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  • Catégories : Des musées

    Figaro musées 3 - Le Musée de l'Ermitage, Saint-Pétersbourg

    3 - Le Musée de l'Ermitage, Saint-Pétersbourg"Le musée de l’Ermitage que nous vous invitons à découvrir dans ce nouveau numéro de la collection Musées d’Europe tient du miracle. Miracle de sa situation géographique tout d’abord, cette ville de Saint-Pétersbourg construite par la volonté du tsar Pierre le Grand au beau milieu d’un delta perdu quelque part au fond du golfe de Finlande. Le tsar Pierre voulait « ouvrir une fenêtre sur l’Europe » ; il a fait surgir au beau milieu des marécages une ville de conte de fées avec ses palais multicolores et ses bulbes dorés. Miracle après l’incendie de 1837 qui ravagea le palais pendant près de deux jours, pourtant reconstruit à l’identique sur ordre de Nicolas Ier. A l’époque ou le roi Louis-Philippe n’hésitait pas à éventrer Versailles pour y installer « son » musée d’Histoire de France, le tsar Nicolas Ier, lui, ressuscitait pierre à pierre un palais baroque totalement démodé là où il aurait pu s’offrir une magnifique caserne néo-classique."

    Patrick de Carolis, Journaliste et écrivain

    http://boutique.lefigaro.fr/article-3-le-musee-de-l-ermitage-saint-petersbourg-0-18-715.html

  • Catégories : J'ai aimé, J'ai vu, La peinture

    Le modèle au chat noir (1863), Edouard Manet

    Réalisé par Alain Jaubert
    Documentaire
    1998
    29 minutes Beta num
    DVD
    couleur
    Versions française et anglaise
    Coproduction
    La Sept-Arte
    Musée d'Orsay
    Palette Production
    + CNC
    Sofica Cofimage 10

    Une femme nue couchée sur un lit : un sujet qui appartient depuis fort longtemps à l'histoire de la peinture. Et pourtant, la toile provoque un violent scandale au Salon de 1865. Cette femme impudique qui regarde le spectateur droit dans les yeux ne correspond à aucun des canons classiques que respectent les peintres pompiers de l'époque. Manet, déjà célèbre pour son Déjeuner sur l'Herbe, présenté au Salon des Refusés, deux ans plus tôt, devient le héros de la jeune génération qui inventera l'impressionnisme.

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  • Catégories : J'ai vu, La peinture

    Les beaux dimanches d'été : Bal du Moulin de la Galette

     

     
     
     
    Auguste RenoirBal du moulin de la Galette© RMN (Musée d'Orsay) / Jean-Gilles Berizzi
    Réalisé par Alain Jaubert
    Documentaire
    1997
    26 minutes BETA num
    couleur
    version française
    Coproduction
    Musée d'Orsay
    La Sept-Arte
    Palette Production

    Avec le soutien de la PROCIREP, du Ministère des Affaires Etrangères et du CNC
    Un bal populaire à l'enseigne des Moulins de la Butte Montmartre, la joyeuse foule d'un dimanche de l'été 1876, il n'en fallait pas plus à Renoir pour faire de son tableau un manifeste de la nouvelle peinture impressionniste. Mais la toile ne se réduit pas à une symphonie de bleus comme l'ont souligné avec dédain les critiques de l'époque. Son déchiffrage, d'abord difficile, entraîne bien des découvertes. Gamme de pigments resserrée mais donnant une série de nuances très riches, art savant de la fusion des touches, brouillage de la perspective traditionnelle, jeu complexe des formes entremêlées, mise en scène des corps et des regards, le tableau est plus savant qu'il n'y paraît.

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  • Catégories : J'ai aimé, J'ai vu, La peinture

    La Naissance de l’impressionnisme DVD

    Édouard Manet « Le modèle au chat noir »

    Une femme nue couchée sur un lit : un sujet qui appartient depuis fort longtemps à l’histoire de la peinture. Et pourtant Olympia provoque un violent scandale au Salon de 1865. Manet devient le héros de la jeune génération qui inventera l’impressionnisme.

    Pierre-Auguste Renoir « Les beaux dimanches d’été »

    Un bal populaire à l’enseigne des moulins de la Butte Montmartre. Une joyeuse foule d’un dimanche de l’été 1876. Présenté lors de la troisième exposition impressionniste, le Bal du moulin de la galette est l’un des rares tableaux à échapper aux sarcasmes qui accueillent les peintres de cette nouvelle école.

