Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Daniel Pennac, prix Renaudot pour "Chagrin d'école"
Le 5 novembre 2007 à 13h28 | LE FIL LIVRES
"Mais comment un cancre pourrait-il être joyeux ?" : Entretien - Daniel Pennac
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Le 5 novembre 2007 à 13h28 | LE FIL LIVRES
"Mais comment un cancre pourrait-il être joyeux ?" : Entretien - Daniel Pennac
Préparation : 20 min + 1h de macération
Cuisson : 1 h 20 min
Ingrédients pour 6 personnes:
- 3 oeuf(s)
- 50 g de sucre en poudre
- 300 g d' Abricot(s) sec(s)
- 1,5 dl de lait
- 60 g de farine de blé
- rhum
- 1 pincée(s) de sel
- 50 cl d' eau
- 0,5 cuillère(s) à café d' extrait de vanille
Vins conseillés :
• Un Sauternes, semillon doux
• Un Sauternes
Faites tremper les abricots secs dans 1/2 litre d'eau pendant une heure au moins, puis faites-les cuire 30 minutes dans leur eau de trempage. | |||
Laissez-les refroidir, séchez-les puis coupez-les en deux et saupoudrez-les de farine pour qu'ils ne collent pas. | |||
Préchauffez le four à 180°C (th. 6). | |||
Mélangez le sucre, les oeufs entiers, ajoutez la farine, du sel, le rhum, et le lait. | |||
Parfumez avec l'extrait de vanille ou 1/2 sachet de sucre vanillé. | |||
Mélangez les abricots à la pâte, versez le mélange dans un plat beurré et faites cuire au four 50 minutes à 200°C (th 6/7). | |||
Saupoudrez de sucre glace et continuez la cuisson 5 à 6 minutes sous le gril en surveillant pour que le dessus ne brûle pas. | |||
Servez tiède, vous l'apprécierez mieux. |
Bon à savoir sur les abricots secs:
http://www.isaveurs.com/outils/tampon_mailing.php?mid=MjUsMzU2MCwzOTY3ODUsNTU1MDk1NywxMDM0OTA%3D
Source: isaveurs
Clermont-Paris en deux heures par le train à l'horizon 2020. En Auvergne, on se réjouit de cette annonce...
|
//]]>
Ami-chemin de l’album l’Invitation, planté comme un pieu dans le cœur de Dracula pour empêcher qu’il se réveille jamais, cette chanson censément exorciste : Boulevard des capucines. Qui dit, au refrain, «Quelle erreur, quelle perte de temps/Si je n’ai pas su te dire à temps/Que je pensais à toi, tout le temps/Mon guerrier, mon roi, mon petit prince» . Qui parle ? A qui ? Et de quoi ? Tous les sens sont permis, sans dessus dessous. Un amant repentant ? (C’est froid). Un vieux parlant à son jeune ? (C’est chaud). Un père à son fils ? (Ça brûle !).
Crève-cœur. Contre toutes attentes, il s’agit en effet d’une lettre de Daho à Daho, de père en fils – ou l’inverse. Ce qui trouble plus que de raison. Car tout de même, écrire ainsi, en y insistant, cette complainte d’homo erectus, copulation astrale avec Daddy Daho (à l’Olympio !) : «Mais tu ignores mes signes, toi mon cruel funambule/Alors je crache ces lignes, fracassé et somnambule.» Et la semer en chanson à tous vents, sont-ce bien des façons ? Tout le reste est sous influence de ce déchirement crève-cœur. Alors oui, on se sent le droit, pas gêné mais un peu quand même…, de s’adresser à son tour au «garçon».
Etienne, vous le savez, vous nous importez, corps et âme. Damoiseau depuis si longtemps, hanté par la jeunesse depuis que vous étiez jeune, entre Epaule Tatoo (ouh ?) en jean déchiré, et Week-end à Rome, vacances cinématographiques sur le scooter de référence (un Vespa sinon rien), tout chaud serré contre Gregory Peck au guidon puisque vous avez déclaré que votre mère, qui fut abandonnée par Papa, est un sosie d’Audrey Hepburn.
A l’aurore des années 80, vous étiez ce héros pour lycéen en phase terminale (A) de province extrême, quand, entre Hubert-Félix Thiéfaine et Francis Lalanne, pour s’identifier on n’avait pas d’autre solution que vous. Mythomane d’entrée de jeu (1981), puis matelot de quincaillerie érotique, plus Querelle que Billy Budd, portant beau le pull à rayures bretonnant pour les enchâssants Pierre et Gilles sur la couverture en mousse de la Notte , la notte (1984). Plus de vingt ans déjà. Et après ?
