Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Montbrison le 20 avril 2018
https://www.loiretourisme.com/fiche/157170/collegiale-notre-dame-desperance
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Note précédente sur cette visite
Précédente visite à Montbrison
Médiathèque Loire-Forez(2)
Office de tourisme
Né en 1848 à Noirétable, Théodore Lévigne est très tôt attiré par la peinture et le dessin. Il entre à l’Ecole des beaux-arts de Lyon à l’âge de douze ans et est l’élève à Paris de Gérôme, l’un des artistes les plus célèbres de son temps et d’Alexandre Cabanel, grand peintre académique. Il excelle dans tous les genres picturaux : les paysages, les scènes de genre, les portraits, les natures morts, les représentations historiques et militaires. Le parcours de l’exposition retrace le foisonnement de cette riche carrière artistique.
http://www.ville-montbrison.fr/annuaire/musee-dallard/
J'ai lu le catalogue de cette expo et celui de l'expo à Nuits St George:
photo perso
La Diana, fondée en 1862 à l'initiative du duc de Persigny, ministre de Napoléon 111, avait pour but de préserver le patrimoine forézien. Une bibliothèque vit le jour rapidement dans une salle héraldique classée Monument historique à Montbrison, puis un Musée archéologique en 1884. Très tôt sensibilisée à la sauvegarde du patrimoine foncier historique, la Diana achète, outre ses locaux à Montbrison, la chapelle de Baffie à Saint-Germain-Laval (Loire) à la fin du XIXe siècle, puis le château de la Bastie d'Urfé en 1909, le château de Couzan en 1933. Elle s'investit financièrement ensuite sur les sites de Saint Rambert en Forez, du Prieuré de Saint-Romain-le-Puy et fait l'acquisition en 1998 de la Commanderie de Saint-Jean des Prés de Montbrison (Ordre de Malte), pour la sauver de la ruine imminente. Parallèlement à ces occupations, forte en 2001 de 1070 sociétaires, la société publie un bulletin (depuis 1876), et différents ouvrages de manière périodique qui totalisent aujourd'hui plus de 50000 pages publiées. La société s'est définitivement ouverte au public en 1990, afin de faire profiter à la collectivité de sa bibliothèque (43000 volumes), de ses archives (1 kilomètre de rayon), des ateliers pour les scolaires. Son site Internet a eu en 2000 : 121 500 visiteurs. Les chantiers 2001-2002 portent sur la réfection de la Commanderie de Saint-Jean des prés (première tranche de travaux de 400 000 F), et l'achèvement de la réfection de la chapelle du château de Couzan (seconde tranche de travaux de 200 000 F). L'objectif social étant toujours de permettre aux amateurs ou universitaires de pouvoir publier leur travaux concernant le Forez.
Gravures de l'Astrée, 1647
Bibliothèque de La Diana, Montbrison, Loire.
Les Etats de la province se réunirent dans ce haut lieu de son histoire médiévale. François 1er y fut accueilli en 1536.
Un ensemble de 1970 blasons de l’époque décore sa voûte ogivale en bois, unique en France par son ancienneté.
La Ville de Montbrison l’acquit en 1862, à l’instigation du duc de Persigny, ministre de Napoléon III et forézien, la restaura, y installa la Société Historique et Archéologique du Forez, qui en prit le nom, et y aménagea une bibliothèque.
Le musée archéologique, créé dès 1881, témoigne de la richesse du passé forézien à travers des collections paléolithiques, néolithiques, protohistoriques, et médiévales.
Un trésor d’orfèvrerie gallo-romaine y est également exposé.
Société Historique et Archéologiques du Forez
7, Rue Florimond Robertet
42600 Montbrison
Tél : 04 77 96 01 10
Fax : 04 77 58 89 90
Site internet : www.ladiana.com
Précédentes notes sur Montbrison
Crédit : Ville de Montbrison
Dans un ancien hôtel particulier, entre cour et jardin, le musée d’Allard offre à travers ses collections son regard sur la nature, l’art et l’enfance. Fruit du cabinet d’histoire naturelle et de curiosités constitué par Jean-Baptiste d’Allard dans la première moitié du 19e siècle, le musée a depuis le milieu du 20e siècle étendu ses collections au thème des Beaux-Arts ainsi qu’au domaine des jeux et jouets. Il propose aujourd’hui sur quatre niveaux des présentations permanentes récemment renouvelées et plusieurs expositions temporaires chaque année.
Téléchargez le programme 2018 du Musée d’Allard (PDF 859 Ko)
Des expositions temporaires
Né en 1848 à Noirétable, Théodore Lévigne est très tôt attiré par la peinture et le dessin. Il entre à l’Ecole des beaux-arts de Lyon à l’âge de douze ans et est l’élève à Paris de Gérôme, l’un des artistes les plus célèbres de son temps et d’Alexandre Cabanel, grand peintre académique.
Il excelle dans tous les genres picturaux : les paysages, les scènes de genre, les portraits, les natures morts, les représentations historiques et militaires. Le parcours de l’exposition retrace le foisonnement de cette riche carrière artistique.
Des présentations permanentes :
– « Jean-Baptiste d’Allard, un chemin de curiosités… » : Un parcours moderne sur l’histoire et le sens du fonds constitutif du musée, quand les nouvelles technologies se piquent d’histoire… naturelle.
– « Muséolexique, regards pluriels, parcours singuliers » : Cet espace présente toutes les richesses et la diversité des collections du musée à travers un parcours didactique et interactif.
– « Beaux-Arts » : Une galerie pour présenter la diversité des richesses artistiques du musée.
– « Jouets, jouez … » : Exposition sur l’univers de l’enfance à travers des jouets des 19e et 20e siècles (une grande partie provenant du fonds Gégé, ancien fleuron industriel du Montbrisonnais).
Des activités culturelles variées :
Visites commentées : scolaires, enfants, adultes
Cafés littéraires, conférences, rencontres
Semaine Beaux-Arts et Arts au cinéma (janvier)
Participation à la Semaine bleue pour les seniors (octobre)
Participation à la Fête de la Science pour les scolaires (octobre)
Participation à la Fête du Livre jeunesse (novembre)
Horaires
Ouvert tous les jours de 14h à 18h (sauf les mardis, le 25 décembre et le 1er janvier)
Le musée et les 4 étages sont accessibles aux personnes à mobilité réduite.
Contact principal
Benjamin Gurcel
Fonction
Directeur
Second contact
Françoise Grossmann
Fonction
Adjointe à la culture
Coordonnées
13 boulevard de la Préfecture
42600 Montbrison
Téléphone : 04 77 96 39 15
Courriel : museeallard@ville-montbrison.fr
Autres informations
Tarifs 2018
Adultes : 4,00€
Etudiants / Enfants (à partir de 12 ans) : 2€
Carte Pass’Région : 2€
Familles (2 adultes et 2 enfants) : 9€
Tarif passeport découverte : 2,50€
Groupe adultes (15 personnes minimum) : 3€/personne
Groupe enfants : 1,50€/enfant
Groupe scolaire Montbrison : gratuit
Carte annuelle : 8€
La carte annuelle permet de visiter, pendant un an à partir de la date d’achat, l’ensemble des collections permanentes et des expositions temporaires du musée. Elle vous donne la gratuité aux conférences, cafés littéraires… Vous serez aussi invités aux vernissages des nouvelles expositions.
