Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Un super hôtel pas cher à Castres
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www.hotel-renaissance.fr
5 Rue Victor Hugo
81100 CASTRES
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Annonay (en occitan Anonai) est une commune française située dans le département de l'Ardèche et la région Rhône-Alpes. Avec ses 17 522 habitants en 2006, Annonay est la commune la plus peuplée de l'Ardèche.
Ses habitants sont appelés Annonéens.
Le Père Goriot ; Le Colonel Chabert ; La Messe de l’athée ; L’Interdiction
Il n'y a pas de voie d'accès plus envoûtante que celle du Père Goriot pour nous conduire au cœur de La Comédie Humaine. Le nombre et la diversité, l'étoffe et la qualité des personnages dont nous faisons la connaissance dans ce roman composent une extraordinaire densité de vie et de destins que chaque lecteur peut suivre, selon l'ordre qu'il désire, dans une vingtaine d'autres romans sans mettre en péril l'autonomie d'aucun.
Chez Balzac, les personnages reparaissent de roman en roman exactement comme, dans le monde réel, les hommes se déplacent sous l'effet de la mobilité sociale, parcourent l'espace selon le déchaînement de leurs ambitions, la brûlure de leurs désirs, leurs satisfactions ou leurs échecs. Prenant pour objet la connaissance de l'homme social par le genre romanesque, La Comédie Humaine est un gigantesque réseau relationnel — et ce caractère est bien celui de toute société, qu'elle soit réelle ou fictive.
La nuit suivante*, je ne pus dormir que peu d'instants. Une femme qui avait pris soin de ma jeunesse m'apparut dans le rêve et me fit reproche d'une faute très grave que j'avais commise autrefois. Je la reconnaissais, quoiqu'elle parût beaucoup plus vieille que dans les derniers temps où je l'avais vue. Cela même me faisait songer amèrement que j'avais négligé d'aller la visiter à ses derniers instants. Il me sembla qu'elle me disait : «Tu n'as pas pleuré tes vieux parents aussi vivement que tu as pleuré cette femme. Comment peux-tu donc espérer le pardon?». Le rêve devint confus. Des figures de personnes que j'avais connues en divers temps passèrent rapidement devant mes yeux. Elles défilaient, s'éclairant, pâlissant et retombant dans la nuit comme les grains d'un chapelet dont le lien s'est brisé. Je vis ensuite se former vaguement des images plastiques de l'antiquité qui s'ébauchaient, se fixaient et semblaient représenter des symboles dont je ne saisissais que difficilement l'idée. Seulement, je crus que cela voulait dire : «Tout cela était fait pour t'enseigner le secret de la vie, et tu n'as pas compris. Les religions et les fables, les saints et les poètes s'accordaient à expliquer l'énigme fatale, et tu as mal interprété... Maintenant il est trop tard!».
Je me levai plein de terreur, me disant : «C'est mon dernier jour!». À dix ans d'intervalle*, la même idée que j'ai tracée dans la première partie de ce récit me revenait plus positive encore et plus menaçante.
http://fr.youtube.com/watch?v=0bbY6huOvt8
Les paroles:
Paroles: Etienne Daho. Musique: Christian Fradin, Etienne Daho 2003 "Réévolution"
© Satori song
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Regarder la Vidéo
Soldats de la rue ou anges déçus
Que tous les cœurs vaillants oubliés
Et les âmes pures revêtent l'armure
Dans un monde réévolué
Réécrire l'histoire, à nos étendards
De quel côté l'épée va frapper
Pour un peu d'amour, au son des tambours
Dans un monde réévolué
Puisque l'avenir, dépend de notre foi
De notre irrépressible, envie de vivre
Le futur s'ra bien plus que parfait
Ooh, debout et le poing levé !
Exercice 62 d'Ecriture ludique- Expressions (isa / zabilou)
Il est déjà arrivé à tout le monde d'entendre, au détour d'une phrase, une expression qu'il ne connaissait pas, et de la prendre "littéralement", dans son sens premier. Du petit noir du matin (café) qui donne un bon coup de fouet, aux oreilles des murs, en passant par beaucoup d'autres formules qui nous sont familières, il y a là (riche) matière à malentendus et quiproquos en tous genres.
