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  • Catégories : La peinture

    Le SANZISME, d'hier à aujourd'hui

    Il y a plus de 60 ans, de jeunes artistes décidèrent de se regrouper; ce furent : James Bansac, Roger Bravard, André Chaix, Jean Mélinand, Paul Clair,Micheline Colin, Pierre Coquet, André Cottavoz, Pierre Doye, Jean Fusaro, Françoise Juvin, André Lauran, Edouard Mouriquand, Pierre Palué, Paul Philibert-Charrin, Antoine Sanner, Jacques Truphémus. Une des particularités de ce groupe fut sa composition ; ils étaient tous de jeunes peintres sortant de l’école des Beaux-Arts de Lyon dans les années 1945 et eurent comme professeurs Chartres, Chancrin et Vieilly.

    Ils débutèrent à une époque après guerre où le contexte économique fut difficile et tentèrent de constituer un mouvement rassemblant des tendances différentes ; le groupe voulut conserver un esprit d’indépendance en prétendant n’appartenir à aucune école ; il chercha à peindre dans la lumière à l’image de leur aîné F.A. RAVIER. La première exposition fut réalisée à la chapelle Ampère en 1948 ; devant le succès de celle-ci, les artistes réitérèrent une seconde manifestation en 1950. Leurs œuvres apportèrent une certaine fraîcheur dans un art où chacun s’exprima librement.

    Le temps a passé et chaque artiste a suivi son propre chemin ; ils ont toujours eu le goût de la recherche du dessin, la subtilité de la couleur, le tout entre figuration et abstraction. L’Association des Amis de la Maison Ravier vous présente ces artistes dans leur évolution ; nous avons désormais le recul pour apprécier leur progression qui les amène à cette notoriété et à une place dans l’histoire de la peinture lyonnaise.

    http://www.maisonravier.com/html/4_2_53.html

  • Catégories : Le Maroc:vie et travail

    Le Maroc peint par Irina Potseloueva

    Publié le : 18.07.2010 | 10h47
       
     
     

    L'artiste-peintre Irina Potseloueva-Plekhanova revient au Maroc avec une autre belle série de tableaux, exposés au Centre russe de la science et de la culture.

    180710_p_environement.jpgAprès le franc succès remporté lors de son exposition à l'Espace Expressions CDG, en octobre dernier, l'artiste peintre Irina Potseloueva-Plekhanova revient au Maroc avec une autre belle série de tableaux, dont la thématique tourne autour des Médinas, paysages et sites marocains avec quelques toiles sur son pays natal, la Russie.
    «Pendant mon dernier séjour au Maroc, j'ai eu l'occasion de visiter quelques villes. Leurs Médinas et paysages m'ont vraiment marquée et j'ai senti une grande émotion que je n'ai pu m'empêcher d'étaler sur mes toiles afin de pérenniser ces moments de bonheur et de satisfaction », nous confie l'artiste Irina. Ces sentiments que nous détectons au premier regard de ses toiles nous rappellent la peinture des grands maîtres hollandais, italiens ou russes.

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  • Catégories : Des expositions

    Exposition "Le Beau XVI°" à Troyes, ou Les chefs d'oeuvre de la sculpture champenoise

    Du 18 avril au 25 octobre 2009 : une exposition unique « Le Beau XVIème : les chefs d'œuvre de la sculpture en Champagne »
    Label « Exposition d'Intérêt National »


    CHAMPAGNE ET RENAISSANCE
    Il y a 400 ans, les terres de Champagne sont en effervescence : des marchands venus de toute l'Europe viennent dans la province pour faire du négoce. Certains mêmes, s'y installent en vue de prospérer.

    Les hommes et les biens circulent, mais également les idées et les goûts nouveaux. Alors que le gothique s'essouffle au profit du maniérisme naissant venu d'Italie et des Flandres, la production artistique troyenne rayonne avec éclat. A un tel point, que la province fournit des artistes au grand chantier de Fontainebleau ; Primatice et Rosso orchestrant le savoir-faire champenois pour les stucs et sculptures de la demeure royale

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  • Catégories : Les polars

    Du crime de sang au crime d'encre

    . Meitinger

     
    Véronique Léonard-Roques, Caïn, figure de la modernité (Conrad, Unamuno, Hesse, Steinbeck, Butor, Tournier), Paris, Honoré Champion, "Bibliothèque de Littérature générale et comparée" vol. 35, 2003.

