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  • Catégories : Les polars

    Dans ma lecture du "Sang des innocents" de Martha grimmes

    page 253:melville.jpg"On ne sait jamais qui sont les autres"... Je crois que c'est Melville qui a écrit ça, dans "Le grand escroc." C'est une idée terrifiante. C'est comme escalader une montagne sans la moindre prise. Toutes les étiquettes ont été échangées et il manque les noms. On avance en jouant chacun un rôle."

    Pour en savoir plus sur "Le grand escroc":*

    http://www.evene.fr/livres/livre/herman-melville-le-grand-escroc-5491.php

    page 253:"-Ce nom me dit quelque chose...Lord Warburton...

    -C'est dans Henry James. J'appelle notre paysagiste comme ça pour rire.

    -Ce n'est pas celui qui voulait épouser l'héritière? Comment elle s'appelait déjà?

    -Isabel Archer. Tout le monde voulait l'épouser."

    In "The portrait of the lady" adapté par Jane Campion, sorti le 18 octobre 1996.

    page 273: "Melrose se demanda si le lord Warburton de Henry James avait été aussi superficiel."

  • Catégories : Les polars

    Dans ma lecture du "Sang des innocents" de Martha Grimmes

    grimmes.jpg

    J'aime les références littéraires de ce poète-policier,Jury, un des personnages fétiches de Martha Grimmes.

    p.48:"Parmi toutes les âmes nées du combat,j'en ai élu une. Quand la raison lime l'esprit et que le subterfuge est achevé."

    [...]L'âme élue par Emily resterait à jamais un mystère.[...]

    Il se replongea dans ses méditations sur Emily Dickinson. "Quand la raison lime l'esprit et que le subterfuge est achevé... Tomber le masque,renoncer aux faux-semblants,étaler ses cartes sur la table. En finir avec les écrans de fumée et les miroirs..."

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  • Catégories : Nerval Gérard de

    Le cadrage du paysage dans le "Voyage en Orient" de Nerval

    vienne.JPG O. C, II, 206-207, Vienne :  « Je me sentis tout à coup attristé au moment où j’entrais dans cette capitale. C’était vers trois heures, par une brumeuse journée d’automne. […]

                Rien n’est triste aussi comme d’être forcé de quitter, le soir, le centre ardent et éclairé, et de traverser encore, pour regagner les faubourgs, ces longues promenades, avec leurs allées de lanternes qui s’entrecroisent jusqu’à l’horizon : les peupliers frissonnent sous un vent continuel ; on a toujours à traverser quelque rivière ou quelque canal aux eaux noires, et le son lugubre des horloges avertit seul de tous côtés qu’on est au milieu d’une ville. »

     

    CADRAGE : «  entrecroisent jusqu’à l’horizon »

     

    Paysage ambulatoire, sonore : « j’entrais », « quitter », « traverser »

     Investissement affectif : « attristé », « triste » O. C, II, 224-225, Vienne : « Le Prater, que je n’ai vu que lorsqu’il était dépouillé de sa verdure, n’avait perdu pourtant toutes ses beautés ; les jours de neige surtout, il présente un coup d’œil charmant, [….]

    Plusieurs bras du Danube coupent en îles les bois et les prairies. »

    Champs-Élysées de cette capitale

    Les jardins de Schoenbrunn, le Versailles de Vienne

    « Mais en sortant du côté des jardins, l’on jouit d’un coup d’œil magnifique, dont les souvenirs de Saint-Cloud et de Versailles ne rabaissent pas l’impression. »

     

    Image:http://fr.wrs.yahoo.com/_ylt=A0WTf2zEFmVImCUBPS1uAQx./SIG=12rceqa5h/EXP=1214670916/**http%3A//www.vuvoyage.com/cours.de.langue/sejour.linguistique.vienne.html

     

    Mes recherches sur les paysages dans le "Voyage en Orient" de Nerval en DEA sont dans la continuité de mon mémoire de maîtrise sur "Le paysage dans les oeuvres poétiques de Baudelaire et Nerval" publié maintenant comme mes 2 recueils sur The book sous le titre "Des paysages de Baudelaire et Nerval."

