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  • Catégories : Le paysage, Mes photos

    Le couvent des Augustins à Crémieu (photos perso)

    Le couvent des Augustins dans lequel l’actuelle mairie est installée, est l’ensemble monumental le plus prestigieux de la ville. Il fut fondé en 1317, par le Dauphin Jean II puis agrandit et embellit par son fils Humbert II qui espérait y faire entrer quarante moines. Deux salles sont visitables : la salle du chauffoir dont l’immense cheminée servait à chauffer les cellules des moines au 1er étage et qui date du début du 17e siècle. La salle du chapitre (actuelle salle du conseil municipal) est devenue la salle d’apparat de la commune avec son magnifique plafond à caissons à l’Italienne (époque Renaissance), ses stalles de chêne, ses tableaux, ses armes de l’époque révolutionnaire et son armure du 16e siècle qui plait tant aux enfants ! Cette salle s’ouvre sur :

    Le cloître

    Date du 17e siècle et servit un temps de prison à la Révolution ! Néanmoins, à l’origine, c’était un lieu propice à la méditation. Le bassin central, les parterres avaient d’ailleurs pour seule fonction de faciliter cette vie spirituelle lorsque les moines se promenaient dans le déambulatoire. A noter, que les dalles funéraires qui pavent le déambulatoire proviennent de l’église attenante et ont été installées au 19e siècle. Des symboles religieux ou de corporation y sont encore gravés.

    L’église et ses fresques augustiniennes

    C’est l’ancienne chapelle du couvent des Augustins. A la Révolution, en 1791, lorsque tous les bâtiments conventuels furent rachetés, elle devint église paroissiale. Construite à partir du 14e siècle et adossée aux remparts, elle a la particularité d’être orienté sud nord. Au 15e siècle, une deuxième période de construction vers le nord va être entreprise. Elle connaîtra une succession de modifications jusqu’au 19e siècle notamment le plafond initialement en chêne lambrissé sera remplacé par des voûtes néogothiques. Dernièrement, des peintures augustiniennes dans le chœur de l’église ont été mises à jour. De l’avis des experts italiens venus les étudier, elles constituent un ensemble pictural unique en France !

    http://www.tourisme-cremieu.fr/cite-medievale-rhone-alpes/fr/100/l-ensemble-conventuel-des-augustins-14e-au-19e-siecle-.html

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  • Catégories : Courbet Gustave

    De Courbet à Picasso

     

    Organisé par le Musée Pouchkine, Moscou
    19 juin - 22 novembre 2009
    tous les jours de 9h à 19h

    En juin 2009, la Fondation Pierre Gianadda présente l’exposition « De Courbet à Picasso » dans la collection du Musée d’Etat des Beaux-Arts Pouchkine de Moscou. C’est la deuxième fois que le célèbre musée moscovite présente ses trésors à Martigny : la première exposition s’est tenue en 2005. Le présent projet couvre la période la plus éclatante dans l’art de la se-conde moitié du XIXe – premier tiers du XXe siècle, tout comme dans l’histoire du collection-nement en Russie. Les œuvres proposées au public sont des jalons de l’histoire des tendances artistiques, du réalisme à la liberté picturale de l’impressionnisme, à la profonde individualité des maîtres du post-impressionnisme, aux expérimentations des débuts et de la maturité de l’avant-garde européenne. Cette époque coïncide avec l’essor inégalé des forces créatrices et sociales en Russie, dont l’intensité s’est exprimée dans une sensation aigüe du nouveau et a doué les collectionneurs de la capacité de reconnaître le plus important et significatif dans l’art étranger. Les œuvres présentées dans cette exposition ont été acquises à Paris par les fins connaisseurs moscovites de l’art contemporain Sergueï Trétiakov, Sergueï Chtchoukine, Ivan Morozov et d’autres. L’histoire de leurs fameuses collections s’est poursuivie et a acquis une nouvelle signification au Musée des Beaux-Arts Pouchkine.

    L’exposition s’ouvre par des œuvres de Camille Corot, artiste lyrique et introverti. Nous de-vons leur choix exceptionnel à l’intuition de Sergueï Trétiakov, frère de Pavel Trétiakov, cé-lèbre collectionneur d’art russe et fondateur de la Galerie Trétiakov. C’est grâce à lui que Moscou peut s’enorgueillir de la plus importante toile de Corot de la dernière période de son œuvre, « Le bain de Diane ». Le tableau de Gustave Courbet « Chalet dans la montagne » peint par le maître du réalisme durant son exil en Suisse est un brillant exemple de l’art du paysage. Quant au monumental « La bénédiction des jeunes époux » de Dagnan-Bouveret, chef-d’œuvre de la collection de Trétiakov, il reflète l’intérêt des peintres-réalistes pour la représentation empathique des sujets de la vie provinciale.


