En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Hakima LEBBAR et Ahmed EL AMINE sont heureux de vous inviter au vernissage de l'exposition "Mémoire passante " des derniers travaux de Ahmed El Amine le Mardi 18 Décembre 2007 à 18h30 à la galerie Fan-Dok L'exposition se poursuivra jusqu'au 20 janvier 2008. Fan-Dok : 14, rue Jbel Moussa, (angle du 90 av Fal Ould Oumeir) Rabat, Agdal . T el : 061 412 222 La galerie est ouverte : du lundi au vendredi de 10h à 13h et de 15h à 20h, le samedi de 10h à 20h, le dimanche de 10h à 13h et de 16h à 20h. Bonne réception Ahmed EL AMINE Artiste Peintre Plasticien www.ahmedelamine.com 6, Derbe Hantati Médina Azemmour 24100 MAROC +212 61 433 550 +212 23 358 902
Une conversation et une promenade à travers Venise et ses îles, au cours de laquelle M. Brion et R. Huyghe racontent et expliquent l'histoire de la cité et les chefs-d'oeuvre qu'ils y croisent.
Quatrième de couverture
Au cours de conversations tenues à Venise, ville qu'ils aimaient passionnément et où ils firent de longs séjours, deux grands écrivains historiens évoquent le passé de la Cité des Doges, et les particularités de l'art qui s'y est développé au cours des siècles. Ce dialogue érudit mais toujours accessible donne au lecteur la sensation chaleureuse de partager, sous les lustres de cristal d'un palais vénitien, ou à une banquette du Café Florian, l'intimité intellectuelle de deux vieux amis nous offrant avec générosité le fruit de leurs travaux et réflexions. La réédition très attendue de ce que l'on peut considérer comme un éblouissant guide de Venise pour visiteurs exigeants et curieux.
Umberto Eco a publié son premier roman, Le Nom de la Rose, en 1980, alors qu'il approchait de la cinquantaine. Aujourd'hui âgé de 81 ans, il dresse dans ces "confessions" le bilan de sa longue carrière de théoricien au regard de ses travaux, beaucoup plus récents, de romancier. Il nous invite ainsi à le suivre dans les coulisses de ses mondes imaginaires et à prendre part à ses réflexions sur la création littéraire. Pour répondre à cette question, il examine la relation entre un auteur, son texte et ses interprètes. Car, bien que "jeune romancier", Umberto Eco est un maître, et il a tant à nous apprendre sur l'art de la fiction et le pouvoir des mots. Comment l'auteur parvient-il à impliquer le lecteur ? Le texte peut-il produire son propre lecteur modèle ? Comment identifier les qualités qui feront croire qu'un personnage de fiction existe vraiment ? Pourquoi sommes-nous émus aux larmes par le destin de certains personnages ? Une promenade fascinante aux côtés d'un grand romancier.
Une conversation et une promenade à travers Venise et ses îles, au cours de laquelle M. Brion et R. Huyghe racontent et expliquent l'histoire de la cité et les chefs-d'oeuvre qu'ils y croisent.
Quatrième de couverture
Au cours de conversations tenues à Venise, ville qu'ils aimaient passionnément et où ils firent de longs séjours, deux grands écrivains historiens évoquent le passé de la Cité des Doges, et les particularités de l'art qui s'y est développé au cours des siècles. Ce dialogue érudit mais toujours accessible donne au lecteur la sensation chaleureuse de partager, sous les lustres de cristal d'un palais vénitien, ou à une banquette du Café Florian, l'intimité intellectuelle de deux vieux amis nous offrant avec générosité le fruit de leurs travaux et réflexions. La réédition très attendue de ce que l'on peut considérer comme un éblouissant guide de Venise pour visiteurs exigeants et curieux.
