Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Tendre est Verdi vu par Roselyne Bachelot
Quand «Le Grand 8» aura vécu, Roselyne Bachelot pourra tenir un salon. Dans le bel hôtel Napoléon III d'Éléphant Paname, où elle a choisi de dédicacer son dernier ouvrage, Verdi amoureux chez Flammarion, on déploie des rangées de sièges pour essayer d'asseoir la centaine de personnes venues l'écouter. Elle fait les honneurs du lieu, évoque son restaurant et son exposition Verdi actuellement en cours pour le bicentenaire de la naissance du compositeur. Elle a le compliment aussi facile que le sourire. Dans sa bouche, tout est «magnifique». Elle parle debout, sans regarder ses notes, robe noire assortie aux huit reflets du maestro dont le portrait s'affiche derrière elle. Conférencière? Très peu. Plutôt, pour quelques heures, maîtresse de cette maison dont elle vient de faire l'éloge