Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Rechercher : tableaux

  • Hubert Robert

    Cet article est extrait de l'ouvrage Larousse « Dictionnaire de la peinture ».

    Hubert Robert. Vue imaginaire de la Grande Galerie en ruines.Hubert Robert. Vue imaginaire de la Grande Galerie en ruines.

    Peintre français (Paris 1733  – id. 1808).

    Il apprit le dessin auprès de Michel-Ange Slodtz. Il gagna Rome dès 1754 dans la suite du comte de Stainville, alors ambassadeur de France, le futur Choiseul. Grand admirateur de Pannini (on compte 25 tableaux de ce peintre dans son inventaire après décès), de Piranèse et de Locatelli, il rencontra Fragonard en 1756 et Saint-Non en 1759, année où il obtint une place de pensionnaire à l'Académie. Avec ce dernier, il fait un voyage à Naples en 1760, puis travaille avec ses deux amis à la villa d'Este : dessins à la sanguine de jardins taillés et de ruines dont les masses aérées et les lignes souples (Parc, Vue du Capitole, Louvre, département des Arts graphiques) contrastent avec ses figures sommaires mais justes et paraissent plus originales que les descriptions pittoresques de Vernet (Cascade de la villa Conti à Frascati, musée de Besançon) ou que ce qu'exécutait de Machy " la règle à la main ". Au contraire, les quelques gravures qu'il a laissées montrent qu'il n'a eu ni la patiente minutie de Saint-Non ni la maîtrise de Fragonard.

    En 1765, Robert rentre à Paris, précédé d'une solide réputation de paysagiste et de décorateur : il triomphe au Salon de 1767, en particulier avec son tableau de réception à l'Académie (Port de Rome, 1766, Paris, E. N. B. A.). Jusqu'en 1775, l'artiste utilise essentiellement les dessins rapportés d'Italie, qui lui permettent de créer des décorations pour différents amateurs parisiens (marquis de Montesquiou).

    Mais, à partir de 1770, le goût des jardins anglais se répandant en France, il se met à dessiner des paysages de Paris et de ses environs (Incendie de l'Opéra, 1781, Paris, musée Carnavalet) et est chargé de la transformation des Bains d'Apollon à Versailles (Vue du Tapis vert, Vue des Bains d'Apollon, 1777, Versailles). Dessinateur des jardins du roi (1778), il travaille aussi au parc de Compiègne et probablement à celui de Méréville pour le financier Laborde. C'est de cette période que date la série des tableaux de la vie de Madame Geoffrin (1772), destinée à remplacer les grands tableaux de Van Loo vendus à Catherine II : l'artiste s'y révèle un intimiste assez proche de Chardin, dont il possède une Dame cachetant une lettre (disparue). De 1770 à 1808, il constitue en outre un prestigieux ensemble de vues de Paris, inaugurant le genre d'actualité, accumulant, décrivant, modifiant, variant, mariant, rapprochant ou supprimant à son gré bâtiments et personnages, détails et proportions dans des œuvres où la fantaisie passe pour réalité (nombreux exemples au musée Carnavalet : Démolitions du pont Notre-Dame et du Pont-au-Change, 1786-1788 ; Une frise du pont Royal, 1789, musée d'Épinal). Ensuite, il s'intéresse aux monuments antiques de la France : Pont du Gard, l'Intérieur du temple de Diane à Nîmes, la Maison carrée, les arènes et la tour Magne à Nîmes, l'Arc de triomphe et l'amphithéâtre de la ville d'Orange, 1787, Louvre, quatre tableaux constituant la série des " Antiquités du Languedoc ", commandée pour le château de Fontainebleau. En 1784, il est nommé garde des tableaux du Muséum royal, mais continue d'exécuter ses paysages de ruines italiennes (l'Ancien Portique de Marc Aurèle et le Portique d'Octave à Rome servant de marché aux poissons, 1785, Louvre, en dépôt à l'ambassade de France à Londres). C'est pendant les années qui précèdent la Révolution que, chargé d'examiner l'éclairage de la Grande Galerie (dès 1778, d'Angiviller s'était prononcé pour l'éclairage zénithal, que Percier et Fontaine reprendront en 1796), il exécute une série d'études ou de descriptions imaginaires des salles des antiques et de la Galerie (plusieurs tableaux au Louvre, dont les deux grandes Vues de la Grande Galerie, en projet et en ruine, exposées au Salon de 1796 et qui firent longtemps partie des coll. impériales de Russie), où il organise des expositions provisoires avant l'ouverture du 7 avril 1799 (Louvre). Malgré la célébration de la Révolution (la Fête de la Fédération, 1790, Versailles), Hubert Robert est emprisonné en 1793-94 à Sainte-Pélagie, puis à Saint-Lazare : c'est de cette époque que datent ses assiettes peintes. Après Thermidor, il fait partie, ainsi que Fragonard, de la commission du Conservatoire, puis de celle du Muséum (1795-1802). Dans la seconde moitié du siècle, son œuvre représente donc l'un des exemples les plus brillants des tableaux d'architecture, remis à la mode par Pannini, et cela certainement grâce à ses relations amicales avec Fragonard, qui a pu l'encourager à user d'empâtements longs et clairs, à employer une touche très fluide dans des compositions qui sont vues dans leur ensemble et où le pittoresque des accessoires reste secondaire (le Portique en ruine, Pêcheur et laveuses, 1783, Louvre), à la différence de ce qui se passe chez Vernet. En outre, même si son imagination l'amène à composer des paysages à partir d'éléments pris sur le vif, Hubert Robert n'en arrive jamais à ces vues de fantaisie où Fragonard donne toute l'importance aux figures, le tout dans un esprit déjà préromantique. Il est peut-être l'un des derniers peintres du xviiie s. dont la sensibilité et l'élégance soient relativement peu touchées par l'esprit nouveau de Rousseau et de Greuze.

