Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
L'association Paysages du Champagne
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Atelier d’écriture de « poèmes-paysages »
Frédéric Amiel: « Tout paysage est un état de l’âme »
Partant de cette affirmation, écrire des poèmes-paysages en s’inspirant des poètes-paysagistes et des paysagistes-poètes, notamment à partir des 10 mots pour participer à un concours d’écriture.
L’objectif étant de constituer un recueil.
Lieu : 23 rue des Alouettes 69008 Saint Etienne (Rhône-Alpes ) -
Dates et horaires : du 03-10-2011 0:00 au 02-07-2012 0:00
Type d'évènement : Publication, Atelier d´écriture, Exposition
Conditions d'accès : Inscription
Public concerné : Jeune public
Structure : Etablissement Pierre Termier
Courriel : lauravanelcoytte@yahoo.fr
http://www.dismoidixmots.culture.fr/?p=23889
Du jeudi 15 avril au dimanche 6 juin 2010
Commissaire : Bernard Grassin Champernaud
Œuvres présentées : peintures, aquarelles, huiles. Portraits, objets, bijoux, documents
Provenances des œuvres : collections privées, Musée Marmottan Monet, Musées de Compiègnes, Orsay, Carnavalet, Dieppe, Etampes etc…
Catalogue : Editions Hazan
Une exposition inédite autour des Salons littéraires et musicaux et des femmes peintres de la fin du XIXème siècle. Quatre Salons seront recréés pour l’occasion, ceux de 4 femmes, mécènes, amies des artistes, peintres : celui de la Princesse Edmond de Polignac de Marguerite de Saint-Marceaux de S.A.I. la Princesse Mathilde et celui de Madeleine Lemaire. Les Salons au temps de Proust, c’est aussi l’histoire d’une femme peintre : Madeleine Lemaire qui recevait rue de Monceau les mardis de mai à juillet.
Par son aura et une intelligence « pétillante » elle sut attirer ceux qui allaient devenir les plus grands.
On note parmi les habitués de son Salon Albert Besnard, Bonnat, Manet, Helleu, Puvis de Chavannes, Gounod, Massenet, Reynaldo Hahn, Saint-Saëns, Anatole France, Colette, Sarah Bernard.
C’est un Marcel Proust étonné et subjugué qui lui consacre une chronique élogieuse dans le Figaro du 11 mai 1903 « La cour aux Lilas et l’Atelier des Roses, le Salon de Madame Madeleine Lemaire ».
http://www.marmottan.com/francais/expositions/expo-proust.asp
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Le Musée Marmottan Monet accueille une sélection d'œuvres du Musée Von der Heydt de Wuppertal, musée qui détient un ensemble exceptionnel d'oeuvres des différentes avant-gardes du début du 20ème siècle, qui sont regroupées sous le titre "Fauves et expressionnistes de Van Dongen à Otto Dix". |
Christophe CHARBONNEL (né en 1967)
Christophe Charbonnel est né à Nantes en 1967. Initié par le sculpteur Philippe Seené, Christophe Charbonnel créé, en 1995, sa première sculpture en bronze.
Ses oeuvres entrent dans de nombreuses collections publiques et privées et le rythme des expositions s’accélère. |
Son travail se développe vers des sculptures monumentales, en taille (Colosse, Guerrier, …) ou en nombre (Groupe de guerriers, …).
Si le domaine public s’intéresse à lui (commande d’une fontaine, d’un Christ), ce sont surtout les entreprises qu’il séduit par ses oeuvres monumentales et majestueuses. |
Profitant d’une belle visibilité grâce aux acquisitions faites par des palaces étrangers et français (le Ritz à Paris, Four Seasons à Cannes, …), les oeuvres de Christophe Charbonnel sont de plus en plus plébiscitées.
Cette année, il est lauréat de la Fondation Taylor. |
Oeuvres MONUMENTALES
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http://www.galeriebayart.fr/Art_Contemporain/1_art_contemporain_charbonnel_v2.html
Paul Cézanne (Huile sur toile) Philadelphie, Philadelphia Museum of Art, The Samuel S. White 3rd and Vera White Collection © 2011. Photo The Philadelphia Museum of Art/Art Resource/Scala, Florence
Je voudrais arriver devant les jeunes peintres de l'an 2000 avec des ailes de papillon". (1945)
À Orsay, la magie fragile des pastels réalistes ou symbolistes
«Le mystère et l'éclat» au Musée d'Orsay est l'outsider des expositions de l'automne : réussite totale, accrochage harmonieux et intelligent, œuvres superbes, fragiles et lumineuses, signées Édouard Manet, Edgar Degas, Auguste Rodin ou de ce génie trop méconnu qu'était William Degouve de Nuncques (1867-1935).
