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  • Olivier KAEPPELIN, nouveau Directeur de la Fondation Maeght

    « Homme de culture et homme de lettres, très proche des artistes de son temps, de toutes générations, Olivier Kaeppelin collabore avec la Galerie Maeght et la Fondation Maeght depuis près de 25 ans. Il prendra en charge la programmation déjà établie et, dans la continuité des grandes expositions de la Fondation Maeght, proposera de nouveaux axes de travail. Je suis très heureux de son arrivée. », déclare Monsieur Adrien Maeght, Président de la Fondation Marguerite et Aimé Maeght.

    « Olivier Kaeppelin est un ami historique de la Fondation dont il partage la passion pour les artistes et leurs oeuvres, comme le goût de l’échange avec le public. Le Conseil d’Administration est très heureux d’accueillir cet ami et ce visionnaire, cet homme engagé, sur qui nous comptons désormais pour honorer et renouveler l’esprit qui guide ce lieu unique », précise Madame Isabelle Maeght, administratrice de la Fondation qui en assumait la direction depuis le départ à la retraite de Michel Enrici, directeur de 2006 à 2009.

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    Olivier Kaeppelin, © Radio France, Christophe Abramowitz

    Olivier Kaeppelin, par ailleurs commissaire de l’exposition “Erik Dietman, Monomental”, actuellement à l’affiche de la Fondation, prendra ses fonctions de directeur de la Fondation Maeght en juillet 2011. Il souligne : « La Fondation Maeght, avec le bouillonnement culturel et artistique qu’elle évoque, est en elle même une source d’inspiration. Elle est l’expression de l’importance de la création et de l’innovation. Elle suscite le dialogue, les échanges entre les arts, le partage dans la création. La rejoindre et la diriger, contribuer à la faire rayonner auprès des générations futures, est un honneur. Je sais qu’il s’agit de réaliser une mission exigeante avec un objectif passionnant. La Fondation Maeght avec les artistes qu’elle expose doit contribuer à la compréhension de l’époque et participer à son invention. »

     

    Quelques éléments de biographie sur Olivier Kaeppelin

     

    Né le 10 avril 1949 à Rio de Janeiro (Brésil), Directeur du Projet Palais de Tokyo depuis mai 2009, Olivier Kaeppelin est le concepteur de plusieurs expositions et événements notamment dédiés à la création en France. Il est à l’initiative de manifestations de grande ampleur comme la triennale « La Force de l’art », dont
    la première édition s’est tenue au Grand Palais, en 2006. Il est aussi à l’origine de « Monumenta », manifestation qui propose à un artiste de notoriété internationale d’investir la Nef du Grand Palais. Consacrée à Anselm Kiefer en 2007, à Richard Serra en 2008, à Christian Boltanski en 2010, « Monumenta »
    propose Anish Kapoor en 2011 et Daniel Buren en 2012. Olivier Kaeppelin est également à l’origine de « Dans la nuit, des images », événement dédié à l’art et au film numérique qui, sous le commissariat d’Alain Fleischer et du Fresnoy, a clôturé en décembre 2008 la Présidence Française de l’Union Européenne. Olivier Kaeppelin a été commissaire ou co-commissaire d’exposition notamment pour l’exposition universelle de Séville, la Villa Médicis, le FRAC des Pays de la Loire, la Biennale de Venise, le Musée d’art moderne de Villeneuve d’Ascq, le Musée des Beaux-Arts de Nantes, le Credac d’Ivry, le Musée des Beaux-Arts de Mulhouse, les Ateliers du Musée d’Art moderne de la Ville de Paris (l’ARC) et la Fondation Maeght…

    Homme de lettres, diplômé d’études approfondies de sociologie à la Sorbonne et à Paris X Nanterre ainsi que licencié de Lettres modernes, Olivier Kaeppelin a enseigné à Paris VIII (département Littérature), puis à Paris I (Département Histoire de l’art). Créateur de revues littéraires et artistiques, il a été le collaborateur de journaux et magazines littéraires : Quinzaine Littéraire, Beaux-Arts Magazine, Art Press, l’Ennemi (Christian Bourgois éd.), l’Autre journal... Il est l’auteur d’ouvrages de poésie comme de nombreux ouvrages et textes sur l’art et les artistes, ainsi que sur le théâtre équestre Zingaro, notamment aux Éditions Actes Sud et La Différence.

    Homme de radio, producteur à France Culture de nombreuses émissions de radio sur la littérature, la création, le théâtre et la ville contemporaine, il a participé à l’équipe fondatrice des « Nuits Magnétiques » sous la direction d’Alain Veinstein. Entre 1999 et 2005, au sein de Radio France, il est successivement directeur-adjoint de France Culture, chargé des programmes, puis conseiller du Président de Radio France pour les programmes culturels et le développement de la politique culturelle du groupe.

    Pour le ministère de la Culture (délégation aux Arts plastiques), Olivier Kaeppelin a occupé différentes fonctions : successivement chargé de mission, inspecteur des enseignements artistiques et de la création artistique, avant de prendre la direction de l’inspection de 1993 à 1999. En 2004, il est nommé délégué aux Arts plastiques au ministère de la Culture et de la Communication.

    http://www.artcotedazur.fr/archives,302/en-ville,3/st-paul-de-vence,50/olivier-kaeppelin-nouveau-directeur-de-la-fondation-maeght,4444

  • 50 ans de la Fondation Maeght – Hors les murs

     

     

    En 2014, la Fondation Maeght donne rendez-vous à tous les amateurs d’art pour fêter son cinquantenaire, aussi bien sur les collines de Saint-Paul de Vence qu’un peu plus loin : d’Antibes et Biot, à Nice et Vallauris, jusqu’au Domaine de Kerguéhennec en Bretagne ou au Musée des Augustins à Hazebrouck

    « Tout est ouverture, dialogue et partage dans l’histoire de la Fondation, c’est pourquoi nous sommes heureux d’associer aujourd’hui à cet anniversaire ces lieux d’art et de culture amis. C’est avec les artistes que Marguerite et Aimé Maeght ont imaginé la Fondation ; son architecture est ouverte sur le ciel et les jardins ; les plans de Sert eux-mêmes ont fait l’objet d’échanges avec Miró et Giacometti ; les grandes expositions ont reposé et reposent encore sur des collaborations multiples. C’est dans la fidélité à cet esprit que nous avons décidé, avec ces musées ou centres d’art amis, de proposer ensemble un véritable parcours aux amateurs d’art » précise Olivier Kaeppelin, directeur de la Fondation Maeght

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
  • La Fondation Maeght(que nous avons visitée en 2019)

    La Fondation Maeght

    La fondation sur ce blog

    Sous l’impulsion de Georges Braque et Fernand Léger, les éditeurs et marchands d’art Marguerite et Aimé Maeght fondent en 1964 sur leur propriété de Saint-Paul-de-Vence la première fondation privée dédiée à l’art contemporain en France. Ce hors-série qui lui est consacré propose de découvrir ce lieu conçu par et pour les artistes, de la cour Giacometti au labyrinthe Miro, en passant par les mosaïques murales de Chagall et de Tal Coat et le bassin et le vitrail de Braque.