Une analyse approfondie du paysagisme des dix dernières années à travers plus de 30 projets internationaux
Un ouvrage divisé en quatre parties thématiques : « parcs », « l’architecture comme paysage », « jardins paysagers » et « interventions urbaines »
Inclut des plans d’architectes et de paysagistes qui résultent souvent d’une collaboration avec un artiste autour d’installations ou de thématiques liées au Land Art
Présente un large éventail de projets tels que les Jardins botaniques de Barcelone, le Musée juif de Berlin ou la Promenade plantée à Paris
About the author(s)
Michael Spens est directeur de recherche en architecture à University of Dundee, en Écosse. Auteur de nombreux travaux sur le paysagisme, il s’intéresse tout particulièrement à l’intégration de bâtiments dans le paysage. Parmi ses ouvrages ?gurent Landscape Transformed (dir., 1995), The Complete Landscape Designs and Gardens of Geoffrey Jellicoe (1994) et Vilipuri Library by Alvar Aalto (1993)
MONT-SAINT-MICHEL [24.07.14.] - Une passerelle piétonne en bois relie désormais l’abbaye du Mont-Saint-Michel à la côte. C’est une importante étape dans le cadre du chantier décennal pour le rétablissement du caractère maritime du Mont-Saint-Michel qui devrait se terminer en 2015. PAR Chiara Longo
VIDÉO - La nouvelle passerelle s'ouvre enfin aux piétons. Elle préserve l'intégrité de la « huitième merveille » du monde mais l'accès reste difficile.
«Sur la passerelle du Mont-Saint-Michel, on marche presque sur l'eau»
EN IMAGES - Installé en France depuis 1989, Dietmar Feichtinger est l'architecte autrichien qui a construit le pont-passerelle du Mont-Saint-Michel. Après 9 ans d'étude et 3 ans de travaux et pas mal de polémiques, la jetée ouvre aux piétons ce mardi matin. Devenu parisien d'adoption, Dietmar livre ses premières impressions au Figaro.
Après une importante rénovation, le musée Rodin à Paris rouvre ce jeudi 12 novembre. Il a enrichi considérablement son parcours avec de grands plâtres ou la collection d’antiques.
J. Manoukian / agence photographique du musée Rodin
Après trois ans de travaux, le Musée Rodin propose un nouveau parcours de visite.Dans cette salle, L’Âge d’airain et Saint Jean-Baptiste.
Le fondateur de l’entreprise de pneus Bridgestone, Shojiro Ishibashi se passionne très tôt pour l’art occidental et commence une incroyable collection, dès les années 1930, des plus grands artistes modernes, ce que poursuivront sur plusieurs générations ses descendants. À l’occasion de sa fermeture pour travaux de rénovation et d’extension, le Bridgestone Museum de Tokyo, établissement fondé par cette famille en 1952, a accepté de prêter au musée de l’Orangerie quelques unes de ses plus belles pièces. Soit des Monet, Degas, Renoir et Caillebotte, des Cézanne, Matisse, Picasso ainsi que des abstraits tel Pollock ou Kazuo Shiraga.
Beaux Arts éditions revient sur l’exceptionnel parcours de l’industriel japonais, son goût pour les arts modernes et les chefs-d'œuvre de la collection.
Exposition au musée de l'Orangerie à Paris du 5 avril au 21 août 2017
Informations sur le livre: 60 pages - 22 x 28,5 cm EAN : 9791020403469 Reliure : Broché
Le musée Arthur Rimbaud est installé dans un moulin du XVIIe siècle et évoque la vie et l’œuvre poétique de l’artiste, ainsi que ses voyages. Au fil des collections, on découvre des originaux comme le sonnet « Voyelles », ou l’esquisse du « Coin de table » de Fantin-Latour, ainsi que des travaux d’artistes ou les nombreux écrits suscités par l’œuvre du poète. Il est situé à quelques pas de la maison qu’habitait le poète et sa famille – la « Maison des ailleurs » – dans laquelle le visiteur est invité à suivre son propre parcours, au gré de projections de films et de textes lus… Ce hors-série Beaux Arts éditions est consacré au musée (rénové récemment avec une scénographie très originale et moderne), mais aussi à la « Maison des ailleurs » et au musée de l’Ardenne (patrimoine et histoire locale).
REPORTAGE - Des agriculteurs évoquent l'ambiance qui règne autour de la zone du barrage de Sivens. Les menaces et les insultes sont monnaie courante pour les six exploitations qui jouxtent la forêt de Sivens.
