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  • Paris romantique - La capitale des enfants du siècle (Gibert Paris)

    Ils s'appellent Hugo, Delacroix, Berlioz, Musset, Chopin, Sand, Liszt, Gautier... Cette génération « ardente, pâle et nerveuse » méprise les conventions d'un siècle trop étroit, leur préfère les plus vastes horizons qu'offrent le rêve, les tourments de l'âme, les rivages exotiques et ceux, plus lointains encore, de l'Histoire. Être romantique, c'est un style - se distinguer par son gilet rouge et ses cheveux longs comme Gautier, aller vêtue en homme comme George Sand -, c'est fréquenter les mêmes théâtres, les mêmes cafés, les mêmes salons, habiter les mêmes quartiers.

    Parmi ceux-ci, les abords de la rue Notre-Dame-des-Champs, les ruines du Doyenné ou la Nouvelle-Athènes. Au-delà de ces enclaves, les romantiques donnent le ton à toute la ville, y impriment leur marque, l'animent de leurs débats, de leurs fêtes et de leurs extravagances. Leur sensibilité triomphe alors qu'un Paris neuf sort des limbes et s'affirme en capitale des arts. Souffle un vent de liberté qui n'a pas fini d'inspirer d'autres enfants, d'autres siècles.

    http://www.boutiquesdemusees.fr/fr/beaux-livres/paris-romantique-la-capitale-des-enfants-du-siecle/9734.html

  • Dans la cadre de ”Paris romantique”, il y avait aussi: ”LES SALONS LITTÉRAIRES” que j'ai visité

    Le musée de la Vie romantique et le Petit Palais s’associent pour présenter l’exposition « Paris romantique  1815 – 1848, Les salons littéraires », un véritable panorama culturel de la capitale entre 1815 et 1848. Au musée de la Vie romantique les visiteurs sont invités à découvrir les salons littéraires de cette pér...

    http://www.museevieromantique.paris.fr/fr

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  • J'ai fini hier soir:Paris romantique - La capitale des enfants du siècle

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    Ils s'appellent Hugo, Delacroix, Berlioz, Musset, Chopin, Sand, Liszt, Gautier... Cette génération " ardente, pâle et nerveuse " méprise les conventions d'un siècle trop étroit, leur préfère les plus vastes horizons qu'offrent le rêve, les tourments de l'âme, les rivages exotiques et ceux, plus lointains encore, de l'histoire. Etre romantique, c'est un style - se distinguer par son gilet rouge et ses cheveux longs comme Gautier, aller vêtue en homme comme George Sand - , c'est fréquenter les mêmes théâtres, les mêmes cafés, les mêmes salons, habiter les mêmes quartiers.
    Parmi ceux-ci, les abords de la rue Notre-Dame-des-Champs, les ruines du Doyenné ou la Nouvelle-Athènes. Au-delà de ces enclaves, les romantiques donnent le ton il toute la ville, y impriment leur marque, l'animent de leurs débats, de leurs fêtes et de leurs extravagances. Leur sensibilité triomphe alors qu'un Paris neuf sort des limbes et s'affirme en capitale des arts. Souffle un vent de liberté qui n'a pas fini d'inspirer d'autres enfants, d'autres siècles.

    https://www.decitre.fr/livres/paris-romantique-9782840965794.html

    Paris romantique sur ce blog

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  • J'ai terminé de lire ce matin d'insomnie:”La beauté m'assassine ” de Michelle Tourneur