     

    Au sommaire : 

    À l’approche des 60 ans de la Fondation, Adrien Maeght, président de la Fondation Maeght et fils de Marguerite et Aimé, revient sur l’histoire de l’institution, entre avant-garde et art contemporain et présente les nouvelles perspectives faisant suite aux travaux d’extension et de rénovation. Ce hors-série revient également sur la vie d’Aimé et Marguerite Maeght, inséparable et complémentaires, consacrée toute entière à l’art et à la promotion des artistes.
    La construction de la Fondation Marguerite et Aimé Maeght à Saint-Paul-de-Vence s’est révélée à tous points de vue une véritable gageure – dompter la lumière méditerranéenne, créer un centre d’art aussi loin de Paris, … – pour offrir aux artistes d’hier et d’aujourd’hui un magnifique lieu d’exposition et de création. Chaque artiste participant s’y approprie un espace qui lui est dévolu. La Fondation devient un site incontournable de l’art moderne, notamment grâce à son époustouflant jardin de sculptures.
    Grâce à sa programmation, dès le début curieuse de trajectoires artistiques les plus diverses, la Fondation Marguerite et Aimé Maeght a su concevoir plus de 150 expositions de qualité. Retour sur des manifestations rétrospectives ou historiques, dont l’influence et le soutien aux jeunes générations est indéniable.

     

    Entretien, études d’œuvre, infos pratiques… Ce hors-série constitue une présentation richement illustrée de la Fondation Maeght, en préparation ou en complément de votre visite !

    Juin 2023 – 68 pages

    https://www.connaissancedesarts.com/publications/hors-serie-la-fondation-maeght-connaissance-des-arts/

  • J'ai lu après notre visite à PAQUES:Hors-série : La Fondation Maeght

    Hors série : La Fondation Maeghthttp://www.lauravanel-coytte.com/archive/2019/04/19/fondation-maeght-photo-jean-jacques-l-heritier-fondation-mae-6138956.html


     

    Signature : CDA - 17 avril 2014
     
    Hors-série : La Fondation Maeght

    La Fondation Marguerite et Aimé Maeght est l'un des lieux phares de l'art moderne en France.

     

    Conçue par Josep Lluís Sert et Joan Miró pour ce couple de passionnés et inaugurée en 1964, elle abrite une collection de plus de 900 oeuvres majeures de l'art moderne. De sa genèse à sa collection, redécouvrez, avec ce hors-série, l'histoire de ce lieu fascinant.

    https://www.connaissancedesarts.com/publication/hors-serie-la-fondation-maeght-2/

    BOUTS DE PAYSAGES RIMESAchetez "bouts-de-paysages-rimes"

  • Fondation Maeght (visitée en 2019, un de nos derniers voyages): poussée de croissance à 60 ans

    Édition du 01 juillet 2024
     
     
    À la une du N°2861
    Fondation Maeght : poussée de croissance à 60 ans
    Pierre-Emmanuel Lecerf administrateur général à Versailles
    Julia Beurton nommée à Orsay
    La galerie Praz-Delavallade ferme
    Le chiffre du jour : 5 lauréats du prix IFCIC
    Les télex du 1er juillet
    TÉLÉCHARGER MON ÉDITION
    Toutes les éditions de Quotidien de l’Art sont disponibles sur
    www.lequotidiendelart.com
  • Joan Miró.

    Naissance du jour III BD recadré.jpg

    l'Arlequin artificier

     
    Exposition présentée du 16 juin au 3 novembre 2013.
     
    Avant le 50e anniversaire que s’apprête à célébrer la Fondation Marguerite et Aimé Maeght en 2014, celle-ci s’associe au Fonds Hélène & Édouard Leclerc pour rendre hommage à Joan Miró à l’occasion du 120e anniversaire de sa naissance. L’artiste est né le 20 avril 1893 à Barcelone et mort il y a trente ans, le 25 décembre 1983 à Palma de Majorque.
     
    Première exposition de l’artiste catalan dans le grand ouest de la France, l’exposition Miró au centre d’art du Fonds Hélène & Édouard Leclerc réunit environ 450 oeuvres. Elle se construit essentiellement autour des ensembles exceptionnels d’œuvres en provenance de la Fondation Maeght à Saint-Paul de Vence dans les Alpes-Maritimes. Excepté la Fondation Miró à Barcelone, aucune autre institution ne peut offrir à partir d’un seul site, de façon aussi riche, documentée et réfléchie par l’artiste lui-même, une telle représentation de son œuvre à partir de 1930. C’est donc de cette date jusqu’à 1983, et à partir de la relation privilégiée qu’il a entretenue avec la famille Maeght, que s’organise cette exposition.
     
    Elle présente des ensembles provenant de la Fondation Maeght : sculptures, peintures, gouaches, dessins, éditions, mais également des œuvres appartenant à la famille Maeght. Pour illustrer significativement l’ensemble de la période sur laquelle repose l’exposition et la diversité des techniques abordées par l’artiste, d’autres prêts complètent les différentes étapes de ce parcours : Fondation Joan Miró de Barcelone, Bibliothèque Nationale de France,collections particulières, descendants et proches de l’artiste. Cette exposition porte sur la deuxième période de la carrière de Joan Miró, quand celui-ci, tout en restant fidèle à la peinture, aborde de nouvelles expressions artistiques et développe une oeuvre exceptionnelle, inventive et singulière.
     
    La Naissance du jour III, 1964 © Coll. Fondation Marguerite et Aimé Maeght, Saint-Paul de Vence. Photo Claude Germain
     
  • Hommage à Alexandre CALDER

    Légende Photo : Spirales et cerceaux 1969
    Lithographie originale sur chiffon de Mandeure
    75 x 109,5 cm
    Collection Fondation
    Marguerite et Aimé Maeght, Saint-Paul
    © Adagp, Paris, 2014
    ©Archives Fondation Maeght, Saint-Paul de Vence
    Photo Claude Germain

    Exposition du 24 mai au 7 septembre 2014

    À l’occasion du cinquantième anniversaire de la Fondation Maeght, le Musée d’Art moderne et d’Art contemporain de Nice a souhaité mettre en lumière les liens qui unissaient la famille Maeght au sculpteur et peintre américain Alexander Calder.

    L’exposition Alexander Calder renforce la présence de la sculpture monumentale: Stabile-Mobile 1970 (collection Mamac) exposée en permanence sur le parvis du musée par des œuvres généreusement prêtées par la Fondation Maeght et la famille Maeght (Adrien, Isabelle et Jules Maeght).
    Près de cinquante œuvres représentatives du parcours entier de l’artiste sont ainsi proposées : fil de fer, bronzes, mobiles, mobiles-stabiles, œuvres sur papier (encres, aquarelles, lithographies).

    ALEXANDER CALDER

    Si aujourd’hui la Fondation Maeght est un lieu incontournable parmi les institutions consacrées à l’art moderne et contemporain, son histoire commence dans les années cinquante grâce à la destinée hors du commun du couple Aimé et Marguerite Maeght lorsqu’ils achètent une propriété à Saint-Paul. Par la suite, Georges Braque et Alberto Giacometti les encourage à amorcer, afin de surmonter la mort de leur jeune fils, la création d’un lieu d’art moderne serein où se rencontreraient les artistes. Ils seront toujours soudés avec les Maeght par une forte amitié et une étroite collaboration dans leur travail, notamment des presses de l’imprimerie Arte-Adrien Maeght et des illustrations pour la célèbre revue Derrière le Miroir. Ces artistes se fédèrent autour de la galerie Maeght, ouverte en 1936 à Cannes et en 1945 à Paris. En effet, Aimé Maeght est marchand d’art et avant tout éditeur d’art. Depuis l’ouverture de la Fondation en 1964, des artistes tels que Giacometti, Miró, Calder, Picasso, Chillida, Ubac, Kelly, Adami et Riopelle viennent nombreux pour goûter au calme du lieu et y laisser leur empreinte. D’autres aujourd’hui ont pris le relais, demeurent au Mas Bernard, propriété familiale des Maeght et produisent de nombreuses oeuvres dans les ateliers. Ainsi, le désir des Maeght de servir et aider les artistes perdure.

