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Rechercher : neige

  • Sport du 31 décembre 2023 au 7 janvier 2024:13 ans sans fumer

    petite boîte de foie gras de mon dernier mi-temps pour 2 midis+ tarte au citron

    dernier marché de l'hiver dans mon quartier

    + gaz

    + bisque de homard pour mon réveillon + croûton et gruyère

    2,69 km

    poids aux chevilles dès le matin

    01/01/2024:2h de gym et danse

    02/01/2024:marché: fruits et yaourts

    2,87 km

    + gym et danse

    2h d'exercice physique

    3/01:remise fidélité à la librairie

    psy

    médiathèque

    yves rocher

    épicerie turque: yaourts à boire

    5,17km+ gym et danse

    2h d'exercice physique

    4/01: presse du jeudi

    bus

    piscine:2 km

    bus

    gaz

     + autres courses

    3,11 à pied

    5/01:presse du vendredi

    tram

    marché

    bus

    médecin

    pharmacie

    bus

    4,61 km

    1h de marche

    + 1h de danse et vélo

    6/01:tabata

    HIIT

    BAIN

    SIESTE

    tram

    courses

    cinéma

    NEIGE FONDUE

    7/01/2024

    APPEL orange: récupéré mon enregistreur télé

    HIIT

    TABATA

     

  • J'ai terminé hier soir: Les Ombres de la vallée(médiathèque)

    Les Ombres de la vallée par Sten

    Livre

    Sten, Viveca

    Edité par Albin Michel. Paris - 2023

    En pleine saison touristique, un cadavre affreusement mutilé est découvert près de la station suédoise d'Are. La victime est un ancien champion de ski, un enfant du pays aimé de tous. Non loin de là, dans un village isolé proche de la frontière norvégienne, la jeune Rebecka, qui rêvait de servir Dieu en épousant le pasteur d'une secte chrétienne, disparaît. Et si les deux affaires étaient liées ? Hanna Ahlander, aux histoires amoureuses tourmentées, et l'inspecteur Daniel Lindskog, débordé par sa vie de jeune père, mènent l'enquête. Tandis que la course contre la montre pour sauver Rebecka commence, ils rassemblent les pièces d'un puzzle beaucoup plus complexe qu'il n'y paraît... Après Une écharpe dans la neige, Viveca Sten, l'auteure de la série culte Meurtres à Sandhamn, poursuit les aventures d'un duo de choc dans le décor grandiose des montagnes du Jämtland.

    https://mediatheques.saint-etienne.fr/Default/doc/SYRACUSE/3216688/les-ombres-de-la-vallee-viveca-sten

  • J'ai terminé hier soir: : Duel / Frank Leduc

    Duel par Leduc

    Livre

    Leduc, Frank

    Edité par Belfond. Paris - 2024

    Un fait divers sans précédent ébranle la France. Voilà une semaine que deux cars scolaires ont disparu, avec à leur bord soixante-six enfants qui partaient en classe de neige. Aucune trace, aucune piste, rien. Pour les chaînes d'info, cette affaire hors normes est du pain bénit. Pour le commissaire Shepherd, chargé de l'enquête, c'est une énigme qui défie la raison. Jusqu'à cet appel du ravisseur. Affable, séducteur, ce dernier ne veut parler qu'à la négociatrice Talia Sorel, nouvelle recrue du Raid Une exigence qui ne plaît pas aux équipes de police, en particulier à Shepherd. Cette jeune femme sans expérience a-t-elle les épaules pour mener une telle affaire ? Saura-t-elle déjouer les pièges de ce manipulateur dangereux et parfaitement organisé qui tient toute l'opinion publique dans sa main ? Et d'ailleurs, qui peut garantir que Sorel n'est pas une taupe ?

    https://mediatheques.saint-etienne.fr/Default/doc/SYRACUSE/3239632/duel-frank-leduc

  • J'ai terminé cette semaine: Norferville / Franck Thilliez(médiathèque)

    Norferville par Thilliez

    Livre

    Thilliez, Franck (1973-....)

    Edité par Fleuve noir ; Impr. CPI Brodard & Taupin - 2024

    Dans l'univers hostile du Grand Nord, personne ne vous entend crier. Détective et criminologue à Lyon, Teddy Schaffran apprend que le corps de sa fille a été découvert dans une ville minière très isolée du Grand Nord québécois, Norferville. Morgane a été sauvagement mutilée, abandonnée dans la neige non loin d'une réserve autochtone. Sans réfléchir, Teddy plaque tout pour se rendre sur place, bien décidé à comprendre ce qui s'est passé. Là-bas, Léonie Rock, une flic métisse, est mise sur l'affaire. Elle est alors contrainte de renouer avec cet endroit coupé de tout où elle est née et où, adolescente, trois inconnus l'ont violée. Un retour vers son enfer, alors que les températures frôlent les -20°C. Ensemble, ces deux êtres éprouvés par la vie vont se démener pour trouver des réponses malgré l'inhospitalité de la nature et des hommes.

    https://mediatheques.saint-etienne.fr/Default/doc/SYRACUSE/3250200/norferville-franck-thilliez

  • Mon poème inédit:Paysages de chasse

    Défi #441

     

     

    441

    Hobereau

    Jouez-nous donc votre petit Gautier (Théophile)

    "Les hobereaux et les gentillâtres de province,
    parlant toujours de fumées et de laisses,
    de ragots et d’andouillers, d’hallali
    et de cerfs dix cors."

    Bien sûr, vous pouvez moderniser un peu,
    si vous le souhaitez.

    ... ou nous parler de faucon

    samedidefi

    Paysages de chasse

    Je ne peux relire un passage de Mademoiselle de Maupin sans penser à a préface

    Où Théophile Gautier, précurseur du Parnasse, proclame que l’art est inutile

    Et  ne vise que le beau, c’est la doctrine de « l’art pour l’art » et non pour la morale

     

    Je ne peux parler de Théophile Gautier sans penser à Nerval et Baudelaire

    Ce dernier dédie ces Fleurs du Mal à Gautier , « poète impeccable »

    Nerval fut l’initiateur de  Gautier, notamment en littérature allemande

     

    Je ne peux lire un passage  de Gautier concernant  le faucon et la chasse

    Sans penser à Eugène Fromentin et à son œuvre magnifique,

    Chasse au faucon en Algérie, auteur aussi de deux récits de voyage

    Baudelaire dédie un poème à Fromentin dans son recueil Les Epaves

    Maxime Du Camp évoque Nerval et Fromentin dans ses Souvenirs littéraires

    Il exagère sur Nerval mais n'oublie pas le chef d'œuvre de Fromentin, Dominique

    Je ne peux lire cette scène de chasse  sans penser à Maurice Genevoix et sa harde