Chèque vacances et chèque culture acceptés.
Office de tourisme Loire Forez : http://loireforez.com/
http://www.ville-montbrison.fr/annuaire/musee-dallard/
Le cœur se serre
Comme un poids sur la poitrine
Etouffement
Palpitation
Les jambes qui lâchent
Les genoux qui se dérobent
Partir, revenir
Se poser, reposer
Le corps qui trahit
L’âme en pluie
Etouffement
Palpitation
Douleurs qui irradient
Mal tapi
Partir, revenir
Se poser, reposer
2 mars 2011
Pour lire d'autres textes de moi, cf. mes 11 livres en vente sur ce blog
Photos perso de Montbrison du 7 novembre 2010
De ce passé prestigieux, la cité conserve un riche patrimoine dont la Collégiale Notre-Dame d’Espérance, fondée en 1223 est l’illustration la plus imposante.
Centre commercial attractif : ses 280 commerces en centre ville et son marché hebdomadaire le samedi matin sont réputés.
Classée "Ville fleurie 4 fleurs", son fleurissement fait l’admiration de tous.
Montbrison appartient au Pays d’art et d’histoire, réseau regroupant 117 villes et pays d’art et d’histoire attachés à la valorisation et à l’animation du patrimoine et de l’architecture. : www.vpah.culture.fr/
Le label " Villes ou Pays d’art et d’histoire " est attribué par le ministère de la Culture et de la Communication à des collectivités locales qui souhaitent valoriser leur patrimoine, favoriser la création architecturale et promouvoir la qualité dans les espaces bâtis ou aménagés. Le terme de patrimoine doit être entendu dans son acception la plus large puisqu’il concerne aussi bien l’ensemble de patrimoine bâti de la ville que les patrimoines naturel, industriel, ainsi que la mémoire des habitants. Il s’agit donc d’intégrer dans la démarche tous les éléments qui contribuent à l’identité d’une ville ou d’un pays riche de son passé et fort de son dynamisme.
Le label Pays d’Art et d’Histoire du Forez : www.vpah.culture.fr/vpah/rh-alpes/forez-pr.htm.
La crise sanitaire a contraint les organisateurs de la Grande Boucle à décaler l’épreuve. Sa 14e étape ralliera donc les monts du Forez aux monts du Lyonnais par Montbrison le 12 septembre. Le parcours du Critérium du Dauphiné, qui devrait lui aussi traverser la région, reste inconnu.
la 14e étape du Tour de France 2020 reliera Clermont-Ferrand à Lyon le samedi 12 septembre. © Maxppp - Guillaume Horcajuelo
Claude Monet - clic
Le mot à insérer facultativement est : HIER
Les textes, avec titre et signature, sont à envoyer à notre adresse : les40voleurs(at)laposte.net
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Bonne inspiration à tous !
Mil et une
http://miletune.over-blog.com/tag/les%20sujets/
Hier,
Hier, j’ai lu un hors série de presse artistique[1] sur l’exposition du petit palais sur « les Hollandais à Paris de la tradition de la peinture de fleurs aux ruptures esthétiques de la modernité[2], de Gérard van Spaendonck à Mondrian. A paris, vers 1770, la nature morte aux fleurs est à la mode et l’étude de la nature en général suite notamment aux écrits de Rousseau. Van Spaendonck fournit des dessins à la Manufacture de Sèvres. Il forme aussi des élèves dont Jan Frans van Dael et Pierre-Joseph Redouté.
Avant-hier, en juillet 2017, j’avais lu un hors série du même type puis visité l’exposition sur Pierre –Joseph Redouté au Musée de la vie Romantique[3]. Redouté s’est spécialisé dans l’illustration botanique et a développé l’aquarelle. Il fut notamment du cabinet de Marie Antoinette et eut des reines pour élèves. L’exposition s’intitulait « Le pouvoir des fleurs[4]. »
Avant-hier, vendredi, nous avons visité à Montbrison l’exposition « Théodore Lévigne[5] »
[1] http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2018/02/15/l-objet-d-art-hors-serie-n-121-les-hollandais-a-paris-6026731.html
[2] http://www.petitpalais.paris.fr/expositions/les-hollandais-paris-1789-1914
[3] http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2017/03/22/pierre-joseph-redoute-le-pouvoir-des-fleurs-5924182.html
[4] http://museevieromantique.paris.fr/fr/les-expositions/le-pouvoir-des-fleurs-derniers-jours-29-octobre-2017
[5] http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2018/04/21/nous-avons-aime-hier-au-musee-d-allard-de-montbrison-theodor-6045381.html
http://www.xinxii.com/asresults.php?s4=LAURA+VANEL-COYTTE...
Scindage de "Paysages de Lamartine, de bohémiens"
en
Paysages chez Lamartine:
http://www.xinxii.com/paysages-chez-lamartine-p-324997.html
et Paysages de Bohémiens:
http://www.xinxii.com/paysages-de-bohemiens-p-324998.html
NOUVELLE PUBLICATION!
Les paysages chez René Char:
http://www.xinxii.com/paysages-chez-rene-char-p-324999.html
Photo perso de Montbrison: couverture des "Paysages de Bohémiens"
SUR UN NOUVEAU SITE:
http://www.xinxii.com/asresults.php?s4=LAURA+VANEL-COYTTE...
Republications des "paysages nervaliens":
http://www.xinxii.com/paysages-nervaliens-p-324990.html
Bouts de paysages rimés:
http://www.xinxii.com/bouts-de-paysages-rimes-p-324991.html
Paysages de Kandinsky:
http://www.xinxii.com/paysages-de-kandinsky-sand-et-cadou...
Paysages amoureux et érotiques:
http://www.xinxii.com/paysages-amoureux-et-erotiques-p-32...
Paysages:
http://www.xinxii.com/paysages-p-324996.html
Poèmes à mon mari:
http://www.xinxii.com/paysages-poemes-mon-mari-p-324988.h...
Acrostiches:
http://www.xinxii.com/acrostiches-p-324993.html
Mes paysages de Nerval et Baudelaire:
http://www.xinxii.com/mes-paysages-de-nerval-et-baudelair...
Des paysages de Baudelaire et Nerval:
http://www.xinxii.com/des-paysages-de-baudelaire-et-nerva...
En raison de mouvements sociaux locaux, le plan de transport est actuellement adapté sur certaines de vos lignes TER en Auvergne - Rhône-Alpes.
Retrouvez chaque jour à 17h, le programme des circulations mises en place pour le lendemain en
.
Avant votre déplacement, nous vous invitons à vérifier la circulation de vos trains sur les moteurs de recherche itinéraires.
Pour le lundi et le mercredi, mon unique train du matin supprimé
bus régionaux pas en grève
mardis et jeudis: ma gare habituelle de travail n'est plus desservie
heureusement il y en a une 2 e dans cette ville, plus loin pour moi
le matin: 1 train sur 8 entre 6 et 9h
le soir: un train par heure au lieu de 4
https://www.ter.sncf.com/auvergne-rhone-alpes/se-deplacer/prochains-departs/givors-ville-87722405
2, place Louis Comte
42000 Saint-Etienne
Chasse aux cocons de vers à soie
sam-dim départ 10h30 pour les 3-5 ans accompagnés d'un ou des deux parents, 14h30 pour les 6-8 ans et 15h30 pour les 8-10 ans. (1 famille = 2 adultes et 3 enfants maximum).
