Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Mon mini retable d'Issenheim
http://www.lauravanel-coytte.com/le-retable-d-issenheim/
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1 ère publication:
07/01/2018 11:14
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http://www.musee-unterlinden.com/collections-du-musee-unterlinden/lexperience-le-retable-dissenheim/
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Validée par la commission régionale de restauration en mars dernier, celle-ci ne semblait pas poser de problème. Mais Didier Rykner de « La Tribune de l'Art » pointe, dans son article, une précipitation et des approximations dans les décisions prises pour la restauration de ce chef-d'oeuvre du début du XVIe siècle, avance que le financement n'est pas assuré pour l'ensemble de la campagne et, plus grave, que celle-ci n'est pas scientifiquement nécessaire.
Pour l'année 2011, les fonds, 11 000 EUR, ont bien été réunis et « la Fondation du patrimoine et la Société Schongauer ont estimé que les fonds seraient raisonnablement obtenus dans les deux ans à venir ». Quant à la précipitation, le musée ne comprend pas cet argument puisque le calendrier a été respecté et le feu vert donné par le Comité scientifique réuni le 5 juillet juste suivi des faits.
Ce qui semble gêner les historiens de l'art porte sur l'intérêt scientifique de cette restauration consistant en un allégement des vernis successifs, visant à rendre sa lisibilité à l'oeuvre, et sur le choix de ne restaurer qu'un seul panneau en premier lieu, histoire de voir si la campagne peut être étendue à l'ensemble du retable. Pantxika de Paepe, la directrice du musée explique que « L'amincissement de la couche superficielle des vernis a été validée par la commission régionale de restauration et le comité scientifique. Le deuxième comité scientifique se réunira en septembre. Selon ses conclusions, la suite de la restauration sera déterminée. » Ce côté « test » a fait bondir les journalistes. Si celle-ci n'est pas concluante, ne risque-t'il pas d'y avoir un problème d'homogénéité entre les panneaux ? Pantxika de Paepe affirme, et c'est peut être là le plus troublant, que « si le comité décide que cette restauration n'a pas d'intérêt, le vernis sera remis. En effet, il n'y aura pas de différence entre un vernis appliqué en 2011 et un vernis appliqué en 1990 ».
Enfin, si, comme il a été évoqué, le C2RMF a émis des réserves sur cette restauration, il n'en a pas fait état lors des étapes de préparation. La suspension du chantier annoncé par la presse ces derniers jours n'aurait pas été demandée par le ministère de la Culture, mais était prévue au calendrier dans l'attente de la réunion du mois de septembre. Celle-ci devrait permettre d'y voir plus clair sur les suites de cette affaire.
En savoir plus sur le lieu : Musée d' Unterlinden
À lire Le retable d'Issenheim prochainement restauré
arte.tv/guide/fr/060188-000-A/aventure-au-muse
Balade culturelle dans les ravissantes ruelles de la ville alsacienne de Colmar et au musée Unterlinden, qui abrite une perle de l’art médiéval, le Retable d'Issenheim, peint par Matthias Grünewald.
Gustav Hofer déambule dans le vieux Colmar, avec ses charmantes maisons à colombage. Il y retrouve l’écrivaine Marie Darrieussecq et flâne dans les ruelles des quartiers des tanneurs et de la petite Venise. De son côté, Marie Labory visite le musée Unterlinden en compagnie de sa conservatrice en chef, Pantxika De Paepe. Réaménagé récemment par les architectes Herzog & de Meuron, le site regroupe désormais des bâtiments de trois époques architecturales différentes : Moyen Âge, Art nouveau et période contemporaine. Joyau de sa collection, le Retable d'Issenheim, peint par Matthias Grünewald, est exposé dans la chapelle de cet ancien couvent dominicain.
Le musée Unterlinden de Colmar fait peau neuve. Une spectaculaire galerie souterraine relie désormais l’ancien couvent qui abrite le célèbre retable d’Issenheim de Grünewald à la nouvelle aile construite par Herzog et de Meuron.
