Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Irène Némirovsky, "Suite française" 4
p.21:Le 3 juillet 1942 : »Décidément, et à moins que les choses ne durent et ne se compliquent en durant ! Mais que ça finisse bien ou mal ! » Elle voit la situation comme une suite de violentes secousses qui pourraient la tuer."
Commentaires
Je crois que là, elle n'en peut plus de la situation qui s'éternise. Elle demande que cela finisse.
Je le comprends comme cela.
Comme Hélène Berr, elle avait la prescience que ça allait mal se terminer...