Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
L'art de la fenêtre, de Dürer à «Windows»
Par Eric Bietry-Rivierre
15/02/2013 | Mise à jour : 19:11
À Lausanne, la Fondation de l'Hermitage explore un thème qui fascine les peintres.
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Par Eric Bietry-Rivierre
15/02/2013 | Mise à jour : 19:11
Le gouvernement annoncera début mars ses choix sur l'avenir du futur métro de rocade de la région parisienne Grand Paris Express. Pas question de sortir du cadre de la loi sur le Grand Paris, ce qui l'obligerait à revoir toute la procédure et ferait perdre des années.
LE MONDE | 14.02.2013 à 14h19 • Mis à jour le 14.02.2013 à 14h57
Par Emmanuelle Lequeux
Kandinsky travaille ses lignes dans cette "Empreinte des mains de l'artiste" (1926, détail). | ADAM RZEPKA/ADAGP/CENTRE POMPIDOU/RMN
|
|||||||||||||
|
|||||||||||||
En 1979, Olaf Candau construisait des cabanes avec ses copains aux Deux-Alpes. Vingt ans plus tard, sans autre technologie qu’une scie, une hache et un fusil, il s’est enfoncé dans le Yukon, vers le mythe du Grand Nord canadien. Au pays de James Oliver Curwood et Jack London, il a construit une cabane.
Un an de cabane, un an de silence, de conflits avec les martres et les ours, un an d’échecs avec les poissons, un an à bâtir et à se protéger.
Un an de vie, de la vie la plus simple qui soit.
http://www.editionsguerin.com/boutique_fr_article_1.html
jE suis jurée de ce prix littéraire:
Découvrez notre sélection de récits de voyages :
Cafés lectures organisés avec les auteurs en janvier et février et pendant le festival.
Remise du prix en présence des auteurs pendant le festival.
Renseignements dans les médiathèques participant au prix , à la Librairie de Paris (à St Etienne) ou à la Librairie Raconte-moi la Terre (à Lyon)
Précédentes publications:
22/12/2012 22:19
22/01/2013 08:52
25/01/2013 09:44
La Mort de Balzac
est un ensemble de trois sous-chapitres initialement destinés à figurer dans La 628-E8 de l’écrivain français Octave Mirbeau, en novembre 1907, et retirés au dernier moment, à la prière de la fille octogénaire de Mme Hanska, la comtesse Mniszech[1]. La Mort de Balzac a été publié par Pierre Michel et Jean-François Nivet en 1989, aux Éditions du Lérot, puis en 1999, aux Éditions du Félin. Une première édition séparée des trois sous-chapitres avait précédemment paru en 1918 sous le titre de Balzac, « Aux frais d'un amateur », et le tirage en était limité à 250 exemplaires. Des rééditions ont paru en 2011 chez Sillages et en 2012 à la République des Lettres et aux Éditions de l'Herne.
« La fin du monde semblait très proche. Mais, selon la première loi de Berthold, le moment de se réjouir était venu puisque la seule chose à laquelle on puisse s’attendre après la pluie, c’est le beau temps... »
1963 : John Hathaway est le jeune fils d'un parrain de Brighton, Dennis. Il a son groupe de rock, The Avalons, et se produit dans les bars aux ordres de son père. Parallèlement, celui-ci l'initie progressivement à ses affaires. Les concerts permettent d'organiser un juteux trafic de drogue. Le batteur du groupe, Charlie, devient un homme de main de la famille. Il se charge notamment d'éliminer deux truands londoniens qui tentent de s'imposer à Brighton.
Alors que John découvre l'étendue des affaires de son père et la manière dont il fait régner la terreur dans la ville, celui-ci fait chanter le chef de la police, Philip Simpson, lequel a tenté de faire disparaître des pièces relatives à l'enquête sur le meurtre des malles (voir Promenade du crime). Parallèlement, John s'éprend d'une jeune étudiante dans la mouvance peace and love. Un jour, elle survient chez les Hathaway alors que Dennis règle son compte à un rival.
