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Rechercher : j'ai+lu

  • J'ai lu dans mon 2 e CDI:Orwell

    george-orwell

    Orwell est passé à la postérité grâce à 1984, qu'il a écrit en 1948, et à son invention prophétique de Big Brother, préfigurant, il y a soixante-dix ans, le contrôle des médias, Internet et la manipulation des données personnelles. Mais sa vie fut tout aussi passionnante que ses livres : elle montre un homme toujours en avance sur son temps, étudiant à Eton et flic en Birmanie, combattant de la guerre d'Espagne, antistalinien et journaliste – ses enquêtes firent d'ailleurs grand bruit. Pierre Christin se plonge avec délectation dans cette vie hors norme.

    https://www.dargaud.com/bd/orwell

  • J'ai lu dans mon 2 e CDI:Emportée

    citation en exergue:

    "Car ce qui fait la mort étrange et difficile,
    C'est qu'elle n'est pas la fin qui nous est due,
    mais l'autre, celle qui nous prend
    avant que notre propre mort soit mûre en nous."

    Recommencer p.11

    Le livre de la pauvreté et de la mort par Rilke

    Nicolas DE STAEL
    "Chemin de fer au bord de la mer, soleil couchant, 1955"

    Je ne peux parler de ma mère sans évoquer les contours d’un paysage étrange qui me constitue. Celui que, parfois en toute conscience, parfois sans le savoir, je cultive comme un jardin secret. Celui de la disparition.”
    L’auteur a six ans lorsque sa mère, Tina Jolas, rencontre l’homme qui va bouleverser sa vie, René Char. A travers le tracé sinueux de deux existences qui n’ont cessé de se chercher et de se perdre, la sienne et celle de sa mère, dans l’embrasement ou dans la fuite, Paule du Bouchet dresse le portrait d’une femme secrète et éblouissante, singulière, entière. Emportée.


     

    Paule du Bouchet est l'invitée d'"Entre les lignes" | RSR 2 08.03.2011


     

     

  • J'ai lu hier:artpress I avril 2018

    454 COUV ARTPRESS

    C’est la tradition de la saison, le temps de regarder l’art contemporain au travers de ses meilleurs dessinateurs :

    artpress a fait son choix sur les stands du salon Drawing Now pour un spécial Dessin où il est aussi question des relations entre art et BD, ainsi que des ateliers de gravures les plus actifs.

    Également au sommaire, une interview exclusive de Subodh Guptapar Girish Shahane, meilleur spécialiste de cet artiste indien internationalement reconnu. Exposition à la Monnaie de Paris.

    À découvrir l’œuvre multiforme et troublante d’Ali Mahdavi qui met en scène la belle Dita von Teese, tout en s’exposant lui-même pour jouer avec sa propre image.

    Et aussi, l’actualité à Bruxelles pour ne pas aller, ignorant, visiter Art Brussels (19-22 avril), le compte rendu de la Biennale de Sydneyouverte jusqu’au 11 juin sous la responsabilité de la commissaire japonaise Mami Kataoka, le dernier essai de Michel Schneider sur la « matière noire » de la littérature, Abdelwahab Meddeb, et le point sur l’esthétique de John Dewey

     

     

  • J'ai lu:Encyclopédie Art déco

    Résultat de recherche d'images pour "encyclopédie art déco"