    Dans ma bibliothèque d'enfance, les couvertures cartonnées en couleur des livres

    Je reste toujours ébahie devant les œuvres de Bruegel l'Ancien dont les Chasseurs dans la neige; je pense aussi à Jack London mais il faudrait de toute manière que je le relise

     

    En voyant  la Chasse à cerfs, l'hallali du cerf  de Gustave Courbet, paysage

    D'hiver en décor, je nous revois marchant dans la neige, cherchant en Franche

    Comté, avec réussite ou pas les tableaux de l'Ornanais parmi les grottes et les sources

     

    8 février 2017

  • J'ai aimé visiter dimanche dernier:HODLER MONET MUNCH

    Pourquoi réunir le temps d'une exposition Ferdinand Hodler, Claude Monet et Edvard Munch ? Parce que ce sont des peintres essentiels de la modernité européenne, entre impressionnisme, post-impressionnisme et symbolisme. Parce que leurs œuvres s'avancent dans le  XXème siècle – jusqu'en 1918 pour Hodler, 1926 pour Monet et 1944 pour Munch- et qu'elles ont exercé une influence déterminante dans l'histoire de l'art. Mais, plus encore, parce qu'ils ont tous les trois affronté des questions de peinture en apparence insurmontables, avec la même constance et au risque d'être incompris. Comment peindre de face l'éclat éblouissant du soleil , avec de simples couleurs sur une simple toile? Comment peindre la neige ? Comment suggérer les mouvements et variations de la lumière sur l'eau ou sur le tronc d'un arbre, malgré l'immobilité de la peinture ?  «J’ai repris encore des choses impossibles à faire : de l’eau avec de l’herbe qui ondule dans le fond… c’est admirable à voir, mais c’est à rendre fou de vouloir faire ça.» Ces mots sont de Monet, mais ils pourraient  être ceux du peintre qui, jusqu'à sa mort,  s'obstine à étudier l'horizon des Alpes depuis sa terrasse, de l'aube au crépuscule – Hodler. Ou de celui qui revient inlassablement – jusqu'à la dépression- sur les mêmes motifs colorés, une maison rouge, des marins dans la neige, le couchant – Munch. Tous trois ont mis la peinture à l'épreuve de l'impossible.

    http://www.marmottan.fr/fr/Exposition_en_cours-musee-2576

    Ces notes(que je n'écris pas et dont je donne toujours la source) sont des aspects de ce(ux)que j'aime qui nourrissent ce que j'écris (J'écris et je participe à des ateliers)dont  mes 14 livres en vente par les bannières sur ce blog).

    Lisez mes-derniers-textes inédits-sur-ce-blog

  • Mon poème inédit sur ce blog:J'aime plus NOEL( pour le défi 297 de Plume de poète)

    DÉFIS N °297 : THÈME " NOËL " LISTE DES MOTS ...

    Défis n °297 : Thème " Noël  " Liste des mots ...

    J'organise chaque semaine un défi

    Vous avez le choix dans la liste ci-dessous et la semaine pour le faire 

    D'écriture, Poésie, Acrostiches, Citations, texte d'Auteurs, Haïku,  prose etc...

    De créa  d'image, de gif, de photo, peinture, dessin, Vidéo, musique Reportage etc...

    Ayant pour règle un thème imposé

    Où 10 mots

    Ouvert du Dimanche au Dimanche  

    Vous faites comme ça vous arrange

    Même si vous dépassez la semaine

    Un grand bravo aux participants 

    Cette semaine le thème du 20/12/20 au 27/12/20

    C'est " Noël "

    --- Les 10 mots

    Mémoire, Temps, Illumination, Enfant, Décoration, Sapin, Chant, Joie, Neige, Beauté...

    On peut conjuguer , mettre au pluriel ou singulier

    et ou féminin , masculin, ou féminin ou masculin..

    https://plume-de-poete.over-blog.com/2020/12/defis-n-297-theme-noel-liste-des-mots.html?utm_campaign=_ob_pushmail&utm_medium=_ob_notification&utm_source=_ob_email

    Défis n °297 : Thème " Noël  " Liste des mots ...

    J'aime plus NOEL

     

    J'aime plus[1] NOEL,

    Celui d'aujourd'hui

    Il reste la mémoire

    D'un temps où il y avait moins

    D'illuminations, de décorations

    Et plus de crèches, de beauté


    J'aime plus NOEL

    Celui de "Mon beau sapin"

    Du "Petit Papa NOEL"

    Mon chant préféré

    C'est "Il est né le divin enfant"

    La joie de le chanter à minuit

     

    J'aime plus NOEL

    Qui nous harcèle depuis  deux mois

    Les pubs de bouffe, de jouets, de neige

    Et il y a cette année les râleurs du confinement

    Pas les plus à plaindre

    Mais ceux qui ne sont jamais contents

     

    21 décembre 2020

     

    [1] https://www.youtube.com/watch?v=0w8wa_n1wd4

  • Le plaisir des mots

    Par Claude Duneton.
     Publié le 11 octobre 2007
    Actualisé le 11 octobre 2007 : 12h45

