Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
J'ai fini hier soir:Art press février 2020(médiathèque)
C’est l’hiver, il fait froid, et les grèves nous ont assignés à résidence, mais nous ne sommes pas devenus des marmottes pour autant. Ce numéro de février 2020 pourrait s’intituler « Extension du domaine de l’art contemporain ». Ce qu’on regardait un peu de haut jadis, l’art naïf, en fait désormais partie, longtemps d’ailleurs après avoir été déjà reconnu par les avant-gardes historiques. Démonstration par Richard Leydier suite à sa visite de l’exposition Du Douanier Rousseau à Séraphine au musée Maillol, à Paris. Est-ce le climat plus doux de Los Angeles qui favorise la prolifération et l’agrandissement des galeries au point que la mégapole prétend rivaliser, selon Yann Perreau, avec New York ? New York où le MoMA fait lui aussi sa révolution. Dans le nouvel accrochage, constate Morgan Labar, l’histoire canonique de la modernité récupère ce qu’elle avait laissé sur les bas-côtés, et les Demoiselles d’Avignon côtoient maintenant les American People de Faith Ringgold. D’ailleurs, la conception de l’art contemporain est si large aujourd’hui qu’un peintre contemporain peut peindre... des fleurs ! Dans notre numéro de novembre, nous vous avions présenté celles de Denis Laget. L’exposition de Philippe Cognée, actuellement chez Templon, nous immerge dans leur luxuriance fanée. Interview par Philippe Ducat. Mais que serait l’élargissement du champ de l’art contemporain, sans l’élargissement de son public ? C’est la vocation des artothèques que de s’y consacrer par des voies originales et qu’elles diversifient encore. Réflexions et interviews menées par Aurélie Cavanna. |
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