    L'histoire de l'Art déco épouse celle de notre modernité. Né dans les grandes villes d'Europe et d'Amérique, contemporain du jazz, de l'automobile et des...› Lire la suite gratte-ciel, il a traversé deux guerres mondiales ainsi que la crise des années trente, et modelé notre environnement, du Golden Gate Bridge de San Francisco aux modestes lampes de nos bureaux. De tous les styles décoratifs du XXe siècle, l'Art déco est le plus élaboré. Il s'est développé, dans ses formes les plus pures, à partir d'une conception typiquement française du luxe et du raffinement, qui privilégiait souvent dans les années vingt les matériaux exotiques et précieux. En Europe comme en Amérique, le style " paquebot ", que l'on assimile désormais à l'Art déco, utilisa par la suite le métal et le plastique. Si Paris fut sa capitale spirituelle, l'Art déco eut en réalité une portée mondiale puisque les créateurs de tous les pays d'Europe et d'Amérique puisèrent dans les traditions artistiques et artisanales les plus variées, de l'Egypte pharaonique et de la Méditerranée antique aux colonies d'Asie et d'Afrique. Dans l'ouvrage le plus complet jamais publié sur les arts décoratifs de cette période, Alastair Duncan rend hommage à la richesse formelle et à la diversité internationale de l'Art déco, qui n'a cessé de séduire les collectionneurs et d'inspirer les créateurs. L'ouvrage est constitué d'une série d'essais sur les principaux arts décoratifs de la période : mobilier et décoration intérieure ; sculpture ; peinture, illustration, affiche, reliure ; verrerie ; céramique ; luminaire ; textile ; orfèvrerie, art du métal, laque, émail ; joaillerie. Chaque essai est suivi d'une biographie détaillée des plus grands artistes de la discipline. Un répertoire illustré de plus de quatre cents artistes, décorateurs et fabricants parachève cette somme unique consacrée à l'Art déco. Magnifiquement illustré et rédigé par l'un des plus grands experts mondiaux, cet ouvrage s'imposera comme la référence majeure sur l'Art déco pour de nombreuses années.› 

    https://livre.fnac.com/a2879056/Alastair-Duncan-Art-Deco

  • J'ai lu dans mon premier CDI: Pierres de sang

    Pierres de sang

    Pierres de sang

    Patrick Sarun, journaliste à l'Agence Presse Informations, trouve un cadavre devant sa porte en rentrant chez lui. Le mort lui ressemble beaucoup. Le commissaire Morturier mène l'enquête.

    L'inspecteur qui file Sarun disparaît, après avoir eu le temps de remettre un rouleau de pellicule à un vieil antiquaire vietnamien, Duc, érudit, curieux... La police pourra-t-elle mettre un point final à cette affaire sans accepter son aide "honorable" ?

    André Arnaud a été ambassadeur de France en Thaïlande.
     
    https://www.fayard.fr/pierres-de-sang-9782213604053
  • J'ai lu ce mois d'avril:

    Prions en EgliseAvril 2018

  • J'ai lu dans mon 1 er cdi:Le transperceneige

    Le TransperceneigeLe TransperceneigeAchetez mes livres par les bannières sur ce blog

    Un jour, la bombe a fini par éclater. Et toute la Terre s'est brutalement retrouvée plongée dans un éternel hiver gelé, hostile à toute forme de vie. Toute ? Pas tout à fait. Miraculeusement, une toute petite portion d'humanité a trouvé refuge in extremis dans un train révolutionnaire, le Transperceneige, mu par une fantastique machine à mouvement perpétuel que les miraculés de la catastrophe ont vite surnommé Sainte Loco. Mais à bord du convoi, désormais dépositaire de l'ultime échantillon de l'espèce humaine sur cette planète morte, il a vite fallu apprendre à survivre. Et les hommes, comme de bien entendu, n'ont rien eu de plus pressé que d'y reproduire les bons vieux mécanismes de la stratification sociale, de l'oppression politique et du mensonge religieux.
    Bande dessinée majeure des années 80 créée par Jean-Marc Rochette et Jacques Lob, reprise à la fin des années 90 pour deux volumes supplémentaires par Benjamin Legrand après le décès de son scénariste, la trilogie du Transperceneige reparait en un volume unique à l'occasion de son adaptation au cinéma (Snowpiercer) par le plus célèbre des cinéastes coréens, Bong Joon-ho. La redécouverte de l'une des meilleures sagas de science-fiction qu'ait produite la bande dessinée française : trente ans après sa création, Le Transperceneige n'a rien perdu de sa puissance et de sa singulière modernité.