Son Nocturne au Parc royal de Bruxelles, une abstraction de 1897 scandée comme un poème d'Émile Verhaeren, est une mélodie envoûtante.
Dans chaque salle, Philippe Saunier, conservateur au Musée d'Orsay, a su restituer, du réalisme au symbolisme, la force de ce médium alors très à la mode, le pastel.
C'est aussi la preuve que pour réussir une exposition, on peut se passer de prêts onéreux, de valeurs d'assurances mirobolantes et de publicité tapageuse : ces pastels d'Orsay, dont bon nombre viennent d'être restaurés, craignent la lumière et les chocs des convoiements, ils méritent d'être à l'honneur aux cimaises… du Musée d'Orsay !
«Le pastel craint la lumière prolongée. Aussi bien il la désire, ne serait-ce que pour activer la délicieuse alchimie dont il résulte» , écrit joliment Guy Cogeval le président de l'institution, dans la préface du catalogue.
CE TABLEAU FAIT PARTIE DES
http://www.artnet.com/ag/FineArtDetail.asp?G=&gid=0&which=&aid=11699&wid=63550&print=1
Cette peinture témoigne avec éclat de la découverte de la région méditerranéenne par Monet lors de son séjour en Italie en 1884. Elle fut pourtant exécutée dans l'atelier de Giverny, mais d'après un tableau, aux dimensions plus réduites, peint sur place (Villas à Bordighera, The Santa Barbara Museum of Art).
Avec cette toile, Monet souhaite réaliser un grand panneau décoratif destiné au salon de Berthe Morisot. Au début de l'année 1884, elle annonce à sa soeur Edma : "Je commence à entrer dans l'intimité de mes confrères les impressionnistes. Monet veut absolument m'offrir un panneau pour mon salon. Tu juges si je l'accepte avec plaisir".
Cette oeuvre traduit la luminosité méditerranéenne et la fascination du peintre pour la nature de cette région. Il représente ici le jardin de M. Moreno, qu'il qualifiait de "paradis terrestre" en évoquant "cette propriété sans pareille [...] un jardin comme cela ne ressemble à rien, c'est de la pure féerie, toutes les plantes du monde poussent là en pleine terre et sans paraître soignées : c'est un fouillis de toutes les variétés de palmiers..." (à Alice Hoschedé, 5 février 1884).
Le tableau Les villas à Bordighera est représentatif de divers aspects de l'art de Monet. Il y retrouve tout d'abord ce grand format presque carré, souvent utilisé par le peintre lorsqu'il s'exprime dans le domaine décoratif. La répétition en atelier d'un motif étudié sur place à Bordighera, annonce la démarche adoptée plus tard pour les "séries". Enfin, avec ce paysage exotique, Monet nous offre une variation autour de l'un de ses thèmes privilégiés : celui du jardin.
Henner réalise cette œuvre à la Villa Médicis, à Rome, où il est pensionnaire entre 1859 et 1864.Il ne s’agit pourtant pas d’une simple vue de la Ville éternelle depuis la Villa. Le tableau réunit des groupes de personnages « typiques », sans doute observés sur le vif et aisément reconnaissables à leurs costumes : moines, paysans, élégantes… devant un panorama « classique » dans lequel on reconnaît la silhouette de Saint-Pierre-de-Rome. Après avoir peint le jardin, l’artiste y rassemble fictivement les personnages, dans un travail de composition digne de celui d’un tableau d’histoire. Voir le dessin préparatoire.
Voir les autres oeuvresLa perte de l’Alsace-Lorraine
La guerre de 1870 se conclut, le 10 mai 1871, par la signature du traité de Francfort. La France, vaincue, cède au nouvel Empire allemand l’Alsace et une partie de la Lorraine correspondant à l’actuel département de la Moselle. L’Alsace-Lorraine, traduction de l’allemand Elsass-Lothringen, est directement placée sous la souveraineté de l’empereur Guillaume Ier. Dans les territoires annexés comme en France se développent l’esprit de revanche et la nostalgie des provinces perdues. Notons que ce sentiment fut sensiblement moins fort que la mythologie républicaine et patriote ne l’a affirmé. Exacerbé entre 1871 et 1872, il s’estompe rapidement pour resurgir surtout à la veille et durant la Première Guerre mondiale.
Le tableau est commandé, à l’initiative de Mme Kestner, par des dames de Thann à Jean-Jacques Henner, peintre né à Bernwiller, dans le sud de l’Alsace. Il est offert à Léon Gambetta (1838-1882), qui le fait graver par Léopold Flameng pour lui assurer une large diffusion.