     

    http://www.thebookedition.com/des-paysages-de-baudelaire-et-nerval-laura-vanel-coytte-p-1283.html

     

    Comme c'est le Bicentenaire de la naissance de Nerval(dont peu parle; moi presque tous les jours), je crois que c'est le bon moment de le lire et mon livre est un bon moyen de le découvrir....

     

     

  • Catégories : Livre

    Dans ma lecture du"Journal d'Hélène Berr"

    journal.jpgCe qui est surprenant dans ce journal qui raconte une destinée tragique, c'est la coexistence dans une même page de cette réalité tragique et de l'amour de la littérature.

    Par exemple, page 51: Blake(que j'ai déjà evoqué) et

     "Maman est venue m'annoncer la nouvelle de l'étoile jaune,je l'ai refoulée en disant:"Je discuterai cela après."

    J'ai terminé ce livre mais il continue à me hanter.

  • Catégories : Sport

    Hier le Tour de France ...

    300px-4_Fontaine_de_Fontestorbes.jpg....est parti de Lavelanet (après être arrivé hier à Foix où j'avais assisté notamment au feu d'artifice du 14 juillet magnifique avec le château de Foix) où j'ai vécu trois ans puis à Quillan où j'ai assisté au plus vieux critérium de France. Il arrive ce soir à Narbonne, la ville de Charles Trenet.

    Le tour de France m'a aussi permis de revoir certains des châteaux cathares ... fascinants.

    Sur Lavelanet, cf.

    http://www.midi-pyrenees.biz/mp/ariege/ariege_lavelanet.htm

    Sur Foix:

    http://www.mairie-foix.fr/pagesEditos.asp?IDPAGE=55&sX_Menu_selectedID=m1_B9D35D06

    Sur Quillan:

    http://www.ville-quillan.fr/visiter.htm

    Sur les châteaux cathares:

    http://lescathares.free.fr/chateau/chateaux.html

    Sur Narbonne:

    http://www.narbonne-plage.com/index.php?pge=tourisme1&cat=Narbonne

    Photo de la fontaine de Fontestorbes où j'ai emmené tous mes visiteurs:

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Fontaine_intermittente_de_Fontestorbes

    Pour en savoir plus sur ce lieu magique:

    http://www.midi-pyrenees.biz/mp/ariege/ariege_la_fontaine_de_fontestorbes.htm

    Voir aussi le Défilé de Pierre Lys:

    http://www.ville-quillan.fr/pierrelys.htm

    Pour répondre à l'avance aux commentaires négatifs sur le vélo (et le dopage ... surtout hier), je vous invite à lire cet article de Libération de jeudi dernier(celui d'aujourd'hui est très bien aussi mais je ne l'ai pas trouvé sur le net) qui reflète mon sentiment mais ne m'empêche pas d'aimer le vélo envers et contre tout depuis au moins vingt ans.

    Passion dans laquelle j'ai entraîné mon mari.

    http://www.liberation.fr/actualite/sports/tour_de_france_2008/calculette_musette_dopage/338138.FR.php

  • Catégories : Musique

    J'écoute en ce moment: Guy Marchand,"L'air de Buenos Aires"

    Moi, je suis tango
    Voir la vidéo Imprimer la chanson Moi, je suis tango de Guy Marchand à partir d'une fenêtre en mode texte et sans publicité  :-) Envoyer le texte Moi, je suis tango de Guy Marchand à un ami Favori 

    Paroles: Guy Marchand. Musique: Astor Piazzolla   1975
    © Riviera

    {Refrain, x2}
    Moi je suis tango, tango
    J'en fais toujours un peu trop
    Moi je suis tango, tango
    Je ne connais que des rimes en "o"
    Moi je suis tango, tango
    J'ai cette musique dans la peau
    Moi je suis tango, tango
    Elle me glace jusqu'aux os
    Moi je suis tango, tango
    Je l'étais dans mon berceau
    Moi je suis tango, tango
    Je le serai jusqu'au tombeau
    Moi je suis tango, tango
    Toutes les femmes sont des roseaux
    Moi je suis tango, tango
    Que je plie dans un sanglot

