Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Sur Sylvia Kristel, relisez
http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2006/09/21/sylvia-kristel-ne-l-appelez-plus-emmanuelle.html
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http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2006/09/21/sylvia-kristel-ne-l-appelez-plus-emmanuelle.html
Durée : 55min. ( 21H30 - 22H25 )
Cryptage : En clair
Genre : Docu-info - Société
Origine : France
Année de réalisation : 2012
Télétexte : Sourds et malentendants
Réalisation : Charles Castella, Marie Jaoul de Poncheville
Rediffusion(s) : 21/10/2012 à 07:46 sur France 5
31/10/2012 à 00:10 sur France 5
André Glucksmann est un enfant de la guerre. C'est donc la guerre qui l'a conduit à la philosophie, qu'il définit avant tout comme une vigilance face à la destruction et au mal. «Que rien de ce qui est inhumain ne te demeure étranger !» est ce qu'il appelle son onzième commandement. Homme d'engagements, il parle de son parcours, sur tous les terrains accidentés de l'Histoire, d'abord en Tchétchénie mais aussi auprès des «boat people», des prisonniers du goulag, jusqu'à la Géorgie dont les Russes occupent une partie du territoire.
Umberto Eco - un auteur de best-sellers associé à un sémiologue exigeant: telle est l'union peu commune qui s'incarne en la personne d'Umberto Eco, penseur que l'on ne présente plus.
Chez lui, dans une ancienne école jésuite lovée dans les collines près de Rimini, Umberto Eco présente sa bibliothèque, expose ses méthodes de travail, revient sur son parcours. Mais « derrière les portes » se dévoilent aussi des pans moins connus de sa vie, comme son enfance sous le fascisme qui orientera durablement sa réflexion autour du thème du faux.
http://cineteve.com/documentaire/umberto-eco-derriere-les-portes/
Je précise que cet article n'est pas de moi (lien vers la page citée et si possible son auteur)mais que je suis auteure et que vous pouvez commander mes livres en cliquant sur les 11 bannières de ce blog
LE MONDE |18.10.2012 à 15h45
Par Claire Guillot
Charles Nègre "Le sculpteur Auguste Préault devant le 21 quai Bourbon", Paris vers 1856. | Collection particulière
>> Lire également l'article Avec la bande à Le Gray, primitifs de la modernité
Marc Toulin, photographe et réalisateur né à Paris en 1959, vit depuis plus de vingt ans à Rouen. Ses activités professionnelles l’ont amené à arpenter le monde pour de nombreux reportages photographiques et des documentaires pour la télévision. Sensible à la démarche artistique de Skerzo projetant sur la cathédrale de Rouen des tableaux de lumière, inspiré par la magie du moment, il s’est orienté vers un travail épuré. Par alchimie entre les lumières projetées et leur effet sur la pierre ancienne, les clichés de Marc Toulin recréent ici la vision d’une nouvelle matière photographique.
en bas à gauche
ou sous-partie dans
Mon travail:
-CDI Lycée hôtelier le Renouveau(actuellement à mi-temps)
Ceux que j'aime:
-Nicolas Poussin
Pour la 3ème édition du festival, de jeunes paysagistes, plasticiens, architectes et designers venus de France et du nord de l’Europe, interviendront in situ dans les hortillonnages. En tenant compte des contraintes naturelles et des spécificités du lieu, ils révéleront par leurs interventions, ce patrimoine exceptionnel, composé d’eau, de canaux et de jardins flottants. Tout en étant un lieu de soutien à la jeune création, le festival permet aux artistes invités (tous de moins de 35 ans), de questionner les liens qui nous unissent à la nature, de réfléchir sur ces espaces en mutation et de porter un regard différent, curieux et parfois provocateur sur ce site exceptionnel.
Prolongation jusqu'au 15 octobre 2012
L’artiste aux nombreux talents Auguste Morisot (1857-1951), mène une carrière discrète. Après une formation à l’École des Beaux-Arts de Lyon, il en devint un professeur. Il expose alors dans les Salons lyonnais, et sa peinture, d’inspiration symboliste, est la plus connue de son travail.
En 2008, le musée a acquis une série de dessins et aquarelles de l’artiste, pour la plupart des projets de vitraux des années 1890-1900, réalisés pour décorer son appartement lyonnais. Cet ensemble se rapporte aussi bien à un travail de dessinateur qu’aux arts appliqués. Les scènes intimistes de la vie quotidienne représentant son épouse et sa fille, d’un style Art Nouveau chatoyant, ont souvent été rapprochées de l’œuvre de Maurice Denis ou des Nabis.
L'exposition, complétée par des prêts extérieurs, permettra de mieux faire connaître l’œuvre de cet artiste complet dont les thèmes de prédilection sont la majesté de la forêt et les joies du foyer.
Mon nouveau livre, Tour de France, nostalgie, publié par les Editions Hors-Collection, est librairie. A mes mots viennent, cette fois, s'ajouter des photos et documents fantastiques qui racontent, eux aussi, l'épopée du Tour, de 1903 à nos jours.
http://www.christianlaborde.com/article/article.php/article/tour-de-france-nostalgie
Exposition du 06 octobre 2012 - 14 janvier 2013
Cette exposition révèle le caractère merveilleux et fantastique de ces paysages du XVIe siècle qui suscitent aujourd’hui encore fascination, effroi ou questionnement. A cette époque, les artistes flamands inventent une nouvelle manière de peindre, attachante et inventive, aux frontières du réel et de l’imaginaire. La nature devient le lieu de tous les mythes, de toutes les fables, les arbres et les rochers sont anthropomorphes, les créatures les plus étranges côtoient les hommes absorbés par leurs occupations quotidiennes. Dans ces mondes hybrides se dessine pour le spectateur un chemin de vie ; le paysage devient le lieu de passage entre la réalité sensible et le monde spirituel.