Imaginez maintenant que ce soit un ou plusieurs enfants qui comprennent à leur façon une ou plusieurs expressions, et tous les ingrédients sont réunis pour que vous écriviez une nouvelle, un dialogue ou une scène de théâtre où les mots et leur sens supposés joueront bien des tours aux protagonistes :-)
L'humour est évidemment le bienvenu, tout autant que l'absurde, et aussi pourquoi pas ce regard poétique que l'enfance sait avoir sur les choses. Mais vous pouvez bien sûr choisir un tout autre ton, et nous raconter les conséquences qu'un malentendu peut avoir...
Bref, vous êtes libres aussi bien du ton que de la forme, et des expressions / maximes / proverbes / citations que vous choisirez de remettre dans leur sens premier, pour le meilleur ou pour le pire :-)
http://www.ecritureludique.net/article-23503790.html
Mon poème ci-dessous:
Fatigués,nous nous sommes arrêtés à Sète que nous connaissions déjà mais j'avais envie de voir le cimetière marin(en photo) où est enterré Paul Valéry; nous n'avons pas vu la tombe mais de cette ce cimetière et du mont Saint-Clair, plus haut, il y a une très belle vue sur toute la ville et le port.
Lavelanet(en photo) où j'ai vécu 3 ans(heureux) il y a quelques années et où j'ai retrouvé des amis et ma 3 e grand-mère(les 2 autres "génétiques" étant décédées).
Je n'y étais pas allée depuis 4 ans et j'y ai trouvé du changement. C'était une ville qui vivait largement grâce au textile et comme le textile est presque mort, la ville de calme, est devenue morne.
Pour en savoir plus:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Lavelanet
Castres dont j'ai déjà amplement parlé:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Castres
Hôtel des spectres familiers / Printemps de septembre - Exposition collective
Hôtel de Viviès
du samedi 27 septembre 2008 au dimanche 19 octobre 2008
Alain Huck Amy O’Neill Denis Savary Elisabeth Llach Patrick Neu Yvan Salomone
Commissariat : Christian Bernard - commissaire associé : Jean-Max Colard
Vernissage samedi 27 septembre à 13h à l’Hôtel de Viviès
Décentralisation du "Printemps de Septembre à Toulouse" à l’Hôtel de Viviès.
« On y a le sentiment d’un décalage horaire. L’ Hôtel des spectres familiers tente d’introduire le fantôme d’un passé improbable par le choix des œuvres et le biais du dispositif d’exposition. Des couleurs choisies par John Armleder pour les Abattoirs de Toulouse seront aussi utilisées ici, mais pour favoriser le sentiment de troublante quiétude d’un intérieur récemment abandonné. ( …) Des travaux sur papier, qui sont comme des bulles d’imaginaire qui viendraient exploser à la surface du mur. Par exemple les iris de Patrick Neu rappellent les peintures de fleurs qu’on trouve dans toutes les maisons. Même idée avec les vues de chalet d’Amy O’Neill, qui sont comme ces souvenirs de vacances à la montagne qu’on peut voir dans les intérieurs de la middle class américaine. Ou encore les aquarelles atypiques d’Yvan Salomone qui soudain focalisent sur des trophées insolites. Sans parler des petites filles ou des adolescentes malsaines qu’épingle le pinceau cruel d’Elisabeth Llach. Ou des dessins littéralement hantés d’Alain Huck. »
Christan Bernard
Pour en (sa)voir plus:
http://musee-charles-leandre.fr/l-equipe/projet-municipal/
Spécialiste depuis 40 ans au service d'une clientèle fidèle ou occasionnelle. Un personnel qualifié, un accueil chaleureux, des conseils personnalisés en littérature adulte ou enfant et en papeterie. Nous aurons plaisir à vous faire découvrir toutes nos nouveautés qu'elles soient fantaisistes, pratiques ou technologiques. Pour cela, n'hésitez jamais à nous consulter. Notre proximité est un atout majeur. Votre exigence nous le confirme chaque jour. Votre libraire s'engage et vous accompagne depuis toujours. Coulier est synonyme de qualité. MAJUSCULE et l'environnement, plus qu'une couleur, un état d'esprit... La marque NF Environnement est le signe national officiel reconnu par les pouvoirs publics, de la qualité écologique des produits. Au plaisir d'une prochaine rencontre pour toujours mieux vous servir.
mais s'il y aurait encore beaucoup de choses à dire et je ne m'interdirais pas de le faire à l'occasion.