    L’amour, toujours

    FAUT-IL L’AVOUER ? Beaucoup de mots français flottent d’un genre à l’autre. Certains parce qu’ils ont changé de genre entre le XVIe siècle et nos jours, la langue populaire ayant conservé longtemps leur sexe d’origine – c’est le cas des grosses légumes, ou de la poison. D’autres
    continuent à être en suspens ; le mot perce-neige, par exemple, est porté féminin par tous
    les dictionnaires, continûment jusqu’à aujourd’hui, alors qu’on l’emploie au masculin depuis
    la Restauration. Une chanson de 1807 s’intitule La Perce-neige, une autre de 1830 Le Perce-neige. Le Robert relève les deux genres, en 2001, sans broncher.
    Ongle fut autrefois masculin ou féminin selon les gens ; Bossuet met indifféremment aigle à l’un et l’autre genre, disant tantôt « ainsi qu’une aigle volante » dans une oraison funèbre, tantôt « avec la vitesse d’un aigle » dans une autre. La Fontaine l’aimait bien femelle : « On fit entendre à l’aigle qu’elle avait tort »…Or, tandis que le masculin gagnait du terrain pour l’oiseau vivant, l’aigle en effigie, sur des étendards, demeurait féminine ; on ne parle que de l’aigle romaine, et l’usage veut que l’on ait conservé « les aigles impériales ».
    Question délicate : faut-il dire une couple de pigeons, comme l’affirme votre vieil oncle lettré
    pendant les repas de famille où on les sert avec des petits pois du jardin ? Oui, on le peut, c’est joli. Mais contrairement à ce que croit votre parent, on n’est pas obligé… Bien sûr couple devrait être féminin de par son origine latine copula. Il l’a été longtemps : « Belle couple, heureuse union », dit Du Bellay. « Comme une couple de chevaux attelés », dit Montaigne.
    La question n’était pas tranchée au XVIIe siècle ; Ménage accepte indifféremment un ou une couple de pigeons. Il ajoute (c’est essentiel) : « Comme disent les femmes ». Cette remarque en dit long : le féminin se sera perpétué en catimini aux cuisines. « Marguerite nous préparera
    une couple de pigeons pour le baptême ! » Cela sent les raffinements de la cuisine bourgeoise de Mme Saint-Ange ; votre vieil oncle a raison !
    Mais on peut dire aussi une couple de boeufs, une couple d’heures – sauf si les boeufs sont attelés ensemble au joug, alors on dira une paire de boeufs. Ô nuance !…Pour Richelet (en 1694), couple est masculin en parlant des personnes, féminin en parlant d’animaux ou de choses – ce qui paraît d’un systématisme un peu exagéré. Au fond, au temps jadis, c’était surtout au choix du client ; ajoutons que dans certains cas l’usage a séparé les sens : une pendule donne l’heure, un pendule donne…des frissons : «Et l’amour, dites-moi ? »
    Oh ! l’amour, grande affaire intime ! Pour Vaugelas (1647) : « Il est masculin et féminin,
    mais non pas toujours indifféremment, car quand il signifie Cupidon, il ne peut être que masculin, et quand on parle de Dieu. » L’amour est divin, et pas divine. « On dit fort bien, continue le grammairien de Savoie, l’amour des pères et des mères pour leurs enfants est si pleine de tendresse, ou bien si plein de tendresse, et ainsi de tous les autres. » Cependant, pour lui-même, Vaugelas préfère le féminin, « selon l’inclination de notre langue qui se porte d’ordinaire au féminin plutôt qu’à l’autre genre ». Il donne enfin pour exemple : « La petite amour parle, et la grande est muette. » C’est vrai, au fond, comme la douleur…
    D’autres auteurs du siècle classique suggéraient que l’amour fût masculin en prose, et féminin dans les vers ; ce qui paraît bizarre, mais que l’on peut comprendre à une époque où l’on portait la poésie plus haut que tout. Nous aurions des amours rimées et des amours prosaïques… Thomas Corneille, le petit frère du « Grand », a énoncé la règle qui a prévalu, couci-couça, dans le monde moderne : « Quand l’amour est pluriel, dit-il, et qu’il signifie des commerces de passion, il doit être féminin. » Oui, l’amour fou, mais de folles amours. Les amours enfantines sont de beaux attachements éprouvés dans l’enfance; des « amours enfantins » désignerait un sentiment niais, un peu simplet. Ah ! que j’aime, pour ma part, ces fluctuations au gré des humeurs : des « amours printaniers » seraient au mieux des Cupidons précoces ; tandis que les amours printanières s’en vont main dans la main, vêtues de robes claires, le long de chemins herbus. C’est la richesse d’un idiome de pouvoir se plier à des caprices d’auteur. Pour vous vanter encore la beauté de notre langue, il me faudrait une couple d’heures, au moins !
  • Chers(beaux-) parents

    5472971ab9cb5cfb2671356abdc89258.jpgChers (beaux)-parents,

    Quand j’étais enfant

    Noël insouciant
    Innocent
    Confiant
    Entraînant

    Les chaussons sous le sapin
    L’effervescence du matin
    Mémère me prend la main
    On déballe avec entrain
    Emerveillement sans fin

    Quand je croyais en ce dieu
    De mes aïeux
    Noël religieux
    Joyeux
    Sérieux

    Puis

    Noël terne
    De l’adolescence
    Les convenances
    Sans musique
    Sans ambiance

    On se couche de bonne heure
    Dehors la froideur
    De l’hiver qui fait peur
    Et pas de chaleur
    Dans les cœurs

    Des cadeaux en abondance
    Des apparences
    Des convenances
    Indifférence
    Famille vide de sens

    Et avec vous, chers (beaux-)parents

    Noël adulte
    Une nouvelle famille
    Où le matériel s’efface
    Devant l’importance
    Du lien qui réchauffe

    Incompréhension
    De mes passions
    Mais adoption
    Acceptation
    Résurrection
    Noël partage
    Retrouvailles
    Victuailles
    Ambiance de fête
    Qui monte à la tête

    Noël de France
    Chansons et lumières
    Froid et parfois neige
    Les marchés souvent les mêmes

    J’ai du mal à l’imaginer
    Avec ce ciel bleu entre les palmiers
    Pas d’illuminations, ni de vin chaud
    Mais votre amour qui nous accompagne
    Votre fils et moi

    Le 11/12/2007

    http://www.impromptus.fr/dotclear/index.php?2007/12/11/3083-laura-vanel-coytte-la-lettre-de-noel#co

    Semaine du 10 au 16 décembre 2007
    Le lundi 10 décembre 2007 à 01:00 :: Lancement des thèmes

    La lettre de Noël

    Finies les divagations, les igloos sous la neige, les lézards et les portes fermées… Il est temps de penser à l'enfant que nous sommes ou que nous avons été. C'est bientôt Noël, on entend presque le bruit des sabots des rennes, les grelots qui tintent et la flamme des bougies qui vacillent.

    Cette semaine, il sera question de mots écrits, de désirs, de cadeaux, de rêves, d'idéal, d'avenir. Nous vous demandons de rédiger une lettre de Noël. Lettre d'enfant ou d'adulte. Lettre délirante, passionnelle, des cris revendicatifs, un hymne à la beauté, des lucioles d'espoir, de l'humour noir… Tout cela ne reste qu'indicatif…

    Nous ferons suivre… Le cachet de la Toile faisant foi, vos envois devront être effectués entre le lundi 10 et le dimanche 16 décembre.

