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Rechercher : tableaux

  • Nous avons vu cet après-midi à Lyon:SOULAGES XXIe siècle

     
     
    Ouverture de l'exposition vendredi 12 octobre 2012
    En cette rentrée, le musée met à l'honneur l'un des plus grands artistes vivants, Pierre Soulages, à travers une trentaine d’œuvres dont plusieurs tableaux inédits.
    Représentant majeur de l’abstraction française, Pierre Soulages a fait de la couleur noire son signe distinctif.
     
    Cf. la précédente expo de Soulages que j'ai vue:
     
     

    Je précise que cet article n'est pas de moi (lien vers la page citée et si possible son auteur)mais que je suis auteure et que vous pouvez commander mes livres en cliquant sur les 11 bannières de ce blog

  • ”Le jardin des peintres” d'Hubert Haddad

    Le jardin des peintres

    S'appuyant sur des oeuvres dont il souligne la spécificité et l'inscription dans l'histoire de l'art, Hubert Haddad met en lumière le jardin comme mythe, microcosme culturel, argument ornemental, "miroir de l'âme", espace à transformations, depuis les jardins suspendus de Babylone, les jardins à la française du siècleclassique, les jardins à simulacres du style rocaille et du romantisme, jusqu'aux tableaux atmosphériques voués aux jeux de lumière de l'impressionnisme, aux jardins minéraux du bouddhisme zen, aux banlieues ouvrières couturées de maigres replis végétaux. Jardins anglais ou exotiques, labyrinthes et pergolas, vergers,serres et cabinets de verdure, kiosques et orangeries, tous les aspects de cette garden-party picturale sont développés et commentés dans cet ouvrage. Débutantavec l'Antiquité, cette enquête traverse l'histoire et les civilisations jusqu'au XXème siècle et interroge aussi bien les peintures de Pompeï que l'oeuvre de Giotto, Rubbens, Watteau, Constable, Millet, Cézanne, Matisse, Klint ou Kandinsky.

    http://www.franceculture.fr/oeuvre-le-jardin-des-peintres-de-hubert-haddad.html

  • Salammbô revu par Druillet

    Par Aurélia Vertaldi, Olivier Delcroix
    07/06/2010 | Mise à jour : 16:13 Réactions (4)

    REPORTAGE VIDEO - Le bédéiste expose 40 nus de femme, prolongement de son travail en BD sur l'oeuvre de Flaubert.

    Après cinq ans de silence, Philippe Druillet signe un retour en force. L'auteur de Lone Sloane qui s'est rendu célèbre dans les années 80 en adaptant le roman Salammbô de Flaubert en BD, s'affronte à nouveau à son héroïne en une quarantaine de tableaux. Ces 40 portraits mettent en évidence la force, la beauté sauvage et l'aspect totémique de la féminité.

    Lefigaro.fr est allé à sa rencontre à la galerie Pascal Gabert, à Paris.

     

    Philippe Druillet, Salammbô les nus , Galerie Pascal Gabert, 11 bis rue du Perche à Paris 3e, jusqu'au 12 juin 2010.

     

     

  • Le Maroc peint par Irina Potseloueva

    Publié le : 18.07.2010 | 10h47
       
     
     

    L'artiste-peintre Irina Potseloueva-Plekhanova revient au Maroc avec une autre belle série de tableaux, exposés au Centre russe de la science et de la culture.

    180710_p_environement.jpgAprès le franc succès remporté lors de son exposition à l'Espace Expressions CDG, en octobre dernier, l'artiste peintre Irina Potseloueva-Plekhanova revient au Maroc avec une autre belle série de tableaux, dont la thématique tourne autour des Médinas, paysages et sites marocains avec quelques toiles sur son pays natal, la Russie.
    «Pendant mon dernier séjour au Maroc, j'ai eu l'occasion de visiter quelques villes. Leurs Médinas et paysages m'ont vraiment marquée et j'ai senti une grande émotion que je n'ai pu m'empêcher d'étaler sur mes toiles afin de pérenniser ces moments de bonheur et de satisfaction », nous confie l'artiste Irina. Ces sentiments que nous détectons au premier regard de ses toiles nous rappellent la peinture des grands maîtres hollandais, italiens ou russes.

    180710_p_environement.jpgEn effet, ce sont des œuvres qui impressionnent aussi bien avec la qualité du travail, le choix des sujets que la procuration de plaisir. Son apport artistique et technique n'est plus à mettre en cause depuis 2002 où elle a été nommée Membre du Fond international artistique.
    Un titre octroyé, en Russie, uniquement aux peintres professionnels. Ce titre qu'elle mérite amplement, vu le succès qu'elle remporte à chacune de ses prestations plastiques devenues nombreuses ces dernières années.