Dennis exige de John qu'il l'abatte mais c'est finalement Charlie qui s'en charge.
http://www.evene.fr/livres/livre/peter-guttridge-le-dernier-roi-de-brighton-1751205.php
13 février 2013 à 21:06
Disparition. Le photographe documentariste milanais, amoureux de l’urbanisme et auteur de plus de soixante livres, est mort hier, à l’âge de 68 ans, d’un cancer des poumons.
Vivaldi est né le 4 mars 1678 à Venise. Vivaldi fut initié à la musique par son père, violoniste à la cathédrale Saint-Marc.
Il fut ordonné prêtre en 1703. Cette même année, Vivaldi occupa la fonction de professeur de violon à l'Ospedale della Pietà. Il composa à cette époque ses premières œuvres, publia en 1711 à Amsterdam un recueil de douze concerti, créa son premier opéra connu, Ottone in Villa (1713), exerça les activités de compositeur et d'imprésario du théâtre Sant'Angelo à Venise.
Nommé maître de chapelle à la Pietà en 1716, il entama des tournées en Italie, en Allemagne, en Autriche et aux Pays-Bas. Il fut nommé maître de chapelle par le prince de Mantoue de 1718 à 1720, effectua de nombreuses tournées dans les différentes villes d'Italie où il fit jouer ses œuvres.
Baptisé à Crémone le 15 mai 1567 — mort à Venise le 29 novembre 1643.
L’exposition de Sorèze propose une série d’œuvres réalisées par l’artiste entre 1979 et 2011. Elles sont accompagnées de photographies d’Hervé Desvaux, visibles dans la galerie de la chapelle, prises en Russie en 2010 et en 2011 à l’occasion notamment de la rétrospective de l’œuvre de Rossine au musée d’Art russe de Saint-Pétersbourg.
|
http://www.mobbee.fr/A-galerie-presente-Listen-de-Mark-Seliger_a3576.html
Exposition du 11 octobre au 17 novembre 2012
Les œuvres présentées à la galerie 53 représentent les plus récents développements
de la série « La Montée des Extrêmes ». Tous les cycles antérieurs se sont terminés
par un passage à un autre état et ont été des degrés qui ont amené Martin Bissière
à ce paroxysme d’énergie et de couleur intense. La Montée des Extrêmes est en résonance
avec la topographie mentale de nos sociétés, une réponse aux sollicitations mimétiques
du flux constant des images, le sentiment de l’imminence d’un chaos extraordinaire.
Un ouvrage, à la fois gourmand et intelligent, qui retrace l'histoire de la cuisine, de l'Antiquité jusqu'à nos jours.
Loulou-Antoine c’est un cocktail détonnant : de l’énergie à revendre, une lucidité à toute épreuve, une mauvaise humeur permanente et, pour clore le tout, une verve à la Zazie (celle du métro).
Loulou-Antoine brandit son incapacité à la tendresse comme un étendard. Les bisous, la compassion, les pleurnichages, c’est pour les autres. Elle avance droit dans la vie, s’agace de la mièvrerie de sa mère et de l’incapacité de son père à faire les choses simplement, surtout depuis que ses parents sont séparés.
Son seul vrai copain (mais le sait-il ?), c’est ce clochard qu’elle retrouve sur son banc le mercredi. Il pue, et Loulou-Antoine s’obstine à lui poser la question qui dérange, celle à laquelle il ne répond jamais : « Tu faisais quoi, avant d’être clochard ? »
Avec ce caractère-là, elle ne va pas se laisser vaincre par une petite maladie de rien du tout, qui la fait tomber dans la rue, l’envoie à l’hôpital, lui fait perdre ses cheveux… Elle ne perd rien non plus de sa lucidité pour décrypter les embarras et circonvolutions des adultes face au cancer des enfants…
http://www.editions-thierry-magnier.com/9782844205711-l-christophe-leon-pas-demain-la-veille.htm
Dans cette famille, ce n'est pas le fils qui est accro à la télé mais les parents !
L'arrivée d'un écran plat de 127 cm les fascine au point d'en oublier le travail,
l'école, les repas...
Texte cocasse. Quand les parents sont moins raisonnables que leur enfant.