3, rue Javelin Pagnon
42000 Saint-Etienne
Atelier Design et Jardin en famille
sam, dim 14h30
Rue de Wuppertal - Saint etienne
42007 Saint-Etienne
Laissez-vous conter le parc de l'Europe
Dim à 15h
15, rue des potagers
42100 Saint-Etienne
Découverte du jardin en famille
10h-11h30 14h30-16h
4, rue Mathieu de Bourbon
42160 Andrézieux-Bouthéon
Visite libre du parc animalier et du sentier botanique
ven, sam, dim 14h-18h (fermeture de la billetterie 1h avant)
2, boulevard d'Almandet
42220 Bourg-Argental
Baptême de rose
sam 10h-12h 14h- 19h dim 10h-12h 14h-19h
Vaugirard - RD 5
42600 Champdieu
visite du parc
sam 14h-18 h dim- 14 h - 18 h
Le Bourg
42360 Essertines-en-Donzy
VISITE COMMENTÉE au JARDIN DES PLANTES à COULEURS
sam 16h30 dim 10h30 ,14h30 et 16h30
4, chemin du jardin botanique
42400 Saint-Chamond
Visite comentée
sam-dim 14h-18h30
Lieu-dit la Bâtie
42130 Saint-Etienne-le-Molard
Atelier enfants « À la recherche de la recette préférée de Claude d'Urfé »
sam 15h
Fanfare burlesque « Djacque le notaire » par la Cie Bémol
Dim 16h
Visite thématique « Parcours découverte en compagnie du jardinier du château »
sam 15h30 dim 15h
Domaine de l’Étang des Rivières
42330 Saint-Galmier
Animations avec les scolaires
les 26 et 27/05/2014 de 9h00 à 16h30
Balade commentée dans la Roseraie
dim 14h45 à l'entrée du bâtiment de la roseraie pour un départ à 15h00
Théatre de plein air
sam 20h
Le bourg
42122 Saint-Marcel-de-Félines
visite commentée du clos
ven, sam, dim 14h30, 15h30 et 16h30
2, montée de Maubec
42610 Saint-Romain-le-Puy
autour des insectes
ven 14h-17h, sam 14h-17h, dim 10h-12h et 14h-17h
Quartier Saint-Joseph Place Alex Folléas
42550 Usson-en-Forez
Un enfant dans un jardin
ven, sam, dim 14h-18h (animation à partir de 15h)
Les films, les livres, les expos, les infos, les poèmes, l’actu, les œuvres, les artistes, les polars nourrissent ce blog mais aussi mes 13 livres en vente ici:
http://www.thebookedition.com/livres-laura-vanel-coytte-auteur-95.html
La flamme olympique est passée dans la Loire, ce samedi 22 juin, avant le coup d'envoi des JO 2024 de Paris. Elle est passée à Roanne et Charlieu le matin, à Montbrison et Feurs à la mi-journée, puis à Saint-Chamond et Firminy avant d'arriver à Saint-Etienne en soirée.
Après avoir traversé Vichy, dans le département de l'Allier, la veille, la flamme olympique est arrivée dans la Loire, ce samedi 22 juin.
Nicolas Virapin, athlète handicapé, est le capitaine du relais collectif qui porte la mythique torche dans le département pour ce parcours à travers la France où 10.000 personnes se relaient afin de conduire la flamme olympique à la cérémonie d'ouverture des JO de Paris le 26 juillet 2024.
Alors que le relais a débuté le 8 mai à Marseille, France Bleu vous propose de retrouver les meilleurs moments de la journée en photos et en vidéos.
DES IMAGES ICI/
https://www.facebook.com/villesaintetienne
https://www.facebook.com/poteauxcarres
à pied jusqu'à la gare
puis bus
puis pied
VU LE STADE VIDE DU CAFE DU STADE
Puis dehors, j'ai aperçu la flamme
et le grand écran où je voyais mieux
retour tram
et pieds
mieux habillée qu'hier mais quand même mouillée et froid à force
De belles balades en pleine nature, avec de multiples belvédères en surplomb, du fantastique spectacle des Gorges de la Loire, c'est idéal au printemps. Et c'est entre Lyon et Saint Etienne. A pied...
Pour admirer les Gorges du plus long fleuve de France (1 012 kilomètres) et aussi le moins aménagé - ce qui signifie que sa nature sauvage est très respectée - , rien ne vaut le village médiéval de Saint Victor sur Loire, comme point de départ.
Le bourg, qui vivait autrefois du commerce du saumon, puisque le poisson rose revenait frayer dans la rivière, avant de repartir en mer, vaut pour son ancien presbytère, ses maisons de passementiers et son église romane à colonnes du XIème siècle, avec une vierge en bois doré et surtout un autel Louis XIII, lui aussi en bois doré et rehaussé de cuir de Cordoue.
On peut prendre du temps pour la visite, car les promenades en belvédère au-dessus des Gorges dépassent rarement les cinq à six kilomètres.
Après un parcours en forêt dans une végétation semi- méditerranéenne, qui annonce déjà l'Ardèche avec ses pins courts, on suit les murets de pierres, parmi les genêts qui fleurissent en mai. Un spectacle flamboyant à ne pas manquer. On est sur le plateau de la Danse, ainsi baptisé en raison d'une légende qui prétend que les filles légères de Saint Victor exécutaient une danse, avant d'être punies de mort par les elfes. Souvenir d'une époque où l'on ne rigolait pas avec la vertu des demoiselles !
De là, on admire l'île de Grangent et son château, le barrage construit en 1957, avant de profiter de la pêche et de toutes les activités nautiques que l'on y pratique à la belle saison et le château d'Essalois.
Il se visite librement et offre un très beau panorama sur les Gorges depuis la tour. Bâti au XVIème siècle autour de fortifications qui datent du XIIIème siècle, on peut admirer aussi son jardin à la française et son théâtre de verdure.
Pratique
Syndicat des Gorges de la Loire,
à St Etienne (Loire)
13, rue d'Arcole
Tél. : 04 77 43 24 46
smagl.com
Pour trouver des idées de balades le long des Gorges de la Loire, on peut consulter le site du Syndicat des Gorges de la Loire et commander « Le topoguide de randonnées pédestres » qui s'adresse à un public essentiellement familial. Il invite à la découverte du patrimoine des Gorges de la Loire, grâce au grand circuit de 57,5 kilomètres et aux 13 parcours (1,7 à 13 kilomètres).
Un livret comprenant des informations sur le patrimoine architectural et sur le milieu naturel est joint. Prix : 10,50 euros.
