Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
La poésie : sous le ciel de Paris.
Comme je vous l'avais annoncé hier, voici la dernière partie de votre descriptif. Attention, le texte de Laforgue et les documents complémentaires sont issus de montages : il n'y a donc pas possibilité de les télécharger...
Pour les 603
OBJET D’ETUDE N°4
La poésie : sous le ciel de Paris.
Problématique : comment la ville de Paris devient une source d’inspiration poétique ?
Œuvre intégrale : Alcools, de Guillaume Apollinaire. Collection recommandée : classicolycée chez Belin-Gallimard, dossier par H. Scepi.
Lectures analytiques :
<!--[if !supportLists]-->1. Guillaume Apollinaire, « Le Pont Mirabeau », Alcools, 1912.<!--[endif]-->
<!--[if !supportLists]-->2. Charles Baudelaire, « A une passante », Tableaux parisiens, in Les Fleurs du mal, édition augmentée de 1861.<!--[endif]-->
<!--[if !supportLists]-->3. Jean Tardieu, « La Seine de Paris », Le Témoin invisible, 1943.<!--[endif]-->
<!--[if !supportLists]-->4. Jules Laforgue, « Dans la rue », Premiers poèmes, édités en 1970.<!--[endif]-->
Textes complémentaires et activités :
Boris Vian, « La vraie rigolade », Cantilènes en gelée, 1949.
Hervé Le Tellier, « Notre Auber », Zindien, 1999.
Un dossier concernant « Baudelaire et Paris : dérive » a été distribué aux élèves. Celui-ci a été tiré du site www.litteratura.com.
Différents textes de la liste, mais aussi d’autres concernant la ville de Paris, mis en musique et chantés, ont été écoutés en fin d’année : Léo Ferré, Marc Lavoine, Pierre Perret, Juliette Gréco, les frères Jacques… Par ailleurs, les élèves ont entendu la lecture du « Pont Mirabeau » dite par Apollinaire.
Les élèves ont effectué des recherches biographiques sur les auteurs.
Questions abordées
La ville de Paris et sa « nouvelle modernité » aux XIXème et XXème siècles.
Pour les 609
OBJET D’ETUDE N°4
La poésie : sous le ciel de Paris.
Problématique : comment la ville de Paris devient une source d’inspiration poétique ?
Ensemble de textes lus : Tableaux parisiens, in Les Fleurs du Mal (1857) de Charles Baudelaire, ainsi que quatre textes au choix.
Lectures analytiques :
<!--[if !supportLists]-->1. Guillaume Apollinaire, « Le Pont Mirabeau », Alcools, 1912.<!--[endif]-->
<!--[if !supportLists]-->2. Charles Baudelaire, « A une passante », Tableaux parisiens, in Les Fleurs du mal, édition augmentée de 1861.<!--[endif]-->
<!--[if !supportLists]-->3. Jean Tardieu, « La Seine de Paris », Le Témoin invisible, 1943.<!--[endif]-->
<!--[if !supportLists]-->4. Jules Laforgue, « Dans la rue », Premiers poèmes, édités en 1970.<!--[endif]-->
Textes complémentaires et activités :
Boris Vian, « La vraie rigolade », Cantilènes en gelée, 1949.
Hervé Le Tellier, « Notre Auber », Zindien, 1999.
Différents textes de la liste, mais aussi d’autres concernant la ville de Paris, mis en musique et chantés, ont été écoutés en fin d’année : Léo Ferré, Marc Lavoine, Pierre Perret, Juliette Gréco, les frères Jacques… Par ailleurs, les élèves ont entendu la lecture du « Pont Mirabeau » faite par Apollinaire.
Les élèves ont effectué des recherches biographiques sur les auteurs.
Questions abordées :
La ville de Paris et sa « nouvelle modernité » aux XIXème et XXème siècles.
Textes :
http://profhightexte.hautetfort.com/archive/2010/06/03/la-poesie.html