Le musée Unterlinden abrite une riche collection allant du néolithique à l’art contemporain, en passant par les chefs-d’œuvre du Moyen-Âge et des arts décoratifs.
https://www.connaissancedesarts.com/publication/hors-serie-musee-unterlinden/
Visité le 24 décembre 2017
http://www.lauravanel-coytte.com/balade-du-28-decembre-a-lyon/
http://www.lauravanel-coytte.com/bale/
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Au-delà de ses responsabilités publiques, Laurent Fabius est aussi un passionné d'art. À ce titre, il a choisi de s'intéresser aux polyptyques, ces oeuvres que l'on trouve dès le XIII? siècle dans les églises, et dont l'un des plus célèbres est le retable d'Issenheim. Ces tableaux, peints sur plusieurs panneaux, ressurgissent d'une manière plus profane à la fin du XIX? siècle. Au XX? et au XXI? siècle, de nombreux grands artistes comme Francis Bacon, Joan Mitchell, Zao Wou-Ki, Fabienne Verdier ou Pierre Soulages travaillent sur et avec des toiles multiples.Ces oeuvres, que Laurent Fabius - qui lui-même s'adonne à la peinture - a choisi d'appeler "tableaux pluriels", possèdent non seulement une forme mais aussi une force particulières qu'il entreprend ici d'analyser et de décrire dans un voyage érudit à travers le monde, à la fois historique, émotionnel et pictural.
https://www.fnac.com/a17098734/Laurent-Fabius-Tableaux-pluriels
Fondé dans un ancien couvent du XIIIe siècle, le musée Unterlinden de Colmar dévoile la richesse du patrimoine artistique alsacien, de son histoire archéologique aux ateliers des primitifs rhénans du Moyen Âge et de la Renaissance, en passant par les arts décoratifs et populaires régionaux. Il présente également une collection d’art moderne et contemporain dans une nouvelle aile achevée en 2015. Ce hors-série fait la part belle aux chefs d’œuvres du musée et en particulier au Retable d’Issenheim, restauré en 2022.
Au sommaire
Ce hors-série revient sur l’histoire du musée d’Unterlinden, réflétée par la diversité architecturale des bâtiments qui le constitue. Le monastère, reconverti en musée en 1853 pour accueillir les collections de la Société Schongauer devient trop étroit au XXe siècle et connaît alors plusieurs phases d’extension, au gré de l’enrichissement des collections. Ce sont six mille ans d’histoire que présente le parcours permanent consacré à l’archéologie, régulièrement complété grâce aux fouilles menées dans la région. Un nouveau parcours muséographique met à l’honneur les différents ateliers des primitifs rhénans actifs au Moyen Âge et à la Renaissance. Ils se distinguent par leur production de sculptures et de retables, dont le célèbre Retable d’Issenheim créé entre 1512 et 1516 par le peintre Grünewald et le sculpteur Nicolas de Haguenau. Le musée possède également une vaste collection d’arts décoratifs et populaires alsaciens, représentative des savoir-faire et traditions de la région (céramique, art du verre, viticulture…). Enfin, l’art moderne et contemporain est bien représenté dans les nouvelles extensions du musée, avec des œuvres de Rodin, Dufy, Otto Dix, Picasso, Soulages ou encore De Staël.
Œuvres commentées, infos pratiques… Ce hors-série constitue une présentation richement illustrée du Musée Unterlinden de Colmar en préparation ou en complément de votre visite !
Février 2023 – 68 pages.
François-René Martin, Sylvie Ramond
Collection : Monographie
Le livre en quelques mots
La somme iconographique et biographique sur Grünewald et son œuvre : pas d’autre monographie en librairie. Une exceptionnelle campagne macrophotographique. Dans l’actualité : les polémiques sur la restauration du chef d’œuvre de l’artiste : le polyptique d’Issenheim au musée de Colmar.Coédition internationale simultanée : France, Allemagne, Italien.