    Bonne semaine.

    http://www.impromptus.fr/dotclear/index.php?2007/12/10/3060-semaine-du-10-au-17-decembre-2007#co

    b59641df56cfd2f628cad2c3b635905e.jpg

    Cf. aussi mes deux recueils de poèmes en vente sur Lulu: http://stores.lulu.com/store.php?fAcctID=617288
    ET SUR : http://www.thebookedition.com/paysages-amoureux-et-erotiq... (couvertures ci-jointes et liens à droite sur ce blog)
  • Ben Okri, Devonté Hynes et mythologies ! Ben Okri, Devonté Hynes et mythologies !

     
      
    Le 10 mars
    Mieux qu'une bataille de boule de neige

    En février 1983, dans l'East Village, David Hammons se livre à l'une de ses performances les plus cultes : the Bliz-aard Ball Sale. Anonyme au milieu des passants, il vend des boules de neige.

    L'historienne de l’art et conservatrice Elena Filipovic revient sur sa quête pour documenter le travail de cet artiste insaisissable.

    La conférence sera suivie d'une séance de dédicaces de son livre "Bliz-aard Ball Sale", premier essai dédié à David Hammons traduit en français.

    Je prends ma place !
     
     
    Le 11 mars
    Le cercle du poète

    Quelques jours avant la fermeture de l'exposition consacrée à David Hammons, offrez-vous une nocturne spéciale :

    L'écrivain nigérien et proche de David Hammons Ben Okri lira ses poèmes à l'Auditorium, accompagné au piano par la compositrice américaine Myra Melford.

    À la fin de la performance, vous pourrez déambuler dans le musée jusqu’à 21h.

    Une dernière nocturne
     
     
     
    Les 29 et 30 mars
     
     
     
    DEVONTÉ HYNES
     
     
     
     
    JOUE
     
     
     
     
    JULIUS EASTMAN
     
     
     

    Récemment nommé aux Grammy Awards, Devonté Hynes est un producteur, compositeur et chanteur britannique.

    Invité à la Bourse de Commerce, son concert rend hommage à Julius Eastman, figure de l'avant-garde musicale new-yorkais, qui a utilisé tout au long de sa vie son art comme bouclier face aux tensions raciales divisant les U.S.

    Retour dans le New York fougueux des années 1970.

     
    Comme à NYC
     
     
    Le 3 mars
    Dans le ventre de Paris

    Paris... la gastronomie, l'érotisme, le luxe et la révolution... autant de mythologies qui nourrissent l'imaginaire de la ville lumière.

    Le duo de commissaires et écrivains Pierre-Alexandre Mateos et Charles Teyssou décortiquent ce mythe invoquant les figures de François Villon, Nicolas Kidman et Irma Vep.

     
    paris orbital
    À vous Paris !
     
    2 rue de Viarmes, 75001 Paris

    Du lundi au dimanche de 11h à 19h
    Fermeture le mardi et le 1er mai.
    Nocturne le vendredi jusqu’à 21h
    Le premier samedi du mois, nocturne gratuite de 17h à 21h.

    Informations pratiques

  • Dernière nuit à Montréal

    Traduit de l'anglais (canada) par Gérard de Chergé

     

    Genre : Policier
    Collection : Rivages/Thriller
     
    Grand format  | 240 pages.  | Paru le : 22-08-2012  | 
    GENCOD : 9782743623791  | I.S.B.N. : 2-7436-2379-9
    Editions : Rivages
     

    C'est l'histoire de Lilia, enlevée à sept ans par son père, et de la longue cavale qui dura toute son adolescence. C'est l'histoire de Christopher, le détective engagé par la mère de Lilia pour la retrouver et de sa fille Michaela, qui rêvait d'être funambule avant de finir dans une boîte minable de Montréal. Michaela sait ce que Lilia a toujours ignoré : la raison de sa cavale. C'est enfin l'histoire d'Eli, étudiant passionné par les langues et la fragilité des sentiments qu'elles servent à exprimer, qui a hébergé Lilia à New York suffisamment longtemps pour tomber amoureux d'elle et partir à sa recherche lorsque, une fois de plus, elle s'enfuit. C'est dans une Montréal hypnotique que se dénouera cette "histoire de fenêtres brisées et de neige", une histoire en forme d'éclats de miroir brisé qui, une fois reconstitué, dessine une vision déchirante du monde.

    http://www.payot-rivages.net/livre_Derniere-nuit-a-Montreal-Emily-St-John-Mandel_ean13_9782743623791.html

  • Edvard Munch - Signes de l'art moderne – du 18 mars au 15 juillet 2007, Fondation Beyeler, Riehen (Suisse)

    medium_munch_2.jpgmedium_munch_1.jpgmedium_munch_3.jpgmedium_munch_4.jpg

    La Fondation Beyeler consacre la première exposition temporaire de cette année d'anniversaire au peintre et graveur norvégien Edvard Munch. Cette présentation rétrospective se concentre tout particulièrement sur sa contribution aussi irremplaçable qu'originale à l'art moderne.

    Edvard Munch (1863-1944) porte un regard impitoyable et pénétrant sur les sentiments humains les plus profonds comme la solitude et l'amour, ainsi que sur la mort, qui l'a toujours obsédé. Le devenir et la disparition, la destruction et la création, tels sont ses thèmes de prédilection. Il emploie une grande variété de moyens pour les exprimer : la dissolution et la fusion de figures dans le fond, le dépassement opiniâtre du bord de l'image, le grattage de la surface picturale. Il va jusqu'à employer un " remède de cheval ", exposant un certain nombre d'oeuvres à l'air libre et les soumettant ainsi à la pluie et à la neige. Munch dépasse avec une grande cohérence les frontières traditionnelles entre peinture et gravure ; il utilise également la photographie, et son traitement peu conventionnel du motif et de la matière ouvre, dès le tournant du siècle, une échappée sur l'ensemble du XXe siècle.

    Oeuvres encore inconnues
    L'exposition présentera 130 peintures, 80 dessins et gravures couvrant toutes les périodes de création de l'artiste. Cette manifestation constitue ainsi la plus grande exposition Munch jamais organisées hors de Norvège. Cette manifestation rassemble des oeuvres prêtées par de nombreux musées américains et européens et présente également un grand nombre d'oeuvres encore inconnues du public, appartenant à des collections particulières. L'organisation de l'exposition a été confiée à Dieter Buchhart, en collaboration avec Christoph Vitali.

    Adresse
    Fondation Beyeler
    Baselstrasse 101
    4125 Riehen/Bâle

    Heures d'ouverture
    Tous les jours de 10h à 18 h. Le mercredi jusqu'à 20 h.