    Un fratricide au principe d'une culture, d'une civilisation voire de la culture, de la civilisation ? C'est la question que pose le mythe de Caïn et que tentent de résoudre ou du moins d'apaiser, de canaliser vers des solutions et des raisons humaines acceptables, compréhensibles, de nombreuses oeuvres littéraires et artistiques au fil des siècles. Le XIXe siècle a entrepris, en bonne part sous l'influence du premier romantisme, de réhabiliter Caïn en faisant de lui un incompris et un paria que le Dieu créateur a, de par une préférence arbitraire, d'emblée affligé, constitué en bouc émissaire et qui affirme par son crime sa liberté et sa dignité. Le XXe siècle, plus nuancé, ne retire rien à la brutalité du héros mais, tout en mitigeant également sa culpabilité, explique mieux ce qui le lie à Abel et fait parfois des deux frères les deux faces opposables et complémentaires d'une seule et même personnalité peut-être réversible. Baudelaire et Leconte de Lisle, après Byron, avaient exalté Caïn comme la figure même de la révolte contre l'arbitraire divin et facilement assimilé Abel à la pleutrerie et au conformisme bourgeois. Hugo avait déjà fait du destin de Caïn le moment d'introduction de la conscience en l'humanité et comme le point initial de l'introspection. Les auteurs abordés dans cette étude de littérature comparée balancent mieux qualités et reproches, unissent plus qu'ils ne disjoignent, dialectisent souvent et rendent tout partage plus délicat, plus subtil, plus angoissant également : "À travers les représentations de ces Caïn du XXe siècle se lit l'acceptation de la fécondité des ambiguïtés, la reconnaissance de la part nocturne mais positive du moi" (p. 18).

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  • Catégories : Balades, Le paysage

    Des arbres et des hommes.

    Pour une autre lecture des paysages méditerranéens .

     

     

    Presque aucun de nos arbres n’est indigène. De tous temps, grâce à son climat spécifique, la région méditerranéenne a été terre d’adaptation de végétaux étrangers. Olivers, micocouliers, cèdres, treilles, cyprés, palmiers et les autres, tous disent ce que recherche le planteur : l’utilité ou la distinction, la convivialité ou la conformité à la mode du moment. C’est ce que qu’expose Josiane Ubaud dans un ouvrage désormais introuvable, Des arbres et des hommes, Édisud, 1995.

    On trouvera ci-dessous un résumé de l’ouvrage, établi par l’auteure elle-même et initialement publié dans Échanges et Patrimoine, Revue des villes et pays d’art et d’histoire, mars 2003, sous le titre Des arbres et des hommes : pour une autre lecture des paysages méditerranéens.

    La rédaction de BtJ la remercie vivement d’en avoir autorisé la publication.


    Nous voudrions présenter ici un aspect des paysages qui, n’étant pas enseigné, n’est jamais abordé par les forestiers, les architectes-paysagistes, les pépiniéristes, bref par tous ceux dont le métier est de planter ou faire planter des arbres ou de gérer des espaces verts : l’aspect culturel, symbolique et sociologique. Il va sans dire que cela s’adresse tout autant aux particuliers, qui par le choix qu’ils font pour orner leurs jardins, modèlent peut-être encore plus les paysages que les professionnels, statistiquement parlant.

    En croisant les regards qu’ont pu porter sur les arbres les écrivains occitans depuis le 16ème siècle jusqu’à nos jours, les discours que nous avons recueillis, les dictons et proverbes occitans relatifs à ces arbres d’une part, la symbolique de ces arbres dans les civilisations méditerranéennes (grecque, perse, latine) dont il est trivial de rappeler que nous en sommes les héritiers culturels directs d’autre part, et enfin le regard d’un sociologue, J. Baudrillard, sur les réflexes de la société de consommation, nous avons été amenée à montrer (Des Arbres et des Hommes, Edisud, 1995) que l’arbre n’a jamais été planté au hasard. Il a toujours eu certes une fonction d’usage (décoratif, utilitaire ou nourricier) évoluant au gré des modes, qui ne doit pas cacher pour autant sa fonction de signe et sa charge symbolique ancrée dans une culture : l’arbre est un signe qui produit du sens dans la société. C’est donc une autre lecture des paysages méditerranéens que nous proposons.

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  • Le vent m'emportera

    Le vent m’emportera loin des douleurs de la terre

    Le vent m’emportera sur les mers du monde

    Le vent attisera le feu qui brûle mon âme

    Le vent emportera mes cendres vers mes disparus

     

    Le vent dispersera les feuilles de mes manuscrits

    Le vent couvrira le bruit de nos caresses

    Le vent t’enverra des baisers où que tu sois

    Le vent portera ma voix pour te crier ma joie

     

    Le vent du nord m’emportera vers mes origines

    Champenoises, enfin légères comme des bulles

    Ou de la mousse de pression des rues de Lille.

    Le vent du nord rafraîchira mes passions ardentes.

     

    Le vent du sud soufflera sur les remparts de Carcassonne

    Et emportera un morceau de moi vers les mines stéphanoises.

    Le vent du sud réchauffera l’air de la Haute-Loire

    Lui donnant des traits de Casa la Blanche.

     

    Le vent fera frémir Rhône, Saône et trembler Fourvière.

    Le vent m’emportera t-il loin de la Drôme ?

    Le vent m’emportera, moi et mes rêves.

    Etouffera t-il ma rage et mes colères ?

     

    22 AVRIL 2010

     

     

    http://www.lyricsdownload.com/noir-desir-le-vent-l-emportera-lyrics.html de Noir désir (paroles)

    Pour l'atelier réel de St-Vallier sur le thème du vent

    Pour lire d'autres textes de moi, cf. mes 11 livres en vente sur ce blog.

