Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
- Page 3
-
-
J'ai aimé lire:Art actuel
Art Actuel N°85
Numéro mars-avril 2013
En kiosque national le mardi 26 févriercouverture
KEITH HARING Sans titre, 1982. © Keith Haring Foundation
au sommaire
Keith Haring : son Journal > Art Paris Art Fair : l'édition 2013 > Palais de Tokyo : Soleil Froid > 30 ans de Frac > Dossier Marseille-Provence 2013 : grands travaux - Episode I > Expo : Yoko Ono à Francfort, Neo Rauch à Bruxelles, David Bowie à Londres, Jean Paul Gautier à Rotterdam.
http://www.artactuel.com/magazine-art-actuel.html
Précédente publication:
03/03/2013 12:01
-
Catégories : CE QUE J'AIME. DES PAYSAGES, CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, CEUX QUE J'AIME, Des lieux, Des musées, Istanbul(Turquie):travail et séjour, J'ai aimé, J'ai lu, J'ai vu, La peinture, Les Bouches-du-Rhône(13,PACA), Marseille(Bouches-du-Rhône,13, PACA), Paris(75,Ile de France):vécu,études, Vienne(Isère,38,Rhône-Alpes:traversé), ZIEM Félix
De Venise au Petit Palais : l’atelier nomade de Félix Ziem (expo vue le 17 mai 2013°
À la suite des expositions de Marseille, Martigues et Beaune, le Petit Palais exhume des réserves la donation du peintre Félix Ziem (1821-1911). Invisible depuis la disparition de la salle Ziem dans les années 1930, ce fonds intact et surprenant composé d’une centaine de peintures, d’études, d’aquarelles et de carnets de dessin s’offre à nouveau aux regards et remet en lumière l’œuvre d’un peintre épris d’ailleurs.
Par Sophie Caron
Magazine : L'Estampille/L'Objet d'Art n° 488 Page : 4-5
Précédente publication:
15/05/2013 15:35
-
Catégories : A voir, CE QUE J'AIME. DES PAYSAGES, CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, CE QUE J'ECRIS/CE QUE JE CREE, CE QUE J'ECRIS/CE QUE JE CREE, Des évènements, Des expositions, Des lieux, Des musées, La peinture, Le paysage, Les Bouches-du-Rhône(13,PACA), Mes textes en prose, Mes textes en prose, ZIEM Félix
Nous retournerons visiter puisqu'il était fermé:Musée Ziem
Le musée Ziem est né en 1908 et possède depuis son origine des collections variées. Le visiteur peut découvrir les œuvres de Félix Ziem, des peintures de l’école de Marseille de 1850 à 1925, des paysages fauves, de l’art contemporain, des collections archéologiques et ethnologiques.
Pour les adultes, des visites commentées et des conférences viennent ponctuer l’année, ainsi que des moments particuliers, comme des concerts ou des rencontres/débats en lien avec la collection permanente et les expositions temporaires.
Différentes formes d’ateliers d’initiation à l’histoire de l’art et aux pratiques plastiques sont proposées aux enfants tout au long de l’année.
Elles s’adressent au public individuel, au public en situation de handicap, aux scolaires, aux centres aérés et aux Maisons de quartier.
http://www.ville-martigues.fr/culture-sport-et-loisirs/musee-ziem-1708.html
Précédente publication:
01/05/2013 12:15
-
Catégories : A deux, A deux, nous voyons, nous visitons (etc), CE QUE J'AI LU,VU (et aimé), CE QUE J'AIME. DES PAYSAGES, CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, Des évènements, Des expositions, Des lieux, Des musées, J'ai vu, La peinture, Les Bouches-du-Rhône(13,PACA), Marseille(Bouches-du-Rhône,13, PACA), Nous avons aimé, Voyage
Nous avons aimé visiter samedi à Marseille:Matta : du Surréalisme à l’Histoire
Ne manquez pas l’exposition inédite "du Surréalisme à l’Histoire" consacrée à l’œuvre monumentale du peintre chilien Matta, jusqu'au 20 mai, au musée Cantini.