Pour séjourner dans la Loire et en découvrir les charmes
https://www.fayard.fr/lexpress-de-benares-9782213705606
https://www.babelio.com/livres/Vitoux-LExpress-de-Benares/1010993
Edité par Fayard. , 2018
Au retour d'un voyage aux Indes, en 1898, le poète Henry J.-M. Levet affirma à ses amis de Montmartre qu'il achevait un roman intitulé L'Express de Bénarès dont il évoquait devant eux les personnages ou les épisodes les plus cocasses - mais personne n'en prit connaissance. Levet l'écrivit-il vraiment ? Nous ne le saurons jamais. A sa mort en 1906, à l'âge de trente-deux ans, après quelques années passées comme vice-consul à Manille puis à Las Palmas, ses parents détruisirent ses lettres et ses manuscrits. Pourquoi Levet, que j'ai découvert à l'âge de dix-sept ans, m'a-t-il si durablement obsédé ? Pourquoi ce jeune homme que chérissent depuis plus d'un siècle quelques centaines de lecteurs, d'une génération l'autre, comme pour perpétuer le cercle du poète disparu, et que nul n'aurait connu sans la persévérance de Fargue, son ami intime, et de Larbaud qui, après sa mort, entreprirent de rassembler et de publier ses poèmes, appartient-il ainsi à mon imaginaire - ou mieux, à ma vie ? Partir à la recherche de Levet, le lire, le relire, retrouver ses paysages d'enfance à Montbrison, regrouper de rares témoignages, me plonger dans l'exubérante bohème montmartroise au tournant des XIXe et XXe siècles, m'interroger sur la personnalité contrastée de ce poète si solitaire, au physique ingrat, et qui égayait ses amis par ses tenues extravagantes, n'était-ce pas une façon de mieux me connaître moi-même ? On en revient toujours là. F. V.
http://mediatheques.saint-etienne.fr/EXPLOITATION/Default/rsc/404935/l-express-de-benares-a-la-recherche-d-henry-j-m-levet
http://next.liberation.fr/livres/2018/02/09/henry-jean-marie-levet-ame-brulante_1628646
Mes paysages de travail
comme tout ce que j'aime
inspire ce que j'écris dont:
"Des paysages de Baudelaire et Nerval à acheter ici"
http://www.lauravanel-coytte.com/sury-le-comtal-travail-actuel-loire-42
Sury-le-Comtal est une commune française située dans le département de la Loire en région Auvergne-Rhône-Alpes, faisant partie de Loire Forez Agglomération et de l'ancienne province du Forez.
Sury-le-Comtal, commune du département de la Loire, se situe au cœur de la plaine du Forez à 12 km au sud-est de Montbrison1 et 26 km au nord-ouest de Saint-Étienne2.(MA VILLE)
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de sept autres communes :
Saint-Romain-le-Puy | Précieux | L'Hôpital-le-Grand ; Craintilleux | ||
N | Saint-Cyprien | |||
O Sury-le-Comtal E | ||||
S | ||||
Boisset-Saint-Priest | Saint-Marcellin-en-Forez | Bonson |
D'une superficie de 2 417 hectares 77 ares, elle est traversée par le canal du Forez au sud et par la Mare
NOTE A CE SUJET
qui longe le centre-ville à l'ouest et qui prend sa source dans les monts du Forez, pour se jeter dans la Loire à Montrond-les-Bains.
La côte Sainte-Agathe et le Grand Mont constituent des petits reliefs dans cette commune plutôt plane atteignant au plus bas 360 mètres près du lieu-dit les Massards et culminant à 457 mètres au pied des monts du Forez.
PLAT POUR MOI
La commune est traversée la D 8, la reliant à Montbrison au nord-ouest et à Bonson au sud-est.
Elle est également située sur la ligne ferroviaire TER Saint-Étienne-Clermont, par une gare plutôt excentrée
du centre-ville
ET DE MON LYCEE
LOIN POUR MOI
EN GREVE DONC DEPUIS LUNDI
vers le cimetière. La gare est peu équipée, le bâtiment de 1866 ayant été démoli dans les années 19803. La ligne est ici à voie unique, de Bonson à Saint-Romain-le-Puy. Quelques rares trains de fret passent par la gare, généralement à destination de la verrerie Saint-Gobain de Saint-Romain-le-Puy.
Les lignes TIL (Transports Interurbains de la Loire) 111 (Saint-Étienne - Montbrison) et 107 (Saint-Étienne - Sury) traversent le territoire de la commune.
TRES PROCHE DU LYCEE
Sury-le-Comtal abrite un centre-ville ancien relativement important, héritage de l'importance du village avant le xxe siècle. Elle abrita plusieurs enceintes fortifiées, percées par plusieurs portes et surmontées de plusieurs tours, dont il ne reste principalement que la porte d'Amancieux ouvrant sur Montbrison, et une tour rue Emile-Reymond.
Concentré dans l'enceinte des remparts, le développement médiéval de Sury s'articule autour de l'église et du château, le parc de celui-ci bloquant son développement à l'ouest.
À partir du xixe siècle et du xxe siècle, Sury-le-Comtal se développe en direction du nord-ouest, créant l'axe principale de la commune, la rue du . Les établissements industriels et la gare participent à l'urbanisation de la rue Franche du centre-ville médiéval jusqu'au cimetière.
À partir des années 1970, de nombreux maisons individuelles se construisent autour du centre-ville, puis autour des nombreux hameaux de la commune.
Le développement de l'automobile, de la commune ainsi que l'ensemble de la plaine du Forez entraînent une circulation automobile importante dans la rue du 11-Novembre. Restée longtemps en projet, un contournement du centre-ville est alors construit vers la fin des années 1990 afin de désengorger le centre-ville.
Un supermarché est construit dans le début des années 2000 sur un terrain vide à proximité du centre-ville, qui accueillait auparavant la fête foraine, ou vogue dans le parler local. Cette construction accélère encore la fermeture des petits commerces de centre-ville, auparavant nombreux, et qui ont tendance à disparaître devant le développement des grandes surfaces.
Aujourd'hui, l'urbanisation de la commune continue et la population de la ville augmente rapidement. Des terrains agricoles viables sont peu à peu cédés pour laisser place à des lotissements. Néanmoins, des efforts sont faits pour garder un centre-ville vivant et habité. De nombreux immeubles ont été rénovés, d'autres ont été érigés. L'école privé Saint-Joseph a d'ailleurs été détruite pour laisser place à un petit immeuble d'habitat collectif.
En raison du trafic automobile toujours plus important entre la plaine du Forez et l'agglomération de Saint-Étienne, et notamment de la saturation des voies de circulation de Bonson, il est prévu d'opérer un contournement ouest de cette commune : à partir de la D 3498 au sud de Bonson, puis contournant la côté Saint-Agathe pour rejoindre la D 8 à l'ouest. Cependant le retard de la construction de la D 3498, prévue initialement en 2011, retarde ce projet.
D'autres projets sont à l'ordre du jour. La construction d'une nouvelle école primaire est prévue chemin de la Madone, un grand lotissement au lieu-dit les Verchères et surtout la zone industrielle dite « Les Plaines », qui s'étalera également sur les territoires des communes de Bonson et de Saint-Marcellin-en-Forez au sud-est de la commune.
L'origine du nom de Sury est soumis à plusieurs hypothèses d'après Jacques Clavier, dans son ouvrage Sury le Comtal devant son histoire. La première, la plus probable, serait qu'un Romain du nom de Surius ou Surus aurait donné son nom au village à l'endroit actuel, Suriacum. La seconde serait que le mot Sury dérive du mot Surio, soit sur le rio, qui désignait un groupe de maisons construites au bord d'une rivière (soit la Mare). Sury s'appelle Souria dans le patois local, appartenant au domaine du franco-provençal forézien. Enfin la troisième hypothèse serait que le nom latin de Suriacum dérive de Sévère, empereur romain, alors confronté dans une bataille à un certain Albiniacum, ou Albin, donnant ainsi le lieu-dit d'Aubigny12.