    Informations additionnelles
    www.beyeler.com

     

     
  • 2010, bicentenaire de la naissance de Chopin

    http://chopin2010.pl/fr

    Varsovie : À la recherche de Chopin

    Nicolas d'Estienne d'Orves
    19/02/2010 | Mise à jour : 17:57

    Quoique intégralement reconstruits, les fameux remparts de Varsovie chantés par Jacques Brel ont conservé un charme inimitable. Claire-Marie Le Guay les arpente, entre neige et soleil.
    Quoique intégralement reconstruits, les fameux remparts de Varsovie chantés par Jacques Brel ont conservé un charme inimitable. Claire-Marie Le Guay les arpente, entre neige et soleil. Crédits photo : Le Figaro Magazine

    À l'heure où l'on célèbre le bicentenaire du grand compositeur franco-polonais, la pianiste française Claire-Marie Le Guay s'est improvisée Sherlock Holmes en chapka afin de débusquer le «Varsovie de Chopin». Promenade musicale.

    A Varsovie, chaque rue a son spectre. Ville martyre de l'Histoire européenne, elle n'a cessé de renaître de ses cendres, après d'implacables tables rases. Anéantie par les nazis, les Russes et les socialistes, l'ancien «Paris de l'Europe centrale » est au croisement du décor d'opérette, de l'austérité stalinienne et de la branchitude galopante. Arpenter la capitale polonaise, c'est donc guigner une mémoire enfouie. Partir sur les traces de Frédéric Chopin (1810-1849) est même un vrai jeu de piste. A l'heure où l'on célèbre le bicentenaire du célèbre compositeur franco-polonais, la pianiste française Claire-Marie Le Guay est venue débusquer son souvenir. A peine remise de La Folle Journée de Nantes, elle débarque dans la neige urbaine. Deux jours plus tôt, elle jouait polonaises, nocturnes et scherzos dans une salle de 80 places. «Pour la première fois, je crois que j'ai vraiment compris Chopin», confie-t-elle, son doux visage émerveillé. La voilà maintenant sur les traces du maître...

     

    Ressuscitée entre 1945 et 1954, la vieille ville de Varsovie est un décor de conte de fées, comme cette place Zamkowy, ou place du Château.
    Ressuscitée entre 1945 et 1954, la vieille ville de Varsovie est un décor de conte de fées, comme cette place Zamkowy, ou place du Château. Crédits photo : Le Figaro Magazine

     L'hiver 2010 ressemble-t-il à ceux du début du XIXe siècle ? Disons que devant ces hautes congères, ces toits immaculés et ce blizzard persistant, on songe aux tableaux des musées slaves. «On n'a pas eu autant de neige depuis trente ans...», constatent les Varsoviens, avec un mélange de malice et de fatalisme. Chaleureux et brouillons, aimables et rigides, ils semblent toujours étonnés qu'on s'intéresse à leur ville. La municipalité fait pourtant beaucoup pour attirer les touristes. Ainsi ces «bancs Chopin», tous les 100 mètres, sur la Voie royale, dans la partie dite ancienne de la ville (totalement reconstruite entre 1945 et 1954). Sur ces bancs, on peut s'asseoir et entendre quelques mesures d'un morceau exemplaire de Chopin. Avec un téléphone mobile équipé du Wi-Fi, on peut même télécharger un guide audio et apprendre quelques anecdotes liées à l'emplacement, au morceau joué, à la ville.

    D'une manière générale, la Voie royale est la colonne vertébrale de la Varsovie de Chopin. Ici, le palais Casimir, où vivait le père du compositeur. D'abord divisé en appartements, ce palais jaune et blanc aux allures très pétersbourgeoises est aujourd'hui le siège du rectorat de l'université. C'est une autre faculté - celle des beaux-arts - qui abrite l'étrange «salon Chopin», dans l'ancien palais Czapski. S'inspirant d'un dessin de l'époque, cette pièce reproduit les lieux de l'adolescence du musicien. Mobilier, portraits, pianos, rien n'est strictement «chopinien», mais l'ensemble est couvé par une cerbère à chignon qui jappe ses interdictions. Lorsqu'on quitte la pièce, quel contraste ! Des aspirants artistes barbouillent les murs, avec des airs hautains. Une demoiselle à crête orange est happée par son MacBook. On retrouve cette jeunesse fourmillante, qui hante les innombrables bars branchés de la capitale, hauts lieux de l'underground et du design.

    L'église de la Sainte-Croix, où le cœur du musicien fut transporté

     

    Sur la très classique Voie royale, à deux pas du palais présidentiel, les néons du Skwer Café illustrent bien la modernité du Varsovie d'aujourd'hui.
    Sur la très classique Voie royale, à deux pas du palais présidentiel, les néons du Skwer Café illustrent bien la modernité du Varsovie d'aujourd'hui. Crédits photo : Le Figaro Magazine

     Mais retournons à Chopin, car si le musicien n'eût certes pas rechigné à entrer au surprenantOpera Club (une grande boîte lounge dans les caves de l'Opéra de Varsovie !), sa jeunesse fut davantage scandée par les églises. Là, celle des Visitandines, où il jouait de l'orgue. Plus loin, l'église évangélique de la confession d'Augsbourg, avec sa coupole verte, où Chopin joua pour Alexandre Ier. Plus loin encore, la fameuse église de la Sainte-Croix, où le musicien voulut que son cœur fût transporté, tandis que son corps était inhumé au Père-Lachaise.

    Bien sûr, chacune de ces églises n'est que la savante copie d'un monument défunt. Mais, comme l'âme polonaise a survécu à tant de destructions, la foi continue d'animer ces lieux de culte. A «Varsovie la catholique», la messe n'est pas optionnelle. Tous y vont : parents, enfants, bébés, jeunes filles mutines, costauds à gros bras. Le dimanche matin, plus une place pour s'y asseoir. Derrière un pilier de l'église des Visitandines, un vieillard est seul, sur son prie-Dieu. Tandis que se déroule l'office, il s'abstrait dans son chapelet, comme un dernier lien avec le réel. Face à lui, dans un confessionnal, un prêtre ventru attend les âmes repentantes en s'endormant sous son étole.