Pour célébrer la réouverture du musée Cantini - un écrin abritant l'une des plus belles collections d’art moderne de France - le public est invité à (re)découvrir l’œuvre de Matta (1911–2002). L’exposition rassemble "Cinquante tableaux, très souvent de très grands formats - de quatre à dix mètres - et un cabinet d'arts graphiques de cinquante dessins environ." explique Christine Poullain, directeur des musées de Marseille. "Le propos, c'était de réaliser l'exposition la plus complète, la plus exhaustive de Matta possible." dit-elle. Les oeuvres proviennent des musées et des collections privées du monde entier, mais aussi de la famille Matta. Le surréaliste chilien qui passa la majeure partie de sa vie loin de son pays natal, laisse à la postérité une œuvre abondante, inédite jusque-là à Marseille, souvent composée de formats monumentaux. Le fil conducteur de l’exposition réside dans le cheminement qui a conduit l’artiste des voies de l’automatisme surréaliste à une représentation métaphorique des grands bouleversements de l’Histoire de la deuxième moitié du XXe siècle. L'exposition balaie ainsi tout le parcours intérieur de l'artiste : "On commence par les tableaux surréalistes qui expriment la voix de l'inconscient, de l'automatisme, de l'imaginaire et des fantasmes qui sont les principes du surréalisme." précise Christine Poullain. A ces conflits de l'inconscient, Matta substitua peu à peu sa version des chocs historiques. Le travail de restauration accompli sur les oeuvres mérite lui aussi d'être souligné. Ainsi, deux années auront été nécessaires pour qu'une oeuvre monumentale de trois mètres sur dix soit enfin montrée au public.
-
Catégories : A lire, CE QUE J'AIME. DES PAYSAGES, CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, Le paysage, Venise, Voyage
Jehan Marot
Jean Marot est un poète français des XVe et XVIe siècles, né à Mathieu, près de Caen, vers 1463, mort vers 1523. Il vécut quelque temps à Cahors et épousa la fille d'un bourgeois de cette ville. En 1507, il entra au service d'Anne de Bretagne en qualité de secrétaire, puis il devint, après la mort de celle-ci, valet de chambre de François Ier. II était le poète attitré de la petite société féminine dont Anne de Bretagne, au témoignage de Brantôme, s'était entourée. C'est pour cette société qu'il écrivit le Doctrinal des princesses et des nobles dames (en 24 rondeaux assez élégamment tournés) et la Vray-disante Advocate des dames (en strophes de diverses formes entremêlées de rondeaux et de ballades). Dans le Voyage de Gênes (en vers de 10 syllabes mêlés de rondeaux et de quelques morceaux de prose), il raconte avec la fidélité d'un historiographe et dans un style souvent ferme et précis l'expédition dirigée par Louis XII contre les Génois; cet ouvrage plut tellement à la reine que, Louis XII se mettant en marche contre Venise (1509), elle fit attacher Marot à l'expédition : c'est cette expédition qu'il chanta dans sa principale oeuvre, le Voyage de Venise (même rythme que le Voyage de Gênes) où il y a de beaux vers descriptifs et parfois un véritable souffle héroïque (particulièrement dans les morceaux en alexandrins). Il avait commencé une épître sur la défaite des Suisses à Marignan (1515) que la mort, au témoignage de son fils, l'aurait empêché d'achever. Pourtant il est certain qu'il ne mourut que quelques années plus tard, car on trouve son nom dans les états de la maison du roi aux années 1522 et 1523.
-
Catégories : CE QUE J'AIME. DES PAYSAGES, CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, CE QUE J'ECRIS/CE QUE JE CREE, CE QUE JE SUIS EN TRAIN DE LIRE, CE QUI M'ENERVE/ce que je n'aime vraiment pas, Des lieux, Des musées, J'ai lu, J'ai vu, La peinture, Le paysage, Les Bouches-du-Rhône(13,PACA), Mes lectures, Venise, Voyage, ZIEM Félix
Nous n'avons pas pu visiter le Musée Ziem à Martigues(Bouches-du-Rhône,13,PACA)
car il était fermé et ce n'était pas inqdiqué sur internet mais la ville, "Venise provençale" est sympa à visiter
Le musée Ziem a ouvert ses portes au public en 1908 suite à un don de l'artiste à la ville de Martigues.