    L’une des parties les plus importantes de l’exposition à la Fondation Pierre Gianadda est liée aux peintres du cercle des impressionnistes et d’Edouard Manet. Son exceptionnel « Portrait d’Antonin Proust » est un brillant exemple du style intense du maître-expérimentateur. Notons également « La danseuse chez le photographe » d’Edgar Degas, « Au jardin » de Pierre-Auguste Renoir, liés aux premières années de l’impressionnisme, « La meule de foin » et les « Nymphéas blancs » de Claude Monet, où la manière mûre du chef de file de ce mouvement apparaît dans toute sa splendeur, ainsi que les paysages d’Alfred Sisley et de Camille Pissarro.


    La puissante et émotionnelle « Ronde des prisonniers » du post-impressionniste Vincent Van Gogh est l’une des œuvres les plus célèbres dans l’histoire mondiale de l’art. Paul Gauguin est représenté par des tableaux de sa période tahitienne, dont le mystérieux et splendide paysage « Matamoe ». Parmi les œuvres de Paul Cézanne se distingue « La plaine au pied de la mon-tagne Sainte-Victoire », où le motif favori du peintre apparaît pour la première fois dans son œuvre. Le symbolisme est représenté par la pénétrante toile « Le pauvre pêcheur » de Pierre Puvis de Chavannes et la peinture d’Eugène Carrière, proche du style de l’art nouveau. Les membres du groupe des Nabis Maurice Denis, Edouard Vuillard, Pierre Bonnard et le Suisse Félix Vallotton, artistes préférés d’Ivan Morozov, sont représentés par les toiles empreintes elles aussi des traits du symbolisme.


    Les œuvres d’Henri Matisse et de Pablo Picasso, que Sergueï Chtchoukine connaissait per-sonnellement, constituent la partie la plus célèbre de la collection du Musée des Beaux-Arts Pouchkine. L’exposition comprend des œuvres de Matisse, de ses premiers pas vers le fau-visme à la maîtrise de l’espace dans les « Capucines », ainsi que des membres du groupe des Fauves dont il fut le chef de file. Picasso est représenté par « Arlequin et sa compagne », une oeuvre rare de ses débuts artistiques, et par la raffinée toile cubiste « Reine Isabeau » ; le thème du cubisme est complété par un tableau de Georges Braque.


    Une partie importante de l’exposition est liée au thème du primitif et aux artistes proches de cette tendance. Henri Rousseau est représenté par la toile « La Muse inspirant le Poète », première version du célèbre portrait (le second est conservé au Musée de Bâle). C’est la pos-sibilité pour les connaisseurs de comparer les différentes solutions stylistiques des deux œuvres représentant le couple Apollinaire - Marie Laurencin (le tableau de cette dernière est lié à l’histoire de la création de ce portrait). Le thème de Paris est poursuivi par Maurice Utrillo. La série de paysages d’André Derain est pénétrée de simplicité et de solennité pathétique.


    L’exposition s’achève par un groupe de tableaux rappelant la période post-révolutionnaire des collections moscovites. Le premier Musée d’art moderne occidental au monde, créé à Moscou, tâchait de maintenir des liens avec des artistes européens ; c’est ainsi que des tableaux de Fernand Léger, d’Amédée Ozenfant et d’André Lhote arrivèrent de France dans les années 1920.


    La Fondation Pierre Gianadda, haut lieu de grandes expositions internationales, est à même de présenter avec brio l’une des plus importantes collections de la galerie de peinture du Musée d’Etat des Beaux-Arts Pouchkine.


    Le commissariat de l’exposition est assuré par Mme Irina Antonova, directrice du Musée Pouchkine, Moscou.


    Le catalogue de l’exposition De Courbet à Picasso reproduit en couleurs toutes les œuvres exposées et comprend des textes de Irina Antonova, directrice, Anna Poznanskaïa et Alexeï Petoukhov, conservateurs. Prix de vente CHF 45.-- (env. € 30.--).