    Quittant la messe, les familles qui n'ont pas peur de braver le froid s'en vont baguenauder dans l'immense parc Lazienki. Au cœur de ces 74 hectares sommeille l'écrasante statue de Chopin, érigée par Waclaw Szymanowski dans les années 20. Etrange monument, colossal, en complet désaccord avec la délicatesse chopinienne. Assis sous un saule, le compositeur cherche l'inspiration. On songe plutôt à un haut bellâtre dévoré par un chardon, ou à un dinosaure. Jurassic Chopin ! A ses côtés, Claire-Marie semble la libellule narguant le buffle. Alentour, des dizaines de bancs figés sous la neige donnent une étrange atmosphère de fin du monde. En contrebas, un petit palais baroque est habité par des paons. Malgré 10 °C en dessous de zéro, les oiseaux errent placidement, nourris tels des pigeons. Quatre d'entre eux sont juchés sur un balcon de fer forgé, comme des stalagmites multicolores. Les familles se promènent, les enfants mangent des gaufres, c'est dimanche... Il y a à Varsovie une pulsion de vie, une volonté de fer qui transcende les époques et crée un fil rouge, malgré les carnages. Et si la présence de Chopin est symbolique, c'est dans l'âme même des Polonais qu'elle se niche.

    Claire-Marie a son iPod sur les oreilles. Tandis qu'elle écoute le premier concerto pour piano de Chopin, ses grands yeux clairs balayent la ville : rues théâtrales, murailles staliniennes, publicités prosaïques. Malgré le chaos, elle comprend que Chopin ne peut être ailleurs, ne peut venir d'ailleurs. «Il suffit d'écouter sa musique, et l'on est avec lui.» La Varsovie de Chopin se cache entre ses notes ; à chacun de la trouver.

    Par Nicolas d'Estienne d'Orves
    Exposition "Chopin :
    le réfugié romantique" à la British Library à Londres jusqu'au 16/5
    Eugène Delacroix, Frédéric Chopin, 1838, Musée du Louvre © RMN "Chopin : La Note bleue"
    Organisé dans le cadre du bicentenaire de la naissance de Chopin, une exposition du Musée de la vie romantique évoque ses années parisiennes (1831-1849) à travers la peinture, la littérature et la musique. Jusqu'au 11/7.
    Le monde 2 mars 2010
  • Votez pour mon Château chez Dana

    C'est une photo de février 2009, le numéro 24 chez Dana:

    chateau chantilly dana hf.jpghttp://la-tribu-de-dana.over-blog.com/article-30104682.html

    Merci à l'avance.

    Cf. ci-dessous d' autres photos et ma note de février.

     

    chantilly.jpgSortie par le nord de Paris et arrivée à Chantilly  sous la neige.

    Pendant que mon mari monte une tête d'enduction dans une usine, je visite le musée Condé de Chantilly :

    http://www.museeconde.com/

    3 petits marque-pages en souvenir et des tonnes de dépliants pour approfondir la visite.

    Les grandes écuries et le musée du cheval sont fermés mais on aperçoit dans la brume le célèbre hippodrome où se court le prix de Diane.

    Je suis dans le Valois de Nerval !!!!

    Une belle balade dans l'histoire et l'art.... très fatigante. Des épaules aux pieds, des piques de douleur dont j'ai eu confirmation de la cause avec une radio hier : écrasement d'un disque qui pince le nerf sciatique.

    J'étais contente de partir... mais aussi bien contente de rentrer chez moi à22h30 après plus de 5h de route.

    Impossible de vous parler de toutes les choses vues, les impressions.

    J'ai aussi plein de notes et de lectures à propos de ce voyage.

    Récapitulatif complet du voyage:

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/02/17/recapitulatif-de-mes-notes-sur-mon-voyage-a-paris-de-fevrier.html#comments

     

     

  • Un poème collectif:La nouvelle année ou le Nouvel An

    À la mi-nuit quand la lune se dentelle
    Le jour nouveau veille l’horizon
    Et le soleil attend patiemment son tour
    Au confort des bras de la nuit douce

    Et le soleil attend patiemment son tour
    Au confort des bras de la nuit douce
    Alors que le solstice a déjà sonné
    Le glas des journées automnales

    Et l’hiver qui se phare de blanc neige
    Pour meubler la terre de ce lieu
    Brûlure du froid en couverture
    Pour une sève printanière

    Chaleur de tes bras
    Qui m'habillent d'amour
    Chaleur de ton coeur
    Qui dénude mon âme

    Et les flammes dans l'âtre
    Dansent au feu de tes yeux
    Brûlants comme la braise
    Où crépite mon âme.

    Peu importe l'orage
    Qui se déchaîne au dehors
    Nous ne sommes que douceur
    Au crépuscule du matin

    Quand l'heure tournera vers demain
    Que l'aiguille pointera l'an nouveau
    M'embrasseras-tu sous le gui suspendu
    Ta bouche en accroche-coeur ?

    Ou me dira t-elle des mots définitifs
    De rupture ou d'engagement
    D'un nouveau temps contre
    Ou tout contre toi


    Les participants:Réal - Ulysse - Laura Vanel-Coytte - Moun

    http://regards-poetiques.clicforum.fr/t1683-Nouveau-petit-collectif.htm?start=20#p22616

    Si vous souhaitez participer(ce serait sympa), inscrivez-vous sur ce forum, "Regards poétiques" de Moun, de très bonne qualité...

     

  • J'ai terminé cet après-midi:Pierre Loti, ”Constantinople fin de siècle”

     Oh ! Stamboul ! De tous les noms qui m'enchantent encore, c'est toujours celui-là le plus magique. [...] Aucune capitale n'est plus diverse par elle-même, ni surtout plus changeante d'heure en heure, avec les aspects du ciel, avec les vents et les nuages - dans ce climat qui a des étés brûlants et une admirable lumière, mais qui, par contre, a des hivers assombris, des pluies, des manteaux de neige tout à coup jetés sur ses milliers de toits noirs. Et ces rues, ces places, ces banlieues de Constantinople, il me semble qu'elles sont un peu à moi, comme aussi je leur appartiens. » (extrait)

    « Connu pour ses romans et ses relations de voyages, Pierre Loti l'est moins pour ses textes courts, évocations et nouvelles. L'intérêt de ces quatre textes autour de Constantinople réside dans leur forme autant que dans leur fond. Écrits plusieurs années après Azyadé, ils ne montrent pas seulement la Turquie pittoresque mais un pays à l'identité menacée. À travers ce constat, confronté au cosmopolitisme qui désagrège les traditions ottomanes, Loti dresse le bilan de sa propre vie, en s'identifiant à la ville qu'il a le plus aimée. Constantinople est le fidèle reflet de la déchirure de l'écrivain partagé entre l'invention de sa vie et sa vie réelle. » (présentation de l'éditeur)

    Préface de
    Sophie Basch.