INTERVIEW - Président de l'Assemblée des départements de France, Claudy Lebreton détaille le parcours du combattant pour mettre en place un projet d'aménagement au niveau local. Il en appelle à une «simplification administrative».
Dans un courrier envoyé à une association locale la semaine dernière, le pemier ministre assure que les travaux pour le projet d'aéroport s'engageront «une fois les recours contre le projet jugés»
Dans le cadre des festivités autour de l'anniversaire de la première guerre mondiale, la Région présente à partir du 5 septembre l'exposition "100 affiches pour un centenaire - Les affichistes de la Grande Guerre". Les cent affiches de guerre de la collection privée de Pierre Grézard présentées dans la grande allée de l'Hôtel de Région, et choisies parmi les deux mille qu’il a rassemblées, ont pour ambition de faire connaître ou redécouvrir les affichistes ayant, par leurs travaux, participé à l’effort de guerre.
Exposition "100 affiches pour un centenaire - Les affichistes de la Grande Guerre" Siège de la Région - Grande Allée (voir coordonnées et plan d'accès ci-contre)
Du 5 septembre au 3 octobre du lundi au vendredi de 8h à 19h
Semaine du 12 au 18 novembre 2018 - Quel chantier !
Finies les singeries, vous vous trouvez confronté à présent à une situation de chantier. Et quelle qu'en soit la nature, nous vous proposons d'écrire sur cette thématique du chantier.
En vers ou en prose, votre texte devra nous parvenir à l'adresse habituelle impromptuslitteraires[at]gmail.com avant dimanche 18 novembre minuit.
Lorsque mon mari a vu pour la première fois sa nouvelle usine à quelques kilomètres de Casablanca (où nous allions vivre), il n’y avait que la charpente. A charge pour lui comme directeur de l’usine (la future usine) de superviser la construction avec le chef des travaux, ce dernier étant spécialiste de la construction et mon mari de ce qui doit être fait pour qu’une entreprise (de teinture et apprêts) de textile puisse fonctionner correctement dés le démarrage.
À l’occasion du 15e anniversaire de sa création, Le Musée Frieder Burda présente un projet exceptionnel, l’exposition Ensemble. En tant que collectionneur, Frieder Burda entretient depuis longtemps déjà des relations privilégiées avec le Centre Pompidou, dont il fut le premier et unique Allemand à faire partie de la commission d’acquisition. Si la profonde affinité avec la France, et en particulier avec Paris, a joué un rôle central dans la biographie de Frieder Burda et dans l’évolution de son activité de collectionneur, les conséquences dévastatrices du national-socialisme et de la Seconde Guerre mondiale, de même que la réconciliation entre la France et l’Allemagne ont elles aussi marqué l’histoire contemporaine et l’histoire de l’art européennes du XXe siècle. C’est ce que l’exposition Ensemble s’emploie à mettre en lumière.
Placée sous le commissariat de Brigitte Leal, directrice adjointe du Musée national d’art moderne au Centre Pompidou, l’expositionEnsemble, qui comportera des pièces prestigieuses prêtées par Paris, sera le point de départ d’une mise en perspective des collections des deux établissements, et ouvrira un dialogue complexe entre les positions allemandes et françaises. Des chefs d’œuvre d’artistes expressionnistes allemands tels qu’August Macke, tombé en Champagne en 1914, rencontreront les œuvres des pères de l’art moderne français : l’Autoportrait dans la glace du cabinet de toilette (1939-45), d’où s’exhale une extrême vulnérabilité et que Pierre Bonnard réalisa vers la fin de sa vie, ou Le Rocking Chair(1943) de Picasso, expriment le doute et l’isolement durant l’occupation allemande. Poésie et spiritualité sont elles réunies dansLe Dimanche (1952-1954) de Marc Chagall, qualité qui assurera une formidable popularité à son œuvre dans l’Allemagne d’après-guerre. Au demeurant, c’est aussi l’écho de la culture juive à jamais disparue en Europe orientale qui résonne ici.
