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Férié(pour le défi 249 des Croqueurs de mots que je mène)

 

 

Ohé Mâtelôts !!!

Pour ce défi 249, c’est Laura qui a accepté de prendre la barre.

Voici ce qu’elle nous propose …

Pour le premier jeudi poésie du 15 avril,

j’aimerai qu’il soit question de PAQUES, tout juste passé.

Pour le lundi 19 avril ,

c’est un jour férié qui sera à l’honneur

comme le lundi de PAQUES( jour où j’ai écrit ce défi)

ou celui de PENTECOTE (à venir).

Je ne veux pas entendre parler de PAQUES ou de PENTECOTE

mais de ce qu’on fait de ces lundis fériés

qui ne sont pas que des jours de fête religieuse ou de commémoration laïque,

mais des jours où beaucoup de français ne travaillent pas.

http://croqueursdemots.apln-blog.fr/defi-249-cest-ferie/?utm_source=mailpoet&utm_medium=email&utm_campaign=chez-les-croqueurs-de-mots_12

Jour férié. Caractérisé par la cessation du travail, et lié à la célébration d'une fête (civile ou religieuse). Anton. jour ouvrable.Je passe ce long jour férié à parcourir, en tous sens, l'intérieur de la ville (MicheletChemins Europe,1874, p. 272).Aujourd'hui c'est jour férié; je m'en vais me donner vacances (GideCaves,1914, p. 736):

Il y avait eu ce mois-là vingt et un jours fériés en Bavière, grâce aux nombreuses naissances et morts de princes Wittelsbach et d'archiducs zu Bayern. On pouvait prévoir que si la famille continuait à vivre et à mourir au même rythme, les jours de travail seraient bientôt supprimés pour son bon peuple... GiraudouxSiegfried et Lim.,1922, p. 87.
− En partic. Jour chômé autre que le dimanche. Les dimanches et jours fériés (Ac.1932).Magasin fermé les dimanches et jours fériés (Rob.).
− Littér. Qui rappelle ou qui concerne un jour férié. Un repos férié; une délivrance de tout travail humain (Baudel.Paradis artif.,1860, p. 417).Dans le ciel férié flânait longuement un nuage oisif (ProustSwann,1913, p. 170).
Prononc. et Orth. : [feʀje]. Ds Ac. 1835-1932. Étymol. et Hist. I. 1. Ca 1150 feirier intrans. « chômer » (Thèbes, 5369 ds T.-L.); 2. ca 1170 foirié subst. « jour férié » (BéroulTristan, éd. E. Muret, 2164); ca 1225 ferier [forme de l'Ouest] trans. « chômer, fêter » (Pean GatineauSaint Martin, 8198, éd. W. Söderhjelm); 1253-89 adj. jor foirié (P. de FontaineConseils à un ami, XXVII, II ds Gdf. Compl.). II. 1. 1582 ferier intrans. « chômer » (F. Bretin, trad. de Lucien, L'Accusé deux fois, 1 ds Hug.); 2. 1582 ferier trans. « chômer, fêter » (Id.De ceux qui vivent à gages, 16, ibid.); 1690 ferié adj. « chômé » (Fur. : jours feriez). I du lat. arch. feriatus « oisif (d'une personne); férié (d'une période) », dér. de feriae (férie*), et du lat. class. ferior, feriari (formé sur feriatus, v. Ern.-Meillet) intrans. « être en fête, chômer », lat. chrét. trans. « fêter, chômer ». II Ferié : réfection de feirié, foirié d'apr. le lat. feriatus. Il est difficile de distinguer, parmi les attest. antérieures de fer(i)er, fer(i)é, les formes propres aux dial. de l'Ouest (cf. p. ex. Pean Gatineau, supra et aussi Roques I, IV-V, 3277 ferer forme de l'Ouest correspondant à ibid. I, I, 1112 forier) des formes refaites sur le latin. Fréq. abs. littér. : 36.
 

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