Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Mon poème inédit sur ce blog: Ça m’ennuie, ça m’ennuie(pour le jeudi poésie pour le défi 243 de Colette)
Ohé Mâtelôts !!!
Je suis bien heureuse de vous retrouver ici
en espérant que cette saleté de virus
ne vous pourrit pas trop la vie.
Personnellement, même si je respecte à la lettre
les consignes que l’on nous impose,
il m’arrive d’être découragée ,de trouver le temps long,
de penser à toutes ces professions qui vivent au ralenti
et celles qui sont à l’agonie.
Je ne peux aussi m’empêcher d’être révoltée en constatant l’insouciance
d’une catégorie de personnes incapable de faire des concessions
pour aider à nous sortir de cette impasse.
Quoiqu’il en soit, je garde l’espoir d’un monde meilleur.
Voilà que je m’égare, revenons à nos moutons
Pour ce défi 243, c’est Colette qui s’y colle en toute simplicité
Elle nous propose comme thème de faire pour le lundi 11 janvier
un petit texte « Lipogramme » sans A
Pour les jeudis poésie des 7 et 14 janvier
Présence et ennui, dans l’ordre que nous souhaitons
ou libre de bien entendu !
Poème personnel, ou choix de poème, haïkus,
acrostiche, citations etc …
Le Môt de Dômi
Colette a dit pas d’A, ça va pas être facile sans A
Mais promis, on va s’y appliquer Colette
Bises amirales !!!
Ça m’ennuie, ça m’ennuie
Je ne connais pas l’ennui
Pas le moindre ennui
Dans ma vie.
Les moments, les gens ennuyeux :
Je les fuis.
Mais les ennuis,
Ils collent à ma vie.
Ce qui est ennuyeux,
C’est de ne pas connaître l’ennui
Juste l’envie,
L’envie d’avoir envie.
J’envie
Ceux qui s’ennuient
Car je ne trouve pas le temps de l’ennui.
Qu’ils m’expliquent
Comment ils font pour s’ennuyer
Moi qui voudrais
Que mes envies
Lâchent ma vie, mes nuits.
Du repos, de la vacance
Mais pas d’ennuis, ni d’Ennemi
Qu’on me donne un peu d’ennui
Pour reposer ma vie
Ca m’ennuie, ça m’ennuie
5 janvier 2021
http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2017/06/03/la-parisienne-5948729.html
https://www.youtube.com/watch?v=ht5UdelNOIY
Cela me fera du bien au moral, au porte-monnaie... et au corps qui souffre