    Hubert Robert fut très apprécié de son temps, ce qui contribue peut-être à expliquer que certains musées soient particulièrement représentatifs de son œuvre : l'Ermitage (qui rassemble beaucoup d'œuvres que, à l'exemple de leurs souverains, les grandes familles de la Russie — Stroganov, Chouvalov, Galitzine — semblent avoir acquises) ; le musée de Valence, où est conservée toute la collection des dessins à la sanguine de la coll. Veyrenc.

    http://www.larousse.fr/encyclopedie/peinture/Robert/154129

  • Alfred Sisley,Printemps à Veneux

      - Printemps à Veneux Alfred Sisley Printemps à Veneux Oil on canvas28¾ x 35¼ in / 72.9 x 90.7 cm Signed lower left: Sisley Painted in April 1880 - See more at: http://www.tefaf.com/DesktopDefault.aspx?tabid=181&dealerid=20&objectid=578467#sthash.5Brmb6iV.dpuf

    Provenance:Galerie Durand-Ruel et Cie., Paris, acquired from the artist in April 1882;Paul Durand-Ruel, Paris, acquired from the above, 1901;by descent to a private collection, Paris by 1959;Galerie Durand-Ruel et Cie., Paris, acquired from the above, 16th January 1962Sam Salz, Inc., New York, acquired from the above, 23rd January 1962Stephen Richard and Audrey Currier, by 1967; their estate sale, Christie's New York, 16th May 1984, lot 18 (bt. Howard B Keck)Howard B Keck, Los Angeles;his sale, Sotheby's New York, 6th November 1991, lot 4;where acquired by a private collector, USA Literature:G Geffroy, Sisley, Paris 1923, pl.8 (titled Le Printemps)G Geffroy, Sisley, Paris 1927, pl.24J Jedlicka, Sisley, Bern 1949, p.30, no.22, illus. pl.22, titled FrühlingV Gilardoni, L'Impressionismo, Milan 1951, p.152, no.43, illus. pl.43, titled Primavera and dated 1878F Daulte, Alfred Sisley: Catalogue raisonné de l'oeuvre peint, Lausanne 1959, no.356, illus. (with incorrect provenance) Exhibitions:Paris, Galerie Durand-Ruel et Cie., Exposition de tableaux de Monet, Pissarro, Renoir & Sisley, April 1899, no.134 (titled Le Printemps and dated 1878) Paris, Chambre Syndicale de la Curiosité des Beaux-Arts, L'art français au service de la Science française: exposition d'oeuvres d'art des XVIIIè, XIXè et XXè siècles, April-May 1923, no.224 (titled Printemps and dated 1878) Paris, Musée des Arts Décoratifs, Cinquante ans de peinture française, 1875-1925, May-July 1925, no.75 (titled Les pommiers en fleurs and dated 1882) Paris, Galerie Durand-Ruel et Cie., Tableaux de Sisley, February-March 1930, no.7 (titled Paysage and dated 1872) Paris, Galerie Durand-Ruel et Cie., Exposition de tableaux par Alfred Sisley, January-February 1937, no.29 (dated 1882) - See more at: http://www.tefaf.com/DesktopDefault.aspx?tabid=181&dealerid=20&objectid=578467#sthash.5Brmb6iV.dpuf

    http://www.tefaf.com/DesktopDefault.aspx?tabid=181&dealerid=20&objectid=578467

  • J'ai fini hier soir:Bosch comme vous ne l’avez jamais vu

    Hieronymus Bosch. L'Œuvre complet

    Déchiffrer les allégories dans les œuvres aussi fascinantes que complexes de Jérôme Bosch

