Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Par
laura
VANEL-COYTTE
Catégories : A lire, CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, CEUX QUE J'AIME, Des artistes
El Lissitzky : l'expérience de la totalité
Anne-Marie Rubio
Oliva María Rubio est titulaire d’un doctorat en histoire de l’art de l’université autonome de Madrid. Avant de devenir directrice des expositions à La Fábrica en 2004, elle a été commissaire générale de PHotoEspaña (PHE), le festival international de la photographie et des arts visuels organisé chaque année à Madrid.
Oliva María Rubio est titulaire d’un doctorat en histoire de l’art de l’université autonome de Madrid. Avant de devenir directrice des expositions à La Fábrica en 2004, elle a été commissaire générale de PHotoEspaña (PHE), le festival international de la photographie et des arts visuels organisé chaque année à Madrid.
Anne-Marie Rubio
Oliva María Rubio est titulaire d’un doctorat en histoire de l’art de l’université autonome de Madrid. Avant de devenir directrice des expositions à La Fábrica en 2004, elle a été commissaire générale de PHotoEspaña (PHE), le festival international de la photographie et des arts visuels organisé chaque année à Madrid.
Oliva María Rubio est titulaire d’un doctorat en histoire de l’art de l’université autonome de Madrid. Avant de devenir directrice des expositions à La Fábrica en 2004, elle a été commissaire générale de PHotoEspaña (PHE), le festival international de la photographie et des arts visuels organisé chaque année à Madrid.
Présentation de l'ouvrage
Synopsis
Eliezer (Lazar) Markovitch Lissitzky (Pochinok, près de Smolensk, Russie, 1890 – Moscou, 1941), dit El Lissitzky, est l’un des artistes les plus influents, les plus novateurs et les plus controversés du début du XXe siècle. Peintre, designer, architecte et photographe prolifique, il a travaillé avec l’avant-garde soviétique et européenne des années 1920 et participé activement à l’art propagandiste stalinien des années 1930. L’une des spécificités majeures de son œuvre comme de sa vie est le « franchissement des limites » : il a rapproché les pays et les cultures, l’art et le design, l’Est et l’Ouest. Après 1917, pendant la période du communisme de guerre, il vit à l'étranger où il fait office d'ambassadeur culturel, promouvant l'art russe et les idées soviétiques à l'Ouest tout en s'informant sur la culture occidentale. Pour lui, l’art ne doit pas être considéré comme le fruit d’une expression personnelle ou comme une production d’objets, mais comme une activité sociale et collective. Avec Kazimir Malevitch, il développe un nouveau langage visuel – le suprématisme révolutionnaire – employé non seulement en peinture, mais aussi en arts graphiques et en gravure, en architecture et en théâtre, en céramique, dans les théories de l’éducation et dans les écrits révolutionnaires. Avec ses étudiants, il peint des figures immenses – points, triangles, carrés – sur les tramways et les bâtiments de la ville de Vitebsk. Son procédé visuel « Proun » lui sert à concevoir des costumes et des machines de scène, notamment pour l’opéra futuriste La Victoire sur le soleil, en 1920-1921. Comme d’autres artistes russes, Lissitzky recourt à des moyens visuels nouveaux pour faire passer le message idéologique. Dans ses œuvres, il s’attache à montrer que sa technique est un processus destiné non pas à produire des objets finis, mais à proposer un « processus créateur », que ce soit pour faire un livre, organiser une page imprimée ou produire de la publicité ou de la propagande, de l’architecture ou du design. Comme les constructivistes russes, qu’il admire, il met son énergie créatrice au service de la création d'une nouvelle structure sociale, où le nouvel ingénieur-architecte-artiste pourra franchir et supprimer les anciennes limites. Les œuvres qu’il a exécutées dans le cadre de la conception de livres, de journaux et de magazines sont celles qui ont eu la plus grande influence. On lui doit des innovations radicales dans les domaines de la typographie et du photomontage.