    Dans cette même volonté, le bâtiment de la Fondation devait être anti-monumental afin de pouvoir s’intégrer totalement au paysage méditerranéen grâce à l’utilisation de techniques et matériaux à la pointe de la technologie. Le choix se porta naturellement sur l’architecte Josep Lluis Sert d’origine catalane, suite à la visite d’une de ses précédentes créations : la villa-atelier de Joan Miró à Palma de Majorque. Ses principes étaient en accord avec ceux des Maeght. Désormais, la synergie entre l’environnement, l’architecture et les oeuvres est parfaite : la Fondation Maeght est une oeuvre d’art totale. Le musée des Beaux-Arts du Havre (1961) est le premier musée d’art moderne construit après guerre sous l’impulsion d’André Malraux. La Fondation Maeght le suit peu après et constitue la première création d’art vivant en France. Elle est reconnue d’utilité publique le 15 mai 1964.

    Du point de vue de la programmation, l’institution organise de nombreuses expositions thématiques ouvrant de nouveaux horizons et permettant de se démarquer de la galerie parisienne. Dirigée alors par François Wehrlin puis par Jean-Louis Prat pendant plus de trente années, les expositions présentent bien souvent un accrochage inattendu et mémorable. La première exposition de la Fondation, « Dix ans d’art vivant 1945-1955 », sera renouvelée en 1967 pour les dix années qui suivent. Elle offre un récapitulatif de l’art récent, discours tout à fait inédit pour l’époque. « Cette manifestation d’un éclat exceptionnel rehaussera le prestige de la Côte d’Azur, terre des Arts par excellence. »1 La majorité des expositions des dix premières années de la Fondation furent des rétrospectives consacrées aux grands maîtres du XXème siècle, dont certains pouvaient être ceux de la galerie Maeght : Wassili Kandinsky en 1966, Marc Chagall en 1967, ou encore Alexander Calder en 1969. Les manifestations ont toujours gardé un caractère d’Avant-garde. Dans l’exposition du « Musée Imaginaire d’André Malraux » en 1973, les visiteurs purent apprécier plus de huit cents pièces, offrant un vaste panorama de l’art de cinq continents sur quatre millénaires. La Fondation préfigure la conception moderne du musée en multipliant ses activités dans une grande diversité des évènements artistiques et culturels.

    La Fondation Maeght, après cinquante ans d’existence, a acquis sa place parmi les quelques hauts lieux de l’art actuel, suivie dans les années 1990 par le Musée d’Art Moderne et d’Art Contemporain de Nice. Un bilan de ces dernières décennies démontre que les institutions telles que la Fondation Maeght et le MAMAC ont contribué à faire de la Côte d’Azur un pôle international de promotion et de diffusion de l’art qui, loin de Paris, accentue les démarches de décentralisation culturelle. Les deux institutions ont naturellement collaboré dans le cadre de manifestations en s’accordant à plusieurs reprises des prêts mutuels tels que les oeuvres de l’artiste américain Ellsworth Kelly, dans le cadre de l’exposition de la Fondation « Le Noir est une couleur » en 2006.

    Ainsi, le MAMAC a fait le choix de participer au cinquantenaire de la Fondation Maeght en construisant un dossier Calder autour de l’oeuvre maîtresse, Stabile-Mobile (1970) conservée dans le fonds permanent du musée. Alexander Calder est une figure majeure de l’art moderne fortement liée à la Fondation. En effet, l’amitié unissant la famille Maeght à Alexander Calder prend sa genèse en 1947 lorsque l’artiste fait la connaissance de Marguerite et Aimé Maeght pour l’« Exposition Internationale du Surréalisme » dans leur galerie parisienne. Dès lors, il devient un intime de la famille. Afin de distraire leur jeune fils malade,Alexander Calder et son épouse Louisa proposent dans l’appartement parisien des Maeght, des représentations du Cirque, thème qui occupera son oeuvre pendant cinq ans. En trente années de collaboration, ce sont plus de deux cents titres de lithographies ou eauxfortes originales que Calder réalisera pour Maeght Éditeur. Dans le cadre de mai 68, il réalise sur les presses de l’imprimerie Arte- Adrien Maeght, une lithographie originale. Il crée également plusieurs livres de bibliophilie pour Maeght Éditeur dont Fêtes de Jacques Prévert. Pour chacune des onze expositions à la Galerie Maeght, il réalise un exemplaire de la revue Derrière Le Miroir et une affiche. Pour les jardins de la Fondation, le sculpteur crée un immense stabile qu’il nomme Les Renforts. Lors de la rétrospective qui lui est consacrée en 1969 à la Fondation Maeght, il supervise le catalogue et réalise une affiche en lithographie originale. Cette profonde amitié durera jusqu’à la mort de Calder en novembre 1976.

    Depuis plus de vingt ans, Stabile-Mobile est présenté sur le parvis du MAMAC. L’harmonie de la sculpture, la stabilité de la structure et l’agilité du balancier en font une des oeuvres les plus abouties du sculpteur. Il est peut-être utile de faire connaître une péripétie liée à l’implantation de cette oeuvre à Nice. Cette sculpture a été installée au début des années 1970 devant le théâtre « provisoire » de Nice, dirigé alors par Gabriel Monnet. La structure abritant le théâtre a été démontée dans les années 1980 pour laisser place au nouveau Théâtre National de Nice (TNN) et au MAMAC. La sculpture de Calder a été déposée à la même occasion. En 1994, le MAMAC prépare en partenariat avec la Villa Arson, l’exposition « Nouvelle Vague » (février-avril 1994) qui rassemble douze artistes issus de l’École nationale supérieure des Beaux-arts. Dans la sélection, mise en place avec Christian Bernard, apparaît l’artiste Philippe Ramette. Ce dernier souhaite installer sur le parvis du musée une chaise placée en haut d’un mât et demande au musée de trouver un tel support. Nous nous rendons dans un dépôt de la ville où sont stockés d’anciens candélabres afin de négocier le prêt d’un mât de fibre de verre d’environ 7 mètres de hauteur. Dans ce dépôt, nous constatons la présence d’une pièce de piétement métallique que j’identifie comme faisant partie d’un Calder. En poursuivant mes investigations sur le site, deux autres éléments de grande dimension sont découverts. Le pied, la partie stabile de l’oeuvre, apparaît dans son intégrité, prête à être remontée. Au fond du dépôt, le balancier et les trois disques portant quelques restes de couleur sont retrouvés. Le mobile peut à son tour être mis en place. Stabile-Mobile est alors remonté sur le parvis entre le musée et le théâtre, où il accueille depuis de nombreux visiteurs.

    L’actualité montre fréquemment l’importance que représente le Stabile-Mobile dans les collections du musée. En effet, le MAMAC a dernièrement rendu hommage à Alexander Calder par le choix porté sur l’installation de l’artiste belge Arne Quinze, située sur le parvis (depuis le printemps 2013 et jusqu’à fin 2014) et composée d’une multitude de planches en bois enchevêtrées composant un impressionnant « stabile ». Son titre sans équivoque, Hommage à Alexander Calder, reprend l’idée de l’aspect frêle et mobile de l’installation semblant pouvoir s’animer au moindre souffle de vent et, de manière paradoxale, le côté très stable de ses socles en béton. Le Stabile-Mobile, sculpture composite, révèle dans un syncrétisme surprenant, l’ancrage à travers les quatre pieds bien établis sur la pierre grise du parvis, et la fluctuation de la flèche se mouvant au gré du vent.

    L’exposition « Hommage à Alexander Calder », réalisée en étroite collaboration avec Olivier Kaeppelin, Directeur de la Fondation, réunit près de cinquante oeuvres représentatives du parcours de l’artiste, en résonnance avec les cinquante ans de l’institution : sculptures en fil de fer, bronzes, mobiles, mobiles-stabiles et oeuvres sur papier (encres, aquarelles et lithographies). Ce projet a été rendu possible par l’implication et le soutien certains de la famille. Nous remercions tout particulièrement Adrien, Isabelle et Jules Maeght, ainsi que l’équipe de la Fondation.
    Gilbert PERLEIN
    Conservateur en chef du Patrimoine
    Directeur du MAMAC
    1 Extrait de Nice-Matin du 16 mars 1966, archives de la Fondation Maeght.