    Cette intégrale rassemble les trois tomes originaux du Transperceneige à savoir : Le Transperceneige (1984, réédition sous le titre L'Echappée en 1999), L'Arpenteur (1999), La Traversée (2000).

    https://livre.fnac.com/
     
  • J'ai lu hier soir: Ce que disent les peintres(BU)

    "Si traditionnellement la peinture recouvre une surface en deux dimensions dans les limites du cadre, le tableau lui se produit dans la réalité de l espace qu il occupe. Ainsi, quand la peinture déborde du tableau et crée un espace physique continu en dehors du cadre ou s articule avec d autres médiums, elle se déploie dans l espace réel et le spectateur se retrouve non plus devant la peinture mais bien dans la peinture. - Les paroles des peintres réunies ici reviennent sur les processus qu ils mettent en oeuvre pour sortir la peinture du tableau et l habiter."

    https://livre.fnac.com/a15596299/Sandrine-Morsillo-Ce-que-disent-les-peintres

  • J'ai lu: L'express 2 juin 2022

    https://www.lexpress.fr/

    Les entretiens de mai
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
  • J'ai lu hier soir: En regardant Giacometti(BU)

    Giacometti  comme tous ceux que j'aime, inspire ce que j'écris à acheter ici

     

    PAYSAGES NERVALIENS

    Pendant les vingt dernières années de la vie de Giacometti, David Sylvester a développé avec lui une connivence profonde, posant pour lui, recueillant ses propos, préparant des expositions, respirant l’atmosphère de l’atelier de la rue Hippolyte-Maindron et des bistrots de Montparnasse où vivait l’artiste.
    Son texte n’est pas le produit d’une théorie sur l’art mais le relevé d’une expérience unique : regarder les peintures et les sculptures se faire en écoutant ce qu’en dit celui qui les fait. Il a partagé cette émouvante quête de la perfection minée par l’obsession de l’échec qu’il relate avec brio. (Traduction de Jean Frémon)

    Date de publication : 5 novembre 2021
    Format : 11,5 x 16 cm
    Poids : 225 gr.
    Nombre de pages : 256
    ISBN : 978-2-85035-050-4
    Prix : 8.5 €
     

    « Ce qui l’obsède c’est ce qui se produit quand un être humain est vu par un autre être humain qui a l’obsession de représenter ce qu’il voit. »
    C’est en ces termes que David Sylvester résume l’obsession de Giacometti. Or, à la lecture de cette étude, ou de cette succession d’études écrite et peu à peu augmentée entre les années 1950 et 1990, on en vient à se demander comment nous pourrions résumer la sienne. En termes semblables, peut-être ? Dans sa préface de traducteur, Jean Frémon en a l’intuition : « On pourra y trouver des redites, une manière très particulière de tourner autour de la question, un excès de méticulosité dans l’analyse. En réalité, une méthode qui est exactement celle de Giacometti lui-même, sculptant ou dessinant, constamment taraudé par le sentiment de l’échec et obsédé par la justesse du regard. »
    Fruits d’une remarquable faculté d’observation qui transparaît à chaque page, ces onze chapitres couronnés par un entretien sont aussi le témoignage d’une longue fréquentation et d’une écoute amicale de l’artiste. Sylvester renonçant par méthode, et peut-être par nature, à toute synthèse brillante, nous n’en ressortons pas munis d’une lecture toute faite qui nous dédouane d’un face-à-face avec l’œuvre, mais de principes d’observation, presque de lois optiques qui nous y reconduisent mieux armé, l’œil aguerri, débarrassés de l’aura et du discours qui la cernent, la mettent à distance, la rendent intimidante à force d’être emblématique.
    De l’enfance à Stampa à l’ascèse créative de l’atelier de la rue Hippolyte-Maindron en passant par la période surréaliste, écrits, dessins, tableaux et sculptures sont scrutés avec une telle minutie, une telle loyauté que, les abordant seuls à notre tour, il nous semble connaître de l’intérieur jusqu’à leur raison d’être.

