Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Richard Gere crève l'écran en Giorgio Armani dans American Gigolo
Les critiques cinéma de l'époque sont unanimes. Et dithyrambiques, aussi, pour décrire, dans les colonnes des journaux français de juin 1980, l'élégance, le charisme et le sex-appeal de Richard Gere, alias Julian Kay dans American Gigolo, qui sort prochainement en salle. Dans Le Journal du dimanche, Sylvie Marcovitch commente: «Avec un tel corps agréablement musclé, bien proportionné, et un visage en harmonie, nul autre que Richard Gere ne pouvait être choisi…» Ou encore Anne de Gasperi dans Le Quotidien de Paris: «Il a une gueule d'ange, un sourire de boy-scout, il évolue avec une aisance diabolique. Son élégance est naturelle, ses muscles semblent pleins d'une santé à faire rêver les vieilles rentières en mal d'un dernier caprice. Il bat les records de sex-appeal, avec lui Paul Newman ou Robert Redford prennent un coup de vieux.»