Georg Baselitz, Sigmar Polke et Gerhard Richter occupent une place centrale dans la collection Frieder Burda. Ces artistes, tout comme plus tard Anselm Kiefer, abordèrent de manière critique tant l’occultation du passé allemand que la culture des médias et de la mémoire, et posèrent ainsi les fondements du triomphe de la peinture allemande au niveau international. Le Centre Pompidou contribue à Ensemble avec des travaux spectaculaires de ces grands noms de la peinture, tel le gigantesque tableau de Kiefer La vie secrète des plantes (2001-2002) ou le fameux Ralf III (1965), œuvre de jeunesse de Baselitz.
Un temps fort de l’exposition est également offert par la section consacrée aux immigrés allemands qui contribuèrent dans les années 1920-1930 à faire de Paris la métropole de la photographie moderne. Il s’agit notamment du dadaïste et photographe de mode Erwin Blumfeld, de Marianne Breslauer et Germaine Krull, qui introduisirent la« Nouvelle Vision » exprimée par le Bauhaus.Ensemble associe leurs travaux avec des photographies de Paris réalisées en 2003 par Andreas Gursky qui rend ainsi un magnifique hommage à cette avant-garde.
La section consacrée à la photographie des temps modernes constitue un volet supplémentaire des échanges franco-allemands et un autre temps fort de l’exposition. Si le Paris de l’entre-deux-guerres devient le centre de la Nouvelle photographie, ce sont précisément les immigrés venus d’Allemagne, de Hongrie, d’Europe et du monde entier – et bien souvent des femmes, telles Germaine Krull, Marianne Breslauer ou Ilse Bing- qui aliment de leur vision la grande fabrique d’images qu’est Paris. Parmi eux aussi, les photographes de mode excentriques tel Erwin Blumenfeld ou ceux formés en Allemagne comme René Zuber et Florence Henri. Bien loin d’être cependant une voie à sens unique, ces échanges rebondissent avec les travaux de photographes français tels ceux de Maurice Tabard, que l’on put voir lors de l’exposition Film et Photo en 1929 à Stuttgart. Ensemble associe leurs travaux à des photographies de Paris réalisées en 2003 par Andreas Gursky qui rend ainsi hommage à cette avant-garde.
Dans ce numéro d’avril, Archéologia vous invite à découvrir la fouille récente menée sur les bords du Rhône, à Sainte-Colombe, où fut dégagé ce que certains ont qualifié de « mini-Pompéi viennoise »…
L’événement du mois est la grande exposition du musée de l’Homme, à Paris, consacrée à Néandertal. Les recherches entreprises ces dernières années nous livrent une image radicalement différente de celle forgée au XIXe siècle.
À Rome, les travaux soutenus par une association permettent de mieux comprendre le système hydraulique présent sous la célèbre villa de l’empereur Maxence.
Notre article « Vie quotidienne » vous révèle les maladies dont souffraient les tout petits sous l’Empire.
Enfin nous reviendrons sur une rare statuette gauloise en bois mise au jour dans un bras de la Seine.
Sans oublier notre portfolio consacré aux bustes impériaux du musée Saint-Raymond de Toulouse, nos livres, nos pages d’actualités et notre objet du mois… Bonne lecture à tous !
Depuis l’ouverture de la nouvelle rue Flandin en février, la SPL Lyon Part-Dieu a transformé une partie de l'ancienne rue en une vaste prairie temporaire, qui sera accessible au public dans les prochains jours. Situé entre la nouvelle rue et les voies de tramway, cet espace provisoire dessine les contours de la pointe nord de l’esplanade Mandela réaménagée à horizon 2023. Première étape : la réalisation d'un semis provisoire et de cheminements piétons avant la mise en place d'une prairie fleurie à l'automne. Explications en images sur les derniers aménagements réalisés.
Côté Béraudier : retour en images sur 2 années de travaux en 3 minutes !
Flashback sur la première phase de tranformation du pôle d'échanges multimodal, côté Béraudier. De mars 2018 à mai 2020, revivez en accéléré près de 2 ans de travaux en quelques minutes : la démolition du hall sud de la gare, la création du hall de gare provisoire, les différentes étapes de démolition des bâtiments, la fresque du gorille, les travaux de la place Béraudier... Un premier condensé des images captées quotidiennement par la webcam chantier accessible sur le site internet du projet.