    Son actuelle exposition au CRSC, qui se poursuivra jusqu'au 24 juillet, est, en effet, un beau voyage où Irina nous fait découvrir sa vision par rapport à un pays qu'elle a beaucoup admiré depuis sa première visite. «J'ai été vraiment impressionnée par sa lumière, sa nature et ses multiples couleurs qui ne ressemblent pas à ceux de la Russie. Le Maroc est une vaste source d'inspiration pour les artistes. Je comprends pourquoi de grands peintres s'y sont installés et ont laissé des chefs d'œuvre», souligne Irina Potseloueva qui a étonné le public, présent lors du vernissage. Ses tableaux sur la nature morte en disent beaucoup sur sa perfection. Une superbe série nous a été offerte avec «Nature morte à l'oignon», «La nature morte avec les mandarines», «Les abricots», «Les grenadines mûres », « La nature morte avec les poires », « La nature morte avec les pommes », «La nature morte avec l'orange»,….

    La visite d'Irina à quelques villes marocaines, notamment Fès, Rabat, Essaouira, Agadir et sa région, a été suffisante pour quelle puisse nous transmettre ses impressions les plus fidèles d'une artiste éblouie par la richesse des couleurs et la splendeur des paysages.
    Les expositions d'Irina au Maroc annoncent bien le départ d'un long voyage
    qui augure d'une belle aventure plastique où elle dédie son pinceau et ses sentiments au profit des splendeurs naturelles et patrimoniales marocaines.

    Parcours

    Devenue membre de l'Union artistique des peintres de la Russie, depuis 2008, Irina Potseloueva-Plekhanova est considérée comme artiste-peintre professionnelle et confirmée de la Russie. Ses œuvres se distinguent par le goût de l'expérimentation.
    Elle utilise une technique mixte pour ses sujets plutôt romantiques où anciennes Médinas, Fantasia, paysages et nature morte sont les thèmes les plus prisés par l'artiste. Sa spécialisation dans l'interprétation de la nature morte et des paysages russes lui assure une grande renommée. Son palmarès s'enrichit d'année en année avec de multiples expositions, en plus de celles collectives de l'Union artistique « IZOGRAF », dont elle est membre permanent.
    Les tableaux d'Irina Plekhanova se trouvent, également, dans plusieurs galeries et collections privées en Russie et à l'étranger.

    http://www.lematin.ma/Actualite/Journal/Article.asp?idr=115&id=136666

  • Le Maroc peint par Irina Potseloueva

    Publié le : 18.07.2010 | 10h47
       
     
     
    L'artiste-peintre Irina Potseloueva-Plekhanova revient au Maroc avec une autre belle série de tableaux, exposés au Centre russe de la science et de la culture.

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    Après le franc succès remporté lors de son exposition à l'Espace Expressions CDG, en octobre dernier, l'artiste peintre Irina Potseloueva-Plekhanova revient au Maroc avec une autre belle série de tableaux, dont la thématique tourne autour des Médinas, paysages et sites marocains avec quelques toiles sur son pays natal, la Russie.
    «Pendant mon dernier séjour au Maroc, j'ai eu l'occasion de visiter quelques villes. Leurs Médinas et paysages m'ont vraiment marquée et j'ai senti une grande émotion que je n'ai pu m'empêcher d'étaler sur mes toiles afin de pérenniser ces moments de bonheur et de satisfaction », nous confie l'artiste Irina. Ces sentiments que nous détectons au premier regard de ses toiles nous rappellent la peinture des grands maîtres hollandais, italiens ou russes.

    En effet, ce sont des œuvres qui impressionnent aussi bien avec la qualité du travail, le choix des sujets que la procuration de plaisir. Son apport artistique et technique n'est plus à mettre en cause depuis 2002 où elle a été nommée Membre du Fond international artistique.
    Un titre octroyé, en Russie, uniquement aux peintres professionnels. Ce titre qu'elle mérite amplement, vu le succès qu'elle remporte à chacune de ses prestations plastiques devenues nombreuses ces dernières années.

    Son actuelle exposition au CRSC, qui se poursuivra jusqu'au 24 juillet, est, en effet, un beau voyage où Irina nous fait découvrir sa vision par rapport à un pays qu'elle a beaucoup admiré depuis sa première visite. «J'ai été vraiment impressionnée par sa lumière, sa nature et ses multiples couleurs qui ne ressemblent pas à ceux de la Russie. Le Maroc est une vaste source d'inspiration pour les artistes. Je comprends pourquoi de grands peintres s'y sont installés et ont laissé des chefs d'œuvre», souligne Irina Potseloueva qui a étonné le public, présent lors du vernissage. Ses tableaux sur la nature morte en disent beaucoup sur sa perfection. Une superbe série nous a été offerte avec «Nature morte à l'oignon», «La nature morte avec les mandarines», «Les abricots», «Les grenadines mûres », « La nature morte avec les poires », « La nature morte avec les pommes », «La nature morte avec l'orange»,….