    Les auteurs

    Né en 1924, David Bernard Sylvester rédige à partir de 1942 des critiques d’art pour l’hebdomadaire socialiste Tribune, dont George Orwell est le directeur littéraire. Un article sur Henry Moore attire l’attention de l’artiste, qui recrute l’auteur comme assistant à temps partiel. Sylvester organise la première rétrospective de Moore à la Tate Gallery en 1951. Dès les années 1960, il exerce une influence considérable à travers ses conférences et ses expositions, ainsi que par ses critiques, articles et catalogues. Proche de Francis Bacon et d’Alberto Giacometti, il leur consacre plusieurs expositions, monographies et essais de référence. Il élargit son horizon aux artistes non figuratifs, tels que Jackson Pollock ou Willem de Kooning, ainsi qu’au pop art. Il occupa divers postes dans de nombreuses institutions : Arts Council, équipe de production du British Film Institute, conseil d’administration des galeries Tate et Serpentine, direction des acquisitions du Musée national d’art moderne de Paris.

    Presse

    Yasmina Mahdilelittéraire.com
    Christian RossetDiacritik

    Extraits

    Les figures debout de Giacometti font penser à des objets qui auraient été longtemps ensevelis et qui viendraient d’être mis au jour. Des fossiles peut-être, mais aussi des colonnes ou des cariatides – oui, des cariatides, position frontale et ramassée, sauf qu’elles semblent trop ténues pour ce rôle. Mais elles ne sont pas éthérées : leur densité fait penser aux trophées des Indiens réducteurs de têtes. Figures « sans surcharge pondérale », grêles, comme Starbuck dans Moby Dick, leur minceur est une « concentration ». Cette image de figure debout est toujours celle d’une femme. Elle fait pendant à une image d’homme. C’est encore une figure dressée, mais une figure active : elle marche ou elle désigne quelque chose. Il y a également des bustes d’homme ; eux aussi sont plutôt actifs, la tête est attentive, vigilante. La femme est passive, figure debout immobile, soit alignée avec d’autres, comme au bordel, attendant d’être choisie, soit seule comme si elle faisait le pied de grue. Cependant, debout et fixes, elles ne sont pas pour autant totalement immobiles. Leur surface, brisée et agitée, respire et les figures, malgré la raideur de leur pose, semblent toujours sur le point de se mettre en mouvement.
    Un aveugle avance la main dans la nuit.
    Les jours passent et je m’illusionne d’attraper, d’arrêter ce qui fuit.
    L’éphémère est partout, rien ne saurait jamais être retrouvé. De fait, penser à quelque chose qui est arrivé, c’est essayer de le retrouver alors même que la conscience que nous en avons le rejette dans le passé. Les jours passent et toute conscience est nostalgie. Le sens de l’éphémère dans ces sculptures est un sens de la perte.
    C’est aussi l’expression d’un fait. Les proportions élancées et les surfaces actives charrient un grand nombre de connotations romantiques dont le poids vient peut-être compenser le manque de masse corporelle, mais la conjonction de ces propriétés suggère aussi tout simplement que nos sensations, pour des raisons subjectives aussi bien qu’objectives, sont mouvantes et ne seraient plus des sensations si elles étaient fixées comme un papillon dans sa boîte. Si l’on veut les attraper ou les fixer, il faut s’y prendre moins grossièrement. Le but que poursuit Giacometti est, comme il le dit, de « donner la sensation la plus proche de celle ressentie à la vue du sujet3 ». Il est évident que pour lui cela impose de rendre perceptible la fugacité de la sensation. Et, pour ce faire, il a recours à des formes qui contredisent ce que nous savons de l’apparence des choses. Naturellement, nos sensations ont encore d’autres qualités que ces formes sont censées transmettre. Pour déterminer lesquelles, il n’est pas inutile de chercher un indice dans les peintures et les dessins qui sont d’une plus facile, leurs proportions étant moins exagérées (peintures et dessins sont généralement faits d’après nature).