    Commissariat de l’exposition :
    Gilbert Perlein - Conservateur en chef du patrimoine - Directeur du MAMAC
    Julia Lamboley - Commissaire adjoint d’exposition

    Galerie du musée d’Art moderne et d’Art contemporain de Nice
    Place Yves Klein - 06364 Nice Cedex 4 - France
    0033 (0)4 97 13 42 01 - www.mamac-nice.org - mamac@ville-nice.fr
    Ouvert du mardi au dimanche de 10 heures à 18 heures – Entrée libre

    http://www.nice.fr/Culture/Actualites/Hommage-a-Alexandre-Calder

     

  • D'allégorie en mythe, Gloria Friedmann déploie sa promenade philosophique

    LE MONDE | 18.04.2013 à 15h56 • Mis à jour le 18.04.2013 à 17h56

    Philippe Dagen

     

     


    Play-back d'Eden, Fondation Maeght, 623, chemin des Gardettes, Saint-Paul-de-Vence (Alpes-Maritimes). Tous les jours de 10 heures à 18 heures. Entrée : 15 €. Jusqu'au 16 juin. Fondation-maeght.com

    http://www.lemonde.fr/culture/article/2013/04/18/d-allegorie-en-mythe-gloria-friedmann-deploie-sa-promenade-philosophique_3161982_3246.html

  • — BALADES ARTISTIQUES

    Les jardins de sculptures de la fondation Maeght.
     
     
    Les jardins de sculptures de la Fondation Maeght. © Olivier Ansellem Archives Fondation Maeght. © Successió Miró, Adagp Paris, 2021

    Promenons-nous dans les parcs…
    Si la réouverture des musées reste encore hypothétique, châteaux, fondations et institutions culturelles commencent à ouvrir les portes de leurs parcs. Durant les vacances scolaires, jusqu’au 28 février, le château d’Ancy-le-Franc (Bourgogne-Franche-Comté) invite le public tous les après-midi à découvrir les 50 hectares de nature, de culture et d’histoire qui lui servent d’écrin. Venez profiter du jardin anglais, du parc à chevaux ou emprunter le sentier des sculptures animalières.
    À Saint-Paul-de-Vence (PACA), la Fondation Maeght offre elle aussi la possibilité de visiter à nouveau ses jardins de sculptures. Les œuvres de Chillida, Calder, Chagall ou Arp dialoguent ici avec la nature, tout autour du bâtiment conçu par Josep Lluís Sert. Vous pouvez également accéder à la cour Giacometti ou au labyrinthe Miró et vous rendre à la librairie boutique. M.E.-B.
    Parc du château d’Ancy-le-Franc : 5 €, 3 € pour les enfants, gratuit pour les moins de 6 ans.
    Jardins de la Fondation Maeght : 7 €, 5 € pour les enfants, gratuit pour les moins de 10 ans.

  • Giacometti en sa fondation à Saint-Paul-de-Vence

    Par Béatrice De Rochebouet
    20/07/2010 | Mise à jour : 15:41 

    De 1946 à 1966, 170 œuvres, pour certaines inédites, éclairent faiblement la relation d'exception entre le sculpteur suisse et son marchand Aimé Maeght. 

    Voir et revoir Giacometti est toujours un enchantement. Et plus encore, s'il est montré chez lui, dans l'écrin moderniste du Catalan Josep Lluis Sert, à nouveau flambant neuf après cinq mois de rénovation. Dans cette architecture dominée par ses deux grands impluviums blancs s'élevant dans l'azur, l'emblème de cette Fondation Maeght en symbiose avec la nature, Alberto règne en maître avec 170 œuvres majeures, pour certaines encore jamais montrées. Toutes ont été choisies par Isabelle Maeght. Aidée de sa sœur Yoyo, elle a endossé un rôle de commissaire d'exposition, difficile lorsque l'on est la petite fille du marchand Aimé Maeght et la fille d'Adrien qui a pris la relève en ouvrant sa propre galerie, rue du Bac, en 1956.

    Un esprit de contradiction permanent 

    «J'ai voulu retrouver les impressions ressenties il y a quarante-six ans, lors de l'accrochage de la salle Giacometti inaugurée en juillet 1964, explique Isabelle. Elle me parut immense et que dire de la cour… En 1959, Alberto avait imaginé, pour le monument sur la place devant la Chase Manhattan Bank à New York, un Homme qui marche, une Femme debout et un Buste de Diego. Mais ce projet n'aboutit pas et mon grand-père offrit à Alberto cet espace ouvert à la mesure de son œuvre.» Les sculptures monumentales de la cour, des «Homme qui marche» aux «Grande femme debout», sont aujourd'hui confrontées à d'autres sculptures à l'intérieur des salles, dans un nouveau rapport d'échelles.

    Ainsi, l'infiniment petit comme Le Chien, bronze de 43 cm de haut, côtoie l'infiniment grand ayant pour emblème, le célèbre Homme qui marche I, bronze de 1960 qui a détenu le record de l'œuvre d'art la plus chère au monde, 74,2 millions d'euros, jusqu'à ce que le Picasso, Nu au plateau de sculpteur, ne lui vole la vedette, en mai 2010. La fondation a le privilège de détenir dans ses collections les deux versions successives de cette œuvre. Elles sont presque uniques car peintes (et non patinées) par Alberto lui-même, pour jouer avec la lumière du midi.

    Datés surtout de l'après-guerre, 60 bronzes (la fondation possède à elle seule 35 sculptures), 10 plâtres, 20 peintures et plus de 80 gravures, photographies et dessins (celui émouvant de Braque sur son lit de mort en 1963) y sont exposés, dans une scénographie contemporaine d'Olivier Massart. Ceux-ci viennent de la fondation et de la famille Maeght comme cette Tête de Diego sculptée par Alberto, son frère, à l'âge de 13 ans. Mais aussi de collections publiques et privées comme ce tableau inédit de Diego à la chemise écossaise prêté par un collectionneur de New York. «Parce que c'est nous, les Maeght, la fondation, ce fut un oui immédiat, précise Isabelle Maeght. En revanche, ce fut un non, sans retour, pour le fameux nez en plâtre pourtant donné par la famille au Centre Pompidou.» Il fut l'un des fleurons de l'exposition Giacometti à Beaubourg, en 2007.

    Avec des cartels un peu succincts donnant les dates de conception mais pas de fonte, l'accrochage qui n'est ni chronologique ni thématique se fait sous le titre «Giacometti & Maeght, 1946-1966». S'agit-il du rapport d'Alberto avec la galerie ouverte le 6 décembre 1945 par Aimé, avec la fondation inaugurée le 28 juillet 1964 à laquelle il dédia ses œuvres, ou tout simplement avec le couple Marguerite et Aimé présent par plusieurs portraits sur les cimaises ? Vingt ans d'échanges et de regards partagés sur la création de leur époque ont lié les deux hommes. En 1947, quand son marchand Pierre Loeb s'était retiré, Giacometti se trouvait sans galerie. «Mon père croyait profondément, sincèrement et même instinctivement en l'œuvre d'Alberto, raconte Adrien (1). Il aimait aussi l'homme. Ensemble, ils passaient des heures à mettre en doute les théories de tel ou tel artiste, ils critiquaient les prises de positions, pas assez radicales, de cet écrivain ou de ce cinéaste. Ils partageaient la même passion pour Paris. Alberto était très sensible à l'engagement de mon père. Il souffrait si Aimé s'intéressait à un autre sculpteur. Alors, en 1948, quand mon père expose les sculptures de Germaine Richier, Alberto lui fait comprendre qu'il faut choisir. Aimé n'hésite pas.»

