Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Gare de Saint-QUENTIN(photos perso du 14 juillet)
- La gare SNCF fut construite d'après les plans de Gustave Umbdenstock.
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Le Coq gaulois, en bronze, en contrebas du monument aux morts de 1870, dans le square Jovin Bouchard, est l'oeuvre de Lecourtier, un grand sculpteur animalier. Inauguré le 28 juin 1919, la commande du coq avait été passée par la fonderie du Val d'Osne en 1915 et livré en 1918 seulement en raison de la guerre et de la maladie de l'artiste. En 1919, c'est le service de la voierie qui mit en place la colonne qui le porte aux nues.
De A à Z, la vie, l'oeuvre, le contexte historique et culturel de ce grand artiste
http://editions.flammarion.com/Albums_Detail.cfm?ID=25697&levelCode=arts
se décrit-elle un jour, selon Alexandra Lapierre, auteur d’Artemisia (Editions Robert Laffont).
Jusqu’au 15 juillet 2012
Musée Maillol, 61 rue de Grenelle, Paris 7e
Révélée au public par le retentissant procès qui suit son viol de jeunesse, Artemisia Gentileschi (1593-1654) a bataillé pour que ses oeuvres soit reconnues en tant que telles. Et que la société italienne du XVIIe siècle accepte qu’une femme peintre puisse vivre de son art.
Fille aînée du grand peintre baroque Orazio Gentileschi, Artemisia débute à Rome auprès de son pater, qui la forme dès son plus jeune âge. Dans l’angle, en bas à gauche, de Suzanne et les vieillards (Pommersfelden), on peut lire « ARTEMITIA./ GENTILESCHI. F / 1610″ : c’est la première signature autonome de la jeune fille d’Orazio.
Dans l’enceinte du château de Roanne, en 1312, une chapelle castrale est dédiée à Saint-Etienne. Elle aurait été bâtie grâce aux libéralités d’Alice de Saint-Haon. Les nombreuses transformations subies par l’édifice au cours des siècles en font un témoignage intéressant de l’histoire de l’art.
Cette église, devenue paroissiale, renferme des parties élevées vers 1534 dans le style gothique flamboyant, ce que ne laisse pas présumer l’architecture extérieure, résultat des deux agrandissements successifs de l’édifice, de 1822 à 1845, et en 1926. L’ensemble reste tout de même harmonieux et les éléments de style néogothique parfaitement intégrés à l’architecture primitive.
On y trouve des pièces intéressantes telles qu’une Vierge de Bonnassieux, Sainte Thérèse de J.B. Picaud, le Tympan de Belloni ou le vitrail du Martyre de Saint-Sébastien offert par Louis XII.
C'est la nature qui imite l'art, et non l'inverse. Voyez cette mer embrumée comme elle ressemble à un Turner ; voyez ce champ de blé se tordre sous un soleil obsédant, à la Van Gogh? Ce paradoxe d'O.Wilde, Anne Cauquelin pourrait le faire sien.
Moins connu que ses amis Bonnard, Vuillard ou Vallotton, Maurice Denis est pourtant l’un des acteurs majeurs du mouvement Nabi, dont il est par ailleurs le théoricien. On lui doit la formule fameuse : « Se rappeler qu’un tableau – avant d’être un cheval de bataille, une femme nue, ou une quelconque anecdote – est essentiellement une surface plane recouverte de couleurs en un certain ordre assemblées. » Il est alors, avec ses amis Nabis, dans le grand courant de la peinture symboliste dont il convenait de souligner l’extraordinaire diversité de ton et la place prépondérante qu’y tient la femme « ange ou démon », mais, pour Maurice Denis, une constante de la félicité intime et sanctifiée par l’amour. S’il fut à ses débuts, comme ses amis et compagnons de l’Académie Ranson, un héritier de Gauguin, il va peu à peu s’orienter vers une peinture plus classique à contenu religieux. Au point de créer, dans les années 1920, un atelier d’art chrétien et d’entreprendre des chantiers de décoration d’églises, qui vont largement contribuer à l’éloigner des courants artistiques allant dans le sens de l’Histoire et, à l’égard du regard du public, le marginaliser. Il convenait de remettre Maurice Denis en situation vis- à -vis de l’art de son temps et par rapport à ses grands contemporains. Une large place est faite à l’aventure Nabi qui reste exemplaire et à laquelle Jean-Jacques Lévêque apporte une contribution inspirée, mais il tente, dans cet ouvrage, de restituer Maurice Denis par rapport à l’art figuratif tel qu’il s’est pratiqué dans l’entre-deux-guerres. Il y tient une place essentielle et, aujourd’hui, on l’y voit dans la singularité de son inspiration religieuse, qui permet de mieux reconsidérer l’ensemble de sa démarche et d’y voir une grande continuité d’esprit, sinon de formulation. Il se voulait, il fut, il reste exemplaire, le peintre de l’âme.
Sur la montagne Sainte-Geneviève à Paris, visitez le Panthéon (1764-1790), chef d'œuvre de l'architecte Soufflot. Découvrez les grandes personnalités inhumées dans la crypte, qui dessinent le visage de notre identité nationale. De la colonnade extérieure du dôme, profitez d'un large panorama sur la capitale