    J'aime
    Dire "je vous aime"
    Même
    Si c'est un blasphème
    J'aime dire
    "Je t'aimerai toujours"
    Même si
    Ça ne dure qu'un jour

    Même si
    Je n'ai jamais eu d'humour,
    Il ne m'en faut pas
    Pour te faire l'amour,
    Je te serai
    Toujours fidèle
    Comme je le suis
    A Carlos Gardel

    {au Refrain, ad lib}

    http://www.paroles.net/chanson/56042.1

    A écouter ici:

    http://www.dailymotion.com/video/x2maoc_moijesuistango_family

  • Catégories : La peinture

    Je viens de commencer:"Les orientalistes. Peintres voyageurs." de Lynne Thornton

     

    orientalistes.jpgAvec le développement des transports, les peintres du XIXe siècle succombèrent aux mirages de l'Orient. Ils en ont rapporté des images inondées de soleil, chargées de couleurs et de richesses.

    L'auteur, expert spécialisé, a étudié près de cent cinquante peintres, de Delacroix à Ziem, parmi lesquels figurent nombre de petits maîtres peu connus. ' Les Orientalistes, peintres voyageurs ' constitue une référence essentielle pour les collectionneurs, en même temps qu'une merveilleuse invitation au voyage.


    192 pages
    125 x 190 mm
    156 reproductions
    ISBN 2-86770-060-4
    18 Euros

    http://www.acr-edition.com/LES-ORIENTALISTES,-PEINTRES-VOYAGEURS_a695.html

    PAGE 6:"Les voyageurs,tout comme les casaniers,utilisaient souvent sans hésitation des sources littéraires pour leur inspiration,en général oeuvres de fiction, tels les poèmes turcs de Lord Byron,le roman indien de Thomas Moore "Lala Rookh", le "Salammbô" de Gustave Flaubert, "Le roman de la momie" de Théophile Gautier et "Les orientales" de Victor Hugo. Il y avait aussi les récits que faisaient de leurs voyages écrivains et poètes influents, comme François-René de Chateaubriand,Alexandre Dumas père, Gérard de Nerval, Alphonse de Lamartine et Théophile Gautier."

  • Je viens de lire:"L'inconnu et autres récits" de Julien Green

    green.jpgJulien Green et ses doubles


    Par Régis Penalva 
    # Lib. Sauramps, Montpellier


    Le recueil de nouvelles de Julien Green qui paraît ces jours-ci aux éditions Fayard offre au lecteur français un nouvel aperçu des dons de conteur du grand écrivain américain.

    En lui étaient venus se mêler harmonieusement la tradition française du roman d’analyse psychologique, les charmes vénéneux du fantastique américain et la douceur mélancolique des parfums du grand Sud vaincu.

    Les sept courts récits aujourd’hui réunis en offrent tour à tour l’illustration : vieilles demoiselles qui enfouissent leurs souvenirs dans l’obscurité silencieuse de blanches demeures, jeunes gens hantés par la présence de doubles mi réels mi rêvés, songes dont ne sait plus très bien comment se réveiller, tourments de cœurs trop tendres ravagés par l’ennui de vivre et la peur d’une existence qui ne serait pas d’exception…

    « L’inconnu », premier récit qui donne son nom à l’ensemble du recueil, texte tardif écrit avant la mort, n’échappe pas toujours aux facilités du mélodrame auxquelles l’auteur de Mauvais lieu cédait parfois avec délice ; il n’en fixe pas moins le thème obsédant de la possession d’une jeune âme – Vivien – par un maître insaisissable, inquiétant, quelque peu satanique – l’inconnu Maxime -, que l’on retrouve le long des six autres récits à tant d’années de distance : au narrateur envoûté par l’étrange Michael Corvin de la nouvelle éponyme (1922) fait écho cette Florence subjuguée par le charme du « visiteur » (1946), ainsi que ces petites bonnes soumises au bon vouloir de Bob le rôdeur (1938). Miss Eddleston, quant à elle, traque dans sa pauvre mémoire les ombres de cet époux qu’elle n’aura jamais eu, de cette petite fille une nuit déposée sous son porche et qui s’est perdue, enlevée puis brisée par la passion.

