Oliver Merson. Il est dans un premier temps graveur et même musicien, puis peintre. En 1926 il obtient une bourse de voyage pour la Tunisie. La même année, il devient sociétaire du Salon Tunisien. En 1947-48 il voyage avec Majorelle en Guinée. Il s'établit au Maroc, à Fès, et expose en Afrique du Nord et au Salon de l'Afrique Française à Paris en 1947. Il devient professeur des arts et lettres au Lycée Moulay Idriss de Fès(Maroc).
La gravure (originale inscrite épreuve d'artiste dans la marge à gauche et signée à droite au crayon) mise en vente et intitulée "La palmeraie" était évaluée entre 6000 et 8000 Dhs, a été mise aux enchères à 5000 et a été vendue 6500 Dhs.
POUR LE PRIX APPROXIMATIF EN EUROS,DIVISER LE PRIX EN DIRHAMS(LA MONNAIE MAROCAINE) PAR 10.
J'avais déjà assisté à des ventes aux enchères mais ce qui m'intéressait (pas pour acheter:: même le moins cher n'était pas à ma portée) dans celle-ci, c'étaient surtout les tableaux.J'ai pu découvrir des artistes que je ne connaissais pas et en redécouvrir d'autres.
Femmes dans la palmeraie, gouache et pastels, 60x45
Edouard HERZIG (1860-1926) : Peintre de genre, il pratique l'huile, la gouache, l'aquarelle ou le dessin. Il fut aussi illustrateur et décorateur. Il s'installe très jeune en Kabylie où il peint des scènes orientalistes.
Une femme nue couchée sur un lit : un sujet qui appartient depuis fort longtemps à l’histoire de la peinture. Et pourtant Olympia provoque un violent scandale au Salon de 1865. Manet devient le héros de la jeune génération qui inventera l’impressionnisme.
Pierre-Auguste Renoir « Les beaux dimanches d’été »
Un bal populaire à l’enseigne des moulins de la Butte Montmartre. Une joyeuse foule d’un dimanche de l’été 1876. Présenté lors de la troisième exposition impressionniste, le Bal du moulin de la galette est l’un des rares tableaux à échapper aux sarcasmes qui accueillent les peintres de cette nouvelle école.
Claude Monet « La couleur de l’instant »
En 1895, Claude Monet peint le pont japonais qu’il a fait construire au-dessus d’un petit étang semé de nymphéas. Jusqu’à sa mort en 1926 il reprendra des dizaines de fois ce même motif. Soucieux de capter, selon les heures de la journée, les moindres nuances de la lumière sur le pont, sur l’eau ou la végétation, Monet peint plusieurs toiles à la fois et ensuite les expose ensemble : l’idée moderne de série prend sa source avec ce Bassin aux nymphéas.
Commentaire
Ce film fait partie de la série Palettes, consacrée aux grands tableaux de l’histoire de la peinture. Grâce aux plus récentes techniques de l’animation vidéo, les secrets des images sont racontés comme autant d’aventures dans le plaisir de la découverte.
Générique
Production : La Sept - Arte, Palette Production, musée d’Orsay, France 3, Delta Image
Paul Guillaume, dans sa revue Les Arts à Paris, décrit comment le Docteur Barnes, un des ses plus importants clients, découvre en 1923 la peinture de Soutine : « Un jour que j'étais allé voir chez un peintre un tableau de Modigliani je remarquai dans un coin de l'atelier une œuvre qui sur-le-champ m'enthousiasma. C'était un Soutine: et cela représentait un pâtissier – un pâtissier inouï, fascinant, réel, truculent, affligé d'une oreille immense et superbe, inattendue et juste : un chef d'œuvre. Je l'achetai. Le Dr. Barnes le vit chez moi. – Mais c'est une pêche, s'écria-t-il ! Le plaisir spontané qu'il éprouva devant cette toile devait décider de la brusque fortune de Soutine. » Par la suite, Barnes achète toute la dernière production de l’artiste, créant un engouement bientôt suivi par nombre de marchands. Paul Guillaume n’échappe à cet intérêt, et achète à partir de cette date, un ensemble massif de tableaux du peintre. Avec 22 tableaux, la collection de Soutine du musée de l’Orangerie est la plus importante d’Europe.
Je précise que cet article n'est pas de moi (lien vers la page citée et si possible son auteur)mais que je suis auteure(inspirée par ce que j’aime, donc par ce blog) et que vous pouvez commander mes livres en cliquant sur les 11 bannières de ce blog
O. C, II, 471 : « J’avais hâte d’arriver au port et de m’abandonner entièrement à l’impression du splendide spectacle qui m’y attendait.O nature ! beauté, grâce ineffable des cités d’Orient bâties aux bords des mers, tableaux chatoyants de la vie, spectacle des plus belles races humaines, des costumes, des barques, des vaisseaux se croisant sur les flots d’azur, , comment peindre l’impression que vous causez à tout rêveur, et qui n’est pourtant que la réalité d’un sentiment prévu ? On a déjà lu cela dans les livres. On l’a admiré dans les tableaux, […] ; mais ce qui surprend aujourd’hui, c’est de le trouver encore si pareil à l’idée qu’on s’en est formée. […] Me voilà transformé moi-même, observant et posant à la fois, figure découpée d’une marine de Joseph Vernet. »Paysage picturalCadrageInvestissement affectifMes recherches sur les paysages dans le "Voyage en Orient" de Nerval en DEA sont dans la continuité de mon mémoire de maîtrise sur "Le paysage dans les oeuvres poétiques de Baudelaire et Nerval" publié maintenant comme mes 2 recueils sur The book sous le titre "Des paysages de Baudelaire et Nerval."http://www.thebookedition.com/des-paysages-de-baudelaire-et-nerval-laura-vanel-coytte-p-1283.htmlEn plus, les frais de port sont gratuits jusqu'au 31 mai.
Du jeudi 11 avril 2013 au vendredi 12 juillet 2013
Pour l'amour de Caravage.
La galerie G. Sarti crée l’événement en organisant une exposition de qualité muséale, qui réunit vingt-deux tableaux exceptionnels d’artistes italiens ayant travaillé dans la lignée du Caravage. Du "premier cercle" avec Bartolomeo Manfredi, Giovanni Battista Caracciolo, Cavarozzi, aux différentes écoles (Giuseppe Ribera, Daniele Crespi, Guido Reni), l’accrochage offre au public le plus bel ensemble d’œuvres caravagesques jamais réuni en galerie.
Peu d’artistes peuvent s’enorgueillir d’avoir eu la postérité du Caravage. Dès sa mort à Rome en 1610, et au cours des années qui suivent, son style bouleverse totalement le paysage artistique. Les peintres réinterprètent les principes qui ont fait la force et l’originalité du maître, le clair-obscur, les personnages empruntés à la vie réelle...Signés de grands artistes des écoles romaine, napolitaine, toscane, génoise, lombarde et bolonaise, tous les tableaux présentés dans cette exposition ont été réunis par Giovanni Sarti au cours des dix dernières années.