Aujourd'hui, le musée présente des collections d'archéologie nationale (préhistoire, médiéval, moderne, etc.), d'art moderne et contemporain, des arts décoratifs, des beaux-arts et d'ethnologie (costume, métiers et outils, etc.).
Vous pouvez y découvrir les œuvres de Félix Ziem, Auguste Rodin, André Derain, Claude Viallat ou encore Jean-Paul Marcheschi.http://expo-musee.sorties.francetv.fr/musee-ziem-martigues-visite-musee-ziem-martigues-ide-434fcb694
Précédente publication:*
18/05/2013 00:21
-
Fin de:David d'Angers(expo vue à Paris au Louvre le 15 mai 2013)
Sculpteur majeur de l’époque romantique, David d’Angers (Angers, 1788 - Paris, 1856) a laissé un ensemble d’oeuvres dessinées considérable, qui permet de suivre l’évolution de sa carrière et d’apprécier ses liens avec la société littéraire et artistique de son temps.
Ses premiers dessins traduisent son éducation classique et académique – il fut Grand prix de sculpture en 1811 –, mais rapidement sa fascination pour l’histoire moderne prédomine. Fervent républicain, il se consacre, dans une entreprise qu’il veut pédagogique, à la mémoire des grands hommes, aux héros des guerres révolutionnaires qui ont marqué son enfance, à ceux qui ont servi le général Bonaparte.
Ses dessins montrent l’intensité de ses recherches préparatoires pour rendre lisible à tous l’histoire d’une vie dans un bas-relief, pour fixer dans une statue l’intensité dramatique du geste significatif d’un héros ou de sa mort. Son activité de portraitiste fut profondément influencée par la phrénologie. David d’Angers fut aussi collectionneur de dessins. Sa collection, dont quelques oeuvres seront exposées, comportait notamment des aquarelles de Caspar David Friedrich, qui signalent l’intérêt pour l’art allemand de l’auteur du magistral buste de Goethe.
Cette exposition s’inscrit dans l’entreprise de présentation des grands fonds de dessins des musées français poursuivie par le département des Arts graphiques du Louvre depuis de nombreuses années.
Commissaire(s) :
Isabelle Leroy-Jay Lemaistre et Marie-Pierre Salé, musée du Louvre.
Véronique Boidard, musées d'Angers
http://www.louvre.fr/expositions/david-d-angers-dessins-des-musees-d-angers -
Les Coulisses du Stade Vélodrome
Accompagné par un guide, entrez dans les coulisses du Vélodrome et découvrez les secrets du nouveau stade.
Vous accéderez à la salle de presse, aux vestiaires des joueurs ainsi qu’aux loges privées avec leur vue imprenable sur le terrain. Nombre d’anecdotes insolites vous seront contées sur l’histoire de l’Olympique de Marseille ainsi que sur le vaste projet d’extension du Vélodrome.
Gagné par l’émotion, vous marcherez sur les pas des plus grands joueu... -
Catégories : A voir, Des expositions, Paris(75,Ile de France):vécu,études
Cheveux chéris
frivolités et trophées
du mardi 18 septembre 2012 au dimanche 14 juillet 2013
- mezzanine Ouest
- billet Collections
commissariat
- Yves Le Fur, Directeur du département du Patrimoine et des collections du musée du quai Branly
autour de l'exposition
l'exposition
Au croisement de l’anthropologie, de l’histoire de l’art ancien et contemporain, de la mode et des mœurs, l’exposition met en œuvre les problématiques de l’intime individuel et sa sociabilité sur le thème universel des cheveux.