➔ Du 1er au 24 juillet Réouverture de la maison du projet En raison des mesures sanitaires, les visites s'effectuent pour l’instant sur rendez-vous préalable. Contactez-nous ici
Concours photo #PartDieu24H
Plus de 300 photos ont été reçues via le concours organisé par la SPL Lyon Part-Dieu, sur le thème « Tous les temps sont à la Part-Dieu ». A partir de juillet, découvrez une sélection de 55 photos exposées sur la palissade chantier de la rue Bouchut, dont celles des 7 lauréats.
Mont Olympe. S'il veut pouvoir garantir la paix entre les hommes, Zeus doit envoyer un représentant sur Terre. Mais qui pourrait être A la hauteur ? Sur les bons conseils d'Hermès, le roi des dieux décide d'engendrer un fils avec une mortelle : un demi-dieu, voilA le candidat idéal pour s'acquitter de cette tâche ! L'heureuse élue sera Alcmène, reine de Thèbes et descendante de Persée. Zeus profitera de l'absence de son mari parti A la guerre pour s'unir A elle. Leur fils, Héraclès, deviendra le guerrier ultime, A même d'accomplir les plus grands exploits. Il aura la force et le courage d'un lion. Mais Zeus ignore que l'ombre de la jalousie d'Héra, son épouse, plane sur le destin de ce fils providentiel…Découvrez la genèse du plus grand héros de la mythologie grecque dans une passionnante trilogie où action, aventure et querelles divines sont rendez-vous. Dès le deuxième tome, Héraclès entamera ses fameux 12 travaux...
Carl et Roy ont seize et dix-sept ans lorsque la voiture de leurs parents tombe au fond d'un ravin. Roy s'installe comme mécanicien dans une station-service du bourg voisin pour subvenir à leurs besoins. Carl, aussitôt sa scolarité finie, file au Canada poursuivre ses études et tenter sa chance. Des années plus tard, Carl revient au pays avec une trop ravissante épouse, mû par un ambitieux projet pour le modeste domaine familial : construire un hôtel spa de luxe qui fera leur fortune et celle de leur communauté, sur laquelle il compte pour financer les travaux. Mais le retour de l'enfant prodigue réveille de vieilles rancoeurs et les secrets de famille remontent à la surface. Tandis que les murs du palace peinent à s'ériger, les cadavres s'amoncellent. Leur domaine est un thriller complexe, déroutant, à l'atmosphère irrespirable, dans lequel Jo Nesbo expose avec un réalisme glaçant les rouages des rapports familiaux pervertis.
En capturant Cerbère, Héraclès accomplit le douzième et dernier de ses travaux. Avec lui, en plus du gardien des portes du Tartare, il ramène des enfers son cousin Thésée ainsi qu’une promesse, celle de devenir le protecteur de la ville de Calydon. Pour ce faire, il doit épouser l’une des sœurs de Méléagre, le fils défunt du roi de la cité fortifiée. À son arrivée au palais, le rois Œnée lui apprend que sa fille Déjanire ne sera conquise qu’au prix d’un affrontement face à Achélôos, le dieu-fleuve. Une fois la monstruosité terrassée, Héraclès peut dorénavant vivre aux côtés d’une femme qu’il se surprend à aimer. Mais sans le savoir, il se dirige dès cet instant vers son trépas, car vient à sa rencontre le plus pernicieux ennemi auquel il doit faire face : l’ennui...
Mont Olympe. S’il veut pouvoir garantir la paix entre les hommes, Zeus doit envoyer un représentant sur Terre. Mais qui pourrait être à la hauteur ? Sur les bons conseils d’Hermès, le roi des dieux décide d’engendrer un fils avec une mortelle : un demi-dieu, voilà le candidat idéal pour s’acquitter de cette tâche ! L’heureuse élue sera Alcmène, reine de Thèbes et descendante de Persée. Zeus profitera de l’absence de son mari parti à la guerre pour s’unir à elle. Leur fils, Héraclès, deviendra le guerrier ultime, à même d’accomplir les plus grands exploits. Il aura la force et le courage d’un lion. Mais Zeus ignore que l’ombre de la jalousie d’Héra, son épouse, plane sur le destin de ce fils providentiel…
Découvrez la genèse du plus grand héros de la mythologie grecque dans une passionnante trilogie où action, aventure et querelles divines sont rendez-vous. Dès le deuxième tome, Héraclès entamera ses fameux 12 travaux...
