« Les conservateurs du Centre Pompidou vont pouvoir respirer : le cœur de Pierre Pinoncelli a cessé de battre » écrivait le journal Le Monde en octobre 2021 après la disparition de l’artiste stéphanois qui, à deux reprises, avait rendu à sa vocation première l’urinoir de Marcel Duchamp avant de le casser d’un coup de marteau.
Pierre Pinoncelli laisse une œuvre subversive et iconoclaste faite de peintures, de collages et surtout de happenings. Le film de Virgile Novarina en décrypte les principaux faits d’armes sous le regard malicieux de l’artiste et les témoignages de ceux qui l’ont croisé. Souvent drôle, toujours politique, ce « sale gosse » n’a cessé de mettre son corps en première ligne, enchaînant les pieds de nez à la mort et aux institutions.
Un stéphanois mondialement connu dans l’art contemporain.
A (re)découvrir absolument.

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