Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Les Invalides refont l’Indochine
Histoire
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Histoire
Lucien Neuwirth pose le 6 décembre 2007 dans la bibliothèque de l'Assemblée nationale à Paris. (Photo Patrick Herzog. AFP)
«Le Petit Gus au collège» de Claudine Desmarteau. (Photo Claudine Desmarteau. Albin Michel Jeunesse)
« Manière de voir » n° 132 — Décembre 2013 - janvier 2014
De Soliman le Magnifique à M. Erdogan, ce numéro retrace l’histoire de la Turquie à travers les siècles. Quel est l’héritage d’une puissance qui autrefois fascinait et inquiétait ? Comment a-t-elle abordé la transition démocratique ? Quelle est la place des islamistes aujourd’hui ?
http://commons.wikimedia.org/wiki/File:Dossi,_Dosso_-_Apollo_-_1524.jpg
Une jeune femme à demi allongée se repose sur une banquette à l’antique, appuyée du bras droit sur des coussins [ image principale ]. Sa semi-nudité et la pomme qu’elle tient dans la main gauche permettent d’identifier Vénus. À l’issue d’un concours de beauté arbitré par Pâris, Vénus avait en effet reçu la pomme d’or qui devait revenir à la plus belle déesse. Mais cette sculpture est aussi le portrait de Pauline Bonaparte, commandé vers 1804 par le prince Camillo Borghèse, son mari, à Antonio Canova.
Patrick de Carolis - Journaliste et écrivain
“Une fois admis dans le joyeux désordre de chefs-d’oeuvre de la Villa Borghèse, le visiteur est immédiatement saisi par un vertige marmoréen. Il vient de se heurter à l’oeuvre du Bernin qui règne ici en maître. Ici, c’est le rapt de Daphné dont on croit entendre le cri d’effroi alors qu’elle vient d’être saisie à la taille par Apollon. Là, un autre enlèvement mythologique, celui de Proserpine dont le corps semble pétri plus que maintenu par les mains puissantes de Pluton. À chaque fois, le corps prend vie, une vie sensuelle, troublante même car il semble que la pierre se soit soumise aux désirs des dieux, de l’artiste et peut-être même du visiteur lui-même.”
Élevé par une mère indienne, marqué par la désertion de son père – lui-même fils d’un richissime avionneur WASP –, Nicolas Stanley ne se sent nulle part à sa place. Élève brillant, il rejette violemment son milieu et l’école où il se sent à l’étroit. Il dévore Poe, Melville, Thoreau, Stephen King, s’abreuve aux comics, au rock, au cinéma, dessine sans trêve. Avide des autres et de l’inconnu, il multiplie les fugues. Dans un café du quartier branché de Seattle, il croise une artiste d’origine vietnamienne, homosexuelle et de dix ans son aînée, à qui il ose montrer son travail. Elle lui ouvre les portes de l’art alternatif, du grunge, de la révolte. L’amour fou, qu’ils découvrent ensemble, sera le territoire de leur liberté. Mais l’innocence de l’un et les déchirements de l’autre les font dériver vers les limbes des drogues et de l’alcool. Nick, pourtant, récuse cette autodestruction. Il quitte Pearl-Janis.
Revenu dans le giron maternel, il rejoint la fac, s’immerge dans ses études d’anthropologie, comme un hommage à ses ancêtres Nez-Percés. Mais sa soif des confins lui fait suivre l’appel d’une sirène québécoise, aussi rousse que Tori Amos. Il part vers le Nord et ses Inuits. Vancouver, Montréal, le Yukon, les aurores boréales, la dèche, les désillusions, la déception. Dessins plus noir que blanc, musique des abysses.
Sa première proposition de travail lui offre l’apprentissage des terres du Sud. En quête perpétuelle de ses origines, le poète métis dessine toujours, inscrit ses marques dans la Latina, traverse l’Argentine – en rêvant de La Patagonie –, le Mexique, l’Uruguay, le Brésil, où il rencontre Mariam, avec qui il fera un enfant. Serait-ce la sérénité tant recherchée ?
Mais la fureur du monde et ses démons le rattrapent. Jusqu’où devra-t-il aller pour assouvir son désir de vivre, enfin, ses désirs de connaissance et de renaissance ? Quels murs doit-il abattre pour être en accord avec ses convictions ?
