Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
De Goya à Delacroix : les relations artistiques de la famille Guillemardet
Pour la seconde fois, le musée Rolin d’Autun organise une exposition avec la collaboration exceptionnelle du musée du Louvre.
L'occasion de découvrir la fulgurante ascension d'un médecin bourguignon, Ferdinand-Pierre Guillemardet, qui, après avoir été maire d'Autun et député, sera ambassadeur de France en Espagne. Il sera alors peint par Goya. Il achètera aussi une série des célèbres "Caprices"du peintre espagnol.
Nouant des liens d'amitié avec la famille Delacroix, les Guillemardet affichent un destin hors du commun.
Le portrait de Ferdinand Guillemardet peint par Goya, prêté par le musée du Louvre, constitue l’une des pièces maîtresses de l’exposition.
Il trouvera son écho dans le portrait de son fils, Félix Guillemardet, peint par Delacroix.
Fait remarquable, c’est la première fois que ce tableau issu d’une collection privée américaine, sera présenté au public en France. En effet cette œuvre du peintre parisien dont on connaissait l’existence mais dont on avait perdu la trace, a été acquise récemment par un collectionneur américain.
Il reviendra en France pour la première fois à l’occasion de l’exposition d’Autun.
Avec Le feuilletoire numérique découvrez de manière ludique et didactique la série les Caprices de Goya, et les carnets de dessins d'Eugène Delacroix.
L’écran tactile et sa fonction zoom facilitent une approche en détails des œuvres.
La rétroprojection vient en aide aux commentaires à destination des groupes : une autre façon d’appréhender une œuvre d’art !
Portraits de famille
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Le père, Ferdinand Pierre-Dorothée Guillemardet Né le 3 avril 1765, Ferdinand Pierre-Dorothée Guillemardet est originaire de Couches, petite bourgade de Saône-et-Loire, proche d’Autun. Il fait ses études de médecine à Montpellier, puis s'installe à Autun où il devient maire puis est élu député le 6 septembre 1792, membre de la Convention par le département de Saône-et-Loire. Il prend une part active dans les grands moments politiques de la Révolution, et en 1798, est nommé ambassadeur de France en Espagne grâce à Talleyrand, ministre des Relations extérieures et ancien évêque d'Autun. Il est préfet de Charente-Inférieure, puis de l’Allier (12 juillet 1806). Le 5 octobre 1808, Ferdinand Guillemardet est fait chevalier de l’Empire mais il meurt l’année suivante, frappé d’aliénation mentale. Il a été portraituré par Goya plein d'assurance à l'image de la jeune république qu'il représentait. Très proche de Charles Delacroix, Ferdinand Guillemardet signe comme témoins sur l’acte de naissance d’Eugène Delacroix. |
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Le fils aîné Louis Guillemardet (1790-1865) Frère de Félix, Annette et Caroline, Louis, fonctionnaire, est un ami d’Eugène Delacroix. Ils resteront toujours très liés. En 1809, intègre le ministère des Finances et devient secrétaire général des finances. Sa profession le tient éloigné de Paris durant de nombreuses années – il exerce à La Rochelle, Thionville, Lorient, Strasbourg, Toulouse, Nantes. En 1861, Louis offre à Delacroix des esquisses de Goya décrites par l’artiste comme “fort intéressantes pour moi et [elles] sont un échantillon très curieux de Goya”. En 1862, le peintre conseille Louis Guillemardet dans l’éventuel placement de sa collection de tableaux (30 œuvres anciennes et modernes de diverses écoles) (20 et 11 octobre 1862). À sa mort en 1863, Delacroix lui lègue quelques objets précieux et personnels. |
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Le cadet, Félix Guillemardet (1796-1842) Ami de jeunesse de Delacroix, Félix Guillemardet est élève au Lycée impérial également fréquenté par Delacroix, Piron et Pierret. Il sera accueilli par Victoire Delacroix lors des absences de sa mère de la capitale. Il fait des études de droit tout en écrivant des poésies qu’il soumet à Lamartine, voisin de sa tante à Mâcon. Toute sa vie, Delacroix reste fidèle à son ami d’enfance comme en témoigne les nombreuses lettres échangées. L’artiste dessine le portrait de son ami au début des années 1820 (Paris, musée du Louvre) ; en 1835, il réalise un beau portrait peint de Félix, resté propriété de la famille jusqu’en 2010 ; récemment vendu à un collectionneur américain, cette œuvre est présentée dans l’exposition d’Autun et, pour la première fois, sur les cimaises d’un musée français. Félix Guillemardet a souffert d’une longue maladie. Alphonse de Lamartine lui rend hommage et compose l'“Ode à Félix Guillemardet” parue dans les Recueillements poétiques en 1839. Il décède en 1842. |
Synopsis de l'exposition : 4 salles du musée pour 4 thématiques
Les origines familiales
Le Collège d’Autun - Joseph Bonaparte, condisciple de Guillemardet
Les études de médecine à Montpellier, le médecin à Autun
L’homme politique, le représentant du peuple (1787-1797)
Guillemardet et la Révolution à Autun
Les relations politiques et amicales des familles Delacroix et Guillemardet.