J'en termine donc avec "Le Cimetière marin" de Paul Valéry (autoportrait ci-contre) dont j'ai déjà parlé à propos de Sète(cf. note).
Petit complément:
Publié d'abord en revue, ce poème, le plus célèbre de Valéry (1871-1945), a été publié en 1920 par Emile Paul Frères, puis recueilli dans Charmes (1922). Valéry en avait commencé la rédaction au moment où il travaillait à La Jeune Parque (1917). Les deux textes présentent des points communs : rapports entre conscience et corps, présence de la mer.
C'est, en 24 sizains, une méditation métaphysique, mais elle revêt une forme dramatique, présentant en quatre actes une action au sens théâtral du terme. Les quatre premières strophes présentent la mer comme un objet semblable à un néant (la "chose" de Hegel) immuable et inconsciente, auquel s'oppose (strophes 5 à 9) la mobilité de la conscience qui existe dans le temps et que fascine le désir d'être pensée pure ; la confrontation des deux personnages de ce drame fait naître (strophes de 9 à 19), avec l'intervention du corps, une méditation sur la mort : le refus de l'illusion de l'immortalité de l'âme accompagne la tentation de mourir et de faire cesser l'opposition entre conscience et existence. Cette tentation est écartée dans les cinq dernières strophes : repoussant les paradoxes de la pensée pure, le sujet choisit la vie, le mouvement du corps, la création poétique, l'action : "Le vent se lève, il faut tenter de vivre." C'est donc une réflexion sur le temps, la contradiction entre conscience et objet, conscience et corps. Le choix final dépasse cette contradiction mais ne la résout pas. Toutefois, il ne faut pas oublier qu'il s'agit d'un poème : il est né, de l'aveu de l'auteur, de l'obsession d'un rythme, celui du décasyllabe, et non d'une pensée.
Paul Valéry a même souligné, avec peut-être une volonté de paradoxe, que c'était le seul parmi ses poèmes comportant des souvenirs de choses vues : le cimetière de Sète. (À la mort de Paul Valéry, le cimetière Saint-Charles fut rebaptisé "Cimetière marin" et il y fut enterré).
Cette méditation abstraite a un caractère sensible et parfois sensuel. Ce n'est pas une pensée pure mais un "fruit" qui "se fond en jouissance".
Célèbre pour son hermétisme, Le Cimetière marin a été l'objet de nombreuses exégèses, les plus connues étant celles d'Alain et de Gustave Cohen.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Cimeti%C3%A8re_marin
Et le poème complet ci-dessous:
Chalet Oldenhorn, fusain sur papier, 103 x 137 cm, 2005 |
http://www.blancpain-artcontemporain.ch/artistes/amy_oneill/amy_oneill_02.htm
Pas cette toile-là mais ce genre de toile.
Récapitulatif de toutes mes notes sur ce voyage: http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2008/10/22/recapitulatif-de-mes-notes-sur-mon-voyage-du-16-au-19-octobr.html#comments
Tain l'Hermitage(je ne retrouve pas ma note)
Valence
http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2008/06/16/balade-du-samedi-valence.html
Loriol-sur-Drôme de sinistre mémoire :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Loriol-sur-Dr%C3%B4me
Montelimar:
http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2008/07/28/samedi-dans-l-ardeche-du-sud.html
Grignan :
Quelqu'un d'un doigt léger m'a touchée à l'épaule.
Je me suis retournée mais il s'était enfui :
Peut-être es-tu celui que je n'espérais plus
Et dont le souvenir confus
Trouble encore quelquefois le miroir de mes songes ?
Ou bien
L'ange gardien de mon âme d'enfant
Alors que résonnait aux jardins du Printemps
Le doux éclat de nos deux rires ?
Je froissais quelquefois tes ailes dans nos jeux,
Blanches ailes au reflet bleu
Comme l'enfantine journée.
Viens-tu comme autrefois, poser mes pieds lassés
Sur la divine échelle où palpitaient les anges ?
