Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Et un de moins!Vendre de la poésie
Pour lire d'autres textes de moi, cf. mes 11 livres en vente sur ce blog
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Charismatiques ou réservés, marqués par les rides ou empreints de délicatesse, poseurs ou mystérieux : les visages des écrivains ont parfois quelque chose à révéler de leurs œuvres. Une idée que l’artiste américain John Sokol exploite jusqu’au bout avec ses magnifiques « Word Portraits ».
Le principe ? Les écrivains sont représentés à partir de leurs propres mots : le visage de Baudelaire est ainsi redessiné avec le texte des Fleurs du mal, le regard de Beckett correspond à un passage de Godot, les cheveux de Toni Morrison à un extrait de L'Oeil le plus bleu…
Un travail minutieux dont le résultat vaut le détour (voire peut-être même un achat, puisque les dessins de John Sokol sont également à vendre sur son site). Découvrez notre sélection dans le diaporama des portraits d'écrivains en toutes lettres de John Sokol.
http://livres.fluctuat.net/blog/48651-diaporama-15-ecrivains-dessines-avec-leur-propre-texte.html
Justine et Richard ont trois enfants et quinze ans de vie commune. Tous les deux vont se séparer. Richard vit déjà dans un autre appartement et vient d'accepter un travail à l'étranger.
Un retour vers le passé et les souvenirs d'enfance de Justine : le père qui fiche le camp, la première déception amoureuse et la rencontre avec Richard.
C'est bientôt Noël et ils ne se sont pas revus. Justine et les enfants vivent toujours dans le même quartier, dans le même immeuble où Richard passe ce soir-là. Une année s'est écoulée.
http://www.ina.fr/ardisson/double-jeu/video/I05095533/etienne-daho-saudade.fr.html
http://www.ina.fr/video/I07296711/etienne-daho-a-propos-de-ses-debuts.fr.html
Cette semaine, Laurence Piquet nous fait découvrir ce lieu à l’occasion de l’exposition Manet, inventeur du moderne
Edouard Manet, une inquiétante étrangeté
- Guy Cogeval, président de l’établissement public du musée d’Orsay ;
- Eric Darragon, historien d’art contemporain, professeur émérite à l’université Paris-Sorbonne I ;
- Gérard Garouste, artiste peintre et sculpteur.
Musée d’Orsay
62, rue de Lille - 75007 Paris
Tél. : 01 40 49 48 14
Exposition : Manet, inventeur du moderne
Jusqu’au 3 juillet 2011
Le chroniqueur Edwart Vignot présente sa chronique "Hors d’œuvre", où il met en lumière un tableau d’Edgar Degas.
Et aussi
Livres
- Manet, inventeur du moderne
Stéphane Guégan (dir.)
Ed. Musée d’Orsay/Gallimard, avril 2011
304 p. - 42 euros
- Le Figaro
"Manet, un certain regard"
Ed. Le Figaro, coll. Hors série, avril 2011
114 p. - 8,90 euros
- Manet
James Henry Rubin
Ed. Flammarion, avril 2011
416 p. - 49 euros
- Il était plus grand que nous ne pensions
Eric Darragon
Ed. Nouvelles Editions Scala, coll. Ateliers imaginaires, avril 2011
207 p. - 19 euros
Expositions
- Claude le Lorrain
"Le dessinateur face à la nature"
Jusqu’au 18 juillet 2011
Le Louvre
Hall Napoléon, sous la pyramide
75001 Paris
- Rodin
"Le plaisir infini du dessin"
Jusqu’au 13 juin 2011
Musée Matisse du Cateau-Cambresis
Palais Fénelon
59360 Le Cateau-Cambrésis
Cette semaine, Laurence Piquet nous fait découvrir ce lieu à l’occasion de l’exposition Manet, inventeur du moderne
Edouard Manet, une inquiétante étrangeté
- Guy Cogeval, président de l’établissement public du musée d’Orsay ;
- Eric Darragon, historien d’art contemporain, professeur émérite à l’université Paris-Sorbonne I ;
- Gérard Garouste, artiste peintre et sculpteur.
Musée d’Orsay
62, rue de Lille - 75007 Paris
Tél. : 01 40 49 48 14
Exposition : Manet, inventeur du moderne
Jusqu’au 3 juillet 2011
Le chroniqueur Edwart Vignot présente sa chronique "Hors d’œuvre", où il met en lumière un tableau d’Edgar Degas.
Et aussi
Livres
- Manet, inventeur du moderne
Stéphane Guégan (dir.)
Ed. Musée d’Orsay/Gallimard, avril 2011
304 p. - 42 euros
- Le Figaro
"Manet, un certain regard"
Ed. Le Figaro, coll. Hors série, avril 2011
114 p. - 8,90 euros
- Manet
James Henry Rubin
Ed. Flammarion, avril 2011
416 p. - 49 euros
- Il était plus grand que nous ne pensions
Eric Darragon
Ed. Nouvelles Editions Scala, coll. Ateliers imaginaires, avril 2011
207 p. - 19 euros
Expositions
- Claude le Lorrain
"Le dessinateur face à la nature"
Jusqu’au 18 juillet 2011
Le Louvre
Hall Napoléon, sous la pyramide
75001 Paris
- Rodin
"Le plaisir infini du dessin"
Jusqu’au 13 juin 2011
Musée Matisse du Cateau-Cambresis
Palais Fénelon
59360 Le Cateau-Cambrésis
Sophie Marceau a vu sa vie basculer avec son rôle dans La Boum, à l’âge de 13 ans. Aujourd’hui, star internationale et réalisatrice, elle raconte son métier, ses passions, ses choix, sa vie devant la caméra de l’actrice et réalisatrice Laure Duthilleul.