Ferdinand Guillemardet et l’Espagne
L’ambassadeur de France en Espagne
La commande du portrait officiel à Goya
L’acquisition des Caprices
Le retour en France
Le préfet de Charente-Inférieure et de l’Allier
L’implication au sein des sociétés savantes et historiques
Collectionneurs et donateurs
Une fin tragique
Eugène Delacroix et les Guillemardet
La complicité avec la famille Guillemardet : madame Mère, Louis, Caroline et Félix
La découverte de Goya grâce aux Guillemardet
Le cercle artistique et littéraire
Les liens avec la Bourgogne.
Le feuilletoire numérique
Apprendre en s'amusant avec le feuilletoire numérique
Pour découvrir de manière à la fois ludique et didactique les gravures issues de la série intitulée « Les caprices de Goya » ainsi que les carnets de dessins d'Eugène Delacroix.
Un écran tactile posé sur un pupitre pour tourner les pages de façon virtuelle.
Une réplique à l’échelle 1 de l'œuvre sur un grand écran, ce qui facilite une visite en groupe
Des zooms explicatifs sur des détails de l'oeuvre.
Les détails diffusés via la projection mis en évidence sur l'œuvre par un éclairage ou un cadre contour
Une autre façon d’appréhender une œuvre d’art !
Les oeuvres à découvrir
Les oeuvres de Francesco Goya y Lucientes
- Portrait de Ferdinand Guillemardet
- 17 "Caprices "(eaux-fortes et aquatintes)
- Portrait de la marquise de Santa Cruz
- Six lithographies et deux eaux-fortes
Les oeuvres d'Eugène Delacroix
- Portrait de Félix Guillemardet, 1835 (tableau issu d'une collection privée)
- Portrait de Félix Guillemardet, dessin
- Auto-portrait
- Etude d'après des vêtements souliotes et des figures d'après Goya
- Portrait de Thalès Fielding
- Portrait de Charles-Henri Delacroix, général d'Empire
- Coin d'atelier, le poêle
- Saint-Georges terrassant le dragon
- Portrait de Léon Riesener
- 3 lithographies et eau-forte et 4 dessins
- Diverses lettres et 2 deux cahiers de classe
Les portraits d'Eugène Delacroix
- Portrait de E. Delacroix par Thales Fielding
- Portrait de E. Delacroix par Jean Gigoux, (lithographie)
- Portrait de E. Delacroix à 20 ans par A. Boilly, (dessin)
- Portrait de E. Delacroix à 26 ans par A.M. Colin, (dessin)
Les autres
- Portrait d'A. de Lamartine par F. Gérard- Portrait de Jean-Baptiste Milhaud, anonyme
- Portrait de Frédéric Villot par H. Rodakowski
- Portrait de George Sand par T. Couture
- Des portraits des Bonaparte par Jacques Réattu (dessins)
- Portraits de Monnier, orfèvres à Autun et de son épouse
- Charles-Maurice de Talleyrand-Périgord, évêque d'Autun
- Portrait de Michel le Peletier de Saint-Fargeau
- Portrait de J.L. Gouttes, évêque constitutionnel de Saône-et-Loire par Barbier l’Aîné,
- Portrait de Victor Lanneau, début XIXe, directeur du collège Sainte-Barbe à Paris
- Portrait de Michel Tripier, chirurgien à l'hôpital Saint-Gabriel d'Autun