    Claude Monet « La couleur de l’instant »

    En 1895, Claude Monet peint le pont japonais qu’il a fait construire au-dessus d’un petit étang semé de nymphéas. Jusqu’à sa mort en 1926 il reprendra des dizaines de fois ce même motif. Soucieux de capter, selon les heures de la journée, les moindres nuances de la lumière sur le pont, sur l’eau ou la végétation, Monet peint plusieurs toiles à la fois et ensuite les expose ensemble : l’idée moderne de série prend sa source avec ce Bassin aux nymphéas.

    Commentaire

    Ce film fait partie de la série Palettes, consacrée aux grands tableaux de l’histoire de la peinture. Grâce aux plus récentes techniques de l’animation vidéo, les secrets des images sont racontés comme autant d’aventures dans le plaisir de la découverte.

    Générique

    • Production : La Sept - Arte, Palette Production, musée d’Orsay, France 3, Delta Image

    http://www.editionsmontparnasse.fr/p87/La-Naissance-de-l-impressionnisme-DVD

  • Catégories : La peinture

    J'ai aimé regarder:La couleur de l'instant, série des bassins aux nymphéas

    Claude Monet,Nymphéas bleus,© RMN (Musée d'Orsay) / Hervé Lewandowski
    Claude MonetNymphéas bleus© RMN (Musée d'Orsay) / Hervé Lewandowski
    Réalisé par Alain Jaubert
    Documentaire
    1993
    26 minutes BETA Num
    couleur
    version française
    Coproduction
    Musée d'Orsay
    Delta Image
    La Sept
    France 3
    CNRS audiovisuel
    CNC

    En 1895, Claude Monet peint pour la première fois le pont japonais qu'il fit construire au-dessus d'un petit étang semé de nymphéas. Jusqu'à sa mort, en 1926, il reprendra des dizaines de fois ce même motif. Soucieux de capter, selon les heures de la journée, les moindres nuances de la lumière sur le pont, sur l'eau, sur les feuillages ou sur les fleurs, Monet peint plusieurs toiles à la fois et, ensuite, les expose ensemble: l'idée moderne de série y prend sa source. Et sous l'apparente spontanéité, l'analyse révèle un immense travail de composition. Avec cette série sans cesse reprise, Monet poursuit une des grandes aventures intellectuelles du XXe siècle qui aboutit avec les huit toiles géantes du musée de l'Orangerie.

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  • Catégories : Le paysage, Matisse Henri, Voyage

    Sur les pas de Matisse...

     

    « Je suis à Vence depuis un mois et demi - très bien à tout point de vue. Le tout me paraît si loin de Nice, ce grand voyage que j’ai fait en moins d’une heure, que je place dans le milieu de tous mes souvenirs de Tahiti. »

    « Ce matin, quand je me promenais devant chez moi en voyant toutes les jeunes filles, femmes et hommes courir à bicyclette vers le marché, je me croyais à Tahiti à l’heure du marché ».

    « Lorsque la brise m’amène une odeur de bois ou d’herbes brûlés, je sens le bois des îles ».

    Sur les Pas de Matisse

    http://www.vence.fr/sur-les-pas-de-matisse,7

  • Catégories : A lire, Voyage

    "Dictionnaire insolite de la Belgique" de Gérald Berche-Ngô

    On connaît de la Belgique ses frites, ses chocolats, ses bières. On se moque souvent des Belges au travers de blagues, un brin condescendantes. Or la Belgique est surtout un pays original, surprenant, où le savoir-vivre et le savoir-rire sont de rigueur. Vous en saurez plus sur l’entartage, JCVD, le sucre impalpable, le concours de chant de pinson ou encore sur des musées, tels que ceux du hochet, du slip ou du plastique, en vous plongeant dans ce dictionnaire décalé, parfois irrévérencieux, insolite dans le fond et dans la forme, souvent humoristique – une zwanze se trouve d’ailleurs dans ces pages !

    Gérald Berche-Ngô est écrivain. Il vit et travaille à Bruxelles depuis 2005, où il a fondé et dirige un atelier d’écriture, le Write Club. Il est l’auteur d’une œuvre de littérature électronique, intitulée Hypertexte (www.hypertexte.be).

    Parution : février 2012.