    La visite d'Irina à quelques villes marocaines, notamment Fès, Rabat, Essaouira, Agadir et sa région, a été suffisante pour quelle puisse nous transmettre ses impressions les plus fidèles d'une artiste éblouie par la richesse des couleurs et la splendeur des paysages.
    Les expositions d'Irina au Maroc annoncent bien le départ d'un long voyage
    qui augure d'une belle aventure plastique où elle dédie son pinceau et ses sentiments au profit des splendeurs naturelles et patrimoniales marocaines.

    Parcours

    Devenue membre de l'Union artistique des peintres de la Russie, depuis 2008, Irina Potseloueva-Plekhanova est considérée comme artiste-peintre professionnelle et confirmée de la Russie. Ses œuvres se distinguent par le goût de l'expérimentation.
    Elle utilise une technique mixte pour ses sujets plutôt romantiques où anciennes Médinas, Fantasia, paysages et nature morte sont les thèmes les plus prisés par l'artiste. Sa spécialisation dans l'interprétation de la nature morte et des paysages russes lui assure une grande renommée. Son palmarès s'enrichit d'année en année avec de multiples expositions, en plus de celles collectives de l'Union artistique « IZOGRAF », dont elle est membre permanent.
    Les tableaux d'Irina Plekhanova se trouvent, également, dans plusieurs galeries et collections privées en Russie et à l'étranger.

    http://www.lematin.ma/Actualite/Journal/Article.asp?idr=115&id=136666

  • 21. Voyage à Paris 21. Montmartre. Rue du Mont-Cenis

     

    mont-cenis.jpg

    Jusqu'en 1863, on l'appelait rue Saint-Denis car on l'empruntait pour se rendre à l'abbaye du même nom. Elle est tellement abrupte qu'on ne pouvait, à l'époque, la parcourir qu'à pied ou à dos d'âne. Flânez dans la galerie de tableaux Roussard, au numéro 7 : le choix y est souvent intéressant. Le numéro 18 abritait la maison de la chanteuse populaire Mimi Pinson et le 22 était l'ancienne résidence du compositeur Berlioz.

    http://www.cityzeum.com/mont-cenis-rue-du

     

    De 1919 à 1935, Suzanne Valadon et son fils fréquentèrent un casse-croûte » établi au numéro 5.

    C'est au numéro 3 de la rue du Poteau, Maurice Utrillo voit le jour.

     

    Récapitulatif du voyage de mars 2009... dans l'ordre :

     

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/03/10/recap...

  • La Belle Epoque en revue

    Restons dans les cénâcles littéraires avec ce livre, paru il y a quelques mois seulement, consacrée à la Revue Blanche. Un livre un peu fouillis, dense de ses plus de mille pages, mais qui rend compte de cette véritable ruche qu’a représentée la Revue Blanche, à la charnière du XIX et du XXe siècle. Libertaire, audacieuse, imaginative, découvreuse de talents, cette publication périodique dirigée par les frères Natanson et « peignée » par Félix Fénéon (dont Félix Vallotton avait fait un beau portrait) s’empara des questions politiques, ouvrit ses colonnes à Mirbeau, Apollinaire, Péguy, Mallarmé, Jarry mais aussi aux Nabis ou aux Fauves dont les tableaux faisaient hoqueter beaucoup dans les expositions. Une revue qui justifie à elle seule l’expression de Belle Epoque ◆ G.H. Paul-Henri Bourrelier, La Revue Blanche. Une génération dans l’engagement (1890-1905), Fayard, 1200 p., 45 €.

    Source: Télérama.fr

  • Soutine ou le lyrisme desespéré

    985876420.jpgN° Hors Série 34- janvier 2008 - 8,50 €-ISSN : 0998-8041

    Soutine par Pierre Drieu La Rochelle
    Soutine par Maurice Sachs
    UNe jeunesse aux confins de la légende
    D'un autoportrait à l'autre
    Soutine portraitiste
    De la Ruche à la fondation Barnes
    De la vache enragée au Boeuf écorché
    Paysages des années 1920
    Soutine, de reconnaissances en tourments
    La Raie, nature morte ou portrait ?
    Variation sur l'enfant de choeur
    Le baroque de Soutine

    http://www.faton.fr/scripts/index_numero.asp?id_titre=5&id_pro=1486

     

    Je me suis beaucoup penché bien sûr sur les paysages; cet homme me fascine d'autant plus qu'un vieil ami peintre a connu Soutine et que j'ai vu un de ces tableaux(hors musées) par ce biais. Beaucoup de souvenirs et d'émotion.

    31/03/2008 11:53

  • Suite à ma note du 31/03/2008 sur la vente aux enchères à Casablanca 1-

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2008/03/31/nous-avons-assiste-a-notre-2-e-vente-aux-encheres-d-oeuvres.html#comments

    Voici un des tableaux vendus que j'ai aimé; il était exposé dans la salle en face de moi.