Un peu perdu de vue mais toujours à l’œil. Bien qu’il ait fallu endurer quelques égarements sur lesquels mieux vaut ne pas revenir sauf à aimer les scènes de ménage. Ce qui semble être votre cas, qu’on en juge, quand sous prétexte de célébrer Un merveilleux été, vous dites à quelqu’un : «Tu pleures en secret toutes les larmes de ton corps/Fais comme si j’étais mort.»
Cantharide. Mais quel homme êtes-vous donc ? Artiste et invivable, vous chantez ce pléonasme dans Cet air étrange qui fut la première chanson écrite pour l’album. Où l’on entend aussi, que «si tu flirtes avec les cimes, tu entrevois aussi l’abîme». Aimerait-on à cet égard être votre ami ? Mieux vaut sans doute ne pas vous connaître, écouter vos chansons en restant bons copains. D’ailleurs on est prévenu par un Toi jamais, toujours où Brigitte Fontaine, en coup de main-coup d’écriture, nous abreuve de maux délicieux : «Satan de soie», «crapaud de Dieu», «tubéreuse mortelle» ou «cantharide acide». Hein ? Cantharide ? Une décoction de coléoptères aux vertus aphrodisiaques. On qualifie aussi de «cantharide» une allumeuse. Plus que jamais une Invitation, donc.
Qui fait un carton «clappé» en guise d’ouverture. Sur un air flamenco, c’est une auberge espagnole où la vie est un banquet entraînant. Les convives, assassins et poètes, sont idéalement excitants, mais s’il venait l’envie de se lever de table pour taper à son tour du talon, c’est «pieds nus sur du verre». Et vous vous (nous) emballez au final tout en décharges d’adrénalines. Fort bien. Et du calme. Pour un tête à tête entre vous et toi, où s’ouvrent les gouffres de la sexualité («Ça fait très, très peur mais aussi très envie»), prétexte aussi à une première bouffée de violonades qui, en arrière-monde, font penser aux déambulations de Gainsbourg dans la maison close de Melody Nelson.
Gamin. Mélodie en sous-sol, plutôt, qui est aussi le titre d’un film de Verneuil (1963) avec Beau Delon. Ça coule à pic, la fin des années 60 cogne à la porte. Car, ce qui fait surtout écho souterrain à l’arrière-plan de votre Invitation, c’est le Velvet. Vous chantez, Etienne, tandis que ne manquent au rappel ni tambourin ni ligne à haute tension des guitares électriques, comme Nico. Pas faux non, mais… Une voix de gamin, de Petit Prince si vous y tenez, poseur mais posé, qui tinte à nos oreilles comme celle d’un enfant de chœur qui chercherait ses basses dans If, le film soixante-huitard de Lindsay Anderson. Autant dire «gâté pourri», prêt à tirer dans le tas en aube sanglante.
Comment peut-on chanter français sur un son aussi anglo-saxon ? D’autant qu’autre fantôme, comme une chatte Motown dans la gorge, Diana Ross vous hante. Or, ça colle. Et vous en donnez la preuve dans Sur la terre comme au ciel. Sur des vers boiteux à se ramasser, voilà que tout en montée vers un septième ciel de fantaisie, la voix rapido caracole, de «poussière» en «esprit» jusqu’à un pic de «poésie», juste avant de dévaler d’une octave pour valdinguer «sur terre». Cette galvanique incantation nous cueille et nous terrasse.
C’est bientôt la fin, le chant du départ. Un Cap Falcon qui est sans conteste le nom d’une pointe aux environs d’Oran (Algérie), histoire d’un retour à rebours, bouffée d’enfant pied-noir inconsolable qui naquit «là-bas» un 14 janvier 1956. Mais aussi, parce qu’un amour d’antan est appelé Lit de Roses, impossible de se quitter sans évoquer Jean Genet-Génie, Notre-Dame-des-Fleurs et des fêlures répandant sa fragrance dans les Fleurs de l’interdit où vos «aubiers» sont à deux doigts des aubépines de Proust. Ce qui vous fait fredonner, cher garçon : «Comme le nectar assassin, tiens, tiens, prends ma main…» Soit. Mais où ?
http://www.liberation.fr//culture/musique/289424.FR.php?utk=008b428a
VIDÉO Le plus célèbre des prix littéraires français a été décerné cette année à Gilles Leroy pour son roman "Alabama Song". Un livre magistral selon Mohamed Aissaoui, critique littéraire au Figaro.