    160 p. - 11 €

    La presse en parle :

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  • Catégories : A lire, Voyage

    "Dictionnaire insolite de l’Égypte" de Guillaume de Dieuleveult

    Pour le voyageur fraîchement débarqué, l’Égypte est une bouffée d’impressions nouvelles. Il y a le ronflement des vieux taxis, le miel de la pop orientale à la radio, les néons qui brillent sur les minarets, les publicités géantes. Mais c’est aussi un univers qui nous est familier : le Nil éternel, les hommes en tarbouche, le thé qui fume, les pyramides… Ce pays mérite que l’on s’y arrête, afin de dépasser les images de l’actualité, de regarder ailleurs – en posant le nez dans la poussière des trottoirs, sur les étals des marchands de fruits ou dans les boîtes à mouchoirs des chauffeurs de taxi. L’Égypte est un pays à coup sûr insolite.

    Parution : avril 2012.

    http://www.editionscosmopole.com/Dictionnaire-insolite-de-l-Egypte

  • Catégories : Des expositions, Le paysage

    Grand Palais : les sortilèges du paysage classique

    Par Eric Bietry-Rivierre
    10/03/2011 | Mise à jour : 11:47 Réagir

    Le musée parisien a cerné un moment clé de la peinture : dans la première moitié du XVII e siècle, à Rome, les artistes réinventent une nature idéale.

     

    Lumière. Il est le premier à oser peindre le soleil en face. Claude Gellée, dit le Lorrain, car il est né dans les Vosges (1600-1682), nous embarque vers 1640 avec une sainte érémitique à partir d'un port imaginaire pour des lointains sans fin. Ampleur et rigueur. (Museo Nacional del Prado)
    Lumière. Il est le premier à oser peindre le soleil en face. Claude Gellée, dit le Lorrain, car il est né dans les Vosges (1600-1682), nous embarque vers 1640 avec une sainte érémitique à partir d'un port imaginaire pour des lointains sans fin. Ampleur et rigueur. (Museo Nacional del Prado)

     

    D' Annibal Carrache à ­Nicolas Poussin et Claude Gellée, dit le Lorrain, c'est à Rome, dans la première moitié du Grand Siècle, que les codes classiques d'une nature idéale se fixent. Unité de temps, de lieu et d'action: voici donc le paysage en majesté au Grand Palais. Prétendre qu'on assiste à sa naissance serait faux. On possède des représentations panoramiques dès l'Antiquité. Dire qu'il s'agit d'une gestation avant l'apogée du plein air l'est tout autant. Mais c'est certainement dans la Ville éternelle, dans ce foyer alors exceptionnel d'artistes venus de toute l'Eu­rope, que l'attention portée aux campagnes, aux villes et aux rivages atteint celle que l'on porte aux scènes bibliques, mythologiques ou historiques. Même s'il est encore loin d'être réaliste ou totalement dénué d'anecdote, le paysage n'est plus le genre mineur qu'il avait été jusqu'alors. On le voit souvent jouer le premier rôle dans les compositions les plus importantes.

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  • Catégories : Des expositions, Le paysage

    Gold, Jasper, and Carnelian: Johann Christian Neuber at the Saxon Court (through August 19, 2012 )

    Peter Paul Rubens (1577–1640), Helena Fourment, c. 1630, black, red, and white chalk and pen and ink, 24 x 21 1/2 inches; The Courtauld Gallery (Samuel Courtauld Trust)Since antiquity, gemstones (also known as hard or semiprecious stones) have been cut and polished for use in jewelry, in the creation of vases and cups, and in the decoration of palaces. Rediscovered and developed in sixteenth-century Florence, pietra dura (hard stone) objects were collected and sometimes used as political propaganda among the Medici. A sign of wealth, taste, and power, they were also offered as diplomatic gifts or acquired by foreign sovereigns. In the following centuries, they not only aroused admiration at major European courts but also prompted artists to work with gemstones. In eighteenth-century Saxony (part of Germany), the technique was revived again by Johann Christian Neuber (1736–1808), one of Dresden's most famous goldsmiths.

    Neuber specialized in creating small gold boxes decorated with local stone, such as agate, jasper, and carnelian, fashioning enchanting landscapes, elaborate floral designs, and complex geometric patterns with tiny pieces of cut and polished stones set in gold-framed cells, a technique known as Zellenmosaik (cell mosaic). Responding to the increasing interest of the European elite in the natural sciences, Neuber created the Steinkabinettabatiere (stone cabinet snuffbox), made of dozens of samples of local gemstones, each numbered on its gold rim and described in an accompanying booklet. Often incorporating Meissen porcelain plaques, cameos, and miniatures, these unique objects reflect the Saxon court's interest in both luxury items and the natural sciences.