    Au cœur du climat artistique de son époque, où le réalisme du gothique tardif et de la Première Renaissance commençait à s’imposer, le peintre néerlandais Jérôme Bosch (vers 1450–1516) faisait véritablement figure d’original. Ses tableaux sont peuplés de scènes grotesques où des créatures fantastiques succombent à toutes sortes d’angoisses, de désirs et de fantasmes humains. L’une de ses plus grandes inventions a été de sortir les drôleries (représentations pittoresques et figuratives utilisant le monstrueux et le grotesque pour illustrer le mal et le péché) des marges des manuscrits enluminés pour les traiter sur des panneaux grand format. À côté des traditionnels hybrides d’hommes et de bêtes, comme les centaures, des créatures mythologiques – licornes, dragons et griffons –, on rencontre également d’innombrables créatures hétéroclites sorties de l’imagination de l’artiste. De nombreuses scènes secondaires illustrent des proverbes et des expressions couramment utilisées à l’époque de Bosch. Dans son triptyque de La Tentation de Saint-Antoine, par exemple, l’artiste met en scène un diable messager portant des patins à glace, faisant référence à l’expression populaire néerlandaise qui, pour signifier que le monde marche sur la tête, dit que le monde «patine sur la glace». Bosch s'est montré particulièrement innovant dans sa traduction picturale des proverbes.

    Bosch, dont le véritable nom est Jheronimus van Aken, a été largement copié et imité: le nombre de tableaux des disciples de Bosch parvenus jusqu’à nous dépasse de plus de dix fois la production du maître lui-même. Aujourd’hui, seuls vingt tableaux et huit dessins sont officiellement attribués à Bosch. L’artiste fait aujourd’hui encore figure de visionnaire, de peintre des rêves et des cauchemars, spécialiste de l’enfer et de ses démons. Dans ce livre exhaustif, publié en prévision du 500e anniversaire de la mort de Bosch et qui reproduit l’intégralité de son œuvre de façon grandiose et détaillée, le spécialiste de Bosch Stefan Fischer s’intéresse aux raisons pour lesquelles le peintre et son œuvre ont exercé cette extraordinaire influence.
    À propos de l'auteur:
    Stefan Fischer a étudié l’histoire de l’art, l’histoire et l’archéologie classique à Münster, Amsterdam et Bonn. En 2009, il a soutenu sa thèse de doctorat intitulée «Hieronymus Bosch: Malerei als Vision, Lehrbild und Kunstwerk» (Jérôme Bosch: La peinture comme vision, image instructive et œuvre d’art). Ses axes de recherche sont la peinture néerlandaise du XVe au XVIIe siècle et la muséologie.
    Hieronymus Bosch. L'Œuvre complet (XL-Format)

    Hieronymus Bosch. L'Œuvre complet

    Stefan Fischer
    Relié, avec pages dépliantes, 29 x 39,5 cm, 300 pages
     
     
    • Critiques
    «Les surréalistes en avaient fait un de leurs héros. La fascination qu’exerce le peintre néerlandais Jérôme Bosch (1450-1516) ne faiblit pas…Ses sources d’inspiration, mais aussi son influence pléthorique et fantastique sont ici détaillées avec soin.»
    — 24 Heures, Lausanne, Suisse

    http://www.taschen.com/pages/fr/catalogue/art/all/01102/facts.hieronymus_bosch_luvre_complet.htm

  • L'Oeil N°701 Mai 2017

    L'Oeil

    L'oeil en mouvement
    Cahier de l'amateur
  • J'ai lu hier:Rembrandt - Bœuf écorché

    Le Musée du Monde - vol. 32

    Cette nature morte constitue une exception dans le répertoire iconographique de Rembrandt Harmenzoon van Rijn, dont les nombreux portraits et les tableaux historiques ont marqué la peinture hollandaise du XVIIe siècle. Etabli en 1631 à Amsterdam, alors capitale économique du pays, l’artiste connaîtra la gloire puis la ruine. Mais son style personnel et sa puissance créatrice vont ériger son oeuvre en modèle auprès de ses suiveurs. Dans le sillage de la peinture naturaliste qui caractérise une grande partie de la production picturale au XVIIe siècle, Rembrandt fonde sa peinture sur une palette sombre, un usage savant du clairobscur et sur le rendu d’une matière de plus en plus dense, enrichie d’effets tactiles. Au-delà de son siècle, ses innovations et sa touche susciteront l’admiration de plusieurs générations d’artistes au XIXe siècle comme Eugène Delacroix ou au début du XXe siècle comme Chaïm Soutine.

    http://boutique.lemonde.fr/livres/musee-du-monde/musee-du-monde-32-rembrandt.html

  • Nous avons aimé voir hier:Voulouzan

    Stéphanois, Gérard Voulouzan est un peintre à la créativité foisonnante ayant réalisé en près de 40 ans plus de 1.622 peintures et 563 gouaches, sans compter les nombreux dessins préparatoires et esquisses.

     

    Parmi la multitude des sujets qui l'inspirent, les quartiers de sa ville natale occupent une place toute particulière dans son oeuvre. Qu'ils proviennent de sa mémoire ou qu'ils aient été réalisés in situ, les tableaux expressionnistes de Voulouzan nous dévoilent, à travers leurs effets de matière, l'attachement du peintre à ses racines.

     

    Il choisit aujourd'hui d'exposer au musée du vieux Saint-Etienne sa série sur les paysages urbains tandis que la Serre accueil en contrepoint les peintures marines.