    De ces destins inachevés d’êtres marqués par la solitude, proies du hasard et de l’infortune, le romancier Green dessine des archétypes de l’humaine condition. S’il ne peut les sauver ou les damner, et en cela réside peut-être le prodigieux écart qui le sépare de son ami François Mauriac, tout au moins les abrite-t-il au sein de ces récits, en fixe-t-il la mémoire.
    Ainsi de cette Clara : « Du temps passa, on finit par ne plus se souvenir pourquoi elle était là. Elle-même n’en savait plus rien. » Mais nous, si.

    L'inconnu : et autres récits
    Green, Julien
    Editions Fayard
    Littérature française (178 p.)
    Paru le 30/01/2008
    16.00 euros

     

    «L'inconnu», le plus long des sept récits qui composent ce recueil, raconte l'histoire d'un dédoublement. Suivent des histoires d'époques diverses, presque toutes d'Amérique

    http://www.sauramps.com/article.php3?id_article=3615

    Je vais maintenant le ramener à la bibliothèque...

  • Catégories : Des lieux

    Défilé panoramique de Saint-Vallier

    vue_panoramique.JPGLe Défilé de Saint-Vallier est une vallée creusée dans un massif métamorphique : le Massif Central. Il y a 6 millions d’années, suite à un tremblement de terre, la méditerranée se ferme de l’Océan Atlantique. Abaissement du niveau de la mer de 400 m ajouté à la formation des Alpes : création d’un fleuve très puissant charriant d’énormes galets qui creuse le Défilé de Saint-Vallier sur une profondeur de 400 m. Suite à un nouveau tremblement de terre, la mer reprend sa place et comble le Défilé de Saint-Vallier. Formation géologique unique, admirez ce Défilé depuis les hauteurs de la Vallée du Rhône.

    http://www.saintvallier.com/article40.html

    Nous en avons eu une vue magnifique hier d'Ozon(cf. note ci-dessous)

  • Catégories : Des lieux

    Bal populaire à Laveyron dimanche 13 juillet au soir

    laveyron.JPGLa commune de Laveyron a connu un fort développement au cours du siècle industriel : de nombreuses tuileries et papeteries fonctionnaient à cette époque et au début du vingtième siècle.
     

    Aujourd'hui, le développement est encore favorisé par le passage des touristes sur la nationale 7. La commune représente une halte appréciée des automobilistes pour se restaurer et se reposer près des berges du Rhône.

    Il n'y a pas d'église à Laveyron : la paroisse de Laveyron est rattachée à celle de Beausemblant(que nous sommes allés voir)


    Le paysage de Laveyron est marqué par la présence du Rhône et de son affluent : la Cance. Les chemins de randonnée qui longent le Rhône de Saint-Rambert d'Albon jusqu'à Tain l'Hermitage passent par la commune de Laveyron : ils sont l'occasion de promenades reposantes dans un environnement préservé.

    Quelques collines en coteaux appartiennent au territoire communal de Laveyron, dont celle du Montrebut qui rejoint le site archéologique de Saint-Vallier. La route accèdant au Montrebut au départ de Laveyron, est une superbe route touristique de trois kilomètres qui offre des panoramas splendides sur l'Ardèche et le Rhône.

    Près du Rhône, Laveyron dispose du parc boisé du Domaine de la Ronceraie : un cadre agréable verdoyant qui comprend de nombreuses espèces d'arbres dont certains plus que centenaires. Cette forêt abrite mousses, lichens et champignons, insectes, mammifères et oiseaux : un ensemble à l'odeur enivrante avec des sons qui évoluent selon les saisons.

     

    http://page1.inforoutes-ardeche.fr/26160/page2.html

     1 km à pied(chantez!!!) de chez nous et un peu de danse, ça fait un bien fou!!!!...