La révolution thermique des bâtiments est un enjeu environnemental plus que d'actualité. Créer, rénover et entretenir ses ouvertures en fait partie ! Avis de l'expert, témoignage, fiche pratique et nouveautés : les portes et les fenêtres n'auront presque plus de secrets pour vous.
Lire
http://www.linternaute.com/sport/cyclisme/tour-de-france/2008/parcours
En ce qui concerne l’entrevue entre sa mère et le directeur d’école, ce fut une honte pour la sage Cannelle. Le directeur convoqua ensuite la petite fille. Le rêve du prince charmant, partagé avec sa meilleure amie s’était transformé en désastre.
http://www.ecritureludique.net/article-13363082.html
MON POEME
L’absence au monde
La solitude
Est perçue comme une souffrance
Une déchéanceLamentable
Une extravagance
Par ceux qui n’en ont pas l’expérience.
Mais le refus de la vie communautaire
Peut-être
Comme un sourire
Dans le froid de novembre ;
Une chance formidable.
Regarder indifféremment la foule,
Ce besoin lancinant des êtres
Exceptionnels et uniques
D’être comme les autres.
Que les moutons de Panurge
Se laissent égorger l’âme,
Décomposer le caractère.
Ils se perdent et en jubilent.
Pour ne pas simuler, le solitaire
Volontiers s’enferme
Pour ne pas qu’on l’enchaîne.
Sa sensibilité s’exacerbe,
Son courroux arrive vite.
Persuasif, le monde
Parfois l’attire
Mais il garde
Dans ce tourbillon alchimique
Ce pouvoir magique
De s’absenter du monde
diable, France 2 sort l’arsenal ! Faisons un rêve donc, et imaginons que cette brillante pièce de jeunesse de Guitry envoie se coucher Les enfants de la télé. En direct du Théâtre Edouard-VII, à Paris. Mise en scène : Bernard Murat. 95 mn. Avec Pierre Arditi, François Berléand, Michèle Laroque. 1443406.
Source: Télérama.fr
Le travail paie. Les régions qui ont fait l’effort de valoriser leur littoral récoltent aujourd’hui les fruits de leur labeur: des trophées récompensant les plages propres, ainsi que les opérateurs qui y ont participé, ont été octroyés à l’occasion d’une grande cérémonie, mardi soir à Tanger, présidée par la princesse Lalla Hasna, présidente de la Fondation Mohammed VI pour la protection de l’Environnement.
Cette année, 54 plages, représentant 37 communes situées sue les côtes nationales, se sont associées à l’opération. Le montant total des investissements publics et privés des sponsors a représenté près de 53 millions de DH. Cette somme est consacrée à l’équipement des sites, la collecte des déchets, l’animation et la sécurité. A noter que la Direction générale des collectivités locales a, pour sa part, alloué une enveloppe budgétaire de 8 millions de DH au profit de 27 plages non incluses dans le cadre du programme Plages Propres.
Pour l’édition 2007, des trophées ont été remis à la plage de Riffienne (commune de Fnideq) et à son partenaire Maroc Telecom. La plage d’Asilah est par ailleurs sortie grand vainqueur en remportant deux trophées, celui de l’engagement et de l’innovation en duo avec l’Office national des chemins de fer. La plage de M’diq, soutenue par l’Agence de développement du Nord, a également eu droit à un trophée pour la mise en place d’un filet de protection contre l’invasion des méduses.
Les autres primés sont les plages d’Aïn Diab et son partenaire, l’Office national de l’électricité; Essaouira et ses sponsors, l’association Achoula et l’Agence nationale des ports; Agadir et Royal Air Maroc; Bouznika ainsi que de la Lydec et l’Office national de l’eau potable. Le Club royal de jet-ski et ski nautique de Tanger a également été distingué.
Enfin, à l’issue de la cérémonie de remise des trophées, la princesse Lalla Hasna a été nommée ambassadrice de la côte par les représentants du Plan d’action pour la Méditerranée (PAM), programme dépendant du Programme des Nations unies pour l’environnement.
