Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Mon paysage de Cannelle inédit sur ce blog: Le désir des slows de Cannelle pour l'atelier 167 deGhislaine

Atelier 167

Atelier 152 et Récapitulatif du 151

Récapitulatif du 144

 Claudie  Patou  Daniel  Arlette  Lili  Edgard 

Cricket  Coco  Clem  Martine  Rose  Jill-Bill 

Laura  Nicole  Zaza   Colette   Gisèle  Renée 

Josée  Annick 1  Annick 2  Annick 3  

 

...........

 3 choix pour le 167

les 8 mots

lente, soupir, doute, raison,

vouloir, temps, source, pouvoir.

.........

Un texte sur le thème "Désirer, souhaiter"'

..........

Un texte avec des mots finissants par "" our ""

Au moins 5.

........

 

 Atelier 137

Je rappelle à mes chers écrivains que vous pouvez aller
lire les textes des participants puisque je met leur lien. Par ailleurs ,
je rappelle aussi, qu'un texte court est plus facilement lu,
compte tenu des nombreux textes à lire.. 

L'atelier a lieu tous les 10, 20, 30 de chaque mois.

.................

Pensez à donner votre lien

avant la parution de l'atelier suivant.
Au plus tard les 9,19,29.

 

Le défi d'écriture no 53 du 30 Janvier.

Le défi d'écriture no 53 du 30 Janvier.

Dans le menu de droite s'il vous plaît.

http://ghislaine53.eklablog.com/atelier-167-a210402056

Le désir des slows de Cannelle

Ses parents autorisaient peu Cannelle à sortir en boîte mais quand elle a pu danser en discothèque, elle a mis les bouchées doubles. Pour les moins de  vingt ans, il y avait autrefois après la danse rapide(rock, funk, disco, techno etc.) une série de danses calmes à danser à deux. Si un homme n'avait pas déjà repéré sa future partenaire de danse alentour, il trouvait les filles alignées pour qu'on les invite. Il y avait le quart américain où les filles invitaient les garçons. Souvent, Cannelle avait repéré quelqu'un et/ou ce quelqu'un l'avait remarqué; alors il se dirigeait vers elle en la regardant intensément. Le garçon mettait ses bras autour de sa taille et ses mains a elle faisaient le tour de son cou. Alors, sans détour, commençait la lente montée du désir sur le rythme du slow. La raison se mettait en berne. Et le soupir montait en eux à mesure que doute sur le désir de l'autre s'étiolait. A force de se frotter l'un contre l'autre, elle sentait son sexe se durcir contre sa cuisse. Le temps s'arrêtait le temps d'un regard qui disait le pouvoir du désir: vouloir l'autre, sa bouche, son corps jusqu'à l'écoulement de leurs sources de vie. Les copines copains du couple les regardaient jalousement.

Les commentaires sont fermés.