Regina Bogat, Aegean, 1964, papier collé, encre, aquarelle sur papier, 25,5 x 27,9 cm (Galerie Zürcher, Paris-New York ©Adam Reich. Courtesy The Morgan Library, New York).

Un « trésor maya resté inviolé ». C’est en ces termes que Bernard Zürcher décrit l’œuvre de Regina Bogat, née en 1928, artiste américaine restée dans l’ombre de son mari, le peintre Alfred Jensen.

Très lancée dans la vie new-yorkaise de l'époque, elle avait gagné l'amitié d'Eva Hesse, Donald Judd, Sam Francis ou Mark Rothko. Partageant avec enthousiasme les recherches de son mari, elle s'est passionnée pour le calendrier maya et la cosmologie chinoise... Regina Bogat livre une oeuvre originale, entièrement axée sur l'abstraction, colorée, cloisonnée, rythmée par le métal et ou le Plexiglas, qui va de 4 000 EUR à 45 000 EUR.

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