http://www.editions-hazan.fr/ouvrage/370274/grunewald_francois-rene_martin_sylvie_ramond
Je précise que cet article n'est pas de moi (lien vers la page citée et si possible son auteur)mais que je suis auteure et que vous pouvez commander mes livres en cliquant sur les 11 bannières de ce blog
https://www.la-croix.com/Monde/Moyen-Orient/A-lONU-maigres-espoirs-Yemen-2018-09-06-1200966616
https://www.la-croix.com/JournalV2/LAllemagne-cherche-profs-desesperement-2018-09-06-1100966539
https://www.la-croix.com/JournalV2/Lesprit-tire-dembuches-2018-09-06-1100966551
https://www.la-croix.com/Culture/Restauration-fondamentale-retable-dIssenheim-2018-09-05-1200966498
https://www.la-croix.com/JournalV2/En-mission-leducation-prioritaire-2018-09-06-1100966554
https://www.la-croix.com/Culture/Khalil-Hamra-met-lumiere-huis-clos-Gaza-2018-09-06-1200966614
Pour le prix d'un billet d'exposition, visitez toutes les pièces d'un musée idéal, suivez nos guides conférenciers et découvrez l'actu de l'art !
Cette revue propose une immersion inédite au coeur d'un musée imaginaire. Elle invite à une balade sur papier dans les différentes pièces du musée pour une évasion artistique et sensorielle. On y découvre notamment deux grandes expositions de peinture, les récits des meilleurs conférenciers, les coulisses des musées ou encore l'actualité de l'art. De belles reproductions, des décryptages et la qualité journalistique et iconographique de GEO dans un bel objet à collectionner, où l'information passe par l'émotion.
Visitons le musée idéal de pièces en pièces...
Qu'est ce qu'un musée idéal pour vous ? Entretien avec Michel Pastoureau.
L' exposition événement sur Claude Monet : 35 chefs-d'oeuvre enfin réunis !
Le chefs d'oeuvre du Musée : La Mise au tombeau de Raphaël.
Comment regarder un tableau au musée ? La Ruelle de Jan Vermeer.
Une pause au restaurant du musée avec la rubrique « Un étoilé au musée », Le déjeuner d'huîtres de Jean-François de Troy.
Le musée idéal en herbe, un tableau expliqué aux petits.
La collection du Musée Idéal : L'arbre en majesté ou L'invention d'un motif (1850-1900).
Les trésors méconnus du Louvre : La Vierge au chancelier Rolin de Jan Van Eyck.
Le dépliant du Retable d'Issenheim : Un polyptyque pour soulager les victimes du « feu de saint Antoine ».
Hors les murs : toute l'actualité autour de l'art.
Le cabinet de dessins : Dessiner les musées par Christelle Tea.
L'auditorium : «La couleur influe directement sur l'âme» La naissance de l'art non figuratif.
La petite boutique du musée et toute l'actualité de l'art - les ouvrages, les films, les podcast à découvrir.
N° 519 - janvier 2016 - 8,50 €
ISSN : 0998-8041
Au sommaire du premier numéro de l'année 2016, deux événements attendus à Londres et à Colmar : l'ouverture des salles d'art européen des XVIIe et XVIIIe siècles au Victoria & Albert Museum, et la réouverture du musée Unterlinden, qui abrite le célèbre Retable d'Issenheim. Deux grandes expositions, inédites en France, au Centre Pompidou et à la BnF, retracent quant à elle le parcours singulier d'Anselm Kiefer, et Alexander Calder est à l'honneur à la Tate Modern à Londres, grâce à la plus grande rétrospective qui lui a jamais été consacrée en Grande-Bretagne. Enfin, découvrez la vie de Jacques Doucet, couturier du Tout-Paris, bibliophile raffiné et fastueux mécène, à l'occasion d'une exposition à la fondation Pierre Bergé-Yves Saint Laurent, et plongez au cœur du fleuve Sepik, berceau des peuples de Papouasie-Nouvelle-Guinée, de remarquables et audacieux artistes.
Décembre 2013
Plurielles comme les « modernités » du nouvel accrochage réussi du Centre Pompidou. Courageusement, le Musée national d’art moderne réalise avec le quatrième accrochage thématique de ses collections permanentes une relecture critique de l’histoire de l’art de 1905 à 1970. Fini le récit progressiste et dominant de l’histoire de l’art occidental qui voit s’enchaîner seuls les mouvements européens d’avant-garde – le cubisme après le fauvisme, etc. –, place à une histoire globale de l’art qui prend en compte les « autres » modernités, celles d’Asie, d’Afrique, des Amériques latine et du Nord… « “Modernités plurielles” élargit ce principe à une relecture non plus thématique, mais générale et historique de l’histoire de l’art », écrit dans le catalogue Catherine Grenier, directrice adjointe du MNAM et grand ordonnateur de ce nouvel accrochage qui ajoute, par ...