Le terme comtal est dû au fait que le village est directement soumis aux comtes de Forez13, qui font du château une de leurs principales résidences. On remarquera que sur des écrits anciens, le nom de la commune est souvent abrégé en Sury tout court. La mention « le-Comtal » apparaît à partir de 1880 dans les registres de l'État-Civil.
Quand Jacques de la Veuhe, seigneur de Montagnac achète le château92 de Sury à Gabrielle d'Allonville en 1609-1612, ce n'est encore qu'un édifice défensif, encore adapté à la guerre médiévale dans une région intégrée depuis près d'un siècle au domaine de la couronne. Si les guerres de Religion occasionnent des dégâts majeurs dans la province, l'utilité du château fort est devenue mineure. Jacques de la Veuhe décide donc d'en faire un château de plaisance dans le grand style Louis XIII. Une grande partie de l'ancien édifice est alors détruit, excepté la partie nord où la catastrophe de la Danse du Forez s'était produite à la Noël 1239Note 3, ainsi que certains murs de l'aile sud. Est décidée une reconstruction en maçonnerie assez sommaire, où les véritables richesses se trouveraient à l'intérieur. Le château comporte l'essentiel de ses parties le long d'un axe nord-sud. Il se tourne vers deux directions : d'abord à l'ouest en direction du parc de 10 hectares à travers une vaste terrasse à deux escaliers construits eux en 1834, ensuite à l'est avec une cour fermée donnant sur le parvis de l'église94.
Pierre d'Escoubleau de Sourdis, beau-fils de Jacques de La Veuhe, hérite du domaine à la mort de la Veuhe en 1625. Après avoir réglé les procès qu'on lui oppose, il décide d'agrémenter les appartements du château de décorations sculpturales d'importance, de 1644 à 1652. Trois maîtres-menuisiers de l'école champenoise y travaillent : Germain Baudoin, Dimanche Marceau et surtout Claude Désiré qui sera auteur un peu plus tard de la chaire de l'église Notre-Dame à Saint-Étienne, où une rue porte son nom. On aménage deux belles chambres dans l'aile nord : celle dite d'Abraham, ouverte sur le parc, et celle dite de Samson, ouverte face à l'église. De belles boiseries en chêne et autres décorations en pierre y sont sculptées, frises, pilastres et autres entablements décorés de blasons et de motifs végétaux. Des personnages de femmes et d'enfant sont également taillés dans le bois, accompagnés par des cheminées monumentales en grès houiller. Quant à la grande salle principale, dans la partie centrale, elle est plus sobrement décorée, avec un grand portrait du roi Henri IV placé au-dessus d'une cheminée large de plus de 3 mètres95.
L'aile sud est la dernière partie du château à être décorée. Elle est aménagée en trois grandes pièces au rez-de-chaussée, le grand salon, la salle à manger et le salon d'été. Le salon Empire et la bibliothèque sont quant à eux disposés au sud de l'aile, dans un bâtiment sans étage au toit à deux pans, plus récent96.
Le grand salon, ancienne salle de billard, comporte aujourd'hui deux cheminées, l'une en pierre, l'autre sculptée en bois, le tout là encore accompagné de belles sculptures et de grands tableaux de personnages historiques. Placée au sud du grand salon, la salle à manger est comprise dans une partie de ce qui formait une tour défensive au sein de l'ancien château-fort, avec ses larges murs de pierre. Là encore dotée d'une cheminée xviie siècle, la pièce est largement ornée de décorations, avec ses vingt-six peintures datant de la Restauration, un trompe-l'œil peint du côté ouest et une mosaïque en guise de sol. Le salon d'été, situé à l'ouest de la salle à manger comporte lui un beau parquet à compartiments, une cheminée ornée de pendentifs à fruits et un plafond lui aussi en compartiments à la décoration très poussée. Henri Ramet classe cette pièce au xvie siècle du fait de la présence des armes de François Ier96.
Dernier salon, celui de style Empire, est notamment agrémenté d'une cheminée en marbre et de sculptures mythologies. À l'étage de l'aile sud, l'on trouve quatre chambres, dont deux sont d'intérêt : la chambre de Diane et la chambre Rouge, auxquelles on accède par un escalier de pierre. La chambre rouge, ou chambre de Marie de Médicis, est la seule à avoir été décorée par les artistes champenois précédemment cités, avec comme ailleurs une cheminée monumentales et grandes boiseries de chêne96.
Malheureusement, un second malheur, se rajoutant à celui de la Danse du Forez, se produit en 1937 : au matin d'un mercredi de janvier, un vaste incendie dévaste l'aile nord du château et ses belles chambres, ainsi qu'une majeure partie du corps central. Les murs noircis par les flammes seront pour la plupart abattus peu après
http://www.lefigaro.fr/lefigaromagazine/dossier/numero-2000-l-edition-speciale-du-figaro-magazine http://www.lefigaro.fr/sciences/sante-arretons-de-nous-faire-peur-20190614 http://www.lefigaro.fr/sciences/aider-l-agriculture-a-pieger-du-co2-20190613 http://sante.lefigaro.fr/actualite/2013/08/23/21144-chanter-pourrait-aider-moins-ronfler http://www.lefigaro.fr/jardin/le-grand-boom-des-graminees-ornementales-20190613 http://www.lefigaro.fr/livres/comment-devenir-libraire-d-un-jour-20190613 http://www.lefigaro.fr/musique/vis-ma-vie-de-compositeur-20190613 http://www.lefigaro.fr/arts-expositions/glenn-d-lowry-la-collection-du-moma-doit-surprendre-20190613 https://www.la-croix.com/JournalV2/Le-defi-Hong-Kong-2019-06-14-1101028662 https://www.la-croix.com/France/Quand-PMI-rencontre-familles-vulnerables-2019-06-14-1201028727 https://www.la-croix.com/France/Initiatives-et-solidarite/Dites-livre-2019-06-14-1201028734 https://www.la-croix.com/Culture/Le-Loto-patrimoine-sinstalle-paysage-2019-06-14-1201028731 https://www.la-croix.com/Culture/Larcheologie-bonheur-decouvertes-2019-06-14-1201028767 http://madame.lefigaro.fr/societe/en-suisse-les-femmes-en-greve-pour-leurs-droits-120619-165550 L'église prieurale de Saint-Romain est une église située sur la commune de Saint-Romain-le-Puy dans la Loire en région Rhône-Alpes. Les textes indiquent qu'au temps de Conrad le Pacifique (937-993), roi de Bourgogne, il existait une église au sommet du puy Saint-Romain. Celle-ci avait été construite par les seigneurs du lieu. D'après les actes que possédait le prieur Jacques de Bouthéon en 1488, entre 980 et 983, l'église a été donnée par Bouchetal, Boschitaleus miles, seigneur du lieu, à l'abbaye Saint-Martin d'Ainay sous l'abbatiat d'Astier (980-983). Dom Estiennot indique que le monastère a été construit en 1007. Le château qui protégeait le prieuré a dû être construit à la même période. Au XIe siècle siècle, le prieur a fait agrandir l'église de Bouchetal vers l'est. Les travaux ont été signés par le maître maçon, Aldebertus. Il a démoli l'abside et les absidioles et a construit une crypte pour compenser la dénivellation puis a édifié au-dessus le chœur et les absidioles. Sur ce château est une place forte important du Forez du fait de sa