Et aussi
- 4 dessins par Dominique Vivant-Denon, copies d'après J.L. David: Les costumes de fonctionnaires et de représentants du peuple pendant la Révolution
- François Gérard, Le 10 août 1792
- J.A. Chauvet, Lycée Louis le Grand, la porte d'entrée et la chapelle (deux dessins)
- J.B. Lallemand, La place du Champ de Mars à Autun, vers 1775
- Anonyme, Vue de l'hôpital Saint-Gabriel d'Autun
- (Attribué à) Gittard, Façade de l'hôpital St-Gabriel d'Autun
- Louis de Monard, La cavalcade de la Saint-Ladre
- Alexandre-Marie Colin, Sara la Baigneuse, 1838
- Joseph-Ferdinand Boissard de Boisdenier, Devant de cheminée, 1834 (huile sur toile)
Les Caricatures de Jean-Pierre, Dantan le Jeune (dit): figurines en plâtre patiné
- Gioacchino Rossini, compositeur (1792-1868), 1831
- Horace Vernet , peintre (1789-1863), 1831
- Jérôme-Henri Bertini (1798-1876), compositeur, 1831
- Auguste Matthieu Panseron, compositeur (1796-1859), 1832
- François-Antoine Habeneck (1781-1849), Franz Liszt, compositeur (1811-1886), 1833 et 1836
- Louis Lablache, chanteur (1794-1858), 1831
- Gilbert Duprez, chanteur(1806-1896), 1837
Les objets
- Grand plat circulaire, L'enlèvement d'Europe, Nevers, XVIIe siècle, legs Louis Guillemardet
- Calice à piédouche, faïence de Nevers, 4e quart du XVIIIe, don Louis Guillemardet
- Affiche 1793, Liberté, Egalité/Unité, Indivisibilité de la République française (impression couleur sur papier)
- 4 faïences révolutionnaires
- Plaque en marbre noir de l'Hôtel de Ville d'Autun, 1790
Et des documents révolutionnaires et post révolutionnaires de la Société Eduenne, des Archives municipales d'Autun et des Archives départementales de Saône-et-Loire (dont Terrier de Couches).
Les prêteurs
Musée du Louvre
Musée national Eugène-Delacroix
Bibliothèque nationale de France
Musée Carnavalet
Musée de la Révolution, Vizille
Château de Versailles
Musée des Beaux-Arts de Besançon
Musée des Beaux-Arts de Rouen
Musée Goya, Castres
Musée Réattu, Arles
Musée de la faïence de Nevers
Collection privée (USA)
Et des oeuvres issues des collections du musée Rolin d'Autun
Ils nous soutiennent : partenaires et mécènes
Institutionnels :
Partenaires privés :
« L’appui que nous apportons au musée Rolin est la continuité de notre engagement auprès de la communauté de commune du Grand Autunois Morvan pour une « Ville Durable ».
Cette démarche a pour objectif de permettre au plus grand nombre de faire des économies d’énergies et d'améliorer les performances thermiques des logements par de l'information, des diagnostics, des propositions de financement et la sensibilisation aux éco-gestes.
Ainsi, par une baisse de ses consommations énergétiques, chacun contribue à la sauvegarde de notre environnement. »
Yves Chevillon, Directeur EDF Commerce dans l’EST.
Gauthey Automatismes, plus de 55 années d’expérience !