    Ainsi, en 1951, a lieu la première exposition Giacometti à la galerie Maeght. «J'ai rencontré un fou, il veut tirer tous mes plâtres en bronze et faire fondre tous les exemplaires tout de suite  », dit Alberto dans Paris. Mais rien de cette relation enflammée et complice ne transparaît vraiment dans ce parcours pourtant truffé de chefs-d'œuvre. On aurait aimé un regard croisé de ces deux géants du XXe siècle ou, plus encore, une confrontation à travers des textes, des photographies ou des films de ces deux fortes personnalités qui partagèrent des moments intimes à Saint-Paul avec d'autres grands artistes. L'un, Alberto avait un esprit de contradiction permanent, par jeu, et un foutu caractère. L'autre, Aimé, était un visionnaire sans peur car la première exposition Giacometti où seulement une sculpture trouva preneur fut plus un succès critique que commercial. Mais son ombre plane sous les pins parasols…

    Jusqu'au 31 octobre, Fondation Maeght, à Saint-Paul-de-Vence, www.fondationmaeght.com Catalogue édité par la fondation.

    (1) «La Fondation Marguerite et Aimé Maeght, l'art et la vie» par Yoyo Maeght, en partenariat avec Gallimard (15 €).


    SERVICE

    » L'art et la vie : la fondation Marguerite et Aimé Maeght, de Yoyo Maeght, Gallimard, 14,25€ sur Fnac.com

     

  • Mon poème inédit sur ce blog: Yoyo(pour le défi 647 du samedi)

    Défi #647

     
    Y a des hauts
    Y a des bas...

    Non, ce n'est pas le sujet,
    Quoique...

     

    Yoyo
     

    6471

    http://samedidefi.canalblog.com/archives/2021/01/16/38760480.html#utm_medium=email&utm_source=notification&utm_campaign=samedidefi

    Yoyo

     

    Comme je vois tout en tableaux

    J'en cherchais avec un yoyo

    Mais je n'ai retrouvé que le toton[1]

    La suite là-bas

     

    17 janvier 2021

     

    [1] https://fr.wikipedia.org/wiki/L%27Enfant_au_toton

    [2] https://www.parismatch.com/Culture/Livres/C-est-Dallas-chez-les-Maeght-571928

    [3] http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2019/04/19/fondation-maeght-photo-jean-jacques-l-heritier-fondation-mae-6138956.html

    pas cons

     

    Ai-je touché le fond? Ou vais-je encore descendre? C'est dur de remonter Achetez mes livres

    Lecrilibriste ; Laura ;

  • PhotoBrussels, 37 lieux pour une 6e édition

    Édition du 02 février 2022
     
    À la une du N°2318
    PhotoBrussels, 37 lieux pour une 6e édition
    Luigi Fassi nouveau directeur d'Artissima
    Frédéric Hubin en charge du déveoppement de la Fondation Maeght
    Le chiffre du jour : 300 000 € du Mobilier national pour le design
    Les télex du 2 février
    TÉLÉCHARGER MON ÉDITION
    Toutes les éditions de Quotidien de l’Art sont disponibles sur
    www.lequotidiendelart.com
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  • J'ai lu pendant mon séjour dans le sud-ouest:L'Estampille/L'Objet d'Art n° 503


    La fondation Maeght fête ses 50 ans

    N° 503 - juillet/août 2014 - 8,50 €

    ISSN : 0998-8041

    L'Estampille/L'Objet d'Art n° 503 - juillet/août 2014

    Description du numéro L'Estampille/L'Objet d'Art n° 503

    Au sommaire de ce numéro, vous découvrirez notamment :
    Les 50 ans de la fondation Maeght, un demi-siècle d'amitiés artistiques
    Inaugurée le 28 juillet 1964, la fondation Maeght fête ses 50 ans. Plusieurs expositions témoignent de la vivacité de ce lieu dédié à l’art vivant, situé sur les collines de Saint-Paul-de-Vence. Membre du conseil d’administration de la fondation, petite-fille du marchand et éditeur d’art Aimé Maeght, Isabelle Maeght revient sur le parcours de cet espace atypique, imaginé par ses grands-parents et les artistes.
    Le génie prolifique de Véronèse
    La succession d’événements qui en 2014 célèbrent le génie de Véronèse (1528-1588) est notable : après Londres, c’est au tour de sa ville natale d’accueillir une exposition consacrée aussi bien à son œuvre peint qu’à sa production graphique.
    Un musée pour Soulages à Rodez
    Neuf ans après la première donation de Colette et Pierre Soulages à la communauté d’agglomération du Grand Rodez, un musée dédié au maître de l’Outrenoir vient d’être inauguré dans sa ville natale.
    Carrier-Belleuse, de terre, de marbre et de chair
    Carrier-Belleuse (1824-1887) fut le maître de Rodin et certainement avec Jean-Baptiste Carpeaux, le sculpteur plus omniprésent du Second Empire. Pourtant, il fut aussi mal traité après sa mort qu’il avait été adulé et admiré de son vivant.
    Ambroise Dubois, un peintre flamand au service d'Henri IV
    À l’occasion du quatrième centenaire de la mort d’Ambroise Dubois (Ambrosius Bosschaert), le château de Fontainebleau met en évidence, dans deux salles des grands appartements, un florilège d’ œuvres rappelant le talent et l’importance de ce peintre d’origine flamande qui fut l’un des maîtres de la seconde École de Fontainebleau.
    EN SUPPLÉMENT, LE GUIDE COMPLET DES EXPOSITIONS DE L'ÉTÉ

     

    Articles

    Actualités

    Fiches

    Numéro précédent : L'Estampille/L'Objet d'Art hors série n° 78 - 1800-2014. LES DESASTRES DE LA GUERRE

    http://www.estampille-objetdart.com/numero-503/fondation-maeght-fete-50-ans.4026.php

  • Il est mort, il est mort, le Poète

    Jacques Dupin, biographe de Miro et poète, est mort

    Par LEXPRESS.fr, publié le29/10/2012 à 16:50, mis à jour à 17:15

    Jacques Dupin, responsable des éditions à la galerie Maeght aura été l'ami de Giacometti, Bacon, Tàpies, René Char et Paul Auster. 

    Le poète et grand spécialiste d'art Jacques Dupin, biographe de Miro et proche de Giacometti, Bacon, Tàpies mais aussi René Char ou Paul Auster, est décédé samedi à Paris, à l'âge de 85 ans, ont annoncé lundi à l'AFP la Galerie Lelong et les éditions P.O.L. 

     

    Lire le portrait de Jacques Dupin paru en 2001 

    Né le 4 mars 1927 à Privas, en Ardèche, Jacques Dupin a longtemps travaillé à la Galerie Maeght dont il restera responsable des éditions jusqu'en 1981, après des études de droit et d'histoire à Paris. 

    En 1947, il rencontre René Char auquel il a adressé des poèmes. Ils resteront étroitement liés jusqu'en 1975. C'est Char qui préface en 1950 son premier recueil de poèmes, Cendrier du voyage (éditions GLM). 

    En 1954, il fait la connaissance de Joan Miro. Ce sera le début d'une longue amitié et d'une collaboration de 30 ans, ponctuée par des livres, des expositions, des voyages... La même année, il se lie d'amitié avec Alberto Giacometti, pour lequel il posera. Il publie des poèmes et des textes sur l'art, ainsi que ses premiers livres d'artistes chez GLM ou Maeght, avec Miro et Giacometti. 