position, plusieurs actes donnent des informations le concernant : En 1218, le comte Guy IV est présent au château de Saint-Romain-le-Puy et envoie une charte de donation aux religieuses de Saint-Thomas en Forez d'une quarte de sel par semaine[2]. En 1236 un accord est trouvé avec l'abbé d'Ainay : le comte reconnaît tenir en fief le château de l'abbé d'Ainay et les droits qui lui sont associés sont partagés entre le comte et l'abbé qui nomment chacun le châtelain et le viguier. Le comte passe un acte au château de Saint-Romain en 1239 pour un don de luminaire à l'église Notre-Dame de Montbrison. Un arbitrage est donné en 1338 par Robert de Saint-Bonnet à la suite d'un conflit entre le comte et le prieur. Il partage les droits de haute, moyenne et basse justices entre le comte et le prieur. En 1348, la peste Noire touche la ville dont il ne resta plus que 3 habitants. Le guerre de Cent Ans va nécessiter la construction d'une seconde enceinte. Attaquée par les routiers commandés par Villandrado en 1431, elle dut être restaurée en 1434 par le prieur Jean du Soleillant. Une partie de la seconde enceinte s'effondra en 1449 malgré la restauration. L'armorial de Guillauyme Revel fait vers 1450 donne une vue sur ces fortifications. Au XVe siècle le prieur Jacques de Bouthéon a fait édifier la chapelle se trouvant sur le mur nord de la nef ainsi que le portail ouest sur lequel on peut voir son blason. Le prieur Falconnet II de Bouthéon a placé en 1512 un triptyque dans la chapelle nord sur lequel il s'était fait représenter. En 1523, par un jugement du parlement de Paris, le comté de Forez qui avait été repris par le connétable de Bourbon, est donné à Louise de Savoie, mère de François Ier. À sa mort, le comté fait retour à la Couronne. Le 25 avril 1536, François Ier s'arrête à Saint-Romain. En 1562, pendant les guerres de religion l'église perd les reliques de son saint patron. Elles ont probablement été détruites pas les troupes protestantes du baron des Adrets. Pendant le conflit avec la Ligue, Balthazar de Rivoire, seigneur du Palais, réussit à se maintenir en 1589 sur le site pour le compte du roi Henri IV pendant le siège dirigé par le duc de Nemours. L'abbé d'Ainay s'octroie la charge de prieur de Saint-Romain en 1616. En 1633, Richelieu donna l'ordre de démanteler la forteresse. En 1666, il n'y a plus de prieur et l'église n'est plus desservie que par un chapelain dépendant de l'abbaye d'Ainay. L'archevêque de Lyon et prieur non-résident de Saint-Romain, Jacques de Bérulle, organise le transfert des derniers moines. En 1684 c'est l'abbaye d'Ainay qui est sécularisée ainsi que le prieuré. Le prieuré mal entretenu devient inhabitable. Cependant le prieuré avait des revenus importants qui ont été disputés jusqu'à la Révolution. Le prieuré est vendu comme bien national à la Révolution. L'église a finalement été achetée par la famille Jullien de Pommerol qui la donne à la commune en 1885 sous réserve qu'elle en assure l'entretien. Les premiers travaux d'entretien sont alors entrepris par la commune. Les peintures murales sont dégagées en 1887. L'église prieurale est classée Monument historique en 1862. Des travaux de restauration faits entre 1950 et 1960 vont enlever une partie de l'authenticité de l'église. En 1986 a été entrepris une recherche archéologique de l'édifice qui a permis de définir les différentes phases de construction depuis l'Antiquité tardive. L'église et le prieuré ont été construits sur un piton d'origine volcanique isolé qui domine la plaine du Forez. Cette situation particulière a attiré l'intérêt des hommes depuis l'Antiquité. Les fouilles archéologiques ainsi que des observations antérieures ont montré que des éléments d'architecture datant de l'Antiquité tardive sont encastrés dans les murs de l'édifice. Elles ont dû être récupérés d'un monument gallo-romain dont des vestiges ont pu être dégagés. Le mur sud de la nef de l'église montre des portes dégagées en 1910 avec un emploi alterné de pierres et de briques qui est un système de construction utilisé au Haut Moyen Âge. Des textes cités au paragraphe précédent et de l'analyse du monument on peut déduire cinq campagnes de construction : Des peintures murales ont été réalisées sur les murs du XIIe siècle au XVe siècle. http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89glise_prieurale_de_Saint-Romain-le-Puy La gastronomie en Rhône-Alpes est une gastronomie spécifique à une région de France. L'Alsace, la Provence, le vaste Sud-Ouest, le Pays basque et d'autres régions ont leur "gastronomie" aux accents locaux (traduire : leurs produits, leurs recettes, leurs habitudes... et leurs vanités). Il en va ainsi du Lyonnais, qui dut beaucoup de sa réputation aux "mères", aux Vettard, Nandron, Lacombe père, puis fils, à un Paul Bocuse universellement connu (restaurant triplement étoilé de Collonges-au-Mont-d'Or, brasseries lyonnaises), à Piette Orsi et quelques autres, plus jeunes. La région fut longtemps pauvre, et ne se régala pas tous les jours au temps des canuts, mais elle se situe à un croisement de grands itinéraires, a accueilli beaucoup d'étrangers, a connu un considérable essor économique. "A Lyon, on n'avait pas beaucoup d'autres choses que les bugnes, NB:les bugnes sont les beignets chez moi dans l'est et les oreilletes en Ariège où j'ai vécu constatait avec humour Paul Boccuse. mais les produits arrivent de partout quand il y a des clients capables de payer". Avec les restaurants, brasseris et bistrots de Lyon, que l'on proclama souvent " capitale mondiale de la gastronomie", et la soixantaine d'établissements de la région étoilés sur le guide Michelin, Rhône-Alpes se targue d’être une très grande région gastronomique. Elle compte 5 chefs honorés des 3 étoiles considérées en France comme la distinction suprême : Michel Troisgros, successeur de Pierre et Jean, à Roanne, Paul Bocuse, Marc Veyrat, Avec son grand chapeau noir, je l'ai vu une fois de loin à Annecy-Veyrier du Lac, Georges Blanc à Vonnas et Anne-Sophie Pic à Valence (la seule femme en France à obtenir cette distinction). La région est l'une de celles qui se caractérisent par la diversité de sa production et la richesse de plusieurs terroirs. Citons par exemple la volaille de Bresse, les poissons de la Dombes ou du Léman, Les filets de fera, miam... et les fritures de perche la charcuterie dite lyonnaise, et ardéchoise; je me rattrape après le Maroc où il n'y avait pas beaucoup de choix... l’olive de Nyons ou les truffes du Tricastin. Pour les fromages, le plateau est "à la hauteur" avec les beaufort, abondance, reblochon des Alpes et autres picodons, bleu de Bresse ou fourme de Montbrison. Là aussi, je me rattrape!!!... Avec la fourme, on peut faire une sorte de tartiflette avec la râpée forézienne... Les fruits de la Drôme et de l’Ardèche, la myrtille et la châtaigne, le nougat de Montélimar et la noix de Grenoble sont autant de notes inégalement sucrées pour un