    Ce qui frappe le plus dans les peintures, et dans une moindre mesure dans les dessins, c’est la densité de leur espace. L’atmosphère n’est pas transparente, elle est aussi visible que les formes solides qu’elle entoure, presque tangible. De plus, la délimitation entre les formes solides et l’espace est incertaine. Ils s’interpénètrent.
    En même temps, les peintures et les dessins mettent l’accent sur la distance entre les choses qu’elles représentent et l’œil du spectateur. La perspective est souvent étirée comme si elle était vue par le mauvais bout de la lunette, rendant plus saisissants la proximité ou l’éloignement d’une figure ou d’un objet. Les points du corps qui sont les plus proches de nous paraissent agrandis comme c’est le cas sur un cliché instantané, c’est-à-dire dans des images dont la perspective est purement optique et non corrigée. L’échelle des formes par rapport aux dimensions du rectangle (qui est généralement plus ou moins inscrit à l’intérieur des dimensions de la toile ou du papier) indique leur position dans l’espace.
    Giacometti rejoint ici des problèmes qui préoccupaient Cézanne : le flou du contour qui sépare le volume de l’espace et la distance des choses par rapport à l’œil. La ressemblance dans le style entre ses dessins (peut-être l’aspect le plus parfait de son art) et ceux de Cézanne n’est pas fortuite. Les qualités de la sensation, qui obsèdent Giacometti, ne présentent pas de problèmes majeurs auxquels la peinture n’ait pas déjà été confrontée. Mais, dès qu’il s’agit de sculpture, on pourrait croire qu’elles relèvent d’un champ étranger à ce médium. L’insistance de Giacometti à les faire réintégrer le champ de la sculpture a déterminé la forme même de celle-ci.
    Cette longue et mince figure et sa surface inégale – parfois aussi haute que nous mais pas plus épaisse que notre bras – est évidemment hors de proportion avec le volume réel d’un corps humain. C’est une sorte de noyau et, au-delà de ce noyau, elle suggère une masse qui se dissout dans l’espace. Le volume est donné comme une quantité inconnue et implicitement inconnaissable : le fait que, dans la réalité, les contours sont flous est traduit en sculpture par le fait qu’il n’y a tout simplement pas de contour du tout.
    Considérons de nouveau cette élongation. N’est-elle pas apparentée à l’élongation que donne en peinture le dispositif de l’anamorphose ? Une sorte d’anamorphose a déformé la figure ou la tête sculptée, cette déformation détermine une perspective comme si elle était vue selon un certain angle ou une distance particulière, une distance imaginaire indépendante de la distance réelle entre nous et l’objet. C’est, en d’autres termes, comme une figure peinte, fixée une fois pour toutes dans l’espace, indifférente à la distance à laquelle nous nous trouvons par rapport au tableau. Les formes sont parfois placées dans une sorte de cage qui délimite l’espace autour d’elles comme l’espace que découpe une peinture, ou bien elles sont réalisées en relation au socle sur lequel elles se tiennent de telle façon que le rapport de la figure à son socle agisse de la même manière que, dans un tableau, la figure par rapport au premier plan. Et, en même temps, la surface des sculptures possède une vitalité et une autonomie de texture qui sont celles de la surface d’une peinture.
    L’important n’est pas tant que le vocabulaire de la sculpture se trouve par là étendu. L’important est que, en parvenant à des proportions qui produisent leurs effets au-delà du domaine habituel de la sculpture, Giacometti crée une image mystérieuse et poignante de la tête ou de la figure humaine, fragile, perdue dans l’espace auquel cependant elle commande.

