Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Sur France 5, des archéologues étudient des épaves englouties au large de l'île italienne de Ventotene
C'est une petite île italienne qui répond au doux nom de Ventotene. Une île au passé mystérieux dont les eaux renferment des épaves de la Rome antique, repérées par un sonar en 2010.
Le documentaire Les Navires perdus de Rome, diffusé ce jeudi sur France 5, suit la course contre la montre d'archéologues qui disposent de cinq jours pour repêcher certains des objets qui se trouvaient à bord des bateaux romains lorsqu'ils ont fait naufrage.
L'une des épaves est celle d'un bateau marchand. Sa coque en bois s'est décomposée mais les amphores que le navire transportait sont exceptionnellement bien conservées.
Des plongeurs et le cameraman sous-marin Roberto Rinaldi, qui a travaillé avec le commandant Cousteau, s'enfoncent à 100 m en-dessous du niveau de la mer. Après vingt minutes passées au fond - un maximum à cette profondeur -, les explorateurs sous-marins remontent une amphore en excellent état pour une poterie demeurée aussi longtemps dans l'eau.
Les archéologues sont saisis d'émotion à l'idée, comme le souligne l'un d'eux, que « le dernier à avoir toucher l'amphore, il y a environ 2 100 ans, est la personne qui l'a mise dans la cale du bateau en pensant qu'elle allait arriver à destination ».
La réalité reprend vite le dessus et les scientifiques font parler leur trouvaille. La jarre date du Ier siècle avant Jésus-Christ ; elle vient d'Italie et servait à transporter du vin.
Ces amphores ont assis le pouvoir de l'Empire romain : sans les marchandises vitales qu'elles contenaient, Rome n'aurait pas régné pendant cinq cents ans.
Le documentaire Les Navires perdus de Rome, diffusé ce jeudi sur France 5, suit la course contre la montre d'archéologues qui disposent de cinq jours pour repêcher certains des objets qui se trouvaient à bord des bateaux romains lorsqu'ils ont fait naufrage.
L'une des épaves est celle d'un bateau marchand. Sa coque en bois s'est décomposée mais les amphores que le navire transportait sont exceptionnellement bien conservées.
Des plongeurs et le cameraman sous-marin Roberto Rinaldi, qui a travaillé avec le commandant Cousteau, s'enfoncent à 100 m en-dessous du niveau de la mer. Après vingt minutes passées au fond - un maximum à cette profondeur -, les explorateurs sous-marins remontent une amphore en excellent état pour une poterie demeurée aussi longtemps dans l'eau.
Les archéologues sont saisis d'émotion à l'idée, comme le souligne l'un d'eux, que « le dernier à avoir toucher l'amphore, il y a environ 2 100 ans, est la personne qui l'a mise dans la cale du bateau en pensant qu'elle allait arriver à destination ».
La réalité reprend vite le dessus et les scientifiques font parler leur trouvaille. La jarre date du Ier siècle avant Jésus-Christ ; elle vient d'Italie et servait à transporter du vin.
Ces amphores ont assis le pouvoir de l'Empire romain : sans les marchandises vitales qu'elles contenaient, Rome n'aurait pas régné pendant cinq cents ans.