     

    Nom : Thaier HILAL (Né en 1967)

    Artiste syrien

    Description :

    Sans titre / Untitled, 2006

    Technique mixte sur toile

    Signée et datée en bas au centre

    Mixed media on canvas

    Signed and dated lower centre

    200 x 200 cm

    Evaluation en dirham marocain:DH 120 000 / 150 000(diviser à peu près par 10 pour avoir le prix en euros)

    Et en dollar:

    US$ 16,000 / 20,000

    http://www.cmooa.com/detailouver.php?ref=70&id=1875&nom=Thaier%20HILAL%20(Né%20en%201967)

    Je ne me souviens pas bien à quel prix il est parti mais au moins dans la fourchette d'évaluation, si ce n'est un peu plus...

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  • Le palais des Beaux-Arts de Lille visité en mars 2008

    843302156.jpg
    Le Palais des Beaux-Arts de Lille, l’un des premiers musées français, abrite dans son imposant bâtiment caractéristique du répertoire architectural du XIXe siècle, des collections de peinture européenne, un cabinet des dessins, un département des Antiquités, du Moyen Âge et de la Renaissance, des céramiques des XVIIe et XVIIIe siècles, des sculptures françaises du XIXe siècle et des Plans-Reliefs du XVIIIe siècle.

    Les travaux de rénovation, achevés en 1997, ont permis non seulement l’agrandissement du musée (d’une surface de 15 000 m2, il est passé à 22 000 m2) mais aussi l’aménagement des sous-sols où sont aujourd’hui installées les galeries consacrées au Moyen Âge et à la Renaissance et la salle des Plans-Reliefs. Une salle d’expositions temporaires, un auditorium, une bibliothèque et des ateliers pédagogiques y ont aussi été créés.
    Le "bâtiment-lame" situé à l’arrière du bâtiment principal et renvoyant ainsi son reflet dans ses parois de verre, abrite les bureaux de la conservation et de l’administration, le cabinet de dessins, les ateliers de restauration et le restaurant.

    Les collections mondialement renommées du Palais des Beaux-Arts retracent un panorama complet des plus grands foyers artistiques européens du XIIe au XXe siècle.
    Le département du Moyen Âge et de la Renaissance présente de grands chefs-d’oeuvre européens de la sculpture et de l’orfèvrerie romanes et gothiques (Vieillard de l’Apocalypse de Saint-Omer, Encensoir aux hébreux, Retable de saint Georges) et de la Renaissance (Donatello). La peinture italienne, espagnole, des pays germaniques et surtout des anciens Pays-Bas est bien représentée (Dirk Bouts, Jan Bellegambe).
    Le département des peintures compte plus de 650 tableaux parmi lesquels : l’école flamande, qui comprend un ensemble rare de Maniéristes du Nord (Barthel Bruyn, Van Hemessen, ateliers de Brueghel et de Bosch), de majestueux tableaux d’autel (Rubens, Van Dyck et Jordaens), ainsi qu’une collection de peinture hollandaise (Emmanuel de Witte, Pieter Codde, Jacob Van Ruisdael, Pieter Lastman) représentative de la quasi-totalité des genres pratiqués à Amsterdam, Anvers, Delft, Haarlem et Utrecht au XVIIe siècle.
    De Champaigne à Manet, le parcours de peinture française est également très complet ; certains tableaux constituent des jalons essentiels de son évolution (David, Chardin, Delacroix, Courbet…). Les bouleversements esthétiques du XIXe siècle sont représentés en peinture par Monet, Sisley, Seurat, Puvis de Chavannes et en sculpture par Pajou, David d’Angers, Carpeaux, Camille Claudel, Rodin.
    La peinture italienne n’a pas bénéficié des grands envois de l’Etat à l’époque de Napoléon mais comporte toutefois des œuvres insignes de Véronèse, Tintoret, Bassano.
    Le cabinet espagnol restitue, en peu de tableaux, l’intensité spirituelle de cette école, avec les chefs d’œuvre de Goya, Greco, Ribera et Valdes Leal.
    Enfin, le cabinet des dessins riche de 4 000 feuilles, dont 30 dessins de Raphaël, fait du musée de Lille une référence mondiale pour tous les amateurs et les spécialistes du genre.
    Le musée réserve aussi une section à l’archéologie méditerranéenne (Egypte, Nubie, Grèce, Chypre, Italie).