dessert "aux couleurs de la région". Beaucoup de cerisiers, d'abricotiers, de pruniers, des melons, des mûres en pagaille... Dans l’Ardèche et la Drôme, c’est une cuisine du sud qui est proposée avec les nombreux produits à base d’olive ou de plantes aromatiques (la Drôme est le premier département producteur de plantes aromatiques et médicinales). A Lyon, dans les fameux « bouchons », restaurants typiques, le menu est souvent composé d’une salade de cervelas, d’andouillette, de charcuterie et de « cervelle de canut », tout cela arrosé d’un « pot » de Beaujolais ou de Côte du Rhône. Le "tablier de sapeur".... En montagne, fromage oblige, on vous servira la traditionnelle tartiflette (spécialité de Haute-Savoie à base de pomme de terre et de reblochon) ou le farcement (gâteau de pomme de terre avec lardons et pruneaux). Toutes les préparations à base de châtaigne (cousina, castagnou… ) seront dégustées à juste titre en Ardèche, département leader en matière de production. En Isère, le gratin dauphinois tient le haut du pavé tandis que dans la Drôme, ce sont les ravioles de Romans. Beaucoup de restaurants avec des ravioles à toutes les sauces... La table est une véritable institution dans l’Ain avec la célèbre poularde demi-deuil de Georges Blanc et la galette au sucre de Pérouges. Le chapitre Vins est important. Les vignobles des côtes du Rhône septentrionales s'étirent le long de la vallée, au sud de Lyon (AOC condrieu, saint-joseph, cornas, côte rôtie, hermitage, etc). Le vignoble du Beaujolais offre 10 crus de renom, les AOC morgon, mrouilly, fleurie, juliénas… Les vins de Savoie, du Bugey, les vins d’Ardèche (Côte du Vivarais), les coteaux du Tricastin, les Côtes du Forez et la Côte Roannaise complèter le tableau viticole de Rhône-Alpes. Le Saint-Joseph, c'est tout près de chez moi ainsi que les "Crozes-Hermitage"; il y aussi le Saint-Péray un pétillant comme la Clairette de Die que je n'aime pas trop. La région n'est pas "brassicole" à la manière de l'Alsace ou du Nord, mais compte, comme d'autres, nombre de micro-brasseries artisanales? Certaines élaborent des bières aromatisées aux produits du terroir : à la châtaigne, à la myrtille, aux noix, "à l’eau des glaciers" dans les Alpes ou encore au Génépi ! Une distillerie aussi à 10 km de chez moi... Et pour accompagner tous ces plats, l’eau n’est pas en reste en Rhône-Alpes avec les eaux minérales d’Evian, de Thonon et les eaux pétillantes de Vals ou de Saint-Galmier (la Badoit !). Rhône-Alpes est la première région productrice d’eaux minérales et compte plus de 30 sortes d’eaux minérales. Thonon, que de souvenirs! http://fr.wikipedia.org/wiki/Gastronomie_en_Rh%C3%B4ne-Alpes Image de Pognes: Le site d'un des pâtissiers de Romans. Et mes notes en orange. Cette note a été selectionnée par Lartino: http://www.lartino.fr/gastronomie-en-rhone-alpes-pn1115.html Arrivée à la gare Bellevue dans mon ancien quartier: http://fr.wikipedia.org/wiki/Gare_de_Saint-%C3%89tienne-Bellevue Petit café chez Véronique; elle me reconnaît après trois ans d'absence, c'est sympa... Je passe devant un restaurant où j'aimais manger entre autres la râpée forézienne: http://www.ville-montbrison.fr/spip.php?article33&retour=back Petit tour par le marché de la place Bellevue, petit achat. Mon ancienne boulangerie. Puis je remonte vers mon ancien appartement. Je l'ai déjà revu en passant en voiture mais pas de si près.Il était dans la cours de l'usine dans laquelle mon mari travaillait. Avec d'autres cadres, il a essayé de la reprendre mais des mauvaises volontés ont bloqué ce projet viable. Mon mari a cherché du travail en France en vain d'où le Maroc. L'usine et l'appartement ont été squattés puis vandalisés. Ce gâchis serre le coeur. Avenue Rochetaillée. Petit tour à Centre deux, un des plus anciens et des plus grands centres commerciaux de France... et en centre ville: http://fr.wikipedia.org/wiki/Centre-Deux_%28centre_commercial%29 Je voulais à la BU (bibliothèque universitaire) où j'allais quand je faisais mon DEA mais elle était en restauration. http://portail.univ-st-etienne.fr/53508236/0/fiche___pagelibre/ Je remonte la grande rue du tram qui traverse Saint-Etienne du Nord au Sud et qui porte plusieurs noms: http://fr.wikipedia.org/wiki/Tramway_de_Saint-%C3%89tienne Mon vendeur de PC que je voulais voir pour lui parler de mes problèmes de navigation:fermé. Mon ancienne BM(bibliothèque municipale) fermée le matin à cause des vacances: http://www.bm-st-etienne.fr/abv/framesetPortail.asp Mais il fait beau, pas trop chaud et je suis heureuse d'être dans une ville où j'étais si bien. Un peu de nostalgie aussi. Les librairies, les bouquinistes et autres boutiques que je fréquentais. Cinéma "Le Mélies", déplacé et aggrandi pendant mon absence: "Sagan"(cf. notes à ce sujet) Petit repas sur le pouce près du bowling et du Parc des expos. Je me rends compte que je n'ai pas le temps de faire autre chose que de me diriger vars le Stade Geoffroy-Guichard, le célèbre Chaudron des Verts: http://fr.wikipedia.org/wiki/Stade_Geoffroy-Guichard Il y a déjà beaucoup de monde qui prend le même chemin que moi. Sans compter les animations organisées conjointement par la ville et le Tour de France. Quelque part, je gagne (en répondant à un quizz chansons) un gilet réfléchissant obligatoire depuis quelque temps dans la voiture. Comme il y a encore beaucoup de temps avant que la caravane publicitaire(15h30) et les coureurs arrivent, je continue à avancer sous le soleil de plus en plus fort. Je ne me vois pas rester sur place en plein soleil car contrairement à beaucoup d'autres, je n'ai pas récupéré de bob ou casquette publicitaire. Me voilà donc à l'ombre à 500 mètres de la ligne d'arrivée sous un arbre et après un virage où il y a une grosse caméra. La place n'est donc pas mauvaise... A côté de moi, un vieux monsieur qui vient de Bourg-Argental(en Ardèche, à 30 km de là); je connais, nous discutons en attendant la caravane publicitaire. C'est aussi cela le Tour de France. Quand arrive la caravane publicitaire, c'est la folie!!!! Moi, je veux bien essayer de récupérer quelques bricoles mais pas à me faire piétiner ni blesser par les acharnés des gadgets.... Ce qui m'intéresse surtout c'est la course alors j'essaie d'écouter Daniel Mangin (le speaker du tour) qui donne l'évolution des échappés et du peloton. Je me dis que je vais peut-être remonter vers la ligne d'arrivée mais quand je vois la marée humaine et sens la chaleur. Autour de moi, des gens uniquement intéressé par la caravane sont partis mais bientôt des gens arrivés au dernier moment, tentent de me doubler... 