    En 1961, paraît chez Flammarion sa grande monographie de Miro qui fera l'objet d'une édition revue et augmentée en 1993. L'année suivante, il publie un livre sur Giacometti et en 1963 le premier écrit sur l'oeuvre de Tàpies. 

    C'est en 1969 qu'il accueille Paul Auster à Paris. Le jeune écrivain américain lui a consacré un mémoire universitaire. Dupin écrira lui la présentation des poèmes d'Auster traduits en français. 

    Il organise en 1977 une rétrospective de l'oeuvre dessinée et peinte d'Henri Michaux, à la Fondation Maeght et, en 1978, une rétrospective Giacometti. En 1982, L'Espace autrement dit (Galilée) réunit ses écrits sur l'art. Sont ensuite publiés en 1984 son premier texte sur le peintre Francis Bacon et le premier volume de Miro graveur, catalogue raisonné, qui sera suivi de 4 volumes. En 1986, paraît Contumace, un livre de poèmes publié par P.O.L. qui éditera Echancré, Le Grésil ou encore Ecart et Coudrier. En 1990, sortent chez Hermann les Ecrits d'Alberto Giacometti, avec des textes de Leiris et Dupin. Deux ans plus tard, une exposition sera consacrée à Jacques Dupin à Marseille et il continuera de publier de nombreux textes sur l'art. 

    Avec
    [PERSONNE]

    Jacques Dupin

    En supplément sur Jacques Dupin

    http://www.lexpress.fr/culture/livre/jacques-dupin-biographe-de-miro-et-poete-est-mort_1180887.html
  • Au musée Granet, lundi 11 octobre, 16 h, Rencontre avec Claude Garache

    La prochaine exposition
    Mercredi, 29 Septembre 2010 03:04
    Ferretine, peinture de Claude Garache, 1998.
    "Ferretine", peinture de Claude Garache, 1998.

    Sous l’égide de l’Association des Amis du musée Granet et de l’œuvre de Cézanne, lundi 11 octobre, à 16 h, dans le grand hall du musée d'Aix-en-Provence, Place Saint-Jean-de-Malte, Rencontre avec Claude Garache, avec la participation d’Alain Madeleine-Perdrillat et de Florian Rodari. Entrée libre et gratuite.

    Claude Garache est né à Paris en 1929. Il a exposé régulièrement à la galerie Maeght (Paris, Zurich, Barcelone) puis à la galerie Lelong (Paris, Zurich, New York) ainsi que dans beaucoup de villes d’Europe, aux Etats-Unis et au Japon.

    Son œuvre est représentée dans de nombreuses collections privées et publiques parmi lesquelles le Musée national d’Art moderne, Centre Georges Pompidou, Paris, The Museum of Modern Art, New York, la Fondation Maeght, Saint Paul de Vence, le Musée Cantini, Marseille, le Musée Jenish, Vevey, la Bibliothèque Nationale de France, Paris.

    Des écrivains comme Yves Bonnefoy, Jacques Dupin, Philippe Jaccottet et Jean Starobinski ont publié des textes à propos de sa peinture. Sa dernière exposition se déroulait en mai 2010 à l’Ecole d’Art de Nîmes. Lundi 11 octobre, à partir de 18 h, vernissage d'une exposition d'huiles sur toile, de gravures et de livres à tirages limités de Claude Garache, Galerie Alain Paire, 30 rue du Puits Neuf, Aix en Provence. Exposition ouverte du mardi au samedi, de 14 h 30 à 18 h 30.

    http://www.galerie-alain-paire.com/

  • Mon texte inédit sur ce blog: (La) colombe(d'or) pour le prénom du mercredi

    Liste des prénoms du mercredi...

    Liste des prénoms du mercredi

    La cour de récré de JB

    (Participation à mettre sur votre blog le mercredi matin, personnage réel ou fictif au choix...
    Ecriture, dessin, photo acceptés, merci !)

      Voici la liste des prénoms proposés

     En bleu = terminé

     

    Commencé avec Bertille le 29-09-2010 wink2

     

    Vespasien 4-5-2022

    Armance 11-5-2022

    Cléon 18-5-2022

    Eliette  25-5-2022

     

    Cassien 1-6-2022

    Colombe 8-6-2022

    http://jill-bill.eklablog.com/liste-des-prenoms-du-mercredi-a113378960

    (La) colombe(d'or)

    Quand nous sommes allés à St Paul de Vence la première fois, nous sommes passés devant "La colombe d'or[1]", hôtel-restaurant où allait notamment Yves Montand. Nous avons mangé dans un autre restaurant sur une terrasse avec une vue magnifique sur le paysage. Nous y sommes retournés en 2019, notre dernière année ensemble. Nous avons visité la magnifique Fondation Maeght[2] avec notamment une salle Picasso qui a aussi peint des colombes.

     

    [1] https://www.saint-pauldevence.com/fiches/hotels-hotels-restaurant/la-colombe-dor-2/

    [2] http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2019/04/19/fondation-maeght-photo-jean-jacques-l-heritier-fondation-mae-6138956.html

    La Colombe de la paix de Picasso : tout ce qu'il y a à savoir

  • Germaine Richier dans le jardin du MAM de Troyes(photo perso)

    La grande spirale,195613 et14.07.2017 Toyes.Nogent sur seine 163.jpg

    Germaine Richier, née le  à Grans (Bouches-du-Rhône), et morte le  à Montpellier (Hérault), est une sculptrice française.

    Ses intimes la surnommaient L'Ouragane du nom d'une de ses sculptures réalisée en 1949. Car « derrière le paravent de ses bonnes manières, derrière son sourire de Joconde égarée dans un univers qui ne semblait pas être fait pour elle, Germaine Richier n'était que feu, tension, volcan toujours prêt à exploser1. »

    Lors de la rétrospective à la Fondation Maeght, Geneviève Breerette souligne en 1996 « qu'elle reste un des talents les plus méconnus car on ne dispose pas de catalogue raisonné2. » Elle annonce la parution de l'ouvrage auquel Françoise Guiter, nièce de l'artiste travaille. On l'annonce toujours3.

    En savoir plus

    voyage-de-l-ete-2017

    Mes 14 livres

  • art actuel n° 102

    visuel
     janvier-février 2016

    Infos Pratiques

    Art Actuel N°102

    Numéro janvier-février 2016
    En kiosque national le vendredi 01 janvier

    couverture

    Robert Indiana, Love

    au sommaire

    Replay 2015 : C’était déjà l’année précédente ; Top 50 monde : Les artistes contemporains ; Classement dans l’hexagone ; Artistes français ou vivant en France ; Anselm Kiefer : Centre Pompidou ; Alexander Calder :Tate Modern de Londres ; L’art Sepik : Musée du quai Branly ; Picasso Sculpture :MoMA de New York ; Les collections du MoMA : Matière à bien des expositions ; Takashi Murakami : Mori Art Museum de Tokyo ; Fondation Maeght : 3 hommes dans un bateau ; Femmes artistes en Inde : Portraits de 8 d’entre elles ; Enchères Photos : Des images qui ont fait le buzz ; Grandes ventes New York : Amedeo Modigliani en superstar ; Calendrier Europe : Les grands rendez-vous 2016

    http://www.artactuel.com/magazine-art-actuel.html

     

  • Voyages en images

     

    Signature : Guy Boyer - 18 juin 2014
     
    « Écrire le voyage, De Montaigne à Le Clézio », sous la direction de Sylvain Venayre, éditions Citadelles et Mazenod, 470 pp., 219 €

    « Écrire le voyage, De Montaigne à Le Clézio », sous la direction de Sylvain Venayre, éditions Citadelles et Mazenod, 470 pp., 219 €.

    Après « Paroles d’artistes », « Vies des artistes », « Écrire la sculpture » et « Histoire de France », ce cinquième opus raconte avec force reproductions de toiles et de photographies anciennes la pratique de l’écriture de voyage.