  • Catégories : Balades, Des lieux

    Balade du dimanche:la route des Belvédères

     
    belvederes4.jpg
     
    belvederes1.jpg

     
    Des villages chargés d’histoire

    Au fil de vos découverte, profitez de la beauté des villages de l’Hermitage. Admirez les sites historiques perchés sur les hauteurs, dont la célèbre chapelle de st Christophe qui domine le vignoble et la ville de Tain. Elle aurait été le lieu de méditation d’Henri Gaspard de Sterinberg qui, de retour
    de la terrible croisade contre les albigeois, se retira ici.
    Enthousiasmez-vous également devant celle de St pierre a serves située sous le puissant château-verrou des bords du Rhône.

    Des vignobles de réputation mondiale


    Berceau du fameux vin de l’Hermitage, avec des vins connus depuis l’Antiquité, le Pays de l’Hermitage est autant propice à la découverte qu’a la dégustation. Pas après pas, randonnez a travers le coteau. Sur les célèbres terrasses en pierres sèches patiemment aménagées au fil des siècles, profitez a la fois du paysage de la beauté du vignoble. Parvenu au belvédère de Pierre Aiguille en contemplant la faune et la flore, vous arrivez a un point de vue unique et bien mérité sur le Rhône

    http://www.ot.payshermitage.com/patrimoine/belvederes.php

    Nous reste à découvrir le belvédère du Puy de Serves et à retourner voir les autres par ces routes tortueuses et caillouteuses(la région est pleine de caillous à cause du Rhône qui s'est retiré il y a très longtemps et les a laissés.) à travers les vergers d'abricotiers à perte de vue et parfois les vignes de Crozes Hermitage, un cépage qui porte le nom d'un très joli village.

    Le plus intéressant belvédère est celui de Pierre Aiguille où on monte par un sentier et où on trouve une table de lecture du paysage: panorama des Alpes, des villes alentour,de la Vallée du Rhône et même du Mont Gerbier de Jonc(source de la Loire que nous sommes déjà allés voir) au loin et par temps très dégagé.

    Fin de la ballade par Tain L'hermitage(Drôme,cf.ci-dessous) où nous allons souvent car c'est la ville la plus proche de chez nous avec Tournon-sur-Rhône(dont j'ai déjà parlé)  juste de l'autre côté du Rhône et en Ardèche.

    Tain l'Hermitage:

    http://www.ot.payshermitage.com/visite_tain_lhermitage.php

  • Catégories : Balades, Des lieux

    BALADE DU SAMEDI

    roussilon.jpgDans le Roussillonais sous la pluie.

    Repérés et à retourner voir:

    -Le château de Roussillon (seul château de la Renaissance en Isère).

    -Parc et maison St Prix au Péage de Roussillon : très beau parc aux arbres centenaires. La maison musée de l'ancien comédien Raymond St Prix possède une belle collection de dessins et d'objets anciens, témoignages du théâtre du début du 20ème siècle.
    Rue Nivoley - 38 Péage de Roussillon. Tél : 0474867207.

    -Le Prieuré roman de Salaise-sur-Sanne, le pont des moines et la fontaine Saint-Juste, le quartier ancien de la Rebatière et l'église du 19ème S avec choeur chevet roman.

    Situé au carrefour de 4 départements (Loire, Rhône, Ardèche et Drôme), le Pays Roussillonnais s'étend sur 22 communes du Sud-Ouest de l'Isère dont Roussillon (7437 habitants) est le chef-lieu.
    Bénéficiant du climat doux et ensoleillé de la vallée du Rhône, il est la 1ère zone productrice de fruits de l'Isère et le 1er terroir de production de pommes en Rhône-Alpes.
    On y fabrique aussi des pêches, fraises, abricots, cerises et framboises. Le vaste plateau de Louze entre Auberives-sur-Varèze et Roussillon est un exemple de verger Roussillonnais.

    http://philippe.bouvier1.free.fr/roussillonnais.php

  • Catégories : La poésie

    Dans ma lecture de "Mes 66 plus belles poésies"