Abordant l’idée que chacun donne de sa personnalité par la coiffure, elle se présente tout d’abord sous l’angle de la frivolité, des compétitions entre blonds/blondes, rousses et bruns, lisses et crépus dans un large éventail de peintures classiques, de sculptures et de photographies d’auteurs. Comparant les coquetteries en Papouasie Nouvelle-Guinée, celles des belles citadines africaines ou des artistes de la haute coiffure, l’exposition avance vers l’idée du matériau humain à modeler, à sculpter, support à la fois de savoir-faire, de la relativité de la beauté mais aussi objet de perte, symbole du temps qui passe, de la maladie et de la mort.
Supports de mémoire, reliques, talismans, les cheveux conservent pour beaucoup l’aura et l’énergie de leur propriétaire. Une large partie de l’exposition est consacrée à ces mana qui ont donné naissance, dans le monde, à de multiples objets dits « magiques » ou dotés de pouvoirs que l’on s’approprie.
La question du reste et du trophée est ainsi posée et plus largement du statut de certains « objets » campés aux frontières de l’horripilant et de l'insoutenable, interrogeant nos catégories à partir d’une expérience universelle.
-
Code 93, série de crimes en Seine-Saint-Denis
LE COUP DE COEUR - Lieutenant de police pendant 15 ans à la PJ du 9-3, Olivier Norek publie un premier polar parfaitement maîtrisé.
Les policiers devenus écrivains de qualité ne ne sont pas nombreux. Sans remonter au folklorique Borniche, on peut, sans vraiment abuser, dire que le Français Hugues Pagan et l'Américain Joseph Wambaugh sont les cadors du genre. Aujourd'hui, Olivier Norek, un Toulousain de trente-huit ans, dont quinze passées dans la PJ de Seine-Saint-Denis, tente sa chance. Le roman s'appelle Code 93 et il est publié chez un éditeur qui n'est pas spécialisé dans cette littérature.
-
Catégories : CE QUE J'ECRIS/CE QUE JE CREE, Mes textes en prose
Jean-Michel Atlan sort de l'oubli
Atlan: Calypso III (1958), estimé entre 200 000 et 300 000 €. Crédits photo : Drouot
Vingt-deux œuvres de cet artiste de la seconde école de Paris seront vendues le 27 mai
-
Thierry Frémaux: «Mieux vaut une bonne comédie qu'un mauvais film d'auteur»
«À l'applaudimètre, une comédie risque gros. Une salle qui ne rit pas, ça se mesure tout de suite!», explique Thierry Frémaux. Crédits photo : Francois Mori/AP
INTERVIEW - Malgré l'absence criante de comédies cette année dans la sélection officielle, le délégué général du Festival de Cannes compte bien renverser la vapeur en faveur d'un genre «cinéphiliquement incorrect».
-
Catégories : La littérature, La télévision
La littérature selon Irving
L'écrivain américain est l'invité du magazine de François Busnel La Grande Librairie sur France 5
Tags : France 5
Publié le 25/04/2013 à 09:33
-
« La Quinzaine littéraire » lance un appel à souscription
-
Le sport collectif féminin se mobilise pour plus d’égalité
Les premiers états généraux du sport féminin en équipe, organisés par le club de basket de Bourges, débutent jeudi 16 mai.
-
De la suite dans les orchidées
15 mai 2013 à 21:26
Jardins . A l’occasion des 58e Journées des plantes de Courson, rencontre avec des créateurs-éleveurs de fleurs. Gros plan sur les clématites et les exubérantes «Orchidaceae».
Journée des plantes, 2012. - Photo Jean-Pierre DelagardeQui a dit «j’ai toujours rêvé de marier Brigitte Bardot avec le général de Gaulle» ?
-
La Maison de la poésie, pieds au plancher
15 mai 2013 à 19:56
Vers . Le nouveau directeur, Olivier Chaudenson, souhaite proposer jusqu’à 200 rendez-vous par an.