Interview de Sophie Marceau
(A propos du casting de La Boum) "J’y suis allée avec mon père, parce que j’avais 12 ans, j’étais une enfant. C’était à Neuilly et l’on arrivait de Gentilly. Il y avait plein de monde, des parents avec leurs enfants dans des beaux bureaux. Mon père m’a dit : ’Allez, on rentre, tu ne passeras jamais !’.
"J’ai rencontré Andrzej Zulawski à Nice, alors que je tournais Joyeuses Pâques. Il est venu me parler de L’Amour braque, c’était le premier film de la série, et par la suite, nous en avons fait quatre. Nous avons vécu près de dix-huit ans ensemble. Sur les quatre films, nous avions à chaque fois une relation réalisateur-actrice différente, et cette relation demande une certaine intimité.
"C’est très dur d’être connue, on est tout de suite en représentation, on a toujours l’impression d’être jugée, détaillée. On doit tout de suite être quelqu’un, on ne peut pas juste être.
"Pour moi, l’expression passe beaucoup plus facilement par le corps que par les mots. J’aime bouger, j’ai besoin d’être dans l’espace (...) J’aurais envie d’être Spiderman ou Catwoman, c’est-à-dire d’englober cet espace, de vivre, de bouger dedans, de prendre et d’embrasser les choses.
"Au cinéma, le plateau et les caméras permettent d’aller dans des sphères où l’on n’irait pas dans la vie. Moi, j’étais très introvertie dans la vie, alors que devant les caméras, non.
(A propos de Parlez-moi d’amour, son premier film comme réalisatrice) "Je l’ai écrit très vite, tout a été très vite parce que j’avais ça en moi. En une année, on l’avait bouclé, contrairement à mon deuxième film, où tout a été très long. Je pense que la mise en scène est encore plus une exposition que le métier d’acteur.
(A propos de ses enfants) "Je joue à fond la carte maman. Je ne leur montre pas mes films. Ce n’est que très récemment que mon fils a vu deux de mes films. Je ne les sors jamais avec moi dans les lieux publics où il y a des photographes. Pour moi, c’est comme si je leur mettais un poids sur le dos. Je veux au contraire me démystifier au maximum. J’adore cette relation parent-enfant, avec tout ce que cela comporte. Je trouve que ça donne une force extraordinaire."
http://www.france5.fr/empreintes/index-fr.php?page=personnalite&id_article=191
http://www.france5.fr/la-grande-librairie/?page=videos&id_article=5042
et nous incite à le lire.
Il fait partie du patrimoine savoyard. Avec son frère Xavier, il a d’ailleurs été statufié devant le château de Chambéry. Mais qui sait ce qu’écrivait Joseph de Maistre ? Assurément pas grand monde. Il a pourtant inspiré des auteurs illustres tels que Baudelaire, Cioran, André Breton ou René Guénon. Et en 2007, Philippe Sollers consacra le premier article du numéro 100 de sa revue littéraire L’Infini à un éloge de celui qu’il présenta comme l’écrivain le plus maudit qui soit. C’est que le comte de Maistre, pour qui la Révolution française ne fut rien de moins que l’œuvre du Malin, est perçu comme un affreux réactionnaire. Selon Sollers, acteur majeur de l’avant-garde littéraire française des cinquante dernières années, Joseph de Maistre est en fait celui qui peut le mieux nous permettre d’appréhender en toute connaissance de cause les problématiques religieuses qui enflamment la planète aujourd’hui.
Alors comme il l’a fait avec succès pour le sulfureux marquis de Sade, Sollers travaille à la réhabilitation de l’écrivain savoisien qu’il estime être l’un des plus grands auteurs de langue française. La tâche est difficile, même pour un homme que l’on dit très influent dans le milieu littéraire parisien. Car Maistre est désormais encore plus tabou que Sade et, malgré une réédition récente rassemblant nombre de ses œuvres, certains de ses livres majeurs restent quasi introuvables. Philippe Sollers est donc dans la Voix pour vous en parler.
Philippe Sollers, que vous inspire le fait que, alors qu’une statue des frères de Maistre se trouve devant le château à Chambéry, l’œuvre de Joseph soit très largement méconnue sur sa terre savoyarde ?
Ah ! La Troisième République… L’ignorance organisée qui débouche sur la dévastation. Mais Joseph de Maistre n’est pas méconnu seulement sur sa terre savoyarde. C’est la même chose en France. Et si j’observe que faire une statue avec les frères de Maistre est une initiative très charmante, l’un est quand même extraordinairement important, tandis que l’autre est notable. Les mettre ensemble, c’est déjà atténuer la portée extrêmement vaste et profonde de Joseph. Alors pourquoi est-il méconnu et même maudit ? A cause de l’enseignement falsifié de l’histoire de France depuis au moins la Révolution.
On dit d’ailleurs de Joseph de Maistre que c’est un écrivain français, alors qu’il n’a jamais été français…
Il n’a jamais été de nationalité française, mais on est l’écrivain de la langue qu’on écrit, surtout lorsqu’elle est si bien écrite. Et puis il s’est quand même occupé de questions qui touchent de près à l’identité française. Donc c’est un très grand écrivain français dont le travail le plus impressionnant porte sur l’histoire des religions, à l’intérieur même du christianisme.
"Nouvelles du jour et de la nuit" de Hubert Haddad (éditions Zulma). © Khanh Renaud / Square
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