L’exposition présentée au musée Fabre, puis au musée d’Orsay et enfin à Washington est la première rétrospective que les musées nationaux consacrent à Frédéric Bazille. C’est tout le paradoxe de l’artiste, devenu une figure de proue de l’impressionnisme, mais mort prématurément, absent des grandes expositions du mouvement et redécouvert à la faveur d’un poignée d’amateurs passionnés au fil du XXe siècle.

Articles

• Le paradoxe de Bazille
• Bazille, d’un atelier à l’autre : portrait d’une génération
• Frédéric Bazille ou l’éternelle jeunesse
• Les paysages, une quête de la lumière
• Face à face. Bazille / Courbet
• Peindre des figures au soleil
• Face à face. Bazille / Renoir
• Peindre la vie silencieuse
• Face à face. Bazille / Manet
• Repères chronologiques
• Exposition. Le Second Empire au miroir de la mode
• Une page d'histoire de l'art. La peinture à Montpellier sous le Second Empire
• Exposition. Une famille d’orfèvres du nom de Bazille

Dossier de l'Art n° 240 - CHARLES LE BRUN, LE PEINTRE DU ROI-SOLEIL