    Mais le Palais des Beaux-Arts de Lille, c’est aussi une programmation culturelle qui se situe à la croisée des époques et des disciplines artistiques (littérature, théâtre, musique, danse, cinéma, vidéo, installations..), avec des rendez-vous réguliers qui incitent à une découverte sans cesse renouvelée de ses collections et de ses expositions par tous les publics.

    http://www.palaisdesbeauxarts.fr/spip.php?rubrique2

    Je crois que je l'avais dèjà visité à sa réouverture, quand je vivais dans le Nord mais j'avais du me concentrer sur l'expo sur Watteau alors que là, j'ai commencé par les collections permanentes. J'en ai pris plein les yeux, j'ai pris beaucoup de notes(de futures notes ici si je trouve le temps), j'ai discuté avec quelqu'un du musée.

    Un tableau de Brueghel le jeune(d'après Brueghel l'Ancien) dans la salle des maniéristes du nord du département des peintures:La prédication de Saint Jean-Baptiste

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    Les prédicateurs protestants parcouraient les Pays-Bas et prêchaient les nouveaux enseignements à ciel ouvert. Il en allait de même pour les anabaptistes qui se réclamaient de Saint Jean-Baptiste. Bruxelles montre une réunion de son époque, mais remplace le prédicateur par Saint Jean-Baptiste. De son bras gauche, il désigne le Christ qui se distingue des autres spectateurs par sa robe claire (voir détails).

    http://www.pieter-bruegel.com/salles/prediction.htm

  • L'art du jardin Grand Palais

    Après dix ans d’absence, L'Art du Jardin renait dans la Nef du Grand Palais du 31 mai au 3 juin 2013, pour le grand bonheur des amoureux des jardins. Le salon rend hommage à l'excellence de la création paysagère contemporaine dans un décor de jardins alliant Savoir-faire et Art de Vivre.
    L'Art du Jardin accueille les visiteurs autour de jardins originaux et créatifs évoquant des thèmes divers. Tous les acteurs de l’univers végétal sont représentés : artisans, paysagistes, pépiniéristes, horticulteurs, spécialistes de la décoration et de l’aménagement, architectes ou encore urbanistes.
    Une trentaine de "tableaux végétaux" réalisés par Thierry Huau, paysagiste, urbaniste et etnobotaniste reconnu, évoquent des thèmes divers (une jungle, un jardin méditerranéen, un jardin impressionniste, une prairie fleurie, un jardin japonais...), grâce à des compositions de plantes exceptionnelles produites par une cinquantaine de pépiniéristes de toute l'Europe.

    http://www.grandpalais.fr/fr/evenement/lart-du-jardin-grand-palais

  • A voir

    Après dix ans d’absence, L'Art du Jardin renait dans la Nef du Grand Palais du 31 mai au 3 juin 2013, pour le grand bonheur des amoureux des jardins. Le salon rend hommage à l'excellence de la création paysagère contemporaine dans un décor de jardins alliant Savoir-faire et Art de Vivre.
    L'Art du Jardin accueille les visiteurs autour de jardins originaux et créatifs évoquant des thèmes divers. Tous les acteurs de l’univers végétal sont représentés : artisans, paysagistes, pépiniéristes, horticulteurs, spécialistes de la décoration et de l’aménagement, architectes ou encore urbanistes.
    Quarante "tableaux végétaux" réalisés par Thierry Huau, paysagiste, urbaniste et etnobotaniste reconnu, évoquent des thèmes divers (une jungle, un jardin méditerranéen, un jardin impressionniste, une prairie fleurie, un jardin japonais...), grâce à des compositions de plantes exceptionnelles produites par une cinquantaine de pépiniéristes de toute l'Europe.

    http://www.grandpalais.fr/fr/evenement/lart-du-jardin-grand-palais

  • Paul Durand-Ruel

     

     

     

    Le pari de l'impressionnisme

    9.00 € TTC

     
    15 octobre 2014

    Audacieux et précurseur, ce marchand d’art est le premier à acheter et à vendre les tableaux d’un groupe de peintres qui se feront connaître sous le nom d’impressionnistes, créant ainsi les conditions d’existence nécessaires à l’épanouissement du mouvement. Sa passion pour leur art l’amène à faire connaître ces artistes à Londres, à Bruxelles et aux États-Unis. La reconnaissance outre-Atlantique permettra la reconnaissance en France. Beaux Arts éditions consacre un hors-série à ce défenseur de l’impressionnisme.