     

    Exposition réalisée en partenariat avec la Ville de Saint-Etienne
    Graphisme : Vir'gul

    http://www.vieux-saint-etienne.com/

  • J'ai fini de lire aujourd'hui:Diego Rivera: révolutionnaire et agitateur

    Rivera (Petite Collection Art)Picasso, Dali et André Breton ont décrit Diego Rivera, le mari de Frida Kahlo, comme un révolutionnaire et un agitateur, mais celui-ci a aussi été à l’origine d’un art public, à la fois très élaboré et profondément accessible.

    En 1910, Rivera s’installe en Europe où il se nourrit de l’influence cubiste. Après la révolution mexicaine, il rentre dans son pays pour mettre les leçons de l’avant-garde européenne au service du peuple mexicain. Ses propres fresques, ainsi que celles des muralistes mexicains qui ont suivi son exemple offrent une vision utopique d’un Mexique postrévolutionnaire.

    Les tableaux historiques de Rivera expriment sa manière de concevoir la révolution et ses idéaux, dans un style qui le conduit à revenir aux racines précolombiennes de la culture mexicaine, en réinventant un langage visuel réaliste et coloré capable de s’adresser directement au peuple en grande partie illettré. Cet ouvrage propose la première étude qui, en dehors du circuit des expositions, aborde de manière globale l’œuvre de cet artiste extraordinaire.

    Rivera

    http://www.taschen.com/pages/fr/catalogue/art/all/01741/facts.rivera.htm

  • J'ai lu:Joséphine

    Dossier de l'Art n° 216 - mars 2014








     

    Joséphine

     

    au musée du Luxembourg

     

     
    26 mars 2014

    À l’occasion du bicentenaire de sa mort, le musée du Luxembourg dédie une exposition inédite en France à Joséphine. Le hors-série revient sur le destin de cette Créole, passionnée par les arts, grande collectionneuse et ambassadrice du néoclassicisme. À travers tableaux d’époques et collections particulières, Beaux Arts éditions s’attache à faire découvrir la vie de cette femme qui œuvra pour le rayonnement des arts au XIXe siècle.

    Exposition au musée du Luxembourg
    du 12 mars au 29 juin 2014
     
     
     

    Les films, les livres, les expos, les infos, les poèmes, les œuvres d’art  nourrissent ce blog mais aussi mes 13 livres en vente ici:

    http://www.thebookedition.com/livres-laura-vanel-coytte-auteur-95.html

     
     
     
  • Exposition Chaissac - Dubuffet

    Gaston Chaissac @ Adagp Paris 2013Jean Dubuffet @ Adagp Paris 2013

    L’Adresse Musée de La Poste présente l’exposition Chaissac – Dubuffet, entre plume et pinceau du 27 mai 2013 au 28 septembre 2013. Plus de 150 œuvres (tableaux, sculptures, objets) , des documents et des lettres sont exposés.

     

    Les gouaches hautes en couleur de Gaston Chaissac révèlent un coloriste hors pair. Les « hautes pâtes » texturées de Dubuffet excellent dans la trituration de la matière. Si les moyens diffèrent, l’esprit d’expérimentation incessante qui les anime est bien le même. Gaston Chaissac, qui se désignait comme un « peintre rustique moderne » et Jean Dubuffet, fervent défenseur de « l’art brut » traquaient tous deux l’art au détour du chemin et le saisissaient, bien vivant, là où d’autres ne le voyaient pas. Cette exposition invite à la découverte de cet art neuf, qu’ils pratiquèrent en virtuoses de la récupération et de la métamorphose de matériaux dérisoires et sans noblesse. Elle met en avant la complicité artistique et littéraire de ces deux peintres et épistoliers de talent.

     

    http://quefaire.paris.fr/Chaissac_Dubuffet

  • Les disciples de Gérard Garouste

    Home CULTURE Arts Expositions

    Garouste, c'est un capital humain de sympathie que les années concentrent comme un élixir au vert profond, entre précipité vital et poison existentiel. Grand, légèrement voûté comme un peintre de chevalet, ce bel homme tourmenté a son cercle de fidèles inaltérable, de Bernard Blistène, nouveau directeur du Centre Pompidou, à Lorand Hegyi, délicieux directeur du Musée de Saint-Étienne. Fils meurtri de la Collaboration, Garouste pratique la contrition sur la toile et à la tribune. Il se représente comme une moquerie ou une gargouille dans ses grands tableaux métaphysiques où la vie est un rébus, la raison un paramètre perdu dans un labyrinthe, la foi une étoile pâle dans le bleu de la nuit. Son lyrisme le transforme en capitaine Achab qui défie l'échelle du monde de ses Contes ineffables. Ce prédicateur humble et obstiné est contagieux.

    http://www.lefigaro.fr/arts-expositions/2014/01/13/03015-20140113ARTFIG00504-les-disciples-de-gerard-garouste.php