  • Catégories : Mes poèmes

    Bon anniversaire à ma belle soeur

    GERALDINE

    Géraldine n’est pas radine

    En amour et elle illumine

    Réellement la vie de mon petit frère

    Avec son sourire qui n’est pas de vitrine

    Les voir ensemble est une mine

    De conseils pour les humeurs chagrines

    Il n’existe pas, pour ceux qui s’aiment, de routine

    N’oubliez pas de souhaiter à Géraldine

    En chœur, un bon anniversaire.

     

    8 juin 2010

    Pour lire d'autres textes de moi, cf. mes 11 livres en vente sur ce blog.

  • Catégories : L'économie

    Fonction publique : sanctionnée pour avoir dit la vérité

    Véronique Grousset
    09/07/2010 | Mise à jour : 18:22

    Aurélie Boullet, photographiée ici place Jean-Jaurès, à Bordeaux, attend maintenant la décision du président de la Région Aquitaine. (F. Desmesure/Le Figaro Magazine)
    Aurélie Boullet, photographiée ici place Jean-Jaurès, à Bordeaux, attend maintenant la décision du président de la Région Aquitaine. (F. Desmesure/Le Figaro Magazine)

    Aurélie Boullet a écrit un pamphlet très drôle sur son quotidien de haut fonctionnaire dans un conseil régional. Elle vient d'être suspendue pour deux ans, sans traitement.

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  • Catégories : Marceau Sophie

    Marceau : «Après 40 ans, on se fait davantage face»

    Jean-Christophe Buisson et Laurence Haloche
    06/07/2010 | Mise à jour : 10:48

    Après le triomphal LOL, la comédienne préférée des Français revient sur les écrans cet été dans L'Age de raison, un film bouleversant signé Yann Samuell (en salles le 28 juillet). Elle y interprète une executive woman quadragénaire rattrapée par ses promesses d'enfance. L'occasion idéale pour l'interroger sur une génération dont elle est devenue l'icône incontestable.

    (Richard Melloul/Le Figaro Magazine)
    (Richard Melloul/Le Figaro Magazine)

    Le Figaro Magazine Dans «L'Age de raison», le personnage que vous incarnez reçoit le jour de ses 40 ans une lettre qui l'interroge sur ce qu'elle a fait de sa vie. Vous-même, avez-vous dressé le bilan de la quarantaine ?

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  • Catégories : Des expositions, Des musées

    Sonia Delaunay et l'art abstrait

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    A partir du 23 juin 2010

    A l’occasion du ré-accrochage de l’œuvre majeure de Sonia Delaunay (1885 - 1979) Rythme couleur 1076 qui vient d’être restaurée, le musée expose, dans la Galerie d’actualité (1er étage), un ensemble d’œuvres abstraites issu de ses collections.
    Cette restauration fondamentale a nécessité des interventions à la fois sur la couche picturale et le support toile.
    Rythme couleur 1076, œuvre particulièrement représentative du travail de Sonia Delaunay (Ukraine, 1885 - Paris, 1979) vient d’être restaurée grâce au mécénat de Sotheby’s. A cette occasion, le tableau sera présenté tout l’été dans la galerie d’actualité, aux côtés de quatorze autres œuvres abstraites de la collection du musée. Certaines de ces œuvres n’ont pas été présentées au public depuis la fermeture du Palais des beaux-arts de Lille pour rénovation en 1991.
    Parmi cette sélection, retrouvez les œuvres de Serge Poliakoff , Frantisek Kupka mais aussi Alfred Manessier, Maurice Estève et Jean-Michel Atlan. Martin Barré et son élève Christian Bonnefoi complèteront ce panorama de près de quarante ans d’art abstrait dans les collections du musée.

    L’œuvre de S.Delaunay, Rythme couleur 1076, a été restaurée grâce au mécénat de Sotheby’s.

     

    http://www.palaisdesbeauxarts.fr/

  • Catégories : Science

    Sciences et avenir

    L'Europe n'a plus de poissons

    Un rapport publié par deux organismes révèle que les européens consomment bien plus de poissons que ne peuvent en produire les mers d'Europe. En effet, ils consomment en 189 jours les réserves prévues pour 365.

    Un médicament contre le diabète livre ses secrets

    La metformine est le médicament le plus prescrit pour traiter les patients atteints de diabète de type 2. Cette molécule réduit l'hyperglycémie en diminuant la production de glucose par le foie mais son mécanisme d’action était encore inconnu jusqu’ici.

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  • Catégories : Musique

    Quand le Grand Siècle se piquait d'exotisme

    Par Christian Merlin
    15/07/2010 | Mise à jour : 12:18 Réagir

    Le Festival de Beaune exhume des compositions de Lully et Moulinié, marquées par l'empire ottoman et la Chine. 

     

    (Envoyé spécial à Beaune)


    Quand on a vu le titre du concert ouvrant le deuxième week-end du Festival de Beaune 2010, «L'exotisme à la cour de Louis XIII et Louis XIV», on n'a pu réprimer une sourde inquiétude : n'allait-on pas assister à un cours en Sorbonne, sans doute passionnant mais un peu didactique pour un festival d'été ? Ce fut le contraire.

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