    Exposition au musée du Luxembourg
    du 9 octobre 2014 au 8 février 2015
     
    http://www.beauxartsmagazine.com/0125-885-Paul-Durand-Ruel.html

    Informations sur le livre: 52 pages - 22 x 28,5 cm
    EAN : 9791020401205
    Reliure : Broché
  • J'ai fini ce soir dans mon bain:Toscane éternelle Figaro Hors-série

    Toscane éternelle

    Ses paysages sont des tableaux de maître, ses œuvres d’art prolongent les courbes de ses collines et l’ombre azurée qui les colore. Ses villes ressemblent à un miracle, celui de la beauté, si impérieuse qu’elle paraît naturelle. Le Figaro Hors-Série explore la Toscane, cette terre qui avait inspiré à Dante son paradis. Décryptage des secrets de la sacristie de Michel-Ange, exploration des chantiers de restauration, promenades dans les plus secrets des jardins toscans, découvertes des nouveaux musées, reportage dans les coulisses des fêtes traditionnelles du Palio de Sienne et du Calcio fiorentino, visite des palais de l’aristocratie florentine et des villas des anciens seigneurs de Lucques, dégustations dans les caves où vieillit le vino nobile de Montepulciano et le Rosso di Montalcino… C’est un voyage étourdissant que propose, en 160 pages, cette édition exceptionnelle du Figaro Hors-Série.

    http://boutique.lefigaro.fr/produit/127056-toscane-eternelle

  • J'ai aimé samedi à Paris:Pissarro à Éragny La nature retrouvée

    22 mars 2017

    Camille Pissarro, l’aîné des impressionnistes, aux convictions anarchistes inaltérables, consacre son art au paysage rural ou citadin et aux sujets rustiques qu’il puise dans son environnement du Vexin.
    L'exposition aborde la période la moins étudiée et la plus complexe de la carrière de l'artiste : les tableaux, dessins et gravures créés à Éragny pendant une période de presque vingt années. En 1884, Camille Pissarro s’installe avec sa famille dans ce village de l’Oise où il vivra au rythme de sa ferme et de la poésie des champs, recevant ses amis artistes, Monet, Cézanne, Van Gogh ou Gauguin. Il y poursuit sa peinture de la vie rurale française et découvre les idéaux anarchistes de la fin du XIXe siècle.
    Beaux Arts éditions revient sur les dernières années, à la fois bucoliques et engagées, de celui qui est considéré
    comme l’un des pères de l’impressionnisme.

    Exposition au musée du Luxembourg
    du 16 mars au 9 juillet 2017


    Informations sur le livre: 68 pages - 22 x 28,5 cm
    EAN : 9791020403407
    Reliure : Broché
    http://www.beauxartsmagazine.com/0125-1309-Pissarro-a-Eragny.html
  • Expo, la clé Duchamp

    Par Anne-Laure Walter, Nicolas Greslin, le 12.09.2014 (mis à jour le 18.09.2014 à 19h41) Expo

    Marcel Duchamp, L.H.O.O.Q., 1919, ready-made rectifié. - COLL. PART. SUCC. DUCHAMP / ADAGP PARIS

    Treize nouveautés accompagnent l'exposition "Marcel Duchamp, la peinture, même", du 24 septembre au 5 janvier, au Centre Pompidou

    Apôtre du ready-made qui transforme un urinoir en œuvre d’art, Marcel Duchamp (1887-1968) reste la référence pour tout critique d’art contemporain en panne d’inspiration. Avec "Marcel Duchamp, la peinture, même", du 24 septembre au 5 janvier, le Centre Pompidou veut aller au-delà du cliché et montrer les tableaux de celui qui, selon la doxa moderniste, a tué la peinture.

    http://www.livreshebdo.fr/article/expo-la-cle-duchamp

  • Les rescapés de l'été : les paysages de Nicolas de Staël réconcilient abstraction et figuration(J'en ai lu le catalogue)

     

    Suite de notre série qui revient sur les immanquables de l'été... Cette exposition de plus de 130 tableaux réalisés entre 1951 et 1955 par Nicolas de Staël est un régal pour les yeux : paysages normands aux teintes bleues, grises et blanches, et paysages du sud aux teintes ocres, rouges et violettes.

    Atlanti-culture

    Publié le 17 Septembre 2014
    Les rescapés de l'été : les paysages de Nicolas de Staël réconcilient abstraction et figuration

    L'exposition "Lumières du Nord et Lumières du Sud" est ouverte jusqu'au 9 novembre 2014. Crédit Muma-lehavre.fr


    Read more at http://www.atlantico.fr/decryptage/rescapes-ete-paysages-nicolas-stael-reconcilient-abstraction-et-figuration-critique-exposition-culture-tops-1757269.html#Fl80ycPppzvYdyAj.99

    Le thème

    A l'occasion du centenaire de la naissance de Nicolas de Staël (St Petersbourg 1914 - Antibes 1955) le MUMA organise la première exposition consacrée au paysage dans son oeuvre. Cette exposition réunit plus de 130 tableaux (80 peintures et 50 dessins) réalisés entre 1951 et 1955. 

    Points forts

    1) Un quart des tableaux, qui proviennent de collections privées, et de prêts des grands musées américains, allemands et français, n'ont jamais été exposés en France.