  • J'ai lu hier soir:Raphaël - Vierge à la chaise




    Le Musée du Monde - vol. 27

    Vierge à la chaise
    Parfait accomplissement de Raffaello Sanzio (ou Santi) dit Raphaël dans l’art des tableaux circulaires, les tondi, cette oeuvre appartient à l’un de ses principaux thèmes de recherche – la Vierge et l’Enfant – et demeure l’une des plus rayonnantes de la Renaissance italienne. Exécutée entre 1513 et 1514, la Vierge à la chaise demanda près de deux ans de réflexion à Raphaël qui en a ébauché de premières esquisses dès 1511. Elle est achevée à Rome alors que le peintre originaire d’Urbino s’est vu confier la décoration des appartements du pape au Vatican. Le thème sacré de la Vierge à l’Enfant est ici traduit dans un langage intimiste, où triomphe le sentiment maternel. Artiste cultivé et raffiné, Raphaël sait renouveler dans sa peinture les valeurs de l’humanisme et un goût pour l’Antiquité qui l’unit à ses contemporains. Le classicisme qui caractérise son style devient bien vite un modèle dont les peintres vont s’inspirer jusqu’au XXe siècle.

    http://boutique.lemonde.fr/livres/musee-du-monde/musee-du-monde-27-raphael.html

  • galerie d’art de Roger Bourahimou




    Bienvenue dans la galerie d’art de Roger Bourahimou, spécialisée dans les arts premiers d’Afrique et d’Océanie.

     Roger Bourahimou Gallery - Arts d’Afrique

    Masques africains, statues en bois, objets traditionnels, sculptures et tableaux de goût : venez découvrir des œuvres uniques sélectionnées parmi les plus beaux spécimens de collections privées américaines ou européennes.

     

    Plongez dans l’ambiance magique de l’Afrique et découvrez l’intensité de l’art ethnique dans un cadre exceptionnel en plein cœur du quartier du Sablon à Bruxelles en Belgique. Roger Bourahimou sera ravi de partager avec vous sa passion pour les antiquités dans son showroom et de vous révéler l’histoire de ses collections. Vous pourrez suivre ses derniers coups de cœur en consultant les événements de la galerie et en découvrant les différentes expositions à Bruxelles, New-York et Paris.

    Vous souhaitez vous renseigner sur une œuvre ou venir visiter le salon ? Contactez sans plus attendre l’équipe de la Roger Bourahimou Gallery.

    http://www.roger-bourahimou.be/fr/nos-collections-en-images

  • ART MODERNE ET CONTEMPORAIN

    Lot 1 - Henri Lebasque - Tajan
     
    Le 2 juillet, La maison Tajan organisera à Paris une vente d’Art Impressionniste et Moderne dans laquelle vous pourrez retrouver des artistes comme Metzinger, Kisling, Foujita ou encore Marquet. Le lot phare de cette vente est une huile sur toile d’Henri Lebasque représentant une baigneuse sur la plage de Cannes et estimée entre 60 000 et 80 000 € (Lot 1, photo ci-contre). Les 5 et 6 juillet, Cannes Enchères proposera une vente d’Art Moderne et Contemporain sur deux jours. Vous pourrez acquérir notamment une accumulation d’encriers et coulures rouges réalisée par Arman en 1968 et estimée entre 40 000 et 50 000 € (Lot 614). Enfin, le 6 juillet vous retrouverez en vente, des tableaux abstraits et contemporains ainsi que des sculptures chez Versailles Enchères. Nous retiendrons une technique mixte d’Anselm Kiefer datant de 2006 et estimée entre 400 000 et 500 000 € (Lot 137), ainsi qu’une huile sur toile abstraite de Jean Fautrier estimée entre 250 000 et 300 000 € (Lot 64).

  • Pablo Picasso

     

     

    Peint quelques années plus tard que les autres du Midi, celui-ci de Picasso est le seul représentant la thème avec les femmes habillées et dans un style le plus réaliste de l’époque. Ici il a retourné au classisme, un grand changement de son style cubiste. Le sujet est présenté au centre dans une éspace positive triangulaire sur une plage sur la mer et la côte longe à droite. Toutes les couleurs sont plutôt sombre à part des maillots de bain et le ciel. La femme alongée semble de porter une sorte de voile qui fait penser aux anciens tableaux de Marie ou des anges volantes. Bien que le fond reste calme le mouvement est dans les actions et les corps tournés des femmes. Il ajoute une tournure sur un image qui semble si simple en apparence par les exaggerations de l’angle et de la position de leur membres du corps : notamment la tête et le bras gauche de la bleue, le bras et la jambe gauche de la rouge et la jambe droite de la violette.

     
     

    http://themedesbaigneuses.blogspot.fr/

  • Un pont d'or pour Caillebotte

    Mots clés : Impressionnisme, Paris, Gustave Caillebotte, Artcurial

    Sasportas, Valérie
    03/10/2013 | Mise à jour : 12:35


    Le 2 décembre, Artcurial mettra aux enchères une étude du Pont de l'Europe , tableau impressionniste d'un peintre très rare sur le marché.