    Dans BiblioMonde


    Istanbul. Le regard de Pierre Loti : Une soixantaine de photographies de Pierre Loti et des extraits inédits de son journal

    Les Désenchantées

    Aziyadé - Fantôme d'Orient


    http://www.bibliomonde.com/livre/constantinople-fin-siecle-416.html

  • Les nuits de la Saint-Jean

    Les nuits de la Saint-Jean

    L’angoisse monte à Sandhamn : une  jeune fille a disparu au cours de la nuit. Sous une pluie battante d’automne, l’inspecteur Thomas Andreasson et ses collègues ratissent l’île, en vain : Lina Rosén reste introuvable et l’enquête conclut à une noyade accidentelle.

    Quelques mois plus tard, Nora Linde décide de prendre quelques jours de vacances au cœur de l’hiver à Sandhamn avec ses deux petits garçons. Son mari la trompe et elle a besoin du calme de l’île pour réfléchir. Mais, en jouant dans la forêt, Adam et Simon font une macabre découverte : des restes humains enfouis dans un sac sous la neige. Est-il possible que ce soit le cadavre de Lina ? Et quelle est cette ombre, tapie dans la nuit, sous les fenêtres des Rosén ? Pourquoi ?

    Malgré l’absence de pistes, Thomas et son amie Nora ont un étrange pressentiment : l’assassin de Lina rôde encore et n’en a pas fini avec sa sinistre mission.

    C’est avec cette nouvelle enquête de l’inspecteur Thomas Andreasson et de Nora Linde que Viveca Sten s’est imposée comme la Nº1 des ventes en Suède.

    http://www.albin-michel.fr/Les-nuits-de-la-Saint-Jean-EAN=9782226317148

     

    « La grande rivale de Camilla Läckberg séduit par ses intrigues impeccables et un art du suspense rare. » M, le magazine du Monde

  • Mon poème inédit sur ce blog:Recherche polar desespérément

    Sujet semaine 06/2017

    Annaxiin - clic

     

    Le mot à insérer facultativement est : POLAR

     

    Les textes, avec titre et signature, sont à envoyer à notre adresse : les40voleurs(at)laposte.net

     

    -----------------

     

    Passez une bonne semaine !

     

    Mil et une

    miletune.over-blog.com/2017/02/sujet-semaine-06/2017.html

    Recherche polar désespérément

    Je prie le saint patron des romans policiers depuis une semaine

    J’ai même dressé un autel dans le salon  avec des cierges qui y brûlent

    J’ai remonté tous les polars que j’ai lus depuis des lustres de la cave

    En plus de celui en cours et tous ceux empruntés à la médiathèque

     

    J’ai revu les classiques américains en noir et blanc, il me reste

    A visionner les policiers en couleur, je visionne sons éteints ou à plein tube

    Les voisins ne doivent pas apprécier ce vacarme et mes errances

    Dans l’appartement entre deux films et après chaque lecture

     

    Plus je lis Le dahlia noir de James Ellroy, plus je me sens incapable

    D’écrire un polar qui me plairait en tant que lecteur d’intrigues

    Plus je revois Mystic river, plus j’ai envie de relire Dennis Lehane

    Mes lectures de presque trois décennies m’envoutent et me bloquent

     

    Je crois que je vais retourner à mes poèmes de jour côté écriture

    Et reprendre mon rôle de lectrice d’Andrea Camilleri pour la détente

    Du soir : jamais je ne pourrais me faire frissonner comme Tirez sur le pianiste

    De François Truffaut l’a fait avec ses scènes avec Aznavour et Marie Dubois dans la neige

     

    6 février 2017

  • Mon poème inédit sur ce blog:Chute de branches

    Défi #463

     

    À la demande générale (de Fairywen), nous abandonnons la série des consignes alphabétiques pour vous proposer, le temps de l'été, dans la tradition de MAP, un interlude photographique.

    http://samedidefi.canalblog.com/archives/2017/07/08/35454698.html

    Allez, c'est parti :

    4631

    CHUTE DE BRANCHES

    Aux informations, on entend beaucoup parler de risques: c'est pourquoi je ne les regarde Presque plus; je préfère la presse écrite nationale et locale: j'y pioche ce dont j'ai besoin.

    A entendre les journaux télévisés, la vie ne serait que risques: à quoi je réponds à eux

    Et d'autres que le plus grand risque qu'on prend en naissant, c'est de mourir un jour

    Non pas que ça m'enchante; pour moi, il y a largement de quoi s'occuper pour l'éternité

    Mais dans le doute, d'une vie après la mort, je prends le risque de vivre ici et maintenant.

    Face au risque de chute de branches, j'utilise le bois dans les livres que je lis sous un arbre

    Sans branches ou "sous le soleil, exactement" en prenant le risque du coup de soleil.

    Je ne crains pas trop les avalanches car la neige qui tombe chaque hiver dans ma ville

    Suffit à mon goût du risque: tenir debout sur les trottoirs verglacés en évitant les chutes.

     

    8 juillet 2017

  • MICHEL LEGRAND plays and sings LES MOULINS DE MON COEUR 1969

    Comme une pierre que l´on jette
    Dans l´eau vive d´un ruisseau
    Et qui laisse derrière elle
    Des milliers de ronds dans l´eau
    Comme un manège de lune
    Avec ses chevaux d´étoiles
    Comme un anneau de Saturne
    Un ballon de carnaval
    Comme le chemin de ronde
    Que font sans cesse les heures
    Le voyage autour du monde
    D´un tournesol dans sa fleur
    Tu fais tourner de ton nom
    Tous les moulins de mon cœur

    Comme un écheveau de laine
    Entre les mains d´un enfant
    Ou les mots d´une rengaine
    Pris dans les harpes du vent
    Comme un tourbillon de neige
    Comme un vol de goélands
    Sur des forêts de Norvège
    Sur des moutons d´océan
    Comme le chemin de ronde
    Que font sans cesse les heures
    Le voyage autour du monde
    D´un tournesol dans sa fleur

     


    Tu fais tourner de ton nom
    Tous les moulins de mon cœur

    Ce jour-là près de la source
    Dieu sait ce que tu m´as dit
    Mais l´été finit sa course
    L´oiseau tomba de son nid
    Et voila que sur le sable
    Nos pas s´effacent déjà
    Et je suis seul à la table
    Qui résonne sous mes doigts
    Comme un tambourin qui pleure
    Sous les gouttes de la pluie
    Comme les chansons qui meurent
    Aussitôt qu´on les oublie
    Et les feuilles de l´automne
    Rencontre des ciels moins bleus
    Et ton absence leur donne
    La couleur de tes cheveux

    Une pierre que l´on jette
    Dans l´eau vive d´un ruisseau
    Et qui laisse derrière elle
    Des milliers de ronds dans l´eau
    Au vent des quatre saisons
    Tu fais tourner de ton nom
    Tous les moulins de mon cœur

  • Petit papa Noël(pour les jeudis en poésie des Croqueurs)

    Chansons de Noël (1946)

    C'est la belle nuit de Noël
    La neige étend son manteau blanc
    Et les yeux levés vers le ciel,
    À genoux, les petits enfants,
    Avant de fermer les paupières,
    Font une dernière prière.