Le Futur au Présent ! Telle est la devise de Gauthey Automatismes qui se consacre depuis de nombreuses années aux technologies de pointe dans les domaines de l’automatisme et de l’informatique industrielle, tout en conservant son métier de base, l’électricité industrielle.
Plus d’une quarantaine de collaborateurs, ingénieurs, techniciens et monteurs associent leurs compétences pour réaliser des équipements complexes. La formation et la recherche sont les « fers de lance » de l’entreprise, ce qui permet de proposer aux clients de véritables solutions innovantes, dans des domaines pointus comme la gestion de processus, la vision, la robotique, la régulation, etc.
A cela il faut ajouter le savoir-faire « clé en main » de Gauthey Automatismes, avec une spécialisation par métiers, dans des domaines tels que l’agroalimentaire, l’automobile, la sidérurgie, le contrôle non destructif destiné aux douanes, l’environnement dont le traitement de l’eau, les plateformes logistiques automatisées, les machines spéciales, etc.
Aujourd’hui Gauthey Automatismes réalise près de 60% de son chiffre d’affaire à l’International : Europe, Amérique du Nord et du Sud, Afrique et Asie.
Un bref historique de la Société :
-1957 : M. Arsène Gauthey fonde la société Electricité Gauthey et Fils
-1979 : M. Arsène Gauthey prend sa retraite. Ses deux fils Guy et Marc lui succèdent à la tête de l’entreprise.
-1992 : Création de la société Gauthey Automatismes per M. Marc Gauthey. La société Gauthey Electricité est dirigée par M. Guy Gauthey.
-2000 : les deux sociétés deviennent totalement indépendantes l’une de l’autre.
-2008 : M. Marc Gauthey prend sa retraite. Ses deux fils Pascal et Julien lui succèdent à la tête de l’entreprise.
Le dispositif "tags NFC - QRcodes" en partenariat avec Orange
Cinq oeuvres de l'exposition sont munies d'étiquettes électroniques qui donnent accès via les smartphones et les tablettes à des informations complémentaires.
Comment ça marche ?
Le visiteur se connecte au réseau Internet disponible dans le musée grâce à un code qui lui est remis à l'entrée.
Une fois devant l'un des cinq tableaux munis du dispositif, soit il approche son téléphone vers le tag NFC, soit il flashe le QRcode.
Il peut alors enrichir sa visite par des détails sur les œuvres, des bandes-son ou des images compémentaires.
Ce dispositif est rendu possible grâce au partenariat que la Ville d'Autun a signé avec la société Orange qui met en œuvre des projets associant la culture et l’innovation technologique.
L'exposition en pratique
Ouverture
Du 21 juin au 21 septembre 2014
Musée Rolin, 3 rue des Bancs à Autun – Quartier cathédrale
Accès tous les jours sauf mardi
De 10 h à 13 h et de 14 h à 18 h
L'exposition est ouverte le 14 juillet.