    L'exposition De Courbet à Picasso
    Musée Pouchkine Moscou

    La Collection Franck,
    Le Parc de sculptures,
    Le Musée gallo-romain,
    Le Musée de l'automobile
    Léonard de Vinci, L’inventeur
    sont ouverts tous les jours
    de 9 h à 19 h
    du 19 juin au 22 novembre 2009
     
     
    Partenaire principal de la Fondation Pierre Gianadda

  • Catégories : J'ai aimé, J'ai lu, Les polars, Voyage

    JED RUBENFELD, "L'interprétation des meurtres"

    L’Interprétation des meurtres

    En 1909, accompagné de son ami Ferenczi et de son disciple Jung, Sigmund Freud, dont les théories à propos du comportement, du sexe, et de la psychologie faisaient grand bruit, fit son seul et unique voyage à New York, pour donner une série de conférences. Malgré l'immense succès de cette visite, par la suite, Freud en parla toujours comme d'une expérience traumatisante, traitant même les Américains de 'sauvages'. Ses biographes se sont longtemps interrogés sur ce qui avait pu se produire là-bas, allant jusqu'à envisager la possibilité d'un événement inconnu de tous, expliquant ces réactions autrement incompréhensibles chez Freud...

    http://www.evene.fr/livres/livre/jed-rubenfeld-l-interpretation-des-meurtres-30588.php

  • "En plein soleil, les habitants se racontent"

    Archives municipales de Saint-Étienne

    Depuis plusieurs années, le groupe « Mémoire » de la maison de quartier du Soleil engrange des témoignages, des archives, des photographies sur l’histoire du quartier. Cela a donné lieu à des expositions et à des soirées-diaporamas qui ont rencontré un vif succès. Souhaitant approfondir la connaissance de l’histoire du quartier et exploiter le fruit de leurs recherches dans un ouvrage, les membres du groupe « Mémoire » ont franchi les portes des archives municipales de Saint-Étienne en 2008. Rapidement, un partenariat a été établi entre la maison de quartier et les archives, en y associant l’unité « Ville d’Art et d’Histoire » de la ville de Saint-Étienne, chargée de la publication d’un volume de la collection Trames urbaines sur le quartier du Soleil.

    Présentée à l’hôtel de ville pour les Journées européennes du Patrimoine et à la Maison de quartier fin 2010, l’exposition s’exporte cours Fauriel, où elle est agrémentée de documents originaux ; ceci est l’occasion notamment de montrer quelques plans et affiches de l’ancienne commune d’Outrefuran dont faisait partie le Soleil jusqu’en 1855 et des affiches du XXe siècle.

    Sont également présentés des objets émanant des collections particulières des habitants du quartier.

    Contact
    Archives municipales
    164 cours Fauriel – 42100 Saint-Etienne
    tél : 04-77-34-40-41
    Site
    Courriel

    http://r2sciences42.com/25-janv-au-30-avril-exposition-En

  • Catégories : J'ai aimé, J'ai lu, Les polars

    Famille nucléaire - Caryl Ferey. Illustration, Jean-Christophe Chauzy

    FEREY-2012-ppmPour fêter les noces d’or des grands parents, tous les Duguay-Morvan sont réunis au manoir de Kérangal. Il ne reste plus grand chose de la fortune familiale déjà pillée par les enfants. Sauf les bouteilles de calva hors d’âge qu’Edouard, le patriarche, a l’intention de léguer à un seul de ses héritiers. Mais qui va empocher le magot ? Une version singulièrement explosive des Dix petits nègres, au coeur de la Bretagne.

    http://boutique.lemonde.fr/les-petits-polars-du-monde.html

  • Catégories : Des expositions, Forain Jean-Louis

    Jean-Louis Forain, un Zorro du crayon au Petit Palais(je viens de lire un catalogue d'une vieille expo sur lui au musée d'Albi que nous avons visité mardi)

     

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    Par Ariane Bavelier
    20/04/2011 | Mise à jour : 19:38
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    Ritratto di Andrea Odoni portrait du marchand d'art de Lorenzo Lotto (1527). Crédits photo : Crédit en bas svp

    Première rétrospective de ce peintre incisif qui fut également caricaturiste au Figaro au tournant du XXe siècle.

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  • Nous avons le 3 août 2012: la Réserve des bisons d'Europe à Sainte -Eulalie en Lozère (48, Languedoc-Roussillon; photos perso à venir)

    Découvrez en Lozère, la réserve du bison d'Europe dans l'un des plus magnifiques parcs de loisirs de France où l'on tente de préserver l'espèce ancestrale des bisons. Visites toute l'année.
    En savoir +


    http://www.bisoneurope.com/

  • Retour d'un voyage il y a peu

    de 6 jours de Saint-Etienne(Loire, 42, Rhône-Alpes où nous habitons pour la 2e fois , à 60 kms environ au sud de Lyon, à 10h après que l'infirmier m'ait permis de partir) et Lavelanet (Ariège, 09, Midi-Pyrénées, où nous avons avons vécu il y a 10 ans environ pendant 3 ans et où j'ai retrouvé ma 3e grand-mère à une centaine de kms de l'Espagne) en passant par la Lozère(3e séjour, halte de 2 jours), l'Aveyron, le Tarn, l'Ariège, la Haute-Garonne, le Cantal et la Haute-Loire