    Mes_66_bellespoesies-a7071.jpgcf. ma note sur ce livre:http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2008/06/18/je-suis-en-train-de-lire-mes-66-plus-belles-poesies.html#comments

    Image:http://curieux.dna.fr/?Livre-Mes-66-plus-belles-poesies

     

    L’écolier
    Raymond Queneau

    J’écrirai le jeudi j'écrirai le dimanche
    quand je n'irai pas à l'école
    j'écrirai des nouvelles j'écrirai des romans
    et même des paraboles
    je parlerai de mon village je parlerai de mes parents
    de mes aïeux de mes aïeules
    je décrirai les prés je décrirai les champs
    les broutilles et les bestioles
    puis je voyagerai j'irai jusqu'en Iran
    au Tibet ou bien au Népal
    et ce qui est beaucoup plus intéressant
    du côté de Sirius ou d'Algol
    où tout me paraîtra tellement étonnant
    que revenu dans mon école
    je mettrai l'orthographe mélancoliquement

    http://ec-33-saint-bernard.scola.ac-paris.fr/Saint-leger/poesies/florilege/cadre-texte-queneau.htm

  • Catégories : La cuisine

    Echange de recettes

    Mon aïoli

     

    Pour deux ou trois personnes

     

    Ecraser dans le mortier une tête entière d'aïl dont en ayant bien pris soin de lever le germe de chaque grain si l'ail n'est pas nouveau; Réduire en pommade

     

    Ajouter deux jaunes d'oeufs.

     

    Continuer à tourner avec le pilon en ajoutant deux pots de safran, sel poivre et de l'huile en filet. L'aïoli doit devenir très consistant.

     

    Accompagner avec des légumes bouillis, de la morue, du loup ou du muge noir au court bouillon, des escargots de mer et de terre, etc... Bon apétit et bonne haleine fraiche...

     

    Cordialement !

     

     

     

    Christian JULIA

     

     

     

    http://saintmitre.over-blog.com

     

     

     

  • Catégories : Les polars

    Dans ma lecture du "sang des innocents de Martha Grimmes

    grimmes.jpg"Nos vies s'effilochent dans le futur,rarement tissées,

    Si ce n'est dans les trames du regret"

    Richard Wilbur,"Year's end"(page 7)

    Né à New York en 1921, Richard Wilbur fait ses études au Collège d'Amherst. Après avoir servi en Europe pendant la Seconde Guerre mondiale, il enseigne dans plusieurs institutions prestigieuses, notamment à Harvard. Deuxième poète lauréat des Etats-Unis, en 1987, il rassemble ses New and Collected poemsen un volume paru en 1988. On lui doit d'admirables traductions de Molière et de Racine.

    http://www.ladifference.fr/fiches/auteurs/wilbur.html

    Page 19 du "Sang des innocents":

    A propos d'un parc: "Leur verdure est une forme de chagrin."

    http://www.ladifference.fr/fiches/auteurs/wilbur.html

    Lire la suite

  • Catégories : Des évènements

    Geremek, la mort d'un grand européen

    geremek.jpgPORTRAIT - L'intellectuel et eurodéputé polonais, figure du syndicat anticommuniste Solidarnosc dans les années 1980, a trouvé la mort dimanche dans un accident de voiture en Pologne.

    http://ems6.net/r/?E=XTC-DDGF-5M1OH-DD-DRLDV-9T1C

    Je l'avais découvert pendant mon stage de DEA sur"La représentation des bohémiens dans la littérature et l'art au XIX e siècle" ; dans ce travail qui consistait en une bibliographie critique sur le sujet, figurait un livre de Geremek:

    GEREMEK(Bronislaw), Les fils de Caïn. L’image des pauvres et des vagabonds dans la littérature européenne du XV e au XVIIe siècle. Flammarion, 1991, 418 p.

    Cet ouvrage évoque la période précédant notre période de référence et l’éclaire. C’est une étude passionnante  des thèmes et motifs de la littérature européenne de la Renaissance au XVIIe siècle, mettant l’accent sur la représentation des pauvres et vagabonds (notamment les bohémiens).