Tarifs
Individuels
- Visite couplée expo + musée 7,00 €
Gratuité pour les scolaires
Tarif réduit de 4,50€ accordé aux étudiants, personnes bénéficiaires des minimas sociaux ou d'une pension d'invalidité (sur présentation d'un justificatif)
Visites guidées
- Groupe de 15 personnes : forfait de 122€
- Au-delà de 15 personnes : 5,50€ par personne
Les vendredis des Rendez-vous du Louvre
Visites guidées en soirée proposées par les conservateurs
Vendredis 18 juillet, 8, 29 août et 12 septembre 2014 à 19 heures
Catalogue : 35 € - 172 pages et 135 illustrations
Organisation
Commissariat scientifique
Brigitte Maurice-Chabard, conservateur en chef du musée Rolin
Marcel Dorigny, maître de conférences à l'Université Paris VIII
Comité scientifique
Michèle Hannoosh, directrice du département de langues et littératures romanes à l’université du Michigan (Etats-Unis)
Vincent Pomarède, directeur du département des Peintures et de la direction de la Médiation et de la Programmation culturelle du musée du Louvre
Dominique de Font-Réaulx, conservateur en chef, directrice du musée national Eugène-Delacroix
Sébastien Allard, conservateur en chef, adjoint au directeur du département des Peintures du musée du Louvre
Guillaume Kientz, conservateur au département des Peintures du musée du Louvre
Auteurs du catalogue
- Sébastien Allard, conservateur en chef, adjoint au directeur du département des Peintures du musée du Louvre
- Jean-Louis Augé, conservateur en chef, musée Goya de Castres
- Michèle Bimbenet-Privat, conservateur en chef au département des Objets d'art, musée du Louvre
- Marcel Dorigny, maître de conférences en histoire à l’université de Paris VIII
- Dominique de Font-Réaulx, conservateur en chef, directrice du musée national Eugène-Delacroix
- Michèle Hannoosh, directrice du département de langues et littératures romanes à l’université du Michigan (Etats-Unis)
- Guillaume Kientz, conservateur au département des Peintures du musée du Louve
- Brigitte Maurice-Chabard, conservateur en chef du musée Rolin
- Françoise Reginster, conservateur en chef du musée de la Faïence de Nevers
- Marie-Pierre Salé, conservateur en chef au département des Arts graphiques du musée du Louvre
- Xavier Salmon, conservateur général, directeur du département des Arts graphiques du musée du Louvre
- Lorraine et Bertrand Servois, propriétaires du château de Beffes
- Catriona Seth, professeur de littérature française du XVIIIe siècle à l’Université de Lorraine, Nancy
- André Strasberg, conservateur au musée Rolin, Autun
- Louis Torchet, conservateur en chef honoraire, bibliothèque municipale de Bordeaux
- Juliette Trey, conservateur au département des Arts graphiques du musée du Louvre
- Juliet Wilson-Bareau, historienne de l’art, spécialiste de Goya
L’introduction de la publication a été confiée à Vincent Pomarède, directeur du département des Peintures et de la direction de la Médiation et de la Programmation culturelle du musée du Louvre
Graphisme
Agence les Pistoléros, Dijon
Scénographie
Société CH -CL et musée Rolin, Autun
Communication, mécénat, partenariat
Direction de la Communication d’Autun et de l’Autunois
Les Rendez-vous du Louvre, un partenariat original
En 2010, le Louvre et la Ville d’Autun ont signé une convention de partenariat qui a initié entre le musée Rolin, musée municipal d’Autun et le musée du Louvre, un partenariat scientifique et pédagogique durable.
Ce partenariat s’inscrit, pour le Louvre, dans sa mission de coopération avec les musées de France, dans une volonté de présenter les collections nationales au plus large public et de favoriser l’accès aux oeuvres.
Pour le musée d’Autun, cette collaboration s’inscrit dans le cadre de son projet de rénovation et d’extension du musée Rolin qui se profile à l’occasion du contrat de projets Etat-Région qui débutera en 2015.
Avec ce partenariat, le musée Rolin est le seul musée de Bourgogne à s’engager dans une telle convention.
L’accord prévoit la réalisation d’expositions-dossiers et le prêt d’oeuvres. Cinq expositions temporaires sont programmées entre 2012 et 2020. Après l’exposition consacrée en 2012 à Bologne et le pontifical d’Autun : Un chef d’oeuvre inconnu du premier Trecento, l’exposition 2014 De Goya à Delacroix, Les relations artistiques de la famille Guillemardet, est la seconde d’entre elles.
Expositions à venir
Jean Rolin, cardinal et évêque d'Autun
Le mécène et l'humaniste de la seconde moitié du XVe siècle
Lemoyne, Bertin, Natoire
La peinture aimable des années 1715-1740
Le romantisme selon Jean-Adrien Guignet (1816-1854)
L'image par excellence de l'artiste romantique
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Dossier de presse de l'exposition De Goya à Delacroix, les relations artistiques des Guillemardet
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Musée Rolin
3, rue des Bancs -71400 Autun - musee.rolin@autun.com Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Musée : 03 85 52 09 76 - Administration : 03 85 54 21 60