Eliezer (Lazar) Markovitch Lissitzky (Pochinok, près de Smolensk, Russie, 1890 – Moscou, 1941), dit El Lissitzky, est l’un des artistes les plus influents, les plus novateurs et les plus controversés du début du XXe siècle. Peintre, designer, architecte et photographe prolifique, il a travaillé avec l’avant-garde soviétique et européenne des années 1920 et participé activement à l’art propagandiste stalinien des années 1930. L’une des spécificités majeures de son œuvre comme de sa vie est le « franchissement des limites » : il a rapproché les pays et les cultures, l’art et le design, l’Est et l’Ouest. Après 1917, pendant la période du communisme de guerre, il vit à l'étranger où il fait office d'ambassadeur culturel, promouvant l'art russe et les idées soviétiques à l'Ouest tout en s'informant sur la culture occidentale. Pour lui, l’art ne doit pas être considéré comme le fruit d’une expression personnelle ou comme une production d’objets, mais comme une activité sociale et collective. Avec Kazimir Malevitch, il développe un nouveau langage visuel – le suprématisme révolutionnaire – employé non seulement en peinture, mais aussi en arts graphiques et en gravure, en architecture et en théâtre, en céramique, dans les théories de l’éducation et dans les écrits révolutionnaires. Avec ses étudiants, il peint des figures immenses – points, triangles, carrés – sur les tramways et les bâtiments de la ville de Vitebsk. Son procédé visuel « Proun » lui sert à concevoir des costumes et des machines de scène, notamment pour l’opéra futuriste La Victoire sur le soleil, en 1920-1921. Comme d’autres artistes russes, Lissitzky recourt à des moyens visuels nouveaux pour faire passer le message idéologique. Dans ses œuvres, il s’attache à montrer que sa technique est un processus destiné non pas à produire des objets finis, mais à proposer un « processus créateur », que ce soit pour faire un livre, organiser une page imprimée ou produire de la publicité ou de la propagande, de l’architecture ou du design. Comme les constructivistes russes, qu’il admire, il met son énergie créatrice au service de la création d'une nouvelle structure sociale, où le nouvel ingénieur-architecte-artiste pourra franchir et supprimer les anciennes limites. Les œuvres qu’il a exécutées dans le cadre de la conception de livres, de journaux et de magazines sont celles qui ont eu la plus grande influence. On lui doit des innovations radicales dans les domaines de la typographie et du photomontage.
Synopsis
Eliezer (Lazar) Markovitch Lissitzky (Pochinok, près de Smolensk, Russie, 1890 – Moscou, 1941), dit El Lissitzky, est l’un des artistes les plus influents, les plus novateurs et les plus controversés du début du XXe siècle. Peintre, designer, architecte et photographe prolifique, il a travaillé avec l’avant-garde soviétique et européenne des années 1920 et participé activement à l’art propagandiste stalinien des années 1930. L’une des spécificités majeures de son œuvre comme de sa vie est le « franchissement des limites » : il a rapproché les...
Eliezer (Lazar) Markovitch Lissitzky (Pochinok, près de Smolensk, Russie, 1890 – Moscou, 1941), dit El Lissitzky, est l’un des artistes les plus influents, les plus novateurs et les plus controversés du début du XXe siècle. Peintre, designer, architecte et photographe prolifique, il a travaillé avec l’avant-garde soviétique et européenne des années 1920 et participé activement à l’art propagandiste stalinien des années 1930. L’une des spécificités majeures de son œuvre comme de sa vie est le « franchissement des limites » : il a rapproché les...