     

    Comparé à Londres et New York, le marché parisien n'est pas le fief des tableaux impressionnistes. L'étude signée du Pont de l'Europe, peint par Gustave Caillebotte en 1876, à 28 ans, mise en vente ch...

    http://recherche.lefigaro.fr/recherche/access/lefigaro_fr.php?archive=BszTm8dCk78atGCYonbyzrzF90nEzYuMxfxUsowDHN50WSag1w0w3jX6LpiaJzPVu2IGtjAq08M%3D

    Image:Wikipedia.org

  • L'incroyable trésor de guerre de Hildebrand Gurlitt réapparaît

    MON FIGARO Mon Figaro

    Le trésor maudit dormait dans un appartement de standing, à Munich. Près de 1500 tableaux, dessins, esquisses, gravures et affiches de maître. Des Renoir, Picasso, Matisse, Chagall, Klee, Kokoschka, des expressionnistes allemands, Emil Nolde, Max Beckmann, Max Liebermann… Un milliard d'euros, au bas mot. Dans son édition de dimanche, l'hebdomadaire allemand Focus raconte cette histoire sensationnelle, digne d'un roman de John Le Carré mais qui a échappé aux «Monument Men», ces chasseurs de butins nazis, actifs après guerre et évoqués dans le dernier film de George Clooney. En couverture de Focus, Adolf Hitler pose en uniforme devant un chef-d'œuvre de Franz Marc aujourd'hui retrouvé. C'est un photomontage. Mais les onze pages qui suivent fourmillent de détails, bien réels ceux-là. On y fait la connaissance des Gurlitt père et fils.

  • 150 e anniversaire de la première édition des ”Fleurs du Mal” de Charles Baudelaire

    medium_les_fleurs_du_mal.jpgQui ne connaît pas 'Les Fleurs du mal' ne peut prétendre comprendre la littérature française du XIXe siècle. Les éditions Diane de Selliers proposent une édition illustrée du célèbre recueil, édition enrichie de tableaux de la peinture symboliste et décadente. L'ouvrage, publié à l'occasion du 150e anniversaire de la première édition de l'oeuvre, comporte l'intégralité des 'Fleurs du mal' (éd. 1861) , augmenté des 'Epaves' (1866) et de l'édition posthume (1868) soit 164 poèmes. 185 reproductions de peintures pleine page de 86 artistes essentiellement de la seconde moitié du XIXe siècle accompagnent l'oeuvre de Baudelaire, parmi lesquels, Félicien Rops, Léon Spilliaert, James Ensor, Jean Delville, Alfred Kubin, Edvard Munch, Odilon Redon et Gustave Moreau, Carlos, Schwabe, Max Klinger, etc.

    Source:Evene.fr

    A cette occasion, Daniel Mesguich(comédien et professeur de théâtre)lira des extraits des "Fleurs du Mal" et des "Petits poèmes en Prose", le 12 avril à 20h30 au théâtre 121 de l'Institut Français de Casablanca(Maroc).

  • Boushra Benyezza

    06a8f41747bfd52a3132bd2deab05788.jpgSource de l'image:http://www.galeriefrance.net/region/21/boushra1.php

    Benyezza Boushra réside à Montélimar (Drôme). Artiste accomplie, elle a eu comme maître plusieurs artistes de renom, tant en France qu'à l'étranger.
    Depuis plus de 10 ans maintenant, BOUSHRA réalise des ouvres plus qu'insolites: des tableaux de sable. Venant de tous les coins du monde, le sable plus ou moins fin, de différentes couleurs, de textures diverses permet une précision visuelle incroyable. La technique utilisée permet d'obtenir une grande précision dans le détail grâce à la finesse de certains sables et demande une grande patience et de la minutie.
    Les couleurs, quant à elles, sont pour la plupart obtenues en travaillant le sable pendant une durée dont elle a le secret. Ce procédé exclusif confère à BOUSHRA la possibilité de travailler avec ou sans modèles et elle possède à son actif plus de 300 réalisations... Elle a déjà participée à plus d'une vingtaine d'expositions.

    Source de l'article:http://www.galeriefrance.net/region/21/boushra1.php

  • Nicolas Poussin

    medium_430px-Nicolas_Poussin_031.jpg

    Et in Arcadia Ego, Première version, Chatsworth, GB

     

     

    Et in Arcadia ego est une expression latine rendue célèbre par deux tableaux de Nicolas Poussin (1594-1665). Ce sont des peintures pastorales représentant des bergers idéalisés de l'Antiquité classique, rassemblés autour d'une tombe austère. La seconde version, la plus connue, mesure 122 sur 85 cm, se trouve au Louvre, à Paris, et porte également pour titre « Les bergers d'Arcadie ». L'œuvre a eu une très grande influence sur l'histoire de l'art.