LibérationDifficile d’imaginer virage plus radical. Créée en 1983, installée depuis 1995 dans le bâtiment de l’ancien théâtre Molière, à deux pas du centre Pompidou à Paris, la Maison de la poésie avait jusque-là plutôt fonctionné comme un théâtre «normal», programmant des spectacles sur des durées standard (trois semaines), dans le cadre de saisons préparées longtemps à l’avance. Nouveau directeur, nommé à l’automne par la mairie de Paris (principal financeur via une subvention de 900 000 euros...
http://www.liberation.fr/livres/2013/05/15/la-maison-de-la-poesie-pieds-au-plancher_903172
-
Zara, H&M, Mango ... 31 géants de la mode signent un accord pour la sécurité au Bangladesh
Des manifestants devant le siège de Gap, à San Francisco, le 25 avril. Crédits photo : JUSTIN SULLIVAN/AFP
Cet accord, qui engage les enseignes sur cinq ans, garantit la mise aux normes des usines. De quoi améliorer leur image et sécuriser leurs approvisionnements dans un pays à main-d'œuvre low-cost
-
Louis Gallois : «Le principal ressort de la croissance, c'est le retour de la confiance»
Le commissaire général à l'investissement juge qu'il faut poursuivre les efforts en matière de compétitivité et dresse un premier bilan des investissements d'avenir.
-
Fric-frac : des impostures de l'art contemporain
Excellente enquête, dans le dernier numéro du magazine Capital, sur ces temples de l'inculture que sont les fonds régionaux d'art contemporain (Frac). Créés comme il se doit par Jack Lang, ils reposent sur l'idée, au premier abord sympathique, en réalité fallacieuse, que l'art contemporain étant «difficile», trop «audacieux» pour être compris d'entrée de jeu par «la populace abrutie» (Kandinsky), il devait être subventionné par l'argent public. Fadaise de gauche biaisée à la racine, erronée dans son principe même, mais qui plus est consternante de bêtise et de snobisme dans les applications auxquelles elle donne lieu la plupart du temps. Bien entendu, elle fut plébiscitée par les artistes sans art et sans talent: au lieu d'avoir à convaincre un public, ils ont pu se contenter, souvent grâce au copinage, d'écouler leurs productions indigentes aux frais du contribuable. Je ne le dis pas à la légère: je vais en donner dans un instant quelques exemples particulièrement accablants. Mais revenons un instant encore sur l'idéologie qui sous-tend ces Frac: ils reposent sur cette mythologie avant-gardiste selon laquelle le génie étant par nature «en avance sur son époque», donc forcément incompris en son temps, il faut l'aider jusqu'à ce que son art rencontre enfin le public mérité. Pourtant, la réalité historique contredit de part en part cette conception élitiste, pour ne pas dire stalinienne, d'une «aile marchante» inspirée par des «guides géniaux» tirant le chariot de la «masse récalcitrante» (Kandinsky encore). La vérité, c'est que, en dehors d'une très courte période et d'un «modernisme» exacerbé propres au seul XXe siècle, les artistes véritables et les écrivains les plus authentiques n'ont jamais été des marginaux, méconnus et miséreux. Picasso lui-même, qu'on l'aime ou non, fut de son vivant une incomparable star, plus riche et adulée que Mike Jagger ou Marilyn Monroe.
-
Exception culturelle française: halte aux pratiques qui en bafouent l'esprit
Le rapport Lescure, relatif aux politiques culturelles à l'ère numérique, a été pompeusement baptisé «Acte 2 de l'exception culturelle» alors qu'il ne concerne, pour l'essentiel, que la suppression de l'Hadopi et la création d'une nouvelle taxe sur tous les appareils connectés, type smartphones, permettant d'accéder aux contenus culturels. Or, ces questions ne relèvent pas de la problématique spécifique de l'exception culturelle mettant aux prises l'Europe et les États-Unis, en forme d'exception au principe du libre-échange s'agissant des biens culturels, en particulier dans le domaine du cinéma et de l'audiovisuel. Dans le même temps se profile une nouvelle confrontation, bien réelle, sur ce terrain.
-
Catégories : LEON Donna, Les polars, Venise
Venise dans les polars
- 19 févr. 2011
- Marie-Hélène Dhifi
-
Catégories : Venise
"Venise" d'Alfred de Musset
Dans Venise la rouge,
Pas un bateau qui bouge,
Pas un pêcheur dans l'eau,
Pas un falot.