Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Avis à la population
Commandez mes livres en passant par les bannières de ce blog ou contactez -moi par le formulaire de contact pour recevoir un de mes exemplaires dédicacé
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Commandez mes livres en passant par les bannières de ce blog ou contactez -moi par le formulaire de contact pour recevoir un de mes exemplaires dédicacé
LE MONDE |23.08.2012 à 18h26
Par Macha Séry
Collection : Dico Atlas
Editeur : Belin
prise à mon mari le 7août 2012 à Albi
Le débat autour de la restauration de "La Vierge et l’enfant avec Sainte Anne " de Léonard de Vinci a redémarré avec les déclarations d’experts français affirmant que le Louvre est allé trop loin dans le nettoyage de ce chef-d’œuvre, actuellement exposé au Louvre.
Jusqu’à présent, les tenants d’une restauration plus modérée ne s’étaient pas exprimés sur le résultat final. Mais une spécialiste de la restauration des œuvres d’art, Ségolène Bergeon Langle, a estimé dans Le Journal des Arts du vendredi 27 avril 2012 que « le principe de précaution » n’avait pas été respecté et que le « nettoyage aurait dû aller moins loin » , arguant qu’« il y a moins de modelé dans le visage de la Vierge ». Contrairement à elle, Jacques Franck, n’a pas démissionné du comité scientifique international constitué par le Louvre autour de la « Sainte Anne » , mais il regrette l’allègement des vernis « plus prononcé que prévu ».
Cette restauration a été menée par une restauratrice d’origine italienne, Cinzia Pasquali, assistée du Centre de recherche et de restauration des musées de France (C2RMF). Vincent Pomarède, directeur du département des peintures du Louvre, assure avoir mené une restauration « prudente » et mis « le pied sur le frein » pour tempérer les ardeurs de membres anglais ou italiens de la commission. De son côté, l’association pour le respect de l’intégrité du patrimoine artistique (Aripa) estime que les micro-soulèvements de la couche picturale n’étaient pas liés à la dégradation des vernis, comme l’avançait le C2EMF, mais à des « mouvements du bois ».
Du 16 juin 2012 au 19 août 2012
Après le succès de l'exposition sur le peintre Foujita, la Grande Halle de Chamerolles, accueillera l'exposition « Femmes artistes : passions, muses et modèles ». De Louise-Elisabeth Vigée-Lebrun à Niki de Saint Phalle, elle retrace à travers 150 oeuvres le destin d'une cinquantaine de femmes artistes nées ou ayant vécu dans l'entourage professionnel, intellectuel et familial d'autres génies de leur époque, du XVIIIème au XXème siècle.
http://www.tourismeloiret.com/fr/0/0/1/135/actualites/d/0/femmes-artistes-passions-muses-et-modeles
S'appuyant sur des oeuvres dont il souligne la spécificité et l'inscription dans l'histoire de l'art, Hubert Haddad met en lumière le jardin comme mythe, microcosme culturel, argument ornemental, "miroir de l'âme", espace à transformations, depuis les jardins suspendus de Babylone, les jardins à la française du siècleclassique, les jardins à simulacres du style rocaille et du romantisme, jusqu'aux tableaux atmosphériques voués aux jeux de lumière de l'impressionnisme, aux jardins minéraux du bouddhisme zen, aux banlieues ouvrières couturées de maigres replis végétaux. Jardins anglais ou exotiques, labyrinthes et pergolas, vergers,serres et cabinets de verdure, kiosques et orangeries, tous les aspects de cette garden-party picturale sont développés et commentés dans cet ouvrage. Débutantavec l'Antiquité, cette enquête traverse l'histoire et les civilisations jusqu'au XXème siècle et interroge aussi bien les peintures de Pompeï que l'oeuvre de Giotto, Rubbens, Watteau, Constable, Millet, Cézanne, Matisse, Klint ou Kandinsky.
http://www.franceculture.fr/oeuvre-le-jardin-des-peintres-de-hubert-haddad.html
Le Pastel
|
Le pastel était une plante cultivée à l’intérieur d’un triangle Toulouse – Albi – Castelnaudary. On en tirait une teinture : le "bleu pastel". La plante, de son nom latin « Isatis tinctoria » est apparentée à la famille des choux, radis, colza, etc.
Le bleu parfait obtenu était le seul, à son époque, à résister aux lavages successifs.
Connue depuis l’Antiquité, elle pouvait servir, accessoirement, de nourriture au bétail et on lui reconnaissait quelques vertus médicinales.
Au Moyen Age en concurrence avec d'autres teintures
A cette époque, le développement de l'art vestimentaire soutenu par l’utilisation de nombreuses couleurs entraîne un usage accru des plantes.
L’appropriation de différentes teintures permet une distinction dans les classes sociales.
Ainsi :
La garance fournit un colorant rouge
Le kermès donne un rouge écarlate
La gaude produit une couleur vert-jaunâtre.
Les conditions de culture
Pour se développer, le pastel avait besoin d'un sol riche et meuble, plutôt calcaire et argileux. La plante a trouvé des conditions favorables en Lauragais et dans l'Albigeois qui pouvaient bénéficier d'hivers assez doux et pluvieux suivis d'étés ensoleillés
Comme la culture du pastel épuisait assez rapidement les sols, les terres étaient mises en jachère l'année suivante, puis ensemencées en céréales, avant d'être dédiées à nouveau au pastel. A cause de cette difficulté, les paysans ne se sont jamais livré à une monoculture. Dans le meilleur des cas, et dans la période la plus favorable, soit entre 1515 et 1560 environ, le pastel couvrait à peine 15% des terres, d'où une certaine irrégularité dans la production
Apparition en Occident
Le pastel est apparu probablement au début du XIIème siècle, en provenance d'Espagne ou d'Orient. Il atteignit son apogée en France, fin XVème et au XVIème, dans une période comprise entre 1500 et 1560.
nouveau support en bois plus grand, circuit plus grand, 3 voies, 2 locos et pas mal de wagons
La mouche tourna trois fois autour de sa tête et vint se poser sur la page du rapport qu'il était en train d'annoter, tout en haut, dans le coin gauche. Maigret immobilisa sa main qui tenait le crayon et la regarda avec une curiosité amusée. Ce jeu-là durait depuis près d'une demi-heure et c'était toujours la même mouche. Il aurait juré qu'il la reconnaissait. D'ailleurs, il n'y avait que celle-là dans le bureau. Elle décrivait quelques cercles dans la pièce, surtout dans la partie baignée par le soleil, contournait la tête du commissaire et atterrissait sur les documents qu'il étudiait. Là, elle frottait paresseusement ses pattes les unes contre les autres et il était bien possible qu'elle le narguât.
http://www.amazon.fr/LAmi-denfance-Maigret-Georges-Simenon/dp/2253142131