    The Frick Collection presents the first comprehensive introduction to Neuber's oeuvre, including important diplomatic gifts and approximately thirty-five snuffboxes, bonbonnières (candy boxes), and fashionable
    accessories. These objects were appreciated not only at the Saxon court but also throughout Europe. Offered as refined gifts, they were also
    acquired to attest to the wealth and good taste of their owners. Snuffboxes were especially fashionable: more than containers for tobacco powder, they were elegant accessories of a highly sophisticated society. Carried in hand or taken from a pocket, the delicate box would immediately arouse admiration.

    The exhibition is co-organized by the Grünes Gewölbe of the Staatliche Kunstsammlungen Dresden, Galerie J. Kugel, Paris, and The Frick Collection. Support for the presentation in New York is generously provided by Walter and Vera Eberstadt, Aso O. Tavitian, Margot and Jerry Bogert, and an anonymous donor.

    http://www.frick.org/exhibitions/neuber/index.htm

  • Catégories : CE QUE J'ECRIS/CE QUE JE CREE, Mes photos, Mes textes en prose, Voyage

    Funiculaire d'Evian(photos perso)

    Construit en 1907, le funiculaire évianais a été le témoin privilégié de la vie de cette cité avant que ne cesse son exploitation en 1969.
    Le tracé de ce funiculaire qui reliait la buvette Cachat à l'Hôtel Royal fut prolongé aux deux extrémités, d'une part à la station inférieure des Bains d'Evian en souterrain, et d'autre part vers la station supérieure de Neuvecelle.

    Son activité a cessé en septembre 1969, le funiculaire fut par la suite classé monument historique en 1983. Sa restauration à l'identique démarra en 1995 et dura prés de 6 ans.

    Après 33 ans de mise en sommeil, le funiculaire a ré-ouvert au public le 20 juillet 2002.

    Ce funiculaire figure à présent parmi les trois seuls survivant des funiculaires classés des XIXe et XXe avec ceux du Capucin au Mont Dore et de Besançon, le "petit métro" évianais est une pièce rare du patrimoine ferroviaire européen.

    Pour en savoir plus : Le Funiculaire d'Evian de Jean-Bernard Lemoine et Marcel Willems (12€) - en vente à l'office de tourisme.

    Ouverture : Le funiculaire est ouvert en saison estivale, du 15 mai au 20 septembre, tous les jours de 10h à 19h. Le transport est gratuit.

    Renseignements :

    Tél.  04 50 74 98 93
    E-mail : funiculaire.evian@veolia-transport.fr
    Site internet : www.leman-but.fr

    http://www.ville-evian.fr/france/DT1205316931/page/index.html

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  • Catégories : Mes photos, Voyage

    Le Palais Lumière(photo perso)

    voyage 15 juin 2012 032.jpg

    Témoin prestigieux de l'architecture du début du XXe siècle, le Palais Lumière (thermes d'Evian de 1902 à 1984) a été reconverti en espace culturel et de congrès en 2006. Il accueille:

    Le hall d'accueil remarquable par sa décoration est accessible librement lors de l'ouverture aux expositions

    http://www.ville-evian.fr/france/DT1207325014/page/Edifices.html

  • Catégories : Mes photos, Voyage

    La Villa-Lumière à Evian(photo perso)

    voyage 15 juin 2012 031.jpg

    Ancienne résidence d'été de la famille Lumière (inventeurs du cinéma), cette somptueuse villa de style classique français inspiré de la Renaissance, est devenue l'hôtel de Ville en 1927.

    A voir une scultpture en bronze du lyonnais Pascal Devaux d'une lionne qui défend toujours l'accès de l'escalier monumental en chêne.

    L'hôtel de ville a conservé le "Salon doré", où l'on célèbre les mariages. Les tentures en damas de soie jaune et les ors des lambris composent un ensemble de toute beauté...
    Visite libre du hall, du grand salon et du salon doré de 9h à 11h et de 13h30 à 17h en semaine toute l'année. 
    Télécharger le dépliant sur l'hôtel de ville (villa Lumière)

    http://www.ville-evian.fr/france/DT1207325014/page/Edifices.html