1 heure environ après la fiin de la caravane, vers 17h , à l'heure prévue par mon magazine de vélo, les coureurs arrivent , 3 groupes d'échappés à quelques minutes d'intervalle puis le peloton. Et c'est ça que j'aime!!! les applaudir, essayer de les reconnaître, les premiers comme les derniers car je sais ce qu'ils ont souffert pour arriver là. Une fois le ballet des coureurs et des voitures de courses fini, voyant l'heure, j'abandonne l'idée de rejoindre le podium de remise des prix pour remonter vers l'arrêt de tram. Car depuis le matin, j'ai pratiquemment traversé à pied Saint-Etienne du Sud au Nord. Alors je prend un ticket et la bonne ligne(depuis mon absence, il y a une 2 e ligne de tram): Me voilà à nouveau en ville pour faire quelques librairies, bouquinistes et magasins avant de repartir. Chez Gibert, une dame me reconnaît, c'est vraiment agréable!!!... Une petite pause dîner dans un endroit que nous fréquentions avant.... Et retour sur Saint-Vallier. Je n'ai pas trop détaillé (car j'ai vu beaucoup de choses en trois jours et peu de temps) mais je vous ai mis des liens vers les lieux et les choses dont j'ai parlés. Cette note a été selectionnée par Paperblog: http://www.paperblog.fr/931232/jeudi-a-saint-etienne/ Marchés Le coup de cœur du Triporteur… Le Praliné Weiss ! Depuis plus d’un siècle depuis Saint-Etienne, la Maison Weiss s’est imposée comme un intervenant de haute qualité et un allié de choix pour les professionnels et « choco-addicts » du monde entier. Labellisée Entreprise du patrimoine vivant, Weiss fait aujourd’hui partie des grands noms du chocolat français grâce à sa maîtrise de l'ensemble de la fabrication depuis la sélection des fèves et des meilleurs fruits à coque jusqu'à la confection de chocolats. L’excellence Weiss ne s’arrête pas là : la chocolaterie est également devenue une référence dans le monde du praliné. La qualité de son célèbre praliné est reconnue par les professionnels de la gastronomie les plus exigeants en France comme à l’international. Amandes Valencia et Marcona d’Espagne, Noisette Romaines et Piémont IGP d’Italie : seules les origines les plus nobles sont sélectionnées pour créer des recettes aux parfums inégalables de fruits parfaitement torréfiés. Pas moins de 13 recettes sont proposées aux professionnels (de textures lisses, craquantes, des variétés de fruits secs et même un praliné réalisé à partir de sésame blanc d’Inde). La Maison Weiss a d’ailleurs reçu un prix de l’innovation en 2014 pour son praliné en poudre ! Nourrie par son dynamisme créatif et le désir de toujours satisfaire ses clients, Weiss exprime sa passion du métier à travers ses chocolats, pralinés et confiseries, et leur réserve ses meilleurs écrins, toujours soulignés d’un ruban délicat. Weiss a en effet su créer des goûts inimitables de couverture de chocolats, de pralinés, de ganaches parfumées et fondantes aux pulpes naturelles de fruits, de nougatines craquantes… Comme pour chacun de ses clients en boutique, Weiss porte une attention particulière à ses clients artisans (chocolatiers, pâtissiers, boulangers…) et professionnels de la gastronomie : à leur écoute, Weiss développe avec eux et pour eux des solutions adaptées. Les gourmands et les professionnels ne s’y sont pas trompés. En choisissant le « goût Weiss », ils ont le plaisir de déguster un chocolat ou un praliné d’émotion, riche de saveurs métissées et de textures variées. Laissez-vous séduire par les saveurs exceptionnelles du Haut Chocolat®. L’étape du Triporteur… La Loire La Loire additionne ses atouts pour faire cohabiter ses caractères. Saint-Etienne, toujours au vert de son équipe mythique, porte les couleurs du dynamisme et des paris artistiques et design, Roanne active ses bonnes étoiles avec Michel Troisgros et ses « compères », tandis que Montbrison, « Venise » médiévale, invite à la flânerie dans ses ruelles. La Loire qui regorge d’étangs, de lacs ou rivières, ne manque pas d’oxygène, grâce aux monts du Forez et du Pilat. Le département affiche sa bonne mine avec ses forêts, plateaux ou collines parfumés de bruyère ou d’épicéas. La Loire, trait d’union entre Rhône-Alpes et Auvergne, aime faire partager ses saveurs dans le calme et la simplicité. La Loire enfin, terre de gourmandise, est une immense campagne à portée de ville. La Loire est une région proche de Lyon où le plaisir de la table est bien présent. Elle connait, autour de la Maison Troisgros à Roanne, triplement étoilé depuis plus de 45 ans en 2013, des chefs de renommée, soit avec 1 étoile au Michelin, tels Thierry Fernandes, restaurant Le Prieuré à Ambierle, qui avec La Demeure Bouquet reçoit en chambres d'hôtes de charme, ou Le Tourdion dans le centre de Roanne avec Sébastien Chouly, soit recommandés tels Olivier Boizet au Château de Champlong à Villerest ou L'Empreinte by Yannick Lecoq à Roanne. A Saint-Etienne Métropole, une myriade de chefs évoluent vers une "cuisine du marché" comme Pierre Daret à L'Aromatic, ou encore Maxime Apert à L'Insens, ou encore à St-Galmier Le Bougainvillier avec Gérard Charbonnier et Xavier Thély à l'Amphitryon, ou encore à Rochetaillée Yves Genaille... · Se restaurer : Le Restaurant L’Insens est la traduction même de la « Bistronomie ». Comme une bulle de saveur, dans un cadre confortable, un doux moment à partager... Depuis 2012, Maxime Apert est Maitre Restaurateur. Ce label de qualité, décerné par l’état, récompense les professionnels de la restauration engagés en faveur du « fait maison » et de la qualité. Depuis 2013, le guide Michelin a attribué le Bib Gourmand à l’Insens restaurant. Synonyme de gourmandise, de qualité et source de plaisir, le guide Michelin récompense les tables d'exception proposant un menu complet à moins de 31 €. · Se Loger : Le Domaine des Grands Cèdres est un endroit magique, empli de calme et de sérénité. Son exposition vous offre un panorama féérique sur les Monts de la Madeleine et les méandres de la Loire.
Vous pourrez résider dans l’une des chambres suites du Château et disposer des lieux de vie réservés à nos invités ou bien choisir l’une des 3 luxueuses cabanes dans les arbres, de magnifiques cèdres bleus.
Vous pouvez aussi privatiser le domaine et recevoir vos invités dans l’Orangerie entièrement équipée pour vos réceptions. Des salles de séminaire modulables peuvent accueillir vos équipes dans un cadre champêtre à 15 minutes de Roanne (Loire 42). Le Triporteur souhaite remercier tout particulièrement … Les équipes de Loire Tourisme ! 1 rue Eugène Weiss - 42000 Saint-Etienne Le 6 boutiques : Saint-Etienne (boutique historique et boutique d’usine de la Maison Weiss depuis 1882), Lyon, Strasbourg, Clermont Ferrand et Le Puy en Velay 10 rue de Lodi Château de Changy http://www.france2.fr/emissions/telematin/diffusions/20-04-2015_321563Comme tous les vendredis, je lis la presse papier:
Nous avons aimé dimanche:Prieuré de Saint-Romain le Puy
Gastronomie en Rhône-Alpes
Jeudi dernier à Saint-Etienne
Je viens de regarder et d'écouter avec intérêt:Le Triporteur à le Bec Sucré : Le Praliné des chefs!
Présenté par Loïc Ballet
Adresses utiles
Les Ateliers Weiss
04 77 49 41 41contact@weiss.frLoire tourisme
Insens Restaurant
42000 Saint Etienne04 77 32 34 34Domaine des Grands Cèdres
42123 Cordelle
Tél : 06 74 04 52 47