    2) Au moment du triomphe de l'abstraction, Nicolas de Staël ose renouer avec la nature, le paysage et le réel, dépassant l'opposition entre abstraction et figuration. Pour lui,le paysage n'est pas la description fidèle d'un site, mais avant tout, la lumière et l'espace. Il évolue de la matière épaisse à la fluidité presque transparente. "Je n'oppose pas la peinture abstraite à la peinture figurative. Une peinture devrait être à la fois abstraite et figurative. Abstraite en tant que mur, et figurative en tant que représentation d'un espace" ( Nicolas de Staël, 1952).

     

     

     

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    Prolongez l’été avec 1 million de billets à petits prix SNCF.

    3) Le MUMA, avec ses grandes ouvertures sur la mer, et grâce à son accrochage très lisible et progressif de  l'oeuvre de Staël, permet au spectateur de se laisser aller à la rêverie et à la contemplation devant les paysages présentés. Quand le promeneur sort du Musée, il se retrouve devant la mer, et poursuit à l'extérieur la contemplation réelle des tableaux qu'il vient de quitter. 

    4) Une suggestion : profitez d'être au Havre pour aller visiter, juste derrière le MUMA, l'Eglise Saint Joseph, d'Auguste Perret (je vous laisse découvrir son architecture); et l'appartement-témoin de la reconstruction de la ville, après la dernière guerre (Office du Tourisme).

    Points faibles

    Pas de restaurants sympathiques aux alentours : le restaurant du MUMA est petit et toujours plein ! Pensez à réserver si vous souhaitez faire une halte pour déjeuner.

    En deux mots

    Cette expo est un régal pour les yeux : paysages normands aux teintes bleues, grises et blanches, et paysages du sud aux teintes ocres, rouges et violettes. 

    Recommandation

    Excellent. En prioritéVaut le voyage...

    Infos & réservation

    "Lumières du Nord et Lumières du Sud", musée d'Art Moderne, André Malraux 2 bd Clémenceau, 76600 Le Havre;  Tél. : 02 35 19 62 62 ; Exposition ouverte jusqu'au 9 novembre 2014 (Fermeture le mardi).


    Read more at http://www.atlantico.fr/decryptage/rescapes-ete-paysages-nicolas-stael-reconcilient-abstraction-et-figuration-critique-exposition-culture-tops-1757269.html#Fl80ycPppzvYdyAj.99

  • Bois des Moutiers

    Jardins d'ici et d'ailleurs

     

    jeudi 09 juin à 8h55 (26 min)

    Déjà diffusé jeudi 19.05 à 6h00

    Jean-Philippe Teyssier, architecte paysagiste, nous emmène à la découverte des plus beaux jardins d'Europe. Au XIXe siècle, sur la côte normande, Guillaume Mallet acquiert un vaste terrain vierge dominant la mer. Pour aménager le jardin, il fait appel à Gertrude Jekyll, l'une des plus célèbres paysagistes anglaises de son temps.

    Gertrude Jekyll y développe son concept de mixed-borders ou "bordures mélangées" : des massifs où se mêlent toutes sortes de fleurs et qui servent autant à délimiter des espaces qu'à composer des tableaux naturels évoluant au fil des saisons.

    http://www.arte.tv/guide/fr/057898-003-A/jardins-d-ici-et-d-ailleurs?autoplay=1

  • Le nouveau musée Picasso

     

     

     

     

    9.50 € TTC

     
    05 novembre 2014

    À l’occasion de la réouverture de ce musée fermé depuis juin 2011, Beaux Arts éditions présente un guide du musée et de ses fonds. L’hôtel Salé renferme les collections cédées à l’État par les héritiers de Pablo Picasso, qui se composent de très nombreuses œuvres de l’artiste (tableaux, reliefs, sculptures…), mais également d’une partie de sa collection personnelle réunissant des oeuvres des artistes qu’il a admirés (Cézanne, Degas, Rousseau…) ou qui furent ses amis (Braque, Matisse, Miró, Derain…).



    Informations sur le livre: 76 pages - 22 x 28,5 cm
    EAN : 9791020400543
    Reliure : Broché
     
  • Avent dans la ville S'arrêter, vivre une attente

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    logo-adlvAvent dans la ville
    S'arrêter, vivre une attente
    Deux drôles de cousins
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    Il y a ici bien plus qu'un prophète!

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    Évangile selon saint Matthieu ch 11, v 9

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    Frère Xavier Loppinet
    Couvent de Rennes
     
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     Ecouter la méditation

    À force de les voir, chacun avec ses disciples, on oublierait presque que Jésus et Jean-Baptiste sont des cousins. Quelle famille ! On a peut-être en mémoire les tableaux, surtout de la Renaissance, où on les voit jouer ensemble : Jean avec déjà un bâton rugueux et Jésus avec une croix à la main. Comme si tout se jouait depuis l’enfance.

    De fait, très tôt leur rencontre a eu lieu.