    Bronislaw Geremek évoque parfois la littérature des XVIII e et XIX e siècles :

    -          la littérature « de gueuserie » et le picaresque qui ont leurs antécédents dans la littérature grecque et romaine : Satiricon de Pétrone et L’Ane d’or d’Apulée. -          Adaptation et traduction des romans picaresques espagnols en France qui n’ont aucun rapport avec la réalité sociale -          La misère urbaine de la seconde moitié du XVIII e siècle évoquée par Restif de la Bretonne

    -          Notre Dame de Paris de Victor Hugo dont l’action se situe à la fin du XV e siècle.

     


     

     

  • Catégories : La peinture

    Diaporama des paysages de Monet

    http://fr.mc266.mail.yahoo.com/mc/showMessage?fid=Inbox&sort=date&order=down&startMid=0&.rand=1683613548&midIndex=0&eps=&f=1&nextMid=1_26638_ADewktkAAVjASGeUHwliBDEP0v0&m=1_36546_ADewktkAAITsSGfKzADVVXb0IB0,1_26638_ADewktkAAVjASGeUHwliBDEP0v0,1_159_ADmwktkAAGMOSGS5DweEXjqjLWw,1_1107_ADOwktkAACb7SGLIcQqSgj0FCPw,&mid=1_36546_ADewktkAAITsSGfKzADVVXb0IB0&fn=monet.pps&pid=2&vs=1&ypa=1

  • Catégories : La peinture

    L'art 1920-1940 ciselé par un œil neuchâtelois

    9630_2.jpg

    NEOCLASSIQUE. Le Musée d'art et d'histoire de Neuchâtel rend hommage à Théophile Robert en soulignant sa dimension européenne.

    Philippe Mathonnet
    Mardi 17 juin 2008


    Des peintres du nom de Robert, de la même famille... En veux-tu? En voilà! C'est une dynastie que le pays neuchâtelois a vu éclore. Il y eut d'abord Léopold Robert (1794-1835), dont La Chaux-de-Fonds s'honore d'une célèbre avenue à son nom. Léopold a surtout peint, entre classicisme et romantisme, des groupes populaires italiens. Alors que son frère Aurèle (1805-1871), ayant suivi son aîné en Italie, s'intéressa plutôt à dépeindre les monuments. Quant au fils d'Aurèle, Léo-Paul (1851-1923), il a notamment décoré - bon sang ne saurait mentir - la monumentale cage d'escalier du Musée d'art et d'histoire de Neuchâtel de trois grandes compositions symbolistes.
    Mais c'est aujourd'hui à un fils de Léo-Paul que l'institution neuchâteloise rend hommage: Théophile Robert (1879-1954). La fratrie comptait dix enfants et deux autres frères devinrent également peintres, Philippe et Paul-André. Après une précédente rétrospective en 1979, cette présentation a l'avantage de rappeler le type d'art qui prévalait dans l'entre-deux-guerres. Et en adjoignant au nom de Théophile Robert le qualificatif de «Peintre européen», le titre souligne le rôle joué par l'artiste neuchâtelois dans le renouveau de la tradition classique dans ces années 1920-1940. Tant en France qu'en Belgique et en Allemagne, ainsi qu'au Japon. Même s'il revint définitivement en Suisse en 1930 après s'être formé et affirmé à Berlin et à Paris.

    Pour synthétiser son style et son attrait pour le thème des baigneuses, l'évocation des corps lourds, ventres et seins arrondis, coiffures à la garçonne, des figures de Tamara de Lempicka - autre célébrité de la tendance Art déco - donne une indication. Sauf que chez Théophile Robert, la volupté se tempère d'austérité. Ses autoportraits, sa mise stricte, soulignent un œil sévère en quête du bon dosage. «L'artiste est celui qui a reçu le don de l'harmonie, qui a le pouvoir de créer des formes harmonieuses», a-t-il écrit.

