Merci pour cette relecture de 4 magnifiques poèmes , bel hommage à celui qui fait encore battre ton coeur après 13 ans de vie commune.

Pour ceux qui comme toi ne s'intéressent qu'à mes poèmes et pas à ce qui les nourrrit, le reste....

C'est vrai que la série «poèmes à mon mari» est peut-être celle que j'ai préféré de ton recueil - mais à le relecture je ferais peut-être un autre classement!
Je n'ai pas compris ta réponse à Enriqueta... je pense que si on s'intéresse à tes poèmes, cela va bien au-delà, tu t'y investis énormément. Surtout dans ceux qui ne sont pas un «exercice imposé», même si je te trouve remarquable dans ce domaine. Mais c'est comme au patinage, l'artiste se livre davantage dans les figures libres...

Quel autre classement?
Pour Enriqueta, je parlais de mon blog....
Je ne parlerais pas d'"exercice imposé" mais de "déclencheur" qui permettent de livrer beaucoup de choses parfois....

Je veux dire que comme il y a beaucoup de tes poèmes que j'ai aimés, selon l'humeur au moment de la lecture je préférerai les uns ou les autres (on en parlait récemment avec Elisabeth).
Puisque tu es «en direct» je voulais laisser un commentaire sur ton article concernant le Stade de France mais je ne parviens pas à ouvrir la fenêtre commentaire. Y aurait-il une raison?

Pour les poèmes, je comprends.
Pour la note, j'en ai fermé les commentaires.
Pourquoi?
Ca a trait à ma réponse à Enriqueta.
Comme j'ai beaucoup de commentaires sur"ce que j'écris" (1 ere partie de mon blog) et peu sur "ce(ux) que j'aime"(2 e partie), je ferme les commentaires au bout d'un moment.

Tu as aussi fermé les commentaires sur la série télévisée d'hier soir «Voici venir l'orage»? Je voulais dire que j'ai regardé la première partie, je pense que je regarderai les autres. Toutefois je n'aime pas trop la manière dont c'est traité «à coups de serpes»: on passe trop vite d'une époque à l'autre, sans approfondir. Cela me fait penser aux spectacles montés par Hossein, que par ailleurs j'apprécie, et qui demandent à connître déjà le livre où la pièce pour passer d'un tableau à l'autre.
Pour le Stade de France, je voulais apprécier le fait que tu rappelles que derrière cette réalisation il y a le travail d'hommes et femmes de toutes sortes, et quel travail. Pour l'anecdote: j'étais au match inaugural France-Espagne, par -6°, bien vêtue.... j'avais oublié qu'en contact avec le béton le frois arrive par les pieds! j'en ai un souvenir glacial..