Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Les résultats du Café Thé n°69 - Trois petits lapins...:Je suis 2 e ex-aequo avec mon poème "Jules et Jim"
S'aimaient d'amour tendre
Mais comment s'y prendre
Quand on est deux pour une lapine
Deux petits lapins et leur amie
S'aimaient d'amour tendre
Mais comment s'y prendre
Quand la lapine n’a pas choisi
Quand on est deux âmes
Amoureuses d’un seul cœur
Chacun des deux aimeraient
Poser un lapin à l’autre
Et de son côté la belle
Se rêverait sans drame
Une âme aimant deux cœurs
A l’abri dans la proche forêt
S'aimaient d'amour tendre
Mais comment s'y prendre
Quand on est deux pour une lapine
Deux petits lapins et leur amie
S'aimaient d'amour tendre
Mais comment s'y prendre
Quand la lapine n’a pas choisi
S'aimaient d'amour tendre
Mais comment s'y prendre
Quand on est deux pour une lapine
Deux petits lapins et leur amie
S'aimaient d'amour tendre
Mais comment s'y prendre
Quand la lapine n’a pas choisi
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Voici les autres textes participants:
1ère) Martine du blog "Les jeux du vendredi" : Les petits lapins et le destin...
Assis sur le popotin
Trois petits lapins
Hésitaient sur le chemin
Fonça vers la forêt
Il y trouva un fourré
Y fit son terrier
Et ce fut fini !
Choisit des prés, les senteurs
Il y trouva quelques consoeurs
Et s'installa dans le bonheur...
Un chasseur vint le déranger
Dans sa tête d'écervelé
un peu de plomb et ce fut fait !
Par la ferme fut tenté
Il y trouva nourriture aisée
Mais aussi, grillage et clapier.
Ah je suis en sécurité
Tant pis pour ma liberté !
De tous les dangers.
2ème ex-aequo) Brigitte-Ecureuil bleu : Quand trois petits lapins jouent à "1,2, 3, Soleil !"
4ème ex-aequo) Jill Bill du blog "Melting-pot" : Lopin et ses lapins...
(A la manière de : Jean de La Fontaine)
Trois petits lapins coquins,
Sortis en catimini ce matin du terrier,
Gambadaient gaiment sur l’herbe au bord de l’eau.
Les oiseaux chantaient dans les grands arbres,
Le soleil ruisselait, l’air était limpide…
Et celui-ci dévorait à pleine dents
Moult essences parfumées,
Tandis que les deux autres,
Croquaient voluptueusement les fruits tombés.
La liberté grisait ce petit monde.
Ivres de soleil et de parfums,
Les trois petits lapins, sans souci du danger
Faisaient des cabrioles, et se poursuivaient en jouant
…
Maître corbeau, sur une branche perché,
A jeun depuis trois jours déjà,
Se pourléchait le bec d’envie.
Alors n’écoutant que sa faim,
D’un coup d’aile il fonça
Sur l’insouciante petite troupe,
Et emporta un de ces imprudents.
Les deux autres, affolés, et en pleurs,
Rentrèrent vite au bercail,
Jurant, mais un peu tard,
Qu’on ne les y reprendrait plus !