    Nombre de ses dessins, présentés en vitrine, signalent une attention méticuleuse à l'équilibre des tracés. Et ses premières natures mortes montrent une inclination très cézanienne pour la simplification, que le spectateur peut admirer jusque dans des paysages bien ultérieurs. Les premiers donnent, du reste par une préoccupation similaire, dans une rythmique très hodlérienne (Les Trois Arbres, 1908). Cette préoccupation de la mesure est confirmée par la gamme des coloris, dominée par les tonalités de terre. Propension renforcée, lorsque Théophile Robert rejoint à Paris, fin 1918, Charles-Edouard Jeanneret (le futur Le Corbusier) et Amédée Ozenfant. Initiateurs du Purisme, ils prônent des schémas régulateurs et des colorations très contrôlées, donc souvent tempérées. Et cette rigueur va se répercuter jusque dans les célébrations christiques et célestes des œuvres religieuses de la seconde partie de la carrière. Où la ferveur se lit dans le dépouillement aussi bien que dans les traits de blanc qui martèlent certains chemins de croix.

    Ce volet art sacré, qui a fait l'objet d'un mémoire de licence de Silvia Amstutz-Peduto, n'est évoqué qu'à travers un film faisant le tour des principales églises décorées par Théophile Robert. Sinon, ce sont avant tout les œuvres de chevalet qui ont été mises en évidence. A travers la publication d'une monographie dirigée par Corinne Charles. Et à travers l'accrochage du conservateur des arts plastiques du Musée d'art et d'histoire, Walter Tschopp. Plutôt qu'un déroulé chronologique, celui-ci a préféré présenter des ensembles thématiques. Grandes compositions qui font d'emblée admirer une palette retenue et une capacité à faire entrer en résonance groupe d'humains et paysage. Nus et baigneuses, comme manière de sculpter par la peinture. Paysages, qui évoluent de l'Art nouveau vers les tentations cubistes. Portraits, où l'on sent fortement l'influence d'Ingres et de sa «ligne claire»; sorte d'indicateur du retour au classicisme dans l'art européen. Natures mortes, presque plus enlevées que les autres genres. Libres de flirter tantôt avec le cubisme tantôt avec la Nouvelle Objectivité, plus ensoleillées aussi dans leurs tonalités. Puis, avant de terminer par la mention de la participation de Théophile Robert à l'art religieux de son temps, coup de projecteur sur la genèse d'un tableau tiré de l'Ancien Testament, la Grande Bethsabée (1920).

    Théophile Robert - Peintre européen. Musée d'art et d'histoire de Neuchâtel (espl. Léopold-Robert 1, tél. 032/717 79 25, http://www.mahn.ch). Ma-di 11-18h. Jusqu'au 28 septembre.





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  • Catégories : Nerval Gérard de

    Bicentenaire de Nerval

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    CONFERENCES
    "Présence de Nerva"l, dans le cadre du bicentenaire nervalien, a organisé une conférence sur Nerval le 9 février à 20h30 au village de Plailly (25 participants) et le 10 février à 15h à Othis (35 participants). 
    Conférencier : Jean-Claude Curtil, président de l'association, secondé pour la lecture de Henri Charvenet.
    Par ailleurs la municipalité d'Othis a inauguré une stèle à la mémoire de Gérard (photo en doc joint), le 16 février à 11h (une quarantaine de présents)
    COMPTE RENDU 
    CR (anonyme) de Th. Gautier, "L'Hirondelle et le corbeau. Ecrits sur Gérard de Nerval", textes présentés et annotés par Michel Brix et Hisashi Mizuno, Bassac, Plein Chant, 2007, dans le "Bulletin critique du livre en français", n° 695, septembre 2007, p. 77-78.
    - Monsieur Jacques Clemens nous signale qu'il prononcera sa conference sur "Gerard de Nerval et les armoiries d'Aquitaine" le 12 avril 2008, a 9 h 45 ("Seance solennelle et publique de l'Academie d'Agen", Salle des Illustres, Mairie d'Agen), et non le 14 mai 2008.
    Bulletin Nerval nº 59  / 1er mars 2008