Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Etienne Daho bientôt en concert à Bruxelles: la DH l'a rencontré
Publié le jeudi 16 juillet 2015 à 05h40 - Mis à jour le jeudi 16 juillet 2015 à 13h34
Lana Del Rey crée la sensation
Entre Les déferlantes d’Argeles et les arènes de Nîmes, Etienne Daho avait quelques jours pour souffler. Sauf que c’est mal connaître le chanteur que de croire qu’il va aller se poser sur un transat et regarder passer les bateaux. C’est donc à Londres qu’on parvient - non sans mal - à le joindre, tandis qu’il déambule dans les rues de la capitale anglaise. S’il y vit relativement en paix, il n’est jamais à l’abri d’un groupe de français en goguette qui vient interrompre notre discussion. Cela le fait plutôt marrer et donne à notre entretien une légèreté que l’on avait senti poindre lors de la sortie de son dernier album, Les chansons de l’innocence retrouvée.
Finalement, les festivals, ça vous plaît, alors ?
"Dans les années 90, j’avais horreur de ça. Parce que j’aime bien jouer dans des endroits fermés… Il y avait toujours des intempéries, des annulations, on se prenait la flotte sur la tronche. Mais là, depuis 2008 et le grand bain des Vieilles Charrues, devant 60.000 personnes, je me suis rendu compte que j’avais adoré ça. Depuis, je n’avais plus vraiment eu l’occasion, mais l’an dernier, à la suite de la tournée, à la surprise générale, j’ai dit que j’avais envie de faire des festivals. Et me voilà."