Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Dans ma lecture des "Bottes suédoises":Chanson de Roland
Qu’il a laissés rouges de sang et morts, à Roncevaux.
Il ne peut se retenir d’en pleurer, d’en sangloter.
Il prie Dieu de se faire le sauveur de ces âmes.
Mais le Roi est fatigué : car ses peines sont bien grandes.
II n’en peut plus ’et, lui aussi, finit par s’endormir.
Par tous les prés on ne voit que Français endormis.
Pas un cheval n’est de force à se tenir debout
Et celui qui veut de l’herbe la prend sans se lever.
Et celui qui veut de l’herbe la prend sans se lever.
Ah ! il a beaucoup appris, celui qui’connut-la douleur.