Le livre en quelques mots
Eliezer (Lazar) Markovitch Lissitzky (Pochinok, près de Smolensk, Russie, 1890 – Moscou, 1941), dit El Lissitzky, est l’un des artistes les plus influents, les plus novateurs et les plus controversés du début du XXe siècle. Peintre, designer, architecte et photographe prolifique, il a travaillé avec l’avant-garde soviétique et européenne des années 1920 et participé activement à l’art propagandiste stalinien des années 1930. L’une des spécificités majeures de son œuvre comme de sa vie est le « franchissement des limites » : il a rapproché les pays et les cultures, l’art et le design, l’Est et l’Ouest. Après 1917, pendant la période du communisme de guerre, il vit à l'étranger où il fait office d'ambassadeur culturel, promouvant l'art russe et les idées soviétiques à l'Ouest tout en s'informant sur la culture occidentale. Pour lui, l’art ne doit pas être considéré comme le fruit d’une expression personnelle ou comme une production d’objets, mais comme une activité sociale et collective. Avec Kazimir Malevitch, il développe un nouveau langage visuel – le suprématisme révolutionnaire – employé non seulement en peinture, mais aussi en arts graphiques et en gravure, en architecture et en théâtre, en céramique, dans les théories de l’éducation et dans les écrits révolutionnaires. Avec ses étudiants, il peint des figures immenses – points, triangles, carrés – sur les tramways et les bâtiments de la ville de Vitebsk. Son procédé visuel « Proun » lui sert à concevoir des costumes et des machines de scène, notamment pour l’opéra futuriste La Victoire sur le soleil, en 1920-1921. Comme d’autres artistes russes, Lissitzky recourt à des moyens visuels nouveaux pour faire passer le message idéologique. Dans ses œuvres, il s’attache à montrer que sa technique est un processus destiné non pas à produire des objets finis, mais à proposer un « processus créateur », que ce soit pour faire un livre, organiser une page imprimée ou produire de la publicité ou de la propagande, de l’architecture ou du design. Comme les constructivistes russes, qu’il admire, il met son énergie créatrice au service de la création d'une nouvelle structure sociale, où le nouvel ingénieur-architecte-artiste pourra franchir et supprimer les anciennes limites. Les œuvres qu’il a exécutées dans le cadre de la conception de livres, de journaux et de magazines sont celles qui ont eu la plus grande influence. On lui doit des innovations radicales dans les domaines de la typographie et du photomontage.
Eliezer (Lazar) Markovitch Lissitzky (Pochinok, près de Smolensk, Russie, 1890 – Moscou, 1941), dit El Lissitzky, est l’un des artistes les plus influents, les plus novateurs et les plus controversés du début du XXe siècle. Peintre, designer, architecte et photographe prolifique, il a travaillé avec l’avant-garde soviétique et européenne des années 1920 et participé activement à l’art propagandiste stalinien des années 1930. L’une des spécificités majeures de son œuvre comme de sa vie est le « franchissement des limites » : il a rapproché les pays et les cultures, l’art et le design, l’Est et l’Ouest. Après 1917, pendant la période du communisme de guerre, il vit à l'étranger où il fait office d'ambassadeur culturel, promouvant l'art russe et les idées soviétiques à l'Ouest tout en s'informant sur la culture occidentale. Pour lui, l’art ne doit pas être considéré comme le fruit d’une expression personnelle ou comme une production d’objets, mais comme une activité sociale et collective. Avec Kazimir Malevitch, il développe un nouveau langage visuel – le suprématisme révolutionnaire – employé non seulement en peinture, mais aussi en arts graphiques et en gravure, en architecture et en théâtre, en céramique, dans les théories de l’éducation et dans les écrits révolutionnaires. Avec ses étudiants, il peint des figures immenses – points, triangles, carrés – sur les tramways et les bâtiments de la ville de Vitebsk. Son procédé visuel « Proun » lui sert à concevoir des costumes et des machines de scène, notamment pour l’opéra futuriste La Victoire sur le soleil, en 1920-1921. Comme d’autres artistes russes, Lissitzky recourt à des moyens visuels nouveaux pour faire passer le message idéologique. Dans ses œuvres, il s’attache à montrer que sa technique est un processus destiné non pas à produire des objets finis, mais à proposer un « processus créateur », que ce soit pour faire un livre, organiser une page imprimée ou produire de la publicité ou de la propagande, de l’architecture ou du design. Comme les constructivistes russes, qu’il admire, il met son énergie créatrice au service de la création d'une nouvelle structure sociale, où le nouvel ingénieur-architecte-artiste pourra franchir et supprimer les anciennes limites. Les œuvres qu’il a exécutées dans le cadre de la conception de livres, de journaux et de magazines sont celles qui ont eu la plus grande influence. On lui doit des innovations radicales dans les domaines de la typographie et du photomontage.