    L'expression est un memento mori, qu'on traduit habituellement par « Même en Arcadie, j'existe » ou « Je suis aussi en Arcadie », comme si c'était la Mort personnifiée qui parlait. Pour sa part, André Félibien, le biographe de Poussin, l'interprétait comme « la personne enterrée dans cette tombe a vécu en Arcadie ». Autrement dit, elle aussi avait profité des plaisirs de la vie sur terre. La première interprétation est généralement considérée comme la plus probable.

     

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Et_in_Arcadia_ego

  • La Fondation de l’Hermitage

    Située dans une belle demeure du XIXe siècle, la Fondation de l’Hermitage accueille des expositions temporaires consacrées aux Beaux-Arts.

    Elle est entourée d’un parc magnifique, ouvert en permanence au public.

    Nous vous invitons à découvrir son cadre, son histoire et ses objectifs.

     Les origines de la Fondation de l’Hermitage
     
    Le parc et le restaurant
     
    La collection
     
    Le Conseil de Fondation
     


    affiche_collections_prov.pngDu 27 janvier au 20 mai 2012

    Ce copyright concerne mes textes et mes photos. Si vous souhaitez utiliser un de mes textes ou photos, merci de me contacter au préalable par e- mail et de citer mon nom et le mon adresse URL... comme je m'efforce de le faire pour les créations des autres.

    Mes essais

    tirés de mes recherches universitaires
    ISBN:978-2-9531564-2-3

    Notes récentes

    ISBN :978-2-9531564-9-2

    Novembre 2024

    Réunissant plus d'une centaine d'œuvres, l'exposition Au fil des collections, de Tiepolo à Degas propose un nouveau regard sur la collection – rarement montrée – de la Fondation de l'Hermitage. Articulée autour des chefs-d’œuvre du musée (Tiepolo, Bocion, Sisley, Degas, Vuillard, Vallotton, Valadon, Braque, Magritte, etc.), cette présentation les confronte avec d'autres joyaux, souvent inédits, des collections suisses, publiques et privées, en un dialogue original et novateur. 

    Le parcours s’ouvre avec les Tiepolo, artistes majeurs du XVIIIe siècle vénitien, à qui une salle entière est consacrée. Les dessins appartenant à l’Hermitage sont confrontés à des feuilles issues d’autres collections, mettant en lumière le génie graphique de cette illustre famille de créateurs. François Bocion, l'un des peintres importants de la collection de la Fondation, est représenté dans l’exposition par une riche sélection de vues vénitiennes et de parties de plaisir sur le Léman. Le thème de la promenade sur le lac, cher à l'artiste, est particulièrement mis à l'honneur dans l'un des grands salons de la demeure, grâce un accrochage panoramique de tableaux qui, au fil de l’eau, emmènent le visiteur de Chillon à Lausanne. Le pastel Danseuses d'Edgar Degas, reçu en legs en 1998, est un autre chef-d’œuvre de l’Hermitage. Réunie autour de ce somptueux dessin, une sélection d’œuvres de l’artiste illustre le thème de la danse et permet de comprendre toute la modernité de ses compositions. L'impressionnisme occupe naturellement une place privilégiée au cœur de l'exposition. Le musée est en effet intimement lié à ce courant novateur depuis son exposition inaugurale, en 1984, L'impressionnisme dans les collections romandes. C’est d’ailleurs un lumineux paysage réalisé par Alfred Sisley qui fut la première œuvre à intégrer la collection. S’accordant particulièrement bien aux modèles et à l’atmosphère impressionnistes, l’admirable demeure du XIXe siècle offre un écrin à plusieurs tableaux réalisés par des grands maîtres de cette période, tels Gustave Caillebotte ou Henri Fantin-Latour. Associé au mouvement Nabi, Félix Vallotton poursuit quant à lui une voie personnelle et originale. Ami intime d'Edouard Vuillard, il peint souvent en sa compagnie, notamment à Romanel-sur-Lausanne, où tous deux séjournent en 1900. Présentés côte à côte dans l’exposition, les tableaux des deux artistes sont accompagnés d'un ensemble de paysages de Vallotton illustrant le thème du chemin, récurrent dans l'œuvre tardif du peintre.

    Dans les combles du musée se trouvent rassemblées des peintures d’artistes vaudois actifs dans les premières décennies du XXe siècle, de René Auberjonois à Louis Soutter, permettant de saisir les nouvelles tendances de l'art en Suisse à cette période charnière. Une autre section de l'exposition est consacrée à René Magritte et déploie un ensemble de dessins, gouaches et huiles autour de sa correspondance avec le poète Gui Rosey, dont les archives ont été acquises par la Fondation en 1989. La présentation se clôt avec un remarquable ensemble de tableaux et dessins de Suzanne Valadon, donnés à l’Hermitage en 2007, dont les couleurs vibrantes sont articulées dans des compositions simples et fortes. En point d’orgue de la visite, de nombreuses vues prises depuis le Signal et la campagne de l’Hermitage viennent rappeler que le site fut de tout temps prisé par les artistes, tel Camille Corot.