    Petit Papa Noël
    Quand tu descendras du ciel
    Avec des jouets par milliers
    N'oublies pas mon petit soulier.

    Mais, avant de partir,
    Il faudra bien te couvrir
    Dehors tu vas avoir si froid
    C'est un peu à cause de moi.

    Il me tarde tant que le jour se lève
    Pour voir si tu m'as apporté
    Tous les beaux joujoux que je vois en rêve
    Et que je t'ai commandés.

    Petit Papa Noël
    Quand tu descendras du ciel
    Avec des jouets par milliers
    N'oublies pas mon petit soulier.

    Le marchand de sable est passé
    Les enfants vont faire dodo
    Et tu vas pouvoir commencer
    Avec ta hotte sur le dos
    Au son des cloches des églises
    Ta distribution de surprises.

    Petit Papa Noël
    Quand tu descendras du ciel
    Avec des jouets par milliers
    N'oublies pas mon petit soulier.

    Si tu dois t'arrêter
    Sur les toits du monde entier
    Tout ça avant demain matin,
    Mets-toi vite, vite en chemin.

    Et quand tu seras sur ton beau nuage
    Viens d'abord sur notre maison
    Je n'ai pas été tous les jours très sage
    Mais j'en demande pardon.

    Petit Papa Noël
    Quand tu descendras du ciel
    Avec des jouets par milliers
    N'oublies pas mon petit soulier
    Petit Papa Noël.


    Raymond Ovanessian, dit Raymond Vincy.
    (23 février 1904 - 26 mai 1968)


    Read more at http://www.mon-poeme.fr/paroles-chanson-petit-papa-noel/#OlR3muBvDW56WEBl.99

  • Mon poème inédit sur ce blog:J'attendais un signe de toi

     

    Changement d’horizon, ABC embarque tous les matelots,

    en espérant qu’ils n’ont pas le vertige, faire un petit tour en montagne …

    « Durant notre randonnée nous sommes attirés par un message envoyé du sommet du plateau.

    Vous devez, tout simplement, décrypter ce message et nous dire qui peut bien nous l’envoyer »  ?

     

    Le défi 231 est à publier sur vos blogs le lundi 10 février

    Jeudis poésie :

    6 février : là haut sur la montagne

    13 février : neige et roc

     

    En avant pour une belle randonnée !

    ABC

    Le Môt de Dômi

    http://croqueursdemots.apln-blog.fr/la-haut-sur-la-montagne-ho-ho-ho-defi-232/

    J’attendais un signe de toi

     

    J’attendais un signe de toi

    Le voilà

    Je crois

    Qu’il est pour moi

    Ce signe de toi

    Es-tu fière de moi ?

    Je ressens parfois

    Que tu veilles sur moi

    Avec ta confiance en toi

    Qui rejaillissait un peu sur moi

    Tu t’inquiètes de mes émois

    Qui me tordent les tripes , le foie

    Et dévorent mes doigts

    Je te réentends cette seule fois ?

    J’attendais un signe de toi

     

    4 FEVRIER 2020

    Achetez "paysages-amoureux-et-erotiques" pour la St Valentin

     

     

  • Mon texte inédit sur ce blog:Piscine

    Photo de l’atelier d’écriture 317

    Et voici la nouvelle photographie (hihi) ! Publication des textes lundi prochain !

    © Moren Hsu

    Le formulaire à remplir (uniquement quand vous avez un blog sur lequel vous publiez votre texte.)

    http://www.bricabook.fr/2018/11/photo-de-atelier-ecriture-317/

    Piscine

    Quand on arrive à l’époque où l’on met une veste, on se dit qu’on va devoir batailler dans la cabine avec la pile de vêtements qui va être de plus en plus importante alors qu’il est tellement agréable de n’avoir qu’à enlever une robe et des sous-vêtements qui se perdent dans le casier.

    Et puis, il y a la petite gêne au nez, à la gorge qu’on ressent souvent au changement de temps surtout dans le sens grosse baisse des températures.

    A part en période de canicule, quand on est au bord du bassin, il y a ce moment où on met l’orteil et où se demande pourquoi on est venu. Mais soyez honnêtes, c’est toujours plus chaud (27, 28 degrés) que la mer qui n’atteint ses températures qu’au maximum de la saison et à quelques endroits !

    En descendant dans l’eau, on sursaute et parfois ça dire quelques longueurs surtout si on est fatigué.

    Puis le plaisir d’évoluer dans l’eau revient entre le soleil qui vous lèche derrière les vitres de la piscine et le vert de la pelouse ou la neige qui fait un tapis blanc au bonheur d’être au chaud.

    26 septembre 2018

     

     
  • 14 décembre 1895: Naissance de Paul Eluard

     Les soleils dont j'ai joui ont été brisés par des nuits innombrables. 
    Paul Éluard ; Une leçon de morale (1949)

    Je t’aime

    Paul ÉLUARD
    Recueil : "Le Phénix"

    Je t’aime pour toutes les femmes que je n’ai pas connues
    Je t’aime pour tous les temps où je n’ai pas vécu
    Pour l’odeur du grand large et l’odeur du pain chaud
    Pour la neige qui fond pour les premières fleurs
    Pour les animaux purs que l’homme n’effraie pas
    Je t’aime pour aimer
    Je t’aime pour toutes les femmes que je n’aime pas

    Qui me reflète sinon toi-même je me vois si peu
    Sans toi je ne vois rien qu’une étendue déserte
    Entre autrefois et aujourd’hui
    Il y a eu toutes ces morts que j’ai franchies sur de la paille
    Je n’ai pas pu percer le mur de mon miroir
    Il m’a fallu apprendre mot par mot la vie
    Comme on oublie

    Je t’aime pour ta sagesse qui n’est pas la mienne
    Pour la santé
    Je t’aime contre tout ce qui n’est qu’illusion
    Pour ce cœur immortel que je ne détiens pas
    Tu crois être le doute et tu n’es que raison
    Tu es le grand soleil qui me monte à la tête
    Quand je suis sûr de moi.

    1950