Sur le tournage du film Francofonia, d'Alexandre Sokourov. Crédits photo : © Jaap Vrenegoor
Sous l'Occupation, les œuvres d'art les plus précieuses du musée, La Joconde en tête, ont été cachées aux quatre coins de la France.
Le tournage du film d'Alexandre Sokourov, Francofonia, en évoquant le destin des œuvres d'art sous l'occupation, rappelle un aspect de la Seconde Guerre mondiale que l'actualité vient de remettre en lumière, avec la découverte dans un appartement à Munich de tableaux pillés par les nazis. La dispersion organisée des collections du Louvre (mais aussi de nombreux trésors du patrimoine européen) est le versant opposé de cette histoire sinistre, un vaste mouvement de résistance contre la spoliation.
Dès 1938, après l'annexion de l'Autriche et l'invasion des Sudètes par Hitler, Jacques Jaujard, sous-directeur des Musées nationaux, et René Huyghe, conservateur en chef du département des peintures et des dessins du Louvre, entreprennent la mise en caisse et l'évacuation à Chambord des œuvres les plus précieuses, La Joconde en tête. Les accords de Munich les font revenir en octobre. Ce n'était que la répétition générale, avant le véritable exode qui commencera en août 1939, à la veille de la déclaration de guerre.
Tandis qu'on dépose les vitraux des grandes cathédrales et qu'on démonte les fragiles panneaux du retable d'Issenheim, le Louvre prépare caisses et camions. Chambord, avec ses espaces immenses, sert d'entrepôt général, à partir duquel les œuvres seront transportées dans de nombreux châteaux, abbayes ou musées de l'Ouest, du Centre et du Midi.
Pour acheminer les toiles de grandes dimensions de Véronèse, Géricault, Rubens ou Delacroix, l'administrateur de la Comédie-Française, Édouard Bourdet, a fourni des remorques servant à véhiculer les décors. Des agents des PTT sont chargés de soulever les fils téléphoniques et télégraphiques à leur passage, après l'incident survenu à Versailles, où Le Radeau de la Méduse a provoqué une panne d'électricité générale, en accrochant les fils du tramway. Les mouvements sont loin d'être terminés en mai 1940, lors de l'invasion allemande, et les convois se mêlent à l'exode des Français. La Joconde, enfermée dans une caisse à double paroi spécialement conçue pour elle, sera hébergée dans cinq lieux successifs. Après le château de François Ier, elle trouve refuge à Louvigny, puis à l'abbaye fortifiée de Loc-Dieu, en Aveyron, avec quelque trois mille tableaux. Mais les conditions de conservation se révèlent désastreuses.
Les toiles reprennent la route pour le Musée Ingres, à Montauban. Elles auront pour conservateur André Chamson, qui a déjà dirigé l'évacuation vers Chambord, et qui est entré en résistance dans les maquis du Lot. «Nous dormirons une nuit avec La Joconde en cavale», écrit sa fille, Frédérique Hébrard. Car, lorsque les Allemands envahiront la zone libre, en 1942, Monna Lisa fuira de nouveau, pour se cacher au château de Montal, dans le Lot. Outre André Chamson, les grands conservateurs de ce Louvre en exil sont René Huyghe, pour le Sud, et Germain Bazin, pour l'Ouest. 3 690 tableaux ont été ainsi mis à l'abri, en même temps que les sculptures fameuses, laVictoire de Samothrace, la Vénus de Milo , les objets d'art, les joyaux.
Le Louvre déserté rouvre officiellement en septembre 1940. On peut y visiter quelques salles de sculptures antiques ou de la Renaissance française. L'occupant établit aussi un séquestre, interdit aux Français, où les services nazis entreposeront et négocieront des œuvres provenant de collections juives. Mais d'autres sont à l'abri en province avec les trésors du Louvre.
Le Louvre ou l'art de résister
Sous l'Occupation, les œuvres d'art les plus précieuses du musée, La Joconde en tête, ont été cachées aux quatre coins de la France.