Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Bel immeuble à Saint-Etienne(photos perso de samedi)
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Comment un tableau anonyme « allemand xixe siècle », racheté 19 000 $ il y a cinq ans par un collectionneur privé, peut-il s'avérer être aujourd'hui un Léonard de Vinci estimé à plus de 140 millions de dollars ?
Peter Silverman dévoile pour la première fois les indices qui l’ont mis sur la piste de La Belle Princesse. Il raconte les minutieuses investigations des meilleurs experts et scientifiques internationnaux, de New York à Varsovie, confirmant à présent qu’il s’agit bien du 13e portrait connu de Léonard, sans doute celui de Bianca Sforza, peint il y a plus 500 ans par le maître.
Si cette découverte fait polémique, c'est surtout parce qu'elle avait échappé à certains experts et sommités des musées mondiaux qui, de fait, ne veulent plus à aucun prix en entendre parler.
C'est l'histoire de Lilia, enlevée à sept ans par son père, et de la longue cavale qui dura toute son adolescence. C'est l'histoire de Christopher, le détective engagé par la mère de Lilia pour la retrouver et de sa fille Michaela, qui rêvait d'être funambule avant de finir dans une boîte minable de Montréal. Michaela sait ce que Lilia a toujours ignoré : la raison de sa cavale. C'est enfin l'histoire d'Eli, étudiant passionné par les langues et la fragilité des sentiments qu'elles servent à exprimer, qui a hébergé Lilia à New York suffisamment longtemps pour tomber amoureux d'elle et partir à sa recherche lorsque, une fois de plus, elle s'enfuit. C'est dans une Montréal hypnotique que se dénouera cette "histoire de fenêtres brisées et de neige", une histoire en forme d'éclats de miroir brisé qui, une fois reconstitué, dessine une vision déchirante du monde.
D'une profondeur exceptionnelle, c'est un thriller irrésistible. »
The Washington Post
« Un thriller intense, d'une rare sophistication. »
The New York Times
Issu d'une famille très modeste, Jason Kolarich a réussi à intégrer un des cabinets d'avocats les plus prestigieux de Chicago, avant qu'un drame personnel ne le contraigne à démissionner. Après une longue dépression, il recommence à travailler à son compte pour des cas mineurs lorsque un certain Mr Smith le contacte et lui propose une forte somme d'argent pour défendre un homme accusé d'homicide. Cet homme, Jason le connaît intimement, c'est son ami d'enfance, Sammy Cutler, qu'il a perdu de vue depuis des années.
Lorsqu'ils étaient jeunes, la petite soeur de Sammy, Audrey Cutler, avait été victime d'un enlèvement jamais élucidé. Et aujourd'hui, vingt-cinq ans après les faits, Sammy, que l'affaire a profondément traumatisé, est accusé du meurtre du principal suspect de l'enlèvement, Griffin Perlini, un pervers sexuel dont la culpabilité n'a jamais été clairement établie.
Afin d'obtenir la clémence du jury, Jason n'a d'autre solution que de reprendre l'enquête sur la disparition d'Audrey, avec le soutien du mystérieux Mr Smith, qui semble prêt à tout pour obtenir l'acquittement de Sammy Cutler. Au terme de celle-ci et de ses nombreux rebondissements, il découvrira une vérité totalement insoupçonnée.
Considéré auxÉtats-Unis comme la nouvelle star du thriller judiciaire et salué par une critique unanime, David Ellis nous offre avec Caché un roman magistral, digne des chefs-d'oeuvre de John Grisham et de Scott Turow.
«On retrouvera ce livre sur les listes des meilleurs thrillers de l'année. Il ne peut pas en être autrement.»Lee Child
«Le meilleur roman de suspense que j'aie lu depuis bien longtemps.»James Patterson
« Une intrigue fascinante, des personnages captivants : c'est un de ces livres qu'on n'oublie pas. »Scott Turow
http://www.cherche-midi.com/theme/Cache-David_ELLIS_-9782749114699.html
du 28 juin 2012 au 2 septembre 2012 François-Mitterrand / Galerie François Ier
Dans le cadre des Estivales, la Bibliothèque nationale de France présente plus de 500 dessins originaux de Georges Wolinski choisis parmi sa collection entrée récemment à la BnF, grâce à un don généreux de l’auteur. Georges Wolinski a dessiné pour plus de 40 journaux, produit une centaine d’albums, réalisé publicités et affiches, pièces de théâtre, films, et sketchs télévisés. Rien n’aura échappé au regard et à l’ouïe de cet observateur amusé, marqué par une forte empreinte surréaliste et totalement décomplexé.
La trilogie Fifty Shades of Grey sort en France le 17 octobre.
Ébullition dans l’édition outre-Atlantique : l’ovni qui bat tous les records de vente au point de dépasser Harry Potter est une trilogie érotique sur fond de sadomasochisme soft ! Les fans de Fifty Shades of Grey ? Principalement des mères de famille... Enquête sur l’émergence d’un drôle de genre littéraire : le mommy porn.