Dans ces images où se mêlent la foi chrétienne et les superstitions populaires, où se rencontrent le beau et le bizarre, le merveilleux et le monstrueux, la nature s’écrit dans un langage symbolique dont nous ne détenons plus tous les codes, et nous emmène dans un monde qui nous dépasse, cosmique, légendaire et infini.
L’originalité et la puissance de ces images, signées par des maîtres reconnus tels que Bosch, Brueghel, Bles, Bril ou Patinir, mais aussi par des artistes moins connus, mais néanmoins brillants comme Mandijn, ou de Keuninck, se révèlent dans leur composition d’ensemble comme dans le détail et repoussent la réalité du paysage au-delà du visible, jusqu’au fantastique.
Pour en savoir plus, téléchargez le Communiqué de Presse ou le Dossier de Presse de l’exposition.
Tarifs : 6 50 € et 5 € (exposition seule) - 9 € et 6 € (musée + expositions).
Visioguide : 1 € (FR, GB, NL). Application téléchargeable sur Appstore et Google Play.
Catalogue : 39 €. Éditions Somogy, réalisé avec le soutien de AG2R La Mondiale.
Achetez vos places en ligne ! Cliquez ici.
Cette exposition est organisée par le Palais des Beaux-Arts et la Ville de Lille, dans le cadre de FΔNTΔSTIC / lille3000. Elle est reconnue d’intérêt national par le ministère de la Culture et de la Communication/Direction générale des patrimoines/Service des musées de France et bénéficie a ce titre d’un soutien financier exceptionnel de l’Etat.
Elle est réalisée grâce au soutien du Conseil régional Nord-Pas de Calais et de Lille Métropole Communauté urbaine. Elle est réalisée avec le soutien du gouvernement flamand, et a reçu le label de l’Eurométropole Lille-Kortrijk-Tournai.
Elle bénéficie du mécénat de la Caisse d’Epargne Nord France Europe, de GDF SUEZ et d’Auchan.
Autour de l’exposition :
Le dimanche à 16 h 30 et le lundi à 14 h 30 : visite guidée.
Jeu. 25 oct. 18h30
Vivaldi / Cage – 8 seasons, concert-projection.
Merc. 21 nov. 19h
La Nuit fantastique, nocturne étudiants.
Mardi 27 nov. 19h30
Le Palais des Délices, visite suivie d’un banquet.
Lundi 03 déc. 18h30
Têtes de lecture, lecture avec JC Carrière et C.Bouquet.
Dim. 13 Janv. 20h
Fables polyphoniques, concert de clôture.
Cet été, la ville de l’Isle-sur-la-Sorgue présente Nils-Udo au Centre d’art Campredon. A partir du 30 juin, peintures, photographies, encres de chine récentes et plus anciennes permettront de prendre la pleine mesure du talent de cet artiste hors-norme.
Nils-Udo, précurseur du mouvement « Art in Nature », interagit sur le paysage sans jamais le violenter. Du Connemara à la Réunion, de l’île de Vassivière à Central Park, ce globe-trotter conçoit chaque intervention avec les matériaux collectés sur place.
« La nature est le thème de ma vie, mon art sort de cette expérience » Nils-Udo
Nils-Udo, plasticien allemand, commence sa carrière d’artiste par la peinture puis s’adonne à la photographie à partir d’installations qu’il réalise dans la nature. Délivrées de l’anonymat, ces réalisations se font « nids », « autels », « maisons d’eau » sous les doigts de l’artiste qui les photographie ensuite, à leur plus haut point d’intensité, avant de les rendre à la terre, où elles subissent l’érosion du temps.
le 6/10/2012
Mort du réalisateur de La Boum. Outre Sophie Marceau, il avait révélé Isabelle Adjani dans La Gifle.
Assistant-réalisateur dès la fin des années 40, notamment pour son frère, Jack Pinoteau (Le Triporteur), Cocteau (Orphée), Max Ophüls (Lola Montès), Lellouch (le Voyou) et surtout Henri Verneuil avec lequel il travailla sur 6 films dont Mélodie en sous-sol, Claude Pinoteau dut attendre 1972 pour devenir son propre chef en réalisant Le Silencieux, un film d’espionnage co-écrit par Jean-Loup Dabadie avec son acteur fétiche, Lino Ventura, qu’il retrouve en 1974 pour La Gifle, une comédie où il révèle Isabelle Adjani, avec également Annie Girardot et Francis Perrin, en 1979 dans L’homme en colère et La septième cible. Un carton au box-office. Il dirige également Yves Montand et Claude Brasseur dans une autre comédie, Le Grand escogriffe.
Il connaît son plus gros succès personnel avec le diptyque adolescent La Boum 1&2 au début des années 80. C’est un phénomène de société qui permet à la débutante Sophie Marceau de devenir une star du jour au lendemain. Il retrouva la jeune femme en 1989 dans un film au concept semblable, L’étudiante, avec également Vincent Vindon. Le public est moins présent.
Jean-Jacques Roousseau et les arts
jusqu'au 30 septembre 2012
À partir de l’annonce officielle, le 7 janvier 1839, de la découverte d’un nouveau procédé permettant la reproduction de la réalité, de nombreux artistes perçoivent l’utilité de la photographie et en acquièrent, passent commande à des photographes (Courbet, Ingres), et plus tard, la pratiquent directement (Friant, Muenier, Degas).