    https://www.editionslateliercontemporain.net/collections/studiolo/article/en-regardant-giacometti

  • J'ai lu dans mon bain: Le point 3 mars 2022(médiathèque)

    Au sommaire de ce numéro :

    Couverture - À Kiev la vie sous terre
    France - Vent d'Est sur la présidentielle
    Monde - Poutine, la paranoïa d'une vie
    Économie - Un choc mondial
    Culture - Littérature, Orhan Pamuk : « La liberté, nous la voulons ! »
    Style - Spécial voyages : Prendre le temps du train
    Le Postillon - Argent et pouvoir à la cour de XI Jinping
     
  • J'ai lu: Connaissance des arts février 2022

    Magazine Février 2022

    En février, « Connaissance des Arts » consacre un numéro spécial femmes. De Landerneau à Paris, de Bâle à New York, les musées et les centres d’art ont pensé à un printemps au féminin. Au programme : les femmes dans la Rome antique, la mode féminin, lumière sur les femmes designers ou encore le récit de la vie de Sophie Taeuber.

    À découvrir également ce mois-ci : l'actualité des expositions à Paris, en régions et à l'international, l'étude de l'œuvre Deux de Françoise Pétrovitch, les photographies de Graciela Iturbide, l'art des mots, le portrait d'Eva  ou encore la collection d'Adèle de Rothschild.

    PORTFOLIO Mode féminine

    ACTUALITÉS Grand Paris / Régions / International

    NUMÉRO SPÉCIAL Place aux femmes

    ÉVÉNEMENT L'art des mots

    PORTRAIT D'ARTISTE Eva Koťátková, l'art de la métamorphose

    COLLECTION PRIVÉE Chez Adèle de Rothschild

    ÉTUDE D’UNE OEUVRE Françoise Pétrovitch, Deux

    HISTOIRE À Rome, qui est la matrone ?

    RÉCIT D’UNE VIE Nom : Taeuber, Prénom : Sophie

    PHOTOGRAPHIE Graciela Iturbide, corps et âme

    STYLE Lumière sur les femmes designers

    NOUVEAU TALENT Nina Childress / Hélène Morbu / Gosette Lubondo

    MARCHÉ DE L’ART

    LIVRES / CALENDRIER

    SORTIR / COURRIER / MOIS PROCHAIN

    https://www.connaissancedesarts.com/publications/magazine-fevrier-2022/

  • J'ai lu: Le point 3 février 2022(médiathèque)

    Au sommaire de ce numéro :

    Couverture - Quand le Kremlin embrigade la jeunesse
    France - Le Pen, Maréchal, Zemmour : petites trahisons en famille
     
    Société - Vivre sous la menace islamiste
     
    Économie - Comment Renault veut remonter le courant
    Sciences - Les « bras cassés » face au Covid
     
    Culture - Depardon-Daoud, regards sur la guerre d'Algérie
     
    Style - Vins : Irouléguy, vignoble héroïque
     
    Le Postillon - L'Occident sait-il encore faire l'amour ?, par Kamel Daoud
     
  • J'ai lu hier soir: Art press 2022

    Ce nouveau numéro d'artpress pourrait s'intituler : "Retour au réel". Après avoir été pratiquement chacun chez soi pendant deux ans, il est temps de rouvrir les yeux sur le monde.

    Voilà pourquoi nous sommes heureux d'accompagner par un dossier le festival du Centre Pompidou consacré au documentaire, Cinéma du réel, qui se tient du 11 au 20 mars et s'intéresse cette année au cinéma africain.

    En ouverture, Aurélie Cavanna s'est entretenu avec Mohamed Said Ouma, cinéaste et responsable d'un fonds documentaire africain. Il explique comment le documentaire se développe économiquement à travers le continent et comment en assurer la diffusion. Critique et programmateur, directeur des Journées cinématographiques de Carthage, Ikbal Zalila, de son côté, nous présente un cinéma documentaire dynamique mais qui ne peut exister, au Maghreb, que dans les marges esthétique, politique et économique.

    Le festival, et notre dossier, sont aussi l'occasion de découvrir deux personnalités exceptionnelles. Sarah Maldoror fut une pionnière. Née dans le Gers d'un père guadeloupéen, ayant choisi son pseudonyme en hommage à Lautréamont, compagne du dirigeant du mouvement de libération de l'Angola, elle a témoigné des mouvements de libération africains au travers d'une œuvre de fiction très poétique. Ivoirien né en 1986, Joël Akafou révèle, lui, un regard sans concession.

    Hors dossier, mais pas sans rapport, une grande interview de Bruno Serralongue par Étienne Hatt est au cœur de notre numéro, à l'occasion de deux expositions simultanées de son œuvre, au Frac Île-de-France et au Frac Grand Large – Hauts-de-France (jusqu'à fin avril). Qu'est-ce qu'un photographe documentariste qui approche les luttes sociales, les exilés, les migrants, munis non d'un appareil numérique, mais d'une chambre avec pied ?