Nous la sentions vibrer d'amour pur sous nos doigts,
Mais c'était le temps d'autrefois...
http://www.smedieux.com/nouveautes.php
Récapitulatif de toutes mes notes sur ce voyage: http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2008/10/22/recapitulatif-de-mes-notes-sur-mon-voyage-du-16-au-19-octobr.html#commentsAlain Huck, Kuroi Ame, 2008. Fusain/papier. 250x368 cm
Courtesy Galerie Sollertis, Toulouse. © Alain Huck
Je n'ai pas vu cette toile mais c'est pour donner une idée...
« Les romantiques influencèrent cependant la peinture de leur temps. Ils célébrèrent surtout le peintre de paysage Kaspar David Friedrich, originaire de Greifswald, qui se rapprochait le plus de leurs idées. Dans ses tableaux on trouve vivante l’atmosphère de la mer Baltique, ses rives natales. Il avait eu pour ancêtres des gens tous honnêtes et industrieux ; il possédait l’humilité raide, la droiture et la force d’isolement des Peuples nordiques.
«Le courage, c’est de chercher la vérité et de la dire»
(extrait du dernier article écrit par Jean Jaurès, dans l’Humanité, le 31 juillet 1914).
Thème: Père et fils
Les relations père/fils sont particulières. Le père est le modèle par excellence. Le fils cherche à lire de l'admiration dans les yeux de son père, et fait tour pour y parvenir.
Le père lui, recherche la confirmation qu'il est un bon père. C'est essentiel, car cela donne l'idée d'une continuité d'existence.
Un garçon va parler de ses soucis et faire ses confidences à sa mère, pas à son père. Entre mère et fille, on se câline. Mais pas entre père et fils. Plus on veut lui ressembler, plus on le met à distance.
L'amour entre père et fils ne passe pas par les mots. Il est rare d'entendre un père dire à son fils: « Je t'aime » ou vice-versa. Ils se le disent à leur manière, bien particulière.
Les personnages de votre texte seront un père et son fils.
Le narrateur sera une tierce personne, observateur de la scène
http://kaleidoplumes.forumpro.fr/consigne-37-f91/consigne-d-ecriture-t1393.htm
Mon poème ci-dessous:
...ravie et fatiguée.
Beaucoup de choses à faire quand on rentre; beaucoup de messages auxquels je vais répondre peu à peu.
Beaucoup de choses à raconter ici... peu à peu
Merci pour vos nombreuses visites et vos(beaucoup moins nombreux...) commentaires en mon absence.
Bonne soirée.
Note du 16:
Je pars ce matin en voyage...
...jusqu'à dimanche dans le Sud-Ouest, à Lavelanet(ci-dessous) où j'ai vécu 3 ans et à Castres, une ville que j'aime beaucoup.
Profitez en pour commenter(vos commentaires n'apparaîtront sur le blog qu'à mon retour puisqu'ils sont modérés) et lire mon blog...
J'ai programmé quelques notes mais n'hésitez pas à lire aussi les anciennes.
Sur Lavelanet:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Lavelanet
Sur Castres:
p.22:"La nuit, noire néphrite et sombre de charbon, glissait sans bruit au coeur de la ville aux briques roses."
Sur la néphrite, cf.
Dans le cadre de la Saison culturelle européenne (1er juillet au 31 décembre 2008), Culturesfrance et la Maison des écrivains et de la littérature invitent en France 27 écrivains européens, à l’occasion de la publication de leur dernier ouvrage.
Sélectionnés en collaboration avec le Centre national du Livre, ces auteurs, représentant 19 nations européennes, sont au cœur de l’actualité littéraire, soulignant la qualité du travail des éditeurs français, la richesse de leurs collections étrangères et la diversité des genres littéraires abordés.
Durant tout l’automne, de Paris à Marseille, en passant par Lyon, Bordeaux, Strasbourg, Lille, Toulouse, Rennes, Aix-en-Provence, Tours, Le Mans, Lorient, Avignon, Nantes, quelque 80 rencontres publiques sont organisées, en témoignage de l’extraordinaire vitalité de la création littéraire européenne. Héritiers d’un patrimoine artistique commun, les écrivains de ce Tour de France construisent une œuvre inspirée où, par-delà la singularité des approches, des langues et des styles d’écriture, la modernité des enjeux européens apparaît dans toute sa complexité. C’est à travers romans, nouvelles, poésies, essais, œuvres pour la jeunesse, que notre humanité, dans une mosaïque de trajectoires, est confrontée à cela même qui la met en péril.