Partisan de la guerre à outrance, Gambetta s’était opposé à la signature d’un armistice lorsqu’il était ministre de l’Intérieur et de la Guerre. En février 1871, il est élu dans neuf départements mais choisit d’être député du Bas-Rhin avant de démissionner pour montrer son opposition à l’abandon de l’Alsace-Lorraine. D’après Castagnary, dans Le Siècle du 31 juillet 1871, Gambetta montrait le tableau en disant « C’est ma fiancée ! ».
1832
Aquarelle sur traits à la mine de plomb.
19,3 x 12,7 cm
Musée du Louvre, Paris
toujours respectueux de son idéal, est souvent, à son insu, un poète en peinture." (Salon de 1846)
Portrait de l'artiste Vers 1837 H. : 0,65 m. ; L. : 0,54 m. "Une physionomie farouche, étrange, exotique, presque inquiétante." La description de Delacroix par Théophile Gautier est bien en accord avec ce "portrait au gilet vert", le plus fameux des autoportraits de l'artiste. |
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http://cartelfr.louvre.fr/cartelfr/visite?srv=car_not_frame&idNotice=8243
Le musée Bonnard présentera une exposition composée de regards croisés entre Bonnard et ses amis, Matisse, Monet et Vuillard.
Pierre Bonnard a entretenu de formidables relations avec les peintres de son époque. Que ce soit des relations de travail ou de simples relations amicales, Bonnard appréciait les contacts, plus encore, s'il s'agissait de sa passion, la peinture.
Constituée d'une cinquantaine d'œuvres, l'exposition s'articulera autour de plusieurs personnalités liées à Bonnard.
Avec Edouard Vuillard et les Nabis, Bonnard a en commun notamment son intérêt pour la figure emblématique de Misia qui donna naissance à de nombreux tableaux. Les relations privilégiées entre chacun des artistes est aussi l'occasion d'échanger des portraits croisés.
Claude Monet de son côté apparaît comme une figure tutélaire chez qui Bonnard aime aller lors de ses fréquents passages en Normandie et de qui il reçoit conseils et encouragements.
Henri Matisse enfin, avec lequel il échangea une correspondance importante et pour lequel Bonnard était le meilleur d'entre eux, partage une dévotion entière envers la peinture. Chacun à sa manière explore la thématique de la fenêtre avec autant de débats possibles.
Le parcours d'une collection privée
Emission de divertissement présentée par Laurent RUQUIER. Chroniqueurs :
Audrey PULVAR (animatrice et journaliste)
Natacha POLONY (journaliste et essayiste)
--------------------------------------------------------
Avec :
DOMINIQUE DE VILLEPIN
Fondateur du mouvement République solidaire. Candidat à l’élection présidentielle de 2012.
Il présente son livre "Seul le devoir nous rendra libre", au Cherche Midi.
PHILIPPE POUTOU
Candidat du Nouveau Parti Anticapitaliste à la présidentielle.
Parle de son livre "Un ouvrier c’est là pour fermer sa gueule !", chez Textuel.
PIERRE LESCURE
Revient sur son livre "In the baba", chez Grasset.
PHILIPPE LELLOUCHE et JULIE GAYET
Reviennent sur le film "Nos plus belles vacances" de Philippe Lellouche… En salle le 7 mars.
HELENE SEGARA et RAF
Présentent le nouveau single "Le Monde à l’envers" troisième extrait de l’album "Parmi la foule". En concert à l’Alhambra le 16, 17 et 18 mars 2012.
Emission de divertissement présentée par Laurent RUQUIER. Chroniqueurs :
Audrey PULVAR (animatrice et journaliste)
Natacha POLONY (journaliste et essayiste)
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Avec :
DOMINIQUE DE VILLEPIN
Fondateur du mouvement République solidaire. Candidat à l’élection présidentielle de 2012.
Il présente son livre "Seul le devoir nous rendra libre", au Cherche Midi.
PHILIPPE POUTOU
Candidat du Nouveau Parti Anticapitaliste à la présidentielle.
Parle de son livre "Un ouvrier c’est là pour fermer sa gueule !", chez Textuel.
PIERRE LESCURE
Revient sur son livre "In the baba", chez Grasset.
PHILIPPE LELLOUCHE et JULIE GAYET
Reviennent sur le film "Nos plus belles vacances" de Philippe Lellouche… En salle le 7 mars.
HELENE SEGARA et RAF
Présentent le nouveau single "Le Monde à l’envers" troisième extrait de l’album "Parmi la foule". En concert à l’Alhambra le 16, 17 et 18 mars 2012.
Samedi 25 février | ||
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Pierre Arditi | ||
http://the-ou-cafe.france2.fr/index-fr.php?page=emission2&id_article=4538 |