    Changement complet d'horizon pour envisager le M+, premier musée consacré à la culture visuelle contemporaine d'Asie, construit par Herzog & de Meuron à Hong Kong. Sera-t-il une bulle de liberté ?

    Il restait encore des pages dans ce numéro pour accueillir le récit de la joyeuse visite que Robert Storr rendit à Duane Michals, fouillant dans ses archives par temps de confinement, ainsi qu'une interview d'Olivier Delavallade, ex-directeur du domaine de Kerguéhennec en Bretagne, où il a rassemblé une exceptionnelle collection d'œuvres de Tal Coat. Les jambes vous démangent ? Nous inaugurons une nouvelle rubrique intitulée tout simplement "Week-End" pour vous inciter à découvrir des chefs-d'œuvre dans des lieux cachés ou insolites. Un énorme ensemble de sculptures d'Anthony Caro dans un joli village du Nord de la France appelé Bourbourg, ça vous tente ?

    L'attention au réel ne signifie pas que l'on se détourne de la poésie car le cahier livres de ce numéro pourrait s'intituler "spécial poésie". Sally Bonn présente l'œuvre de Christophe Tarkos à laquelle la ville de Marseille rend hommage, François Bordes nous parle de deux importantes figures féminines de la poésie contemporaine, Liliane Giraudon et Nathalie Quintane, et Olivier Rachet nous initie à la poésie autobiographique du mexicain Fabio Morábito.

    Allez, on termine quand même par une petite bouffée parisienne, une bouffée proustienne. À l'occasion du 150e anniversaire de l'auteur de la Recherche, des livres, une exposition nous entraînent dans le Paris du Grand Monde et dans celui des bordels…

    C'est promis, le mois prochain, on repart en voyage.

     

    -> COMMANDER LE NUMÉRO

     
     

    AGENDA  

    Retrouvez par ici les événements en cours et à venir à Paris, en régions et à l'étranger. Et si vous avez envie que vos événements figurent dans l'agenda d'artpress, juste après nos reviews d'expositions et sur notre site (rubrique agenda artpress), quatre types de modules pour tout budget vous sont proposés. Contact : c.brunet@artpress.fr.

     
     
     
  • J'ai lu hier soir: CONNAISSANCE DES ARTS Mai 2022

    Magazine Mai 2022

    En mai, Connaissance des Arts vous lance une invitation au voyage. Découvrez les incontournables de la Biennale de Venise, contemplez les paysages de Finlande, vibrez dans le Berlin des années 1920 et faites escale chez Matisse à New York.

    À découvrir également ce numéro : notre sélection de livres du Printemps, les splendeurs de la pierre gravée, l'atelier de Johan Creten, l'Italie de Bernard Plossu, Anne de France la régente féministe, les pépites modernes du musée de Céret et comme chaque mois, l'actualité des expositions, du marché de l'art et de la création contemporaine.

    https://www.connaissancedesarts.com/publications/magazine-mai-2022/

  • J'ai lu hier soir: La divine comédie(Bu)

    Image de couverture

    Peut-on encore aujourd'hui aimer Francesca, être troublé par Ugolino, trembler aux tourments des damnés de la Comédie ? L'Enfer de Dante, poétique et médiéval, n'a-t-il pas pâli irréparablement auprès des Enfers tout proches, et actifs, que notre époque n'a pas encore fini, semble-t-il, de susciter ? L'imagination créatrice de Dante est si puissante, et si précise, qu'elle semble décrire par avance, parfois, l'inimaginable horreur moderne.
    Le gigantesque entonnoir de l'Enfer, qui se creuse jusqu'au centre de la terre, est dépeint comme le réceptacle de tout le mal de l'univers, comme une sorte de sac où viennent s'engouffrer tous les noyaux, tous les atomes de mal épars sur la planète. Mais nous lisons aussi autre chose dans L'Enfer plus que le catalogue effrayant des péchés et des châtiments possibles, il correspond pour nous au départ de l'exploration, à la première étape du grand roman initiatique d'une civilisation qui est la racine de la nôtre.

    https://www.babelio.com/livres/Alighieri-La-Divine-Comedie/238025