    La beauté m'assassine

    Une méditation romanesque sur la peinture, le regard, l'invisible, l'amour ? Tout cela à la fois, à travers le très étonnant parcours de la distinguée et troublante Florentine, jeune orpheline médium recueillie dans un sévère presbytère breton à l'orée du xixe siècle. C'est là qu'elle découvrira, et ne cessera de compulser en secret, un somptueux livre d'heures médiéval, qui lui apportera la révélation soudaine et absolue de l'art. Et la faculté de s'immerger soudainement et absolument dans l'art, telle une mystique de l'image peinte. Comment Florentine se retrouvera ensuite dans les labyrinthes du ­Paris romantique de 1830, tout ensemble servante du jeune Eugène Delacroix, dont elle vénère les tableaux, et prêtresse d'une des boutiques de mode les plus enivrantes de l'époque, c'est ce qu'on ne vous dira pas. Tant le récit chemine de mystère en mystère, procurant un plaisir de lecture digne des grands feuilletonistes de ces temps-là, de George Sand à Eugène Sue. Michelle Tourneur écrit avec classicisme, dans une langue belle et simple. Mais elle aborde les vertiges esthétiques avec des intuitions de voyante. Comment on se brûle, se noie, se perd et se retrouve dans une toile ; comment on s'enivre d'un trait, d'une couleur, comment on y découvre ce qu'on ne voyait pas, ce qu'on ne verra plus. Comment on en vit et comment on en meurt. Par-delà l'intrigue mouvementée, le tableau fine­ment ciselé de l'époque romantique, Michelle Tourneur tout bizar­rement fait toucher à l'indicible.

     

    Le 19/01/2013 - Mise à jour le 14/01/2013 à 18h09
    Fabienne Pascaud - Telerama n° 3288

    http://www.telerama.fr/livres/la-beaute-m-assassine,91941.php

    Précédente publication:

    19/06/2013 18:59

  • Nouvelles acquisitions au musée de la Vie romantique

    rois nouvelles acquisitions complètent les collections permanentes du musée, exposées depuis le 10 mars 2015

    La Translation de la Sainte Maison par les Anges réalisée entre 1828 et 1837 par Pierre Claude François Delorme (1783-1859)

    Don Juan et Haïdée (1839) de Marcel Saulnier (?-1842)

    Portrait de Pauline Viardot (1821-1910), cantatrice, en sainte Cécile. Ary Scheffer (Dordrecht, 1795 – Argenteuil, 1858)

     

    • - Ary Scheffer (1795-1858). Portrait de Pauline Viardot (1821-1910),cantatrice, en sainte Cécile. (c)Alexandra Llaurency

       

      Pauline Viardot (1821-1910) est une figure majeure du monde artistique et littéraire du Paris romantique. Sœur de la diva Maria Malibran, elle marque son temps par ses talents de cantatrice autant que par ses qualités de compositrice et de comédienne. Mariée en 1840 à Louis Viardot, directeur du théâtre des italiens, elle s’installe en 1848 rue de Douai qui devient alors le lieu de rendez-vous d’une brillante société  littéraires et musicale.
      Le portrait qu’a acquis le musée de la Vie romantique, faussement attribué à Lehmann, est en réalité l’effigie commandée à Ary Scheffer pour orner l’orgue de salon de la chanteuse, livré en 1851  par  Cavaillé-Coll et connu par plusieurs gravures. Considéré parfois comme un portrait réalisé en hommage à sa sœur morte en 1836, sa ressemblance avec les autres images de Pauline et les témoignages contemporains infirment cette hypothèse.
       
      Cette acquisition permet de réunir au musée de la Vie romantique deux portraits de Pauline Viardot par Scheffer et montre une facette peu connue du travail de cet artiste, entre peinture religieuse et portrait mondain.
       

       

    • La Translation de la Sainte Maison par les Anges réalisée entre 1828 et 1837 par Pierre Claude François Delorme

       

      Notre-Dame de Lorette est un monument emblématique de la Nouvelle Athènes et atteste au plan monumental de la même diversité et effervescence artistique que le musée de la Vie romantique dans ce quartier neuf du Paris des années 1830. L'acquisition de La Translation de la Sainte Maison par les Anges (1828 et 1837) par Pierre Claude François Delorme (1783-1859) permet ainsi de faire entrer dans nos collections, un témoignage important de ce renouveau artistique avec l’oeuvre d’un artiste qui fait écho aux compostions religieuses d’Ary Scheffer.