L’histoire de la rue de la République : de colline à artère emblématique de Marseille
La rue de la République à Marseille, anciennement appelée rue Impériale, a été construite au milieu du 19e siècle, pour relier le Vieux-Port au “nouveau” port de commerce de la Joliette, en plein essor industriel.
Si aujourd’hui tout le monde la connaît et la considère comme l’un des axes emblématiques de Marseille, la rue de la République, avant sa construction dans les années 1860, était un ensemble d’immeubles et de rues du vieux quartier de Marseille.
La rue de la République connecte le Vieux-Port à la place de la Joliette et traverse les quartiers historiques et leurs rues entremêlées
Naissance d’une rue mythique
Avant la naissance de la rue de la République, pour rejoindre les nouveaux bassins commerciaux du port de la Joliette depuis le Vieux-Port, les charrettes et les Marseillais plus généralement devaient longer le Vieux-Port et passer notamment devant la Cathédrale de la Major. Ils empruntaient ainsi un chemin similaire aux navires qui, eux, voguaient sur le Canal Saint-Jean.
Un réel détour puisque, à vol d’oiseau, les deux ports peuvent être reliés plus rapidement. C’est ce qui amena la municipalité à envisager la construction d’une route en lieu et place de bâtiments et de rue situés sur des collines, notamment la butte des Carmes, entre le Vieux-Port et la Joliette.
À lire aussi
L’histoire du canal Saint Jean qui reliait le Vieux Port et la Joliette
Faciliter le commerce mais pas seulement
C’est à Jules Mirès, homme d’affaires bordelais, que l’on doit le projet, en 1858, d’un percement d’une grande rue pour relier les deux ports de Marseille. En plus de faciliter le commerce, cette nouvelle voie permettrait, selon lui, de détruire la vieille ville dans son intégralité et trois buttes (des Carmes, des Moulins et de Saint-Laurent), zones pauvres et où les maladies proliféraient. Mais le projet du financier, estimé à 110 millions de francs et 10 ans de travaux, n’a pas séduit, tant pour des raisons pécuniaires qu’humaines et historiennes, puisqu’il induisait de déloger environ 50 000 Marseillais et de détruire une partie du passé le plus ancien de la ville.
Un autre projet, proposé par les ingénieurs Auguste Gassend et Étienne Delestrac, a finalement été retenu par le Conseil municipal de Marseille en novembre 1858. Élevé à « seulement » 40 millions de francs comparé au précédent, il consistait principalement au percement d’une grande artère entre la butte des Carmes et la butte des Moulins. Son nom : la rue impériale, car nous sommes à l’époque en plein cœur du Second Empire et du règne de l’empereur Napoléon III.
Le projet définitif, accepté par l’État qui assurait une partie de son financement, est signé en avril 1861. Il est alors prévu de percer les buttes des Carmes et des Moulins pour créer une rue de 25 mètres de large et plus d’un kilomètre de long entre le quai du Port et la place de la Joliette. Pour se faire, il a fallu détruire près d’un millier de maisons et 61 rues totalement ou partiellement, déplaçant ainsi 16 000 Marseillais.
La rue Étroite menant du Panier au boulevard des Dames (au fond)
La rue de la Treille avec au fond le boulevard des Dames
Il a également été nécessaire de mettre de niveau les trois collines, créant au total plus d’un million de mètres cubes de déblais qui seront utilisés pour remblayer les quais d’Arenc et du Lazaret. Pour cela, la butte des Carmes a par exemple été creusée de 15 mètres à 25 mètres de profondeur. En témoigne le mur actuel de la place Sadi Carnot qui montre quelle hauteur la colline atteignait avant les travaux.