    Photos quand il y aura du temps entre les vacances de mon cher retraité actif(dont je veux profiter), la visite de l'infirmier vendredi pour m'enlever les fils, les douleurs aux deux mains, les grasse mat, les siestes, les lectures en retard, les rangements, les projets de livre, les films au ciné art et essai, les courses, les balades dans le coin, les réflexions sur l'avenir, le soleil, les apéro, 19 mois sans fumer , la piscine que je pourrais bientôt reprendre, les abdos, etc.

  • Catégories : A lire, CE QUE JE SUIS EN TRAIN DE LIRE, Voyage

    Je suis en train de lire:"Le Guide des cités" de Benoît Peeters et François Schuiten

    Le Guide des cités - Benoît Peeters, François Schuiten - 2203380268 - 9782203380264Un guide ? Oui, un véritable guide de voyage, avec plus de 300 illustrations inédites et un grand nombre d'informations. Pour celui qui connaît les albums des "Cités obscures", les surprises seront nombreuses. Car ce volume très dense permet enfin de disposer de cartes détaillées, d'une tentative de chronologie, d'évocations de la faune et de la flore, des Beaux-Arts et des sciences. On y trouve aussi des précisions sur la cuisine, les vins et les spectacles. On y apprend bien de nouveaux éléments sur des villes comme XHYSTOS, URBICANDE et CALVANI, des personnages comme Eugen ROBICK, Axel WAPPENDORF et Mary VON RATHEN. Mais on découvre aussi de nouvelles cités comme BLOSSFELDTSTAD, PAHRY et la SODROVNO-VOLDACHIE, ainsi que bon nombre de nouvelles figures. Quant à ceux qui ignorent tout ou presque tout de l'univers obscur, ils pourront aborder ce livre étrange comme un roman à part entière, ou comme le manuel d'un jeu de rôles insolite...
     
     
    à  la suite de ma visite de l'expo a u chateau de Vincennes, rechercher grâce au moteur de recherche cette note et voyez l'ensemble de la sous-partie: je suis en train de lire

  • Catégories : CE QUE JE SUIS EN TRAIN DE LIRE, Dürer Albrecht

    La vie et l'oeuvre d'Albrecht Dürer. " d'Erwin Panofsky

    La vie et l'oeuvre d'Albrecht Dürer. Nouvelle EditionHistorien et théoricien de l’art d’origine allemande (1852-1968), Panofsky a fait école par sa méthode consistant à dégager les modalités créatrices de chaque période par une confrontation des formes artistiques avec leur contexte culturel. Son approche sophistiquée et raisonnée de l’iconographie a abouti, dans ses Essais d’iconologie (1934), à une théorie de la représentation en art.

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  • Catégories : CE QUE JE SUIS EN TRAIN DE LIRE, Le paysage

    Je suis en train de lire:Daniel Arasse, "On n’y voit rien, Descriptions" -

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    Depuis longtemps, j’éprouve des difficultés - je le confesse - à maintenir le bon vouloir, l’énergie de mes élèves sur l’effort de description, lorsque j’aborde avec eux ce qu’on nomme d’un mot si simple et si suave : l’image. L’analyse de l’image. La sémiologie. (Je pense du reste ne pas être le seul.)

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  • Catégories : Le paysage, Mes photos

    Les remparts de Crémieu(Isère,38, Rhône-Alpes) ce matin(photos perso)

    Intégrés dans la ville, les remparts forment un ensemble homogène de fortifications se développant sur une longueur total de plus de 3 km, ce qui les classe parmi les plus longs de France ! Epousant le relief, ils sont constitués de fortifications en pierres sèches. Flanqués alternativement de tours carrées et rondes en haut de la colline Saint-Hippolyte à l’Est, dont la plus reconnaissable est la tour de l’horloge aménagée au 16e siècle, ils enserrent également, le château delphinal et la colline Saint-Laurent à l’Ouest. Le long de la ville basse, les fortifications intègrent le clocher (1508) de l’église construit sur une ancienne tour de guet et sont coupées de portes monumentales

    http://www.tourisme-cremieu.fr/cite-medievale-rhone-alpes/fr/96/les-remparts.html1er août 2012 003.jpg1er août 2012 002.jpg