     

    Des extraits des Essais de Montaigne flanqués d'huiles sur cuivre de Jan I Brueghel à ceux des livres de Le Clézio enrichis de paysages de Nicolas de Staël et de Peter Doig, le parcours est riche et les dialogues féconds. À la description colorée de grottes par Gustave Flaubert (« Noires et veinées de violet, rouges comme du feu, brunes avec des lignes blanches... ») correspond celle de Claude Monet pour les rochers de Belle-Isle. Parmi les parallèles les plus originaux, il faut noter le Voyage d'une Parisienne à Lhassa d'Alexandra David-Neel avec les huiles de Nicolas Roerich dégottées à Moscou et Nijni-Novgorod, ou les Choses de Chine de Paul Claudel avec ses vues du palais impérial de Pékin par Joseph de La Nézière. Une somptueuse invitation au voyage.

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    A lire aussi

     
    Vidéo : Avant-Première - Face à l'œuvre à la Fondation Maeght
  • Mon poème inédit sur ce blog:Mon calendrier

    Sujet semaine 39/2017
     

    JieM Bourasseau clic - au Jardin Camifolia clic

     

    Le mot à insérer facultativement est : CALENDRIER

     

     

    Les textes, avec titre et signature, sont à envoyer à notre adresse : les40voleurs(at)laposte.net

    Mode de fonctionnement du blog : clic

     

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    Douce semaine,

     

     Mil et une

    http://miletune.over-blog.com/2017/09/sujet-semaine-39/2017.html?utm_source=_ob_email&utm_medium=_ob_notification&utm_campaign=_ob_pushmail

    Mon calendrier

    Mon calendrier est plein de jardins à parcourir en Anjou et en Navarre

    Trouverais-je le temps(et un peu d'argent) pour aller à Chemillé-en- Anjou?

    Mon calendrier est plein d'oeuvres d'art à voir comme dans ce jardin à Chemillé

    Aurais-je assez de toute ma vie pour parcourir tous ces jardins de sculpture?

     

    Mon calendrier est plein de paysages d'art à découvrir ou revoir comme Chaumont-sur-Loire.

    Il y a la Fondation Maeght à visiter enfin, la Biennale de Lyon samedi prochain.

    Mon calendrier est plein de souvenirs d'œuvres vues comme la Biennale de St Etienne

    En mars et avril dernier; il y a tant à vivre et le temps qui n'est pas extensible.

  • J'ai lu hier :Germaine Richier : la Magicienne (médiathèque de la Cité du design)

    Germaine Richier, la Magicienne

    Catalogue officiel d’exposition Germaine Richier,  La Magicienne  au musée Picasso d’Antibes, du 6 octobre  2019 au 26 janvier 2020, puis au musée Beelden aan Zee de La Haye à partir mars 2020.
    Depuis la rétrospective Germaine Richier qui s'est tenue à la Fondation Maeght en 1996, aucune autre en France n'a été consacré à cette grande sculpteure. L'exposition entend donner une nouvelle lecture de sa création et de mettre en lumière son oeuvre gravé et dessiné - aspect moins connu du travail de l'artiste - dans son rapport avec la sculpture. 
    Plus de 80 œuvres sur papier, dessins et gravures de cette artiste ainsi qu’un ensemble de sculptures seront exposées, en collaboration avec la famille de l’artiste.

    Germaine Richier (1902-1959) effectue ses études à l’Ecole des beaux-arts de Montpellier, dans l’atelier d’un ancien praticien de Rodin, puis à Paris où elle devient l’élève d’Antoine Bourdelle. Son oeuvre est marquée par un contraste entre les premières sculptures, à l’aspect lisse, et celles qui résultent du traumatisme de la guerre, nous mettant face à la destruction du monde - humain, animal et végétal. En 1950, sa sculpture, très contestée, le "Christ crucifié", est mise en place dans l’église du Plateau d’Assy. En 1956, une grande rétrospective lui est consacrée au Musée National d’Art Moderne de Paris.

    https://www.editions-hazan.fr/livre/germaine-richier-la-magicienne-9782754111133

  • Le Journal des Arts N°419 19 septembre 2014

    Le Journal des Arts
      

    Atlanta 2004, Málaga 2014. Que de chemin parcouru en dix ans. À l’époque, la révélation de la location payante d’œuvres du Louvre au musée américain avait suscité de nombreuses critiques. Aujourd’hui l’ouverture d’une antenne du Centre Pompidou à Málaga ne suscite aucune réaction hostile, et son président a à peine besoin, pour masquer l’opération financière, de mettre en avant le bénéfice espéré quant au rayonnement de son institution. La crise et la mondialisation sont passées par là. Les expositions temporaires sont devenues de véritables industries culturelles, et, avec l’augmentation exponentielle du nombre d’organisateurs dans le monde, les prêts d’œuvres sont de plus en plus payants, quel que soit l’habillage dont ils se parent : participation aux frais de restauration, rétrocession sur les assurances comme le révèle Bruno Monnier, président de Culturespaces, dans l’entretien qu’il a accordé au Journal des Arts, location d’expositions clefs en main. Deux logiques s’affrontent ici. Pour les uns, les œuvres appartiennent au patrimoine de l’humanité et devraient circuler gratuitement. Pour les autres, lorsque le Musée Picasso, Orsay, le Louvre à Abou Dhabi ...

    Evénement
  • Le Journal des Arts

    ÉVÉNEMENT

     

    Affaire Hamon : ce que la justice reproche à Charles Pasqua et André Santini

    VERSAILLES [24.09.14] – Le procès en appel des protagonistes de l’affaire de la Fondation Hamon s’est ouvert lundi 22 septembre à Versailles. Condamnés en première instance en janvier 2013 pour « détournement de fonds publics » et « recel de faux », Charles Pasqua et André Santini clament leur innocence. PAR Nathalie Eggs

    Lire la suite >>

     

    Une « maison de la responsabilité » dans la maison natale d’Hitler ?

    BRAUNAU AM INN (AUTRICHE) [23.09.14] – La création d’un musée qui questionnerait la responsabilité de l’homme serait une réponse envisagée par le ministère de l’intérieur autrichien et les autorités municipales à la question épineuse concernant le devenir de la maison natale d’Hitler. PAR Cléo Garcia

    Lire la suite >>

     

    Françoise Banat-Berger nouvelle directrice des Archives nationales

    PARIS [23.09.14] – Françoise Banat-Berger succède à Agnès Magnien à la tête des Archives nationales. Elle prend ses fonctions dans un contexte difficile. PAR Cléo Garcia

    Lire la suite >>

     

    Yves Robert remplace Richard Lagrange à la tête du CNAP

    PARIS [22.09.14] – L’ex-directeur de l’Institut Supérieur des arts de Toulouse succède à Richard Lagrange à la direction du Centre national des arts plastiques. PAR Jean-Christophe Castelain

    Lire la suite >>

     

    Le cabinet de Fleur Pellerin, ministre de la Culture et de la Communication

    PARIS [08-22.09.14] - Le cabinet de Fleur Pellerin est presque au complet et se partage entre ceux qui l’ont suivie au gré de ses précédents portefeuilles ministériels et les anciens du cabinet Filippetti. PAR LeJournaldesArts.fr

    Lire la suite >>

     

    Mariage entre patrimoine culturel et patrimoine naturel pour la 31e édition des Journées européennes du patrimoine

    PARIS [19.09.14] – Pour leur 31e édition, les Journées européennes du patrimoine ouvrent leur horizon avec un thème porteur d’avenir : le lien qui unit le patrimoine naturel et le patrimoine culturel. La nature sera mise en valeur comme un élément à part entière et non plus un simple écrin. PAR Nathalie Eggs

