Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

J'ai lu hier soir:L'horizon des lieux( Ecole supérieure d'art et design de St-Etienne)

L'horizon des lieux : réparer par le paysage / [conçu par la Direction générale de l'aménagement, du logement et de la nature, mnistère de la cohésion des territoires] | Diaz, Isabel (Directeur de publication)Cela implique évidemment une conscience solide de l'espace et du temps, les deux dimensions que le paysagiste transforme dans ses projets. D'où l'importance selon Michel Corajoud de l'observation du site. "Assumer l'existant pour le transformer c'est, à notre sens, ce qui fonde la pensée paysagère.

http://strabic.fr/Michel-Corajoud

L'intervention minimale Le fait qu'un lieu existe avant qu'on se propose d'y faire quoi que ce soit retentit profondément sur la nature même de l'intervention et pose, de manière radicale, la question de savoir s'il faut ou non intervenir. Le 14 septembre 1981', le sénateur Ludovico Corrao nous avait 429BERNARD LASSUS

https://books.google.fr/books?

[conçu par la Direction générale de l'aménagement, du logement et de la nature, mnistère de la cohésion des territoires]

http://mediatheques.saint-etienne.fr/EXPLOITATION/Default/rsc/400345/l-horizon-des-lieux-reparer-par-le-paysage-concu-par-la-direction-generale-de-l-amenagement-du-logem

  On en revient à Julien Gracq : trouvons des limites intégratrices. L'urbain médiéval dans la tête d'un Européen reste un espace à enceinte qui permet d'intégrer. La seule chose qui a changé, c'est que cet espace se définissait contre la forêt, et qu'aujourd'hui c'est la forêt qu'il faut protéger contre l'urbain...

http://www.telerama.fr/monde/olivier-mongin-sociologue-recreons-des-lieux-publics-partout-ou-c-est-possible,63717.php

J'aime la terre, ce que je vois me comble, et il m'arrive même de croire que la ligne pure des cimes, la majesté des arbres, la vivacité du mouvement de l'eau au fond d'un ravin, la grâce d'une façade d'église, puisqu'elles sont si intenses, en des régions, à des heures, ne peuvent qu'avoir été voulues, et pour notre bien. Cette harmonie a un sens, ces paysages et ces espèces sont, figés encore, enchantés peut-être, une parole, il ne s'agit que de regarder et d'écouter avec force pour que l'absolu se déclare, au bout de nos errements. Ici, dans cette promesse, est donc le lieu. ..

Yves Bonnefoy, L'arrière-pays -

 

Yves Bonnefoy

 

Les commentaires sont fermés.