    Commissariat : Sylvie Wuhrmann, directrice de la Fondation de l’Hermitage

    Catalogue : publié en coédition avec les Editions 5 Continents à Milan. Préfacé par Sylvie Wuhrmann et reproduisant en couleur la majorité des œuvres exposées, le catalogue réunit les contributions de Béatrice Aubert-Miéville, Antoine Baudin, Aurélie Couvreur, Jill DeVonyar et Richard Kendall, Florence Friedrich, Dominique Hoeltschi, Dave Lüthi, Katia Poletti et Nathalie Strasser.

    L’exposition et le catalogue bénéficient du généreux soutien de


               

  • Fin de l'expo Soulages à Lyon (vue le 3 novembre 2012)

     
     
    Ouverture de l'exposition vendredi 12 octobre 2012
    En cette rentrée, le musée met à l'honneur l'un des plus grands artistes vivants, Pierre Soulages, à travers une trentaine d’œuvres dont plusieurs tableaux inédits.
    Représentant majeur de l’abstraction française, Pierre Soulages a fait de la couleur noire son signe distinctif.
     
    Cf. la précédente expo de Soulages que j'ai vue:
     
     

    Je précise que cet article n'est pas de moi (lien vers la page citée et si possible son auteur)mais que je suis auteure et que vous pouvez commander mes livres en cliquant sur les 11 bannières de ce blog

     
  • Chaïm Soutine, l'ordre du chaos au Musée de l'Orangerie

    Soutine - Musée de l’Orangerie

    Réunis par la passion du marchand Paul Guillaume pour ces « portraits où la mesure et la démence luttent et s’équilibrent », vingt-deux tableaux du peintre russe Chaïm Soutine (1893-1943) sont conservés par le musée de l’Orangerie. Ils seront le noyau d’une rétrospective, organisée à l’automne 2012, célébrant la puissance expressionniste et l’ardeur d’une palette uniques dans le Paris de l’entre-deux-guerres. L’influence que cette œuvre eut sur les artistes de la fin du XXème siècle rend nécessaire un nouveau regard sur un peintre encore incompris en France.

    http://www.exponaute.com/expositions/4834-soutine/

    Je précise que cet article n'est pas de moi (lien vers la page citée et si possible son auteur)mais que je suis auteure et que vous pouvez commander mes livres en cliquant sur les 11 bannières de ce blog

  • 2012 : l’année Klimt

    « Si quelqu’un veut savoir quelque chose sur moi (…), qu’il se penche de près sur mes tableaux. » L’année 2012 marque le 150e anniversaire de la naissance de Gustav Klimt, l’un des plus grands noms de la peinture autrichienne et le chef de file de la Sécession de Vienne. Le monde de l’art lui rendra hommage à travers une série d’expositions de haut vol.

    Beethovenfries, Vienna Secession © Österreich Werbung/Trumler

     

    Je précise que cet article n'est pas de moi (lien vers la page citée et si possible son auteur)mais que je suis auteure(inspirée par ce que j’aime, donc par ce blog) et que vous pouvez commander mes livres en cliquant sur les 11 bannières de ce blog

     

  • ”La couleur bleue” de Jörg Kastner

    La Couleur bleue

    Un tableau peut-il rendre fou et pousser au meurtre ? Amsterdam, 1669 : un teinturier spécialisé dans la couleur bleue assassine sauvagement sa famille. Le lendemain, le gardien de sa prison est lui-même pris d'un accès de folie et massacre sa compagne. Quel secret se dissimule derrière ces meurtres ? Pourquoi un mystérieux tableau est-il lié à chacun d'eux ? C'est ce que devra découvrir le jeune Cornélis, élève de Rembrandt et amoureux de la fille de celui-ci. Pour dénouer les fils de cette sanglante histoire, le voilà entraîné dans une course rocambolesque, où les haines religieuses se mêlent au commerce illicite de la Compagnie des Indes, et où les tableaux des grands maîtres servent d'appâts aux amours tarifées de luxe. Couleur rare et sacrée, le bleu serait il l'incarnation du mal et du crime ?

    http://www.evene.fr/livres/livre/jorg-kastner-la-couleur-bleue-25644.php

    Je précise que cet article n'est pas de moi (lien vers la page citée et si possible son auteur)mais que je suis auteure(inspirée par ce que j’aime, donc par ce blog) et que vous pouvez commander mes livres en cliquant sur les 11 bannières de ce blog

  • Calendrier des notes en Novembre 2024
    D L M M J V S
    1 2
    3 4 5 6 7 8 9
    10 11 12 13 14 15 16
    17 18 19 20 21 22 23
    24 25 26 27 28 29 30
ISBN : 978-2-919204-00-7
ISBN :978-2-9531564-7-8

Mes recueils

de poèmes

Mon premier recueil de poèmes

ISBN:978-2-9531564-1-6
ISBN :978-2-9531564-3-0

À propos

est une vitrine pour Ce que j'écris(1 ere partie du titre):...

ISBN :978-2-9531564-4-7
ISBN:978-2-9531564-0-9
ISBN :978-2-9531564-8-5
ISBN :978-2-9531564-5-4

Catégories

Stats