Fasciné depuis l’adolescence par la quête rimbaldienne, Guillaume Staelens a réussi un véritable tour de force. Littéralement habité par les trente-sept années de vie d’Arthur Rimbaud, il les a, longtemps, développées comme une série de photos. Puis – à partir des multiples négatifs – il les a fait endosser à son anti-héros pour les inscrire dans l’histoire de la fin du XXe siècle et de la première décennie du XXIe.
Nick Stanley est le miroir de toutes les aspirations d’une génération – celle née dans les années 1970 – qui s’échouent sur les sables mouvants de la consommation à outrance, jusqu’à celle de l’être humain soi-même. Au rythme des musiques, des courants artistiques, des bouleversements politiques, économiques, sociaux et sociétaux, le lecteur suit la trajectoire d’un poète apache, traversant au galop une Amérique déstabilisée, à la victoire en berne, et qui s’est coupée de ses racines.
Suivez, sur la carte des Amériques, l’itinéraire de Nick, le poète apache
TOMBER (PLEUVOIR) DES HALLEBARDES: Expression française qui remonte à la fin du XVII ème siècle et qui signifie pleuvoir très fort ou à verse.
La première origine de cette expression française remonte au XVème siècle, période de guerre en France et la hallebarde était une sorte de lance longue et pointue. De ce fait la comparaison entre ces lances acerbes et les gouttes de pluie était légitime mais elle fut très vite délaissée.
Une autre explication quant à l'origine de cette expression française fut trouvée au XVI ème siècle en puisant dans la langue argotique où lance signifiait eau et plus tard eau de pluie, et pleuvoir se disait lancequiner.
De ce fait par simple substitution, hallebardes remplaça lance pour garder une petite touche d'antan et repose sur l'ambiguité entre le sens usuel et le sens argotique.
Il se pourrait aussi que dans cette expression française l'évocation d'une grande quantité de pluie lui confère l'opacité d'un objet plus solide comme ces lances. Une autre expression française s'est vue rajoutée dans ce sens de solidité à savoir qu' "il pleut des cordes"
http://www.expressions-francaises.fr/expressions-t/453-tomber-pleuvoir-des-hallebardes.html
Mots clés : Potel et Chabot, Paris, Alain Senderens
Simon, François
22/11/2013 | Mise à jour : 17:27
Définition « allégresse » du dictionnaire académique Français, parution de l’année 1986.
Signification du terme « allégresse », parution de 1932, dictionnaire académique Français.
Ancienne signification éditée en 1835 pour le terme « allégresse » par l’Académie Française.
Ancienne définition de « allégresse » de source académique (Académie Française, parution de 1798).
Mots clés : Lucas Carton
Lutaud, Léna
22/11/2013 | Mise à jour : 17:24
Mots clés : Arts premiers, Musée du quai Branly
Biétry-Rivierre, Eric
22/11/2013 | Mise à jour : 20:05
Signification |
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Evident. |
Origine |
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En ancien français, le mot "roche" signifiait "cave". L'"eau de roche" était en fait l'eau de source, réputée pour sa limpidité et sa transparence. C'est sur ces caractéristiques qu'est née l'expression "clair comme de l'eau de roche" que l'on utilise pour dire qu'un acte ou une parole est "transparente", c'est-à-dire lorsque sa signification est évidente. http://www.linternaute.com/expression/langue-francaise/202/clair-comme-de-l-eau-de-roche/ |
« La force des gouvernements est en raison inverse du poids des impôts. »
Mots clés : Lisbonne
Lapaque, Sébastien
21/11/2013 | Mise à jour : 16:34
L'anagramme consiste à mélanger les lettres d'un mot pour en former un autre. Nous nous sommes tous, un jour ou l'autre, amusés à ce jeu. Mais, en matière d'anagrammes, comme pour toutes choses, il y a des génies.
Perfecto, Wayfarer, Vespas, Gibson, enceintes Elipson...sans eux le rock ne serait pas ce qu'il est. Accessoires des stars, instruments mythiques, (re-)découvrez l'histoire de ces objets cultes grâce à cette sélection des cent meilleures chroniques « Cultes des objets » de Rock & Folk.
Journaliste, Hugues Cornièreécrit notamment pour Rock & Folk.