Ali Abjiou
Source: L'Economiste
Préparation : 20 minutes
Cuisson : 35 minutes
Ingrédients pour 6 personnes
3 oeuf(s)
- 250 g de pâte brisée
- 25 cl de crème fleurette
- 1 pincée(s) de paprika
- sel, poivre
- 5 brin(s) de persil
- 300 g de chair de crabe
Vins conseillés :
• Un Entre-deux-mers
Préchauffez le four à 220°C (th. 7). Faites égoutter la chair de crabe. Lavez et hachez le persil. | |||
Foncez un moule à tarte de pâte brisée. Faites-le cuire à blanc 10 minutes. | |||
Séparez les blancs des jaunes d'oeufs. Battez les blancs en neige ferme. Réservez. | |||
Mélangez la chair de crabe avec la crème fraîche liquide fleurette et les jaunes d'oeufs. | |||
Salez, poivrez, ajoutez une pincée de paprika et le persil haché. | |||
Incorporez les blancs d'oeufs. | |||
Versez sur la tarte et faites cuire 25 minutes à 180°C (th. 6). |
Source: i-saveurs
http://papierlibre.over-blog.net/article-13365029.html
MON POEME
MA CHAMBRE
Ma chambre
Est celle
Où je l’aime
Et le désire
Ma chambre
Est celle
Où il me découvre
Et me recouvre
Ma chambre
Est celle
Où je pose un livre
Et repose mon angoisse
http://papierlibre.over-blog.net/article-13466078.html
Martine (http://moncarnetamalices.over-blog.com/)nous propose cette fois d'écrire autour de 4 pièces de puzzle, qui ne constituent pas l'image entière, mais qui ont un sens par elles-même. Il est possible de s'inspirer de l'une ou l'autre des images, de plusieurs ou de toutes, librement.
Comme vous pouvez le découvrir ci-dessous, ces images ont un rapport avec Halloween (qui se fête justement le 31/10 au soir). Vous pouvez vous inspirer de ce contexte, ou bien chercher à vous en éloigner, ce ne sont pas les images qui ont le pouvoir, mais vous !
http://www.ecritureludique.net/article-13363082.html
MA PARTICIPATION
Comme je suis d’origine bretonne et que je m’intéresse à la culture celte en général (une catégorie « Univers Celte » dans mon blog), je voulais rappeler les origines de cette fête.
La fête païenne celte ("Samain")
Il y a 2000 ans, les Celtes fêtaient, pendant trois jours, le changement d'année – appelé Samonios en Gaule, Samain en Irlande – aux environs du 1er novembre. Importée, pour finir, sur le continent nord-américain par les immigrants catholiques irlandais – l'Irlande ayant été évangélisée très tardivement au VIe siècle, c'est le pays où la fête de Samain a subsisté le plus longtemps.
Son nom actuel est une altération de All Hallow's Eve, qui signifie littéralement : « la veille de la fête de tous les saints », c'est-à-dire la veille de la fête chrétienne de la Toussaint ("hallow" est une forme archaïque du mot anglais "holy" qui signifie : "saint").
C’était pour les Celtes le début de la « saison sombre » (par opposition à l’autre la « saison claire »). C’est une fête de transition, vers un autre monde, celui des Dieux. Elle est donc propice aux événements magiques. Il y avait des rites druidiques, des banquets, des assemblées et des beuveries.
L'imagerie qui entoure Halloween aujourd’hui n’ est elle pas largement liée à la saison d'Halloween elle-même (saison où les nuits deviennent de plus en plus longues par rapport au jour), la « saison sombre. » On parle aussi de « Temps de Toussaint », une période où le temps (si ce n’est pas déjà fait) fraîchit (quelquefois les premières gelées, je me souviens en France), s’assombrit.
La principale tradition veut que les enfants se déguisent avec des costumes qui font peur (squelettes, sorcières, monstres, etc.) et aillent sonner aux portes en demandant aux adultes, souvent eux aussi déguisés, des bonbons, des fruits ou de l'argent en disant, « Trick or treat ! » (« Des friandises ou un mauvais tour ! ») ou simplement «Halloween!»
Le mauvais tour, la malchance est représentée par le chat noir. Ce sont aussi les forces magiques maléfiques comme les sorcières.
Le principal symbole d'Halloween est la citrouille, remplacée quelquefois par un potiron (Jack-o'-lantern en anglais) : on le découpe pour y dessiner, en creux, un visage, puis on place une bougie en son centre.
L'orange et le noir sont les couleurs traditionnelles d'Halloween.
Une tradition qui a survécu jusqu'a nos jours en Irlande est la cuisson (ou l'achat) d'un barmbrack (en irlandais : "báirín breac"), un gâteau aux fruits léger. Un anneau est placé dans le gâteau avant la cuisson. On dit que quiconque trouve l'anneau va trouver le véritable amour durant l'année.
Comme mes livres sur les Celtes sont en carton, je me suis aidée de Wikipedia.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Halloween