Depuis quelque temps, les femmes qui poussent la porte de Good Vibrations, sex-shop situé au cœur du quartier financier de San Francisco, ne se ruent plus sur Jack the Rabbit, le sex-toy popularisé par la série Sex and The City. Elles jettent plutôt leur dévolu sur des menottes ornées de froufrous en organdi et tissu satiné (18 dollars la paire). Depuis la sortie de Fifty Shades of Grey, « les kits de bondage pour débutants s’arrachent comme des petits pains », assure Carol Queen, sexologue chez Good Vibrations. Vendue à vingt millions d’exemplaires aux Etats-Unis – et à trente et un millions si l’on inclut les ventes réalisées à l’étranger (le livre sort en France le 17 octobre sous le titre Cinquante Nuances de Grey) –, cette trilogie raconte l’histoire d’Anastasia Steele, étudiante naïve et vierge qui, au lieu de dénicher le prince charmant, tombe amoureuse de Christian Grey,
jeune homme sublime et richissime, au passé trouble, qui la convertit aux joies et peines du sadomasochisme dans sa red room of pain, la chambre des supplices, en rêvant de sexe « normal. » L’incroyable succès de cette saga soft porn a consacré l’avènement aux États-Unis d’un nouveau genre littéraire, le mommy porn (« porno pour maman »), les mères de famille constituant le gros de ses lectrices. Cinq raisons permettent d’expliquer le phénomène autour de ce roman, dont la prose ne diffère guère de celle d’un roman Harlequin (menottes et cravache en plus).
L’auteur de Fifty Shades, E. L. James (de son vrai nom Erika Leonard), est une Anglaise de 49 ans, mère de deux adolescents, ex-cadre dans une chaîne de télévision, qui ignorait tout du sadomasochisme avant d’écrire sa trilogie et qui confie avoir fait son éducation sexuelle grâce à Wikipedia, comme son héroïne, Anastasia. Au pays de Lady Gaga, mais aussi du puritanisme, le sigle BDSM (bondage, domination, soumission, masochisme), réservé il y a peu encore à un public d’initiés, a fait son entrée dans le vocabulaire des mères de famille, grandes consommatrices de romans à l’eau de rose (la numéro un américaine, Nora Roberts, a vendu plus de quatre cents millions de ses romances). Les ventes en ligne d’accessoires BDSM enregistrées par Good Vibrations ont augmenté de 300 % en quelques mois. « Jamais le BDSM n’a été aussi populaire », assure Susan Wright, porte-parole de la National Sexual Freedom Association (association qui milite pour la liberté sexuelle).
Aucun autre pays au monde ne sacrifie autant sa propre histoire, au nom de la repentance, du politiquement correct.
L’Histoire, qui est l’ADN de la culture française, est menacée par ses trois plus grands détracteurs :
-L’Éducation nationale, dans une fuite en avant multiculturaliste qui enterre avec de nouveaux programmes nos principaux héros et la chronologie naturelle, veut faire des élèves des « citoyens du monde » avant d’en faire des citoyens français aimant leur pays.
-Les groupes communautaires, qui instrumentalisent l’Histoire à leur profit, d’où la multiplication des lois mémorielles…
-Les élites intellectuelles et médiatiques, qui s’érigent en ayatollah de la pensée unique. Premier étonnement, il n'y a plus aucune chronologie : en 1ère, on étudie la crise de 1929, puis la guerre de 1914. En 3ème, les attentats du 11 septembre précédent le Front populaire de 1936. Seconde surprise, des événements fondamentaux sont évacués, tel le 6 juin 1944.
La discréditation de notre passé entretient cette détestation de soi qui sommeille en chaque Français. Il nous manque cette fierté que l’on sent chez les Américains, les Chinois, les Britanniques, les Espagnols et qui est manifeste dans leurs manuels comme dans leur admiration pour leur héritage. Plus qu’un coup de gueule, ce livre est une déclaration d’amour à l’Histoire de France. Non, notre héritage n’est pas honteux, il est source de fierté et nous aidera à reprendre confiance en nous. Les entretiens avec Robert Badinter, Emmanuel Le Roy Ladurie et Malika Sorel viennent conforter son analyse.
Historien spécialiste de Napoléon, passionné de musique, Dimitri Casali est l’auteur d’une trentaine d'ouvrages historiques, notamment L'Alter Manuel d'histoire de France (Perrin). Après avoir travaillé avec Jean Tulard, il collabore régulièrement avec la presse : L’Express, Point de vue… Par ailleurs, longtemps professeur d’histoire en ZEP, il est aussi créateur d’une méthode pédagogique innovante, Historock, pour sensibiliser les plus jeunes à l’histoire par le biais de la musique.
http://www.editions-jclattes.fr/livre-l-histoire-de-france-interdite-dimitri-casali-399110
Par Jean Sevillia Mis à jour le 27/08/2012 à 09:08 | publié le 24/08/2012 à 12:30