    Lire la suite >>

     

    La situation du Musée Arménien de France est au point mort

    PARIS [16.09.14] – Le Musée Arménien tente de mobiliser ses soutiens et d’obtenir la réouverture du Musée Arménien de France à travers une pétition. PAR Nathalie Eggs

    Lire la suite >>

     

    Un nouveau campus des arts à Bâle

    BALE (SUISSE) [16.09.14] - Le 12 septembre dernier a eu lieu une première inauguration du Campus der Kunst Basel, également nommé la Hochschule für Gestaltug und Kunst, avec concerts, performances et remises de diplômes. Ce campus entièrement dédié aux arts ne sera inauguré officiellement que le 23 octobre. PAR Juliette Soulez

    Lire la suite >>

     

    Désaccord entre la photographe Newsha Tavakolian et la Fondation Carmignac qui devait lui consacrer une exposition

    PARIS [12.09.14] - A la suite d’un conflit entre la Fondation Carmignac et l’artiste iranienne, la Fondation a annulé l’exposition qu’elle devait lui consacrer en novembre prochain. Newsha Tavakolian reproche à Edouard Carmignac son ingérence. La Fondation argue d’un non-respect du règlement du prix Carmignac Gestion du photojournalisme. PAR Christine Coste

    Lire la suite >>

     

    Le prochain commissaire européen de la culture sera un Hongrois conservateur

    BRUXELLES (BELGIQUE) [11.09.14] - Jean-Claude Juncker a présenté sa liste de commissaires européens dans laquelle le Hongrois Tibor Navracsics prend en charge l’éducation, la culture, la jeunesse et de la « citoyenneté ». Il est l’actuel ministre des affaires étrangères du très controversé Viktor Orban. PAR Jean-Christophe Castelain

    Lire la suite >>

     

    Règlement de compte chez les Maeght

    Le portrait hagiographique d’Aimé Maeght est le prétexte pour sa petite-fille de dresser un réquisitoire contre sa famille. PAR Jean-Christophe Castelain

    Lire la suite >>

     

    Jean-François Chougnet prend la direction du Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée

    PARIS [05.09.14] - Jean-François Chougnet est nommé à la présidence du MuCEM en remplacement de Bruno Suzzarelli parti fin août à la retraite. Fleur Pellerin a entériné le choix de son prédécesseur. PAR Christine Coste

    Lire la suite >>

     

    Les brèves

    La Galerie des Offices et plusieurs musées de Florence fermés à cause d’inondations

    FLORENCE (ITALIE) [24.09.14] – À la suite de violentes tempêtes, plusieurs musées de Florence dont la Galerie des Offices [...]

    Sophie Claudel à la direction de l’École Nationale Supérieure d’Art de Dijon

    DIJON [23.09.14] – Sophie Claudel remplace Anne Dallant à la direction de l’École Nationale Supérieure d’Art de Dijon [...]

    Laurent Dréano, conseiller spectacle vivant, musique et arts plastiques au cabinet de Fleur Pellerin

    PARIS [22.09.14] - Laurent Dréano, précédemment en charge du spectacle vivant au cabinet d’Aurélie Filippetti, ajoute les [...]

    Johanne Lamoureux prend la direction du département des Études et de la Recherche de l’INHA

    PARIS [19.09.14] – En cette rentrée 2014, le département des Études et de la Recherche de l’Institut National d’Histoire [...]

    71 tableaux volés dans une villa à Vienne

    VIENNE (AUTRICHE) [16.09.14] - Un ensemble de 71 œuvres, comprenant entre autres des tableaux de Kokoschka et de Moser et dont [...]

    Fleur Pellerin nomme son conseiller en charge des affaires sociales

    PARIS [15.09.14] – François Romaneix est entré le 8 septembre dans le cabinet de Fleur Pellerin en charge des affaires [...]

    19 œuvres prêtées par l’Ukraine au Musée Allard Pierson d’Amsterdam retournent enfin à Kiev

    AMSTERDAM (PAYS-BAS) [15.09.14] – Le Musée Allard Pierson retourne à Kiev 19 pièces sur les 600 œuvres qui lui avaient [...]

    Un architecte usurpateur condamné à 2 ans de prison avec sursis

    VERSAILLES [03.09.14] - Le tribunal correctionnel de Versailles a condamné lundi 1er septembre 2014 à deux ans de prison avec [...]

    Nouvelles directions dans les DRAC Picardie et Alsace

    PARIS [27.08.14.] - Deux nouvelles nominations à la tête des Directions Régionales des Affaires Culturelles de Picardie et [...]

    Le Conseil d’Etat refuse la restitution d’œuvres spoliées en Autriche

    PARIS [01.08.14] - Le Conseil d’Etat confirme le refus de restituer à des requérantes autrichiennes trois œuvres d’art, [...]

    L’avenir incertain de la Cité de l’Océan à Biarritz

    BIARRITZ [01.08.14] - Le Conseil d’Etat a annulé la délibération du conseil municipal de Biarritz autorisant un contrat de [...]

    Nombreuses réactions après les destructions jihadistes à Mossoul

    BAGDAD (IRAK) [31.07.14] - Les jihadistes de l’Etat islamique (EI) expliquent dans un communiqué que les destructions qu’ils [...]

    L'Australo-britannique Kathryn Weir rejoint le Centre Pompidou

    PARIS [18.07.14] - Aurélie Filippetti a nommé Kathryn Weir à la direction du département de développement culturel du Centre [...]

    Christine Richet prend la tête de la DRAC Champagne-Ardenne

    CHALON-EN-CHAMPAGNE [01.07.14] – Christine Richet prend la direction de la DRAC Champagne-Ardenne, en remplacement de Jean-Paul [...]

    Bruno Julliard élu à la Présidence de Paris-Musées

    PARIS [30.06.14] - Bruno Julliard a été élu à la présidence de Paris-Musées, jeudi 26 juin 2014. Il succède ainsi à Anne [...]

    Les institutions culturelles du Marais forment un réseau de coopération

    PARIS [24.06.14] – Les Musées et institutions culturelles du quartier du Marais, à Paris, ont annoncé en juin 2014 le [...]

    Bernadette Abiven, nouvelle présidente de l’Ecole européenne supérieure d’art de Bretagne

    RENNES [23.06.14] – Bernadette Abiven a été nommée présidente de l’Ecole européenne supérieure d’art de Bretagne le [...]

    Le voleur du Rembrandt remis en liberté

    AIX-EN-PROVENCE [17.06.14] – L’homme qui s’était accusé du vol d’un Rembrandt, dérobé 15 ans plus tôt au Musée de [...]

    Lucie Muniesa, nouvelle secrétaire générale adjointe du ministère de la Culture

    PARIS [16.06.14] – Lucie Muniesa a été nommée secrétaire générale adjointe du ministère de la Culture et de la [...]

    L’artiste et mécène du Louvre, Ahae, impliqué dans le naufrage de Sewol en Corée du Sud

    PARIS [12.06.14] – Le site internet Louvre pour tous a révélé que la famille de l’artiste et mécène du Louvre, Ahae, est [...]

    Les Bahamas ratifient la Convention Unesco de 1972

    PARIS [11.06.14] – Les Bahamas ont rejoint les 190 Etats parties à la Convention Unesco de 1972 concernant la protection du [...]

    Un séminaire pour intensifier la lutte contre le trafic des biens culturels en Serbie

    BELGRADE (SERBIE) [11.06.14] – Le ministère français des Affaires étrangères a organisé les 5 et 6 juin 2014 une rencontre [...]

    Subventions en baisse pour les musées d’Etat du Québec

    QUEBEC (QUEBEC) [11.06.14] – Le nouveau gouvernement québécois, formé en avril 2014, a annoncé vouloir augmenter la rigueur [...]