    Il y a bien des parallèles à faire entre l’enfance et la prophétie, entre les enfants et les prophètes. Les deux groupes sont détenteurs des mystères du Royaume. « Ce que tu as caché aux sages et aux savants, tu l’as révélé aux tout-petits. »

    Dans ces derniers jours de l’Avent, nous nous approchons de Jésus enfant. Cette prochaine rencontre réveille l’enfant en nous.

    Pour être prophète, il faut avoir été prophétisé. Il faut avoir rencontré celui qui est la Parole par excellence, le Verbe fait chair.

  • J'ai lu hier:Pierre,(médiathèque)

    Résultat de recherche d'images pour "christian bobin, pierre, je sors prendre un verre chez montaigne"

    Christian Bobin

    Edité par Gallimard , 2019

    Ce livre n'est ni un essai, ni une biographie de Pierre Soulages, c'est un exercice d'admiration doublé d'une réflexion sur la « présence » du peintre et sur « l'énigme du surgissement de toute présence sur terre », qu'il s'agisse du père de l'auteur, d'un chauffeur de taxi ou de l'inconnu rencontré dans le train de Sète. Après nous avoir fait entendre la voix du peintre, visiter sa demeure parisienne, son atelier-garage, voir ses tableaux, rencontrer ses amis, bref cerner ce qui incarne la « présence » de Soulages, Christian Bobin nous raconte son voyage en train la nuit de Noël 2018 pour fêter à Sète l'anniversaire du peintre, ce qui lui permet de développer sa « thèse de philosophie » et d'achever un portrait intime et « en couleur » du peintre de l'outrenoir. Tout l'art déployé par l'auteur montre ici son efficacité : qu'on aime ou non la peinture de Soulages, on est séduit et touché.

    http://mediatheques.saint-etienne.fr/EXPLOITATION/Default/rsc/439230/pierre-christian-bobin

  • J'ai fini hier soir:L'OBJET D'ART PEINDRE LA MER À TRAVERS LES SIÈCLES N° 567 - Mai 20(dans le salon)

    L'Objet d'Art n° 567 - Mai 20

    L'Objet d'Art n° 567 - Mai 20

    ISSN : 9770998804003

    Au sommaire de ce numéro :

    La vogue des compignés, précieux tableaux en relief sur étain.

    Redécouvrez les chefs-d'œuvre de peinture et de sculpture de la Gemäldegalerie de Dresde.

    Inventer la mer : une histoire (arbitraire) des paysages marins.

    Au cœur de l'Auvergne, le fabuleux château de Parentignat.

    Découverte d'une statuette en cire de Louis XIV à cheval au château de Parentignat.

    François-Rupert Carabin, le sculpteur touche-à-tout.

    L'âge d'or du mobilier français dans les collections du musée Calouste Gulbenkian à Lisbonne.

    https://www.estampille-objetdart.com/numero-567/peindre-mer-a-travers-siecles.52127.php

  • Visioconférence Marc Chagall « ivre d'images »

    Le vendredi 11 juin à 18h30, rendez-vous avec
    Marc Chagall !


    Né dans le « shtetl » de Vitebsk en 1887 et mort à Saint-Paul-de-Vence 98 ans plus tard, Marc Chagall a littéralement traversé le XXe siècle. Ses tableaux colorés où se croisent coqs, chevreau et violonistes volants mêlent la tradition juive qui a bercé son enfance, ses amours, ses rêves, le monde du cirque et le message universel de la Bible.

    Conteur merveilleux, il travestit dans une fantaisie singulière et poétique une vie marquée par le déracinement et le traumatisme de deux guerres.

    JE M'INSCRIS

    Nous vous enverrons un lien pour vous connecter depuis chez vous à la conférence le jour de l’évènement.

    Les visioconférences Beaux Arts :
    1 heure avec un conférencier passionné pour contempler, comprendre et voyager autrement dans le monde de l’art.

    Je découvre
  • Mon poème inédit sur ce blog: Yoyo(pour le défi 647 du samedi)

    Défi #647

     
    Y a des hauts
    Y a des bas...

    Non, ce n'est pas le sujet,
    Quoique...

     

    Yoyo
     

    6471

    http://samedidefi.canalblog.com/archives/2021/01/16/38760480.html#utm_medium=email&utm_source=notification&utm_campaign=samedidefi

    Yoyo

     

    Comme je vois tout en tableaux

    J'en cherchais avec un yoyo

    Mais je n'ai retrouvé que le toton[1]

    La suite là-bas

     

    17 janvier 2021

     

    [1] https://fr.wikipedia.org/wiki/L%27Enfant_au_toton

    [2] https://www.parismatch.com/Culture/Livres/C-est-Dallas-chez-les-Maeght-571928

    [3] http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2019/04/19/fondation-maeght-photo-jean-jacques-l-heritier-fondation